Harry Potter et l'éclat de Crystal
Chapitre 31
Dovterlom
-Ce qu'il est long! S'exclama Elisa, dont la patiente avait été largement éprouvée durant les dernières semaines.
Harry ne répondit rien, pas plus que le reste du groupe, mais au fond de lui, il l'approuvait. Ça faisait maintenant plus d'une heure que Mars était enfermé dans son bureau, se livrant à diverses expériences pour trouver une manière d'extraire un âme de l'éclat de Crystal sans ses instruments spéciaux qu'il avait détruit, imaginant que son bijou était perdu pour toujours.
-Et si jamais il en profite pour retrouver tout son pouvoir et nous tue tous? Demanda soudain Elisa.
Harry échangea un regard avec Drago, qui répondit :
-Et bien dans ce cas il faudra quelqu'un d'autre pour nous remplacer et pour vaincre Voldemort.
Elisa le regarda incrédulement, et dit :
-Et si c'est Dovterlom qui le tue?
-Tant pis pour nous.
Devant l'air inquiet que prenait la jeune fille, Harry ajouta :
-On va s'en sortir, ça va aller.
Elle ne parut pas convaincue, mais se tut. Après une vingtaine de minutes d'attente silencieuse, Mars sortit finalement de son bureau, en nage.
-Ce qu'il fait chaud! Je devrais peu-être penser à installer un système de climatisation… qu'est-ce que vous avez tous à me regarder comme ça?
Harry ferma les yeux pour garder son calme.
-D'accord, d'accord… reprit-il. Oui, j'ai réussi.
Harry poussa un soupir de soulagement.
-On va faire le transfert?
Mars le regarda en fronçant les sourcils. Il avait l'air épuisé, totalement vidé par ses tentatives. Harry crut qu'il lui répondrait un simple non et reporterait la date de la ''résurrection'' de Dumbledore à plus tard. Mais il ajouta après un moment :
-Pourquoi pas?
La petite troupe se rendit dans la chambre où le corps de Dumbledore reposait, puis Mars, d'un coup de baguette, fit voleter l'éclat de Crystal au-dessus de lui. Il se retourna vers les spectateurs. Harry fit de même. Les longs ongles de sa sœur avaient presque complètement disparus depuis deux heures à force de les ronger. Ginny était livide, l'air malade, et son grand frère n'était pas mieux. Drago, par contre, restait complètement calme et impassible, imbu d'une sorte d'indifférence qui justement ne laissait pas indifférents les gens autour de lui.
-Sortez, ordonna Mars d'une voix grave.
-Quoi? Mais…
-Sortez. J'ai besoin de calme.
-Mais on ne peut pas lui donner la chance de recevoir la puissance de Dumbledore! S'exclama Elisa, donnant un répit à ses pauvres ongles.
-Je ne ferai rien. Je vous remettrai l'éclat de Crystal après. Je n'ai pas l'intention de m'en resservir.
Un ''en tout cas, pas pour tout de suite'' était sous-entendu.
-Et pourquoi?
-Parce que j'ai compris que vous étiez trop forts pour moi. De toute façon, je ne pourrais rien faire. À ce que j'ai compris, un mur me bloque le chemin. Même si je me sauvais, où voudriez-vous que j'aille? Si je vais au nord, je tombe sur Voldemort. Au sud, Poudlard. À l'ouest la forêt des centaures et à l'est la colonie de gé…
Mars soupira puis baissa la tête. Qu'est-ce qu'il avait dit? Harry ne voyait qu'une seule chose commençant par ''gé'' et pouvait faire peur à un sorcier comme lui : les géants.
-Les quoi? Demanda Sirius, qui ne semblait pas avoir fait le rapprochement.
Harry croisa le regard de Ron. Lui avait compris.
-Il parle des géants, bien sûr, lança Troyan en trottinant vers le milieu de la pièce.
Le silence déjà lourd sembla prendre dix kilos d'un coup.
-Il y a des géants dans la forêt interdite? S'enquit Rita, tendant la tête vers l'avant.
-Il semblerait que oui, mais je doute fort que… commença Sirius
-Bien sûr, répondit dédaigneusement Troyan. Vous ne saviez pas?
Harry sentit que son parrain aurait égorgé le petit centaure pour pas grand chose.
-C'est vrai, confirma Aranwë, qui s'était tenu à l'autre extrémité de la pièce, dans un coin depuis le début. J'avais l'intention de vous en parler dès que toute cette histoire serait terminée…
-Et comment sont-ils arrivé là?demanda Sirius, son regard allant de Aranwë à Mars, s'arrêtant sur Troyan de temps à autre.
-Aucune idée, dit le centaure immédiatement. J'ai remarqué leurs empruntes dans la forêt en venant ici. Ils ne sont pas si à l'est que ça, si vous voulez mon avis…
-C'est toi qui les a fait venir! S'exclama le parrain de Harry, tendant un doigt accusateur vers Mars.
-Non, ce n'est pas lui, dit Harry, se lançant dans le débat. Il serait déjà parti se mettre à leur abris si ils avaient été sous son contrôle.
Mars ne regarda pas Harry, continuant de fixer obstinément Sirius.
-C'est exact, fit-il. Ils sont avec Voldemort.
-Évidemment, ajouta Troyan en prenant son air supérieur.
-Et comment serais-tu au courant de leur existence?
-Tu penses sérieusement que j'ignorais que vous aviez pris comme repère secret MA tour? Je ne serais pas venu me jeter dans la gueule du loup pour rien. Après avoir perdu la jeune Potter, je me suis rendu à l'extrême est de la forêt pour vérifier si le mur invisible englobait tout. C'est là que je les ai rencontrés.
Il était calme, sa voix était sûre, mais Harry sentit qu'il mentait. Ou qu'il ne disait pas toute la vérité.
-Écoutez, l'âme de Dumbledore agonise. Je vous donne ma parole que je ne tenterai pas de me sauver. La puissance du jeune homme enfermé dans l'éclat de Crystal est inimaginable. Si j'avais vraiment voulu vous nuire, je serais parti depuis longtemps sans faire de transfert. Je suis votre allié. Ayez confiance.
-Comment veux-tu qu'on ait confiance en toi? Tonna Sirius. Tu as fait de Harry et Elisa tes prisonniers, puis tu es ensuite parti pour pouvoir retrouver tes pouvoirs! Et maintenant, tu dis que tu ne les veux pas?
-Écoutez, répéta-t-il. Je veux seulement vous aider. Si vous ne sortez pas, je risque de rater mon coup, ce qui nous coûtera la vie à tous les trois : Dumbledore, le jeune prisonnier et moi. Déjà que c'est dangereux je… Je vais garder… euh… Harry. Il va rester dans la pièce, et me surveiller. Il n'aura qu'à crier si je fais la moindre petite chose suspecte.
-Il n'en ai pas ques…
-Non, Sirius, c'est un arrangement parfait. Je vais le faire.
Sirius parut décontenancer par la déclaration de Harry.
-Mais… Harry… Je… Tu ne te rends pas compte! Il t'utilise! Tu vas te retrouver seul dans la même pièce que les trois plus grandes puissances magiques de tout les temps, soi Mars, Dumbledore et Voldemort!
-Je resterai avec Drago, alors. Si on reste silencieux, tu arriverais à te concentrer?
Mars resta songeur.
-D'accord, déclara-t-il.
-Alors on fait comme ça.
Ron lui jeta un regard offensé. Harry prit un air grave, et son ami comprit. Sirius, Rita, Troyan –sans oublier de préciser qu'il savait très bien comment ça finirait- et les autres jeunes se retirèrent. Harry, Drago et Mars se retrouvèrent seul avec le cadavre du directeur.
Mars se concentra, puis se mit à réciter d'étranges incantations. L'éclat de Crystal se mit à briller, de plus en plus intensément. La silhouette de Dumbledore se convulsa, puis un éclair d'une couleur indéfinissable envahit la salle tandis que Mars terminait son sortilège. Harry dût fermer les yeux, éblouit. Il pensa à les rouvrir, mais ne trouva pas le courage de le faire. Retrouverait-il Mars mort, étendu sur le sol, où Dovterlom, enfin libre? Un grognement le fit sursauter, et il desserra ses paupières par réflexe. Mars était étendu par terre, mais Dovterlom était là lui aussi, debout, regardant avec incrédulité tout ce qu'il l'entourait.
-Harry? demanda-t-il, rompant le lourd silence.
Harry tira sa baguette, la brandissant devant lui.
-Ne bouge pas! s'exclama-t-il.
Drago l'avait imité. Dovterlom restait immobile, son regard inquiet allant d'un jeune homme à l'autre.
-Harry, dit-il en faisant un pas. Laisse-moi t'expliquer…
-Ne bouge pas! répéta Harry.
Dovterlom soupira, puis hocha la tête. Harry entendit la porte s'ouvrir derrière lui.
-On a entendu des voix, fit Sirius. On s'est dit que c'était fini et…
-Locomotor Mortis! Dit Drago en voyant Dovterlom esquisser un mouvement.
Le sortilège bloque-jambe fonctionna à merveille, et Dovterlom se retrouva dans l'impossibilité de bouger. Harry resta perplexe. Pourquoi Voldemort se laisserait-il faire par deux adolescents? N'était-il pas le plus puissant des sorciers de toute la Grande-Bretagne?
-Je vais tout vous expliquer, répéta Dovterlom.
Un à un, tout le monde pénétra une nouvelle fois dans la petite pièce. Sirius, la baguette prudemment levée, se pencha sur le corps de Mars pour vérifier ses pulsations cardiaques.
-Ça ira, déclara-t-il en se relevant.
Harry ramassa l'éclat de Crystal. Comme la dernière fois, un frisson le parcourut lorsqu'il toucha la petite pierre. Puis, soudain, il fut assaillit d'informations. Sa tête se remplissait de sorts, de potions, de nouvelles connaissances. Il crut qu'il allait exploser. La fréquence fut bientôt trop rapide pour Harry : assimiler toutes ces choses d'un coup n'étaient pas facile. Dix secondes après avoir touché la pierre, il s'effondrait sur le sol, inconscient une fois de plus.
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Harry ouvrit les yeux. Mais il ne vit rien. Seulement des formes grises indistinctes se mouvant derrière un voile noir. Une impression de déjà vu lui traversa l'esprit.
Harry tenta de se relever, mais il fut repousser contre le sol. Sa tête se cogna contre ce qui sembla être de l'herbe lui donnant conscience de ce à quel point elle lui faisait mal. Il avait l'impression que chaque cellule de son cerveau étaient sur le point d'éclater.
On lui fit boire un liquide nauséabond et très peu ragoûtant, puis sa vue se débrouilla.
Devant lui se tenait, le regard inquiet derrière ses lunettes en demi-lune, Albus Dumbledore.
-P…Professeur Dumbledore! S'exclma-t-il.
Le directeur ne répondit pas. Il l'aida à se relever. Dès que le vieil homme le lâcha, Harry sentit sa tête tourner puis ses jambes le trahirent. Il tomba sur les genoux, puis s'affala complètement sur le sol.
-Harry, dit Dumbledore, essaye de ne pas y penser. Ignore le mal. Concentre-toi sur le moment présent.
Harry essaya de se concentrer sur le moment présent, mais il finit par penser aux nouveaux sorts qui s'étaient insérés dans sa tête contre son gré, puis le mal redoubla d'intensité. Il s'évanouit une deuxième fois.
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Quand Harry se réveilla, la première chose qu'il remarqua était que son mal de crâne avait passablement diminué. Il lui semblait avoir dormi des jours, mais lorsqu'il ouvrit les yeux, Dumbledore n'avait pas bougé d'un poil depuis le moment où il avait sombré.
-Ça va? Demanda Dumbledore?
Harry essaya de répondre oui, mais un grognement rauque sortit d'entre ses lèvres. Il se racla la gorge.
-Ou…Oui, marmonna-t-il.
Une bonne centaines de question lui brûlaient les lèvres. Enfin, il pouvait parler avec Dumbledore.
-Professeur, est-ce que…
-Je répondrai à toutes tes questions, mais avant, il y a quelqu'un qui je crois souhaiterait te parler.
Harry repéra son émeraude qui avait roulé hors de sa poche. La pierre verte brillait plus intensément qu'à l'habitude. Harry en déduisit que quelqu'un avait essayé de lui parler. Il l'attrapa et aussitôt la voix d'Hermione retentit dans sa tête douloureuse.
Quelques minutes plus tard, il rangeait la petite pierre dans sa poche, soulagé d'avoir pu parler à son amoureuse. Hermione s'inquiétait encore pour lui. Il lui avait fait un résumé de la situation pi lui avait promis de la tenir au courant.
-Professeur, ça fait combien de temps que…
-Oh, environ une demi-heure…
Dumbledore semblait ne pas être conscient- ou peut-être ne faisait-il que le négliger- du fait que son corps était mort.
-Professeur, qu'est-ce que… pourquoi est-ce que j'ai reçu toutes ces informations quand j'ai touché le…
-Je n'en ai pas la moindre idée, déclara Dumbledore d'un ton calme. (dsl pour l'usage excessif du mot calme pendant ce chapitre…) Il faudrait que tu le demandes à Mars, il a peut-être fait une erreur… Peu importe, je ne sais pas comment je le sais, mais je sais qu'une grande partie de mon savoir en matière de magie t'a été transmise.
Harry sentait cette nouvelle énergie irradier de lui. Il se sentait plus fort qu'avant. Ça lui faisait peur.
-Il y a quelques jours, j'ai été attaqué par surprise par un groupe de mangemorts. Ils m'ont eu par derrière, et je suis mort. Mon corps est mort. Mais j'ai su que vous y penseriez. Je savais que vous réussiriez à me sauver. Dès que j'ai intégrer l'éclat de Crystal, j'ai tout de suite su comment tout fonctionne. Viens par ici…
Dumbledore entraîna Harry vers le petit miroir au centre de la pièce. Le vieux mage passa sa main au-dessus et une image apparut. C'était Sirius, Aranwë et Rita Skeeter, entourant Dovterlom, Stupéfixé.
-Où sont les autres? Demanda Harry. Qu'est-ce qui est arrivé?
-Il a avancé vers eux, alors ils lui ont jeté un maléfice. Puis ils ont renvoyé les jeunes. Ils attendent comme ça depuis dix minutes au moins.
-Ils ont renvoyé les autres?
-Ils trouvent que c'est trop important pour être divulgué à n'importe qui. Ils vont leur retransmettre le principal après, sûrement… et puis tu leur expliqueras en détail si tu veux.
-Pourquoi est-ce qu'ils n'utilisent pas l'Enervatum?
-Parce que quand on l'utilise sur être qui n'a pas tenté de se défendre, l'Enervatum va…
-…Lui donner une surdose d'énergie, et par le fait même, décupler ses forces pendant une petite période dans le temps, termina Harry sur le même ton que Dumbledore.
Il avait vraiment assimilé beaucoup des connaissances de son directeur. Dumbledore parut étonné pendant un moment, puis reprit son air calme.
-Qu'est-ce qu'ils ont fait quand j'ai disparu?
-Ils en ont déduit que j'étais dans le coup, répondit Dumbledore.
-Et l'éclat de Crystal…?
-Ils l'ont ramassé. C'est Sirius qui l'a.
-Il a aussi reçu toute les…
-Non.
Soudain, Dovterlom fut parcourut d'un tremblement, puis il immergea de sa torpeur.
Rita et Sirius pointèrent automatiquement leurs baguettes sur lui. Dov' prit un air angoissé, puis il essaya :
-Je… je vais tout vous expliquer, ne me tuez pas, je…
-D'accord, se contenta de répondre Sirius. On t'écoute.
Dovterlom prit une grande inspiration, et commença :
-Il y a cinquante ans…
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-Il y a cinquante ans, Voldemort, avant qu'il ne le devienne, étudiait à Poudlard, sous le nom de Tom Elvis Jedusor. Tom était un serpentard très intelligent, très ambitieux. Il n'avait pratiquement pas d'amis, mais ça ne le dérangeait pas du tout, de toute façon, il préférait être seul.
-Tu racontes cette histoire comme si tu étais toi même Voldemort.
-Je ne suis pas Voldemort. Je suis en partie Tom Elvis Jedusor. Alors comme je disais, Tom était un serpentard. Il étudiait beaucoup, et passait énormément de temps dans la section interdite de la bibliothèque à faire de la magie noire. C'était sa plus grande passion.
« Lorsqu'il fut en septième et dernière année, il ouvrit la chambre des secrets. Mais il dût interrompre ses activités parce que Poudlard allait fermer et qu'il ne voulait surtout pas retourner à l'orphelina. Il accusa donc Hagrid, et tout s'arrêta. Mais Tom aurait voulu continuer ce manège. Il créa alors un clone de lui-même, dans un journal.
-Tu ne nous apprends rien, lança Sirius d'un ton menaçant.
Dovterlom ignora la remarque.
-Seulement, il se trompa dans son sort, et mit le double de la quantité requise d'un des ingrédients les plus important, ce qui créa deux clones au lieu d'un. Le deuxième clone c'est moi.
Il y eut un silence, puis le jeune homme continua :
-Comme un seul journal n'était disponible, j'ai été créé dans le monde réel. Je me suis sauvé, ne désirant surtout pas être détruit, mais Tom m'a rattrapé et enfermé dans l'éclat de Crystal.
-Et cela est supposé nous expliquer que tes intentions sont bonnes?
-Je ne suis pas avec Voldemort! Il m'a emprisonné et exploité ma puissance toute ma vie! Je ne suis pas comme lui!
-Si tu es un clone, tu l'es!
-Non! J'ai eu de bonnes influences. Je suis différent. Je ne recherche pas le pouvoir. Je veux seulement me débarrasser de lui!
-Pour pouvoir prendre sa place?
-Non!
-Il ne ment pas, déclara soudainement Aranwë, coupant court aux évolutions de Sirius et de Tom *1.
Sirius considéra l'elfe d'un air perplexe, puis soupira.
-Tu le crois vraiment?
-Vraiment.
-Est-ce que…
-J'ai mes raisons, et non, je ne peux pas te les révéler. Pas encore.
Sirius hocha la tête, puis, après un moment, se leva.
-Je vais aller voir comment se porte Mars.
Sirius se dirigea vers la petite chambre où ils avaient emmené le vieux mage pour qu'il se repose. Quand Sirius entra, Mars dormait. Patmol s'avança lentement pour ne pas le réveiller, question de voir s'il allait bien. Quand même, sans lui, Dumbledore ne serait jamais revenu. Tout d'un coup, alors que Sirius s'apprêtait à faire demi-tour, le vieil homme se redressa et tira une longue baguette de sous ses couvertures.
-Stupefix!
Sirius fut figé sur place. Un sourire mauvais sur les lèvres, Mars se leva, attrapa des vêtements convenable, prit l'éclat de Crystal d'une poche du veston de l'homme supéfixé et se dirigea tranquillement vers la sortie de la tour. On n'avait pas le premier homme de tout les temps si facilement.
*1 Dovterlom se fera dorénavant appeler Tom.
MERCI D'AVOIR LU!!!!!!!!
MERCI BEAUCOUP!
J'espère que vous avez aimé ça…
2870 mots! Je trouve que c'est pas pire… en tout cas… j'ai eu pas mal de misère à l'écrire, avec le retour à l'école, pi aussi le syndrome de la page blanche…
Je dis un gros merci à tout ceux qui m'ont reviewé…
Aussi, je sais pas trop si l'histoire de Dov' fonctionne malgré les choses que Rowling a dite dans le HP2… Ça fait longtemps que je l'ai lu, et peut-être que ça marche pas du tout et que c'est impossible d'avoir fait une copie comme ça… mais peu importe je changerai pas mon histoire parce que c'est carément basé là-dessus…
Ah oui, plusieurs personnes m'ont dit que c'était pas expecto patronum mais spero patronum. Je le sais, mais je me suis mêlé avec en anglais… je venais de lire le livre 5 quand j'ai écrit ce chapitre-là…
Le prochain chapitre : Companions' tales (j'aime en anglais) c'est à dire les récits de compagnons.
On va voir ce qui est arrivé à Elisa, Drago, Lavande, Neville et tout les autres pour se rendre à Izkiban, et on va en apprendre un peu plus sur Aranwë… et ça va être Noël!
Je sais que depuis quelques chapitres c'est un peu lent, mais l'action va reprendre vers le chapitre 33… et l'histoire va plus progresser, parce que là 4 chapitres pour le test des mangemorts ça faisait long…
Merci encore d'avoir lu
À la prochaine
mic
Mpzt
