Harry Potter et l'éclat de Crystal
Chapitre 38
Et mon cœur, mon cœur qui bat, tout bas…
Le cimetière était vide, noir. Les pierres tombales dispersées donnaient un air macabre et sinistre. Ron marchait tranquillement à travers les sépultures, regardant ses pieds, perdu dans ses pensées.
Il n'était pas là pour rien. Il était dans ce cimetière froid et triste pour une raison bien simple : il allait tuer Voldemort. Oui, Voldemort, et non pas le " Tu-Sais-Qui " de son enfance qui avait hanté ses cauchemars. Il allait en finir une bonne fois pour toute.
Ron poursuivait son chemin, toujours la tête inclinée, serpentant à travers les tombes, essayant de ne pas imaginer ce qu'elles cachaient quelques mètres sous terre. Des corps décomposés… pleins de vers blancs et d'araignées… Le jeune homme tressaillit à cette pensée. Il détestait les araignées. C'était une phobie; sa plus grande peur.
Cela remontait à son plus jeune âge. Bill et Charlie vivaient encore à la maison, à cette époque, puisqu'il n'avait que quatre ans. Fred et George étaient donc âgés de six ans. Et il faut dire qu'ils avaient déjà finit leur recherche de personnalité à cet âge-là.
Par un bel après-midi de juillet – il se souvenait du mois parce qu'il savait que ses deux frères aînés n'étaient pas à Poudlard à ce moment-là – ils avaient été faire un pique-nique avec leur mère et leur père. Arthur avait réussi à se débloquer un après-midi de semaine; c'était rare et ils en profitaient.
Molly avait, comme à son habitude, préparé le repas à elle seule, excepté le désert : Ginny avait insisté pour participer à la préparation du gâteau. Ils s'étaient donc tous rendus dans un parc pas trop éloigné du Terrier et avaient mangé leur repas dehors, sous le beau soleil de l'été.
Ça s'était corsé pour Ron lorsque les jumeaux, ayant finis de se remplir l'estomac avant tout le monde, étaient partis à la quête d'insectes. Puis ils avaient appelé Ron, lui demandant de venir voir leur découverte. Leur petit frère, naïf, n'avait pas hésité une seconde : il avait accouru pour voir ce qu'avaient trouvé Fred et George. Lorsqu'il les avait finalement rejoint, ses deux grands frères lui avaient montré, tissée entre deux majestueuses épinettes, une gigantesque toile d'araignée au centre de laquelle trônait la bête la plus horrible que le petit Ron n'eut jamais eu l'occasion de voir. Une grosse, immonde araignée aux couleurs exotiques et aux longues pattes poilues.
Voyant la réaction de leur cadet, les jumeaux en avaient profité : à l'aide de branches mortes, ils avaient arraché la toile et l'avaient lancé à leur frère, l'araignée toujours dedans. Ron s'était alors mis à hurler, incapable de s'en démêler.
C'était de là que venait la peur bleue de Ron des êtres à huit pattes. Normalement, en vieillissant, cette phobie aurait due partir, mais les blagues de Fred et George concernant ces effrayantes bêtes avaient fait se poursuivre ses peurs d'enfants jusqu'à son adolescence.
Un craquement fit sursauter le jeune homme. Il fit volte-face; un groupe d'hommes tous habillés de noir et cagoulés de la même couleur venaient de faire leur apparition en transplannant.. Les interstices entre les pierres tombales maintenant comblées, le cimetière semblait soudainement avoir beaucoup rétréci. Ron saisit sa baguette par réflexe.
Il était intimidé par le nombre d'hommes venant d'apparaître, mais il ne le laissait pas paraître. On le lui avait bien appris : l'allure peut faire toute la différence. Les mangemorts levèrent à leur tour leur baguette, convergeant vers Ron, prêts à attaquer.
-Attendez… siffla une voix que le jeune homme reconnut aussitôt comme étant celle du Seigneur Noir en personne. J'ai un compte à régler avec ce…monsieur…
-Vous voilà enfin, Voldemort, dit Ron sur un ton de défi. Je vous attendais.
-Je vois… fit-il en s'étirant le coup, puis en retirant sa grande cape noire. Je suis prêt, mon cher Weasley. Allons-y.
Voldemort tira sa baguette, identique à celle de Harry. Ron tendit la sienne au-dessus de sa tête, prenant une position d'attaque semblable à celle d'escrime. Ron ouvrit la bouche pour jeter le premier sort, mais aucun mot n'en sortit. Allait-il vraiment l'intention de tuer par lui-même le plus grand mage noir de tous les temps?
-Ron! Cria quelqu'un.
Le jeune homme se retourna, cherchant la provenance de cette voix féminine et familière. Puis il aperçut Elisa, enjambant la clôture qui encerclait le cimetière et courant se mettre aux côtés de Ron.
-Elisa?!? Qu'est-ce que tu fais ici?
-Je ne peux pas te laisser combattre seul! Qu'est-ce qui t'as pris? Et puis j'ai aussi des raisons d'en vouloir à ce monstre!
Voldemort regardait la scène avec amusement, un sourire en coin se dessinant presque invisiblement sur son visage.
-Je vois… Elisabeth Hansen – ou, que dis-je, Potter! qui vient à la rescousse de son prince…
Elisa jeta un regard en coin à Ron, qui semblait perplexe.
-Je n'ai plus besoin de toi! cria le Seigneur des Ténèbres.
-Ron! Hurla Elisa.
D'un coup de baguette, il envoya Ron s'écraser contre un petit muret de pierre. Il crut que son crâne s'était fendu; sa tête se mit à tourner, il crut s'évanouir, puis sentit une pression de lèvres sur les siennes. Il garda les yeux fermés. C'était doux… sucré…
-Attend-moi là, fit doucement Elisa. Je vais régler ça. Attend-moi, Ron.
Le jeune homme ne répondit rien, trop sonné pour complètement assimiler tout ce qui se passait.
-Tu es tombée dans mon piège, Potter… siffla Voldemort. Maintenant que tu n'es plus sous la protection de Poudlard, rien ne peut plus m'empêcher de t'avoir… Ton frère a peut-être survécu; un miracle ne se reproduit pas deux fois.
Une alarme sonna aux oreilles de Ron. Il s'était fait avoir. Il était tombé dans un piège. Et il avait entraîné Elisa avec lui. Exactement comme l'espérait Voldemort. Ils mourraient tous les deux et ce serait de sa faute.
-Je vais te tuer, Potter! cria Voldemort.
Elisa, par contre, semblait totalement sûre d'elle-même.
-Avant ça, tu vas devoir me passer sur le corps! Répliqua-t-elle.
Voldemort n'apprécia pas qu'on se moque de lui de la sorte.
-Doloris!
Ron perdit le fil de la bataille. Il ne comprenait plus rien. Il ne voyait plus rien. Seulement des bruits, des cris, des couleurs…
-Ron!
Le jeune homme se sentit redressée; il s'était affaissé sur le sol.
-Tu peux te lever? Demanda Elisa.
-Je… oui… répondit-il au pif.
Il tenta de se remettre sur pied; une douleur lancinante à l'arrière du crâne et dans le bas du dos le firent retomber assis. Le voyant souffrir, Elisa lui murmura des paroles rassurantes, puis annonça :
-Ça va aller, Ron, tout est fini. Il est parti.
-Qu…Quoi?
-Il est parti. On est en sécurité. Je vais aller chercher de l'aide et tout ira bien.
Ron sentit à nouveaux cette douce pression sur ses lèvres. C'était si tendre… si délicat. Il eut pu rester comme ça des années : il n'aurait pas vu le temps passer; par le fait même, il redoutait plus que tout la fin de ce baiser…
Tranquillement, Elisa se recula, le regardant intensément dans les yeux. Ron en voulait plus, il voulait se rapprocher d'elle, la serrer dans ses bras…
-Ron! Vas-tu vraiment rester endormi toute la journée?
Il sentit un pied s'abattre contre sa cuisse, puis un autre contre son genou. Grognant, il se tourna sur le dos, dévisageant Elisa qui le regardait pathétiquement, les mains sur les hanches, l'ai contrarié.
-Bon, enfin! Il faut vraiment lui donner des coups de pieds tous les matins pour qu'il se réveille?
Ron soupira, confus. Dans sa tête tout était embrouillé. À quoi avait-il bien rêvé qui le mettait dans cet état?
Il regarda Elisa aller et venir dans la cellule de prison, se plaignant d'il-ne-savait-trop-quoi, puis se souvint de ce à quoi il avait rêvé; de la promenade dans le cimetière, de la rencontre avec Voldemort et du baiser de…
Non! Comment se faisait-il qu'il rêve à ça? À elle!? Il la détestait! Elle n'était qu'une incompétente mécontente de tout, hypocrite et superficielle! Et il aimait Lavande!
…Aimait-il réellement Lavande?
Oui! Ou plutôt non! Il n'avait pas le droit de penser à des choses comme celles-là! Il avait une relation stable, avec quelqu'un de bien qui l'aimait et qu'il aimait… Il se foutait complètement de la demi-sœur d'Harry, qui était toujours bête avec lui, embêtante, qui l'envoyait promener, qui mentait à tout le monde, qui était toujours de bonne humeur même dans les pires situations, et par le fait même toujours aussi séduisante…
Non de non de non! C'était incohérent, ça ne fonctionnait pas! Ce n'était qu'un rêve bizarre qu'il avait fait, ne représentant rien de la vraie vie… mais pourquoi avait-il tant apprécié ces baisers alors… Pourquoi ce fait revenait-il sans cesse dans sa tête depuis qu'il était réveillé? Était-il au fond de lui éperdument amoureux d'Elisa, ou bien…
Non! Non! Et non! " Ron, arrête de penser et ferme-toi-là! "
********************
-Ça va, Hermione? Demanda Ginny en entrant s'asseyant à son côté dans un fauteuil de la salle commune de Gryffondor.
-Oui oui, répondit la jeune fille, qui avait l'air de tout sauf de bien aller.
-… bon, comme tu veux, fit Ginny en haussant les épaules. Qu'est-ce que tu faisais?
-Rien… je réfléchissais.
-Oh! Je te dérange?
-Non! Pas du tout! Reste, si tu veux…
-Merci. J'étais tannée de mes amies et de leurs questions. On dirait qu'elles n'ont jamais entendu parler de Voldemort. Il a fallu que je leur raconte dix fois tout ce que je sais sur lui.
Hermione eut un petit rire forcé, puis reprit son air grave, le regard ailleurs, jouant dans ses cheveux.
-Tu es sûre que ça va? Demanda Ginny.
-…non, pas du tout en fait…
-C'est à cause de ce qui arrive? Avec le meurtre et tout ça?
-…entre autre, oui. Je n'arrête pas de penser que le coupable pourrait être n'importe qui parmi nous…
Hermione parcourut du regard la salle commune. La plupart des élèves parlaient joyeusement, semblant dénués de soucis, ou encore faisaient leurs devoirs de Noël puisque le congé se terminerait bientôt.
-C'est probablement Crabbe ou Goyle, dit Ginny.
-C'est ce que j'ai pensé aussi, mais ce serait trop évident… C'est trop facile d'arriver directement à eux…
-Quoi qu'ils ne sont pas trop intelligents… sourit Ginny.
Hermione eut cette fois un rire crispé, mais au moins c'était un vrai.
-Ils n'auraient pas pensé à faire du polynectar; d'abord, c'est beaucoup trop long, et ensuite, beaucoup trop compliquer.
-Tu y crois, toi, à l'histoire de Trelawney?
-Trelawney ? Elle raconte des histoires pour attirer l'attention sur elle, répondit Hermione en soupirant.
-Oui, probablement… C'est comme Rusard avec son chat!
Ginny se mit à rire, mais Hermione garda un sérieux inhabituel.
-Mais quoi? Tu ne trouves pas ça drôle? Il a perdu son chat et exige qu'on essaie de le retrouver! Le pauvre concierge, je crois qu'il va devoir attendre!
Hermione ne répondit pas, semblant avoir replonger dans ses pensées.
-De quoi? Dis-moi pas que tu t'inquiètes pour Miss Teigne?!? Si tu veux mon opinion, j'espère qu'ils ne la retrouveront pas!
-Non, dit Hermione. Il y a quelque chose de louche.
-Quoi? Que le chat se soit sauvé?
-Non, pas ça. C'est de la façon que Rusard à dis ça.
-Et comment a-t-il dit ça?
- " Elle ne me ferait jamais ça. Elle sait très bien que je m'inquièterais pour elle. Ma chatte le sait. "
-Oui, et? Demanda Ginny. Tu sais très bien qu'il l'a toujours considéré comme si c'était une personne. C'est sa meilleure amie, à ce qu'on raconte.
-Justement.
-Justement quoi?
-On dirait que… non, oublie ça. Je dois me faire des idées.
Ginny regarda Hermione en fronçant les sourcils.
-Si tu le dis…
-Changeons de sujet. Ce n'est pas très joyeux… Surtout que demain c'est le jour de l'an, et… Ginny, tu m'écoutes?
-Ah, euh, oui… désolée…
-À qui tu faisais des signes?
Ginny rougit.
-N'en parle pas à mon frère, d'accord?
-C'est promis, sourit Hermione. Alors, c'était qui?
-Seamus.
-Tu sors avec Seamus?!
-Sortais. Avant mon enlèvement… mais maintenant, je ne sais plus trop. Je pense que je vais rompre.
-Pourquoi?
-Parce que.
-Il y en a un autre?
-Peut-être…
-Qui?
-Ah, ça, tu m'en demandes trop!
-Même pas un petit indice?
Ginny sembla réfléchir quelques instants.
-Non. Ce serait trop évident.
-Bon, d'accord…
-Et toi, avec Harry?
Hermione reprit son air accablé.
-Oui, Harry…
-Tu t'ennuies, n'est-ce pas?
-Ça se voit tant que ça?
Ginny hocha la tête.
-Et puis ça m'angoisse, avec le bébé…
-Oui, je comprends… tu dois te le faire dire, maintenant…
-Oui, beaucoup. Parkison m'a signalé que devrais peut-être lâcher les croustilles, mais sinon tout le monde me demande qui est le père…
-Tu leur réponds?
-Oui, je n'ai pas le choix!
Il y eut un moment de silence.
-Tu sais, moi aussi je m'ennuie d'eux, dit Ginny. Ils sont si loin… Et on ne sait même pas ce qu'il leur est arrivé…
-J'évite d'y penser.
-Moi aussi…
Chourave entra en trombes dans la salle commune, essoufflée.
-Hermione, Ginny, venez, j'ai à vous parler.
Les deux jeunes filles échangèrent un regard inquiet, puis suivirent leur professeur de botanique. Elle les mena jusqu'au deuxième étage, dans le couloir de la bibliothèque. Sirius et Lupin y étaient déjà. Ginny faillit glisser : le sol était mouiller.
-Mais qu'est-ce que… c'est du sang! S'écria-t-elle.
Lupin hocha tristement la tête.
Une large flaque de sang stagnait au milieu du couloir. Ginny détourna le regard, sentant son cœur se lever juste à y penser.
-Il n'y a pourtant pas de corps… marmonna Sirius.
Hermione, de son côté, s'était penchée et observait quelque chose dans la flaque. À peine visibles, très petites et floues, se dessinaient, à l'extrémité de la marre, de petites empreintes. De petites empreintes de chat.
TADAM!!! Finit mon chapitre 38 ! Rapidement en plus! Pi je l'aime bien! Je suis fier de moi ^_^
Et vous, vous l'avez aimé?
Je répondrai pas personnellement aux reviews cette fois-ci, parce que premièrement je les ai pas sous la main et deuxièmement ça me tante pas ^_^ Je vais simplement remercier énormément tous ceux qui ont pris le temps de lire et de mettre en gentil commentaire ^^… pour ce qui est du Hermione/Harry, j'ai fait mon possible comme vous l'aviez demandé… je vais essayer de mettre plus en valeur les relations entre les personnages d'ici maintenant… merci de me l'avoir fait remarquer.
Je suis désolé si le sang de la fin était un peu de trop, mais… bon j'en avais besoin disons ^^' (non je suis po un vampire po dans ce sens là mais j'en avais besoin pour les empreintes! Pi pour ceux qui aiment po le sang faîtes assemblant que c'était du ketchup)
Sinon, je sais pas si vous avez remarqué, mais la première phrase du chapitre c'est ma phrase-fétiche dans l'histoire! Ouiiiiiiiiiiiii !!! ^_^ il fallait que je la remette!
Et je sais qu'il s'est pas passé grand chose dans le chapitre, l'histoire a à peine progresser… ben pour vous, pas pour moi, j'ai eu une idée, mais bon… j'ai préféré consacrer la chapitre pour travailler un peu plus les relations entre les personnages… pour montrer que Ron est tout fourré, Ginny elle cache quelque chose, Hermione elle s'ennuie pi Elisa elle montre pas son jeu… Bon je sais ça donne rien parce que tout le monde sait ou devine ce qui va arriver entre eux, mais même à ça c'est comme les films d'amour tu sais toujours que le gars pi la fille ils vont tomber en amour mais c'est important de voir le déroulement de ça(n/a chui un gars po trop fort din films d'amour ça se peut que je sois plus que po mal à côté) pi en plus la tu sais que le gars il l'aime mais il ose pas lui dire pi la cé comme ooooooh cé drole pi jme demande quand est-ce qu'il va lui dire pi oooooooooh cé tout cute pi sniiiiiiif yont cassé pi la ooooooooooh yont repris n'est-ce pas merveilleux ?!?… en tout cas ma m'arrêter là ^_^' ça va être correct comme conclusion… (dsl chui un tit peu spidé cpace yes 2 heure du matin un vendredi soir… ben… non… la on est rendu le samedi matin, mais jai pas encore dormi alors je me sens vendredi soir… vous voyez genre…? Non peu importe alors je disais que j'tait un tit peu plus fou que d'habitude pace que yes tard pi pourquoi je dors pas alors qu'il est tard (ou tot dépendant de comment on voit ça) ben c'est parce que ya une folle (tue moi po marie c'est dans le sens gentil) qui a décidé qu'il fallait plus que je dorme parce que quand on dort ben on grandit pi chui déjà plus grand qu'elle pi elle le prend po (c'tu assez bizarre les filles entre nous… ) en tout cas c'est ça…
Au revoir!
Salut!
À la prochaine!
Reviews s'il-vous-plaît!
Merci d'avoir lu!
" Je vous aime!!! -_- "
et n'oubliez surtout pas que
*tite musique*
La Vie Se Partage En Images!
Boh-Bye
MPZT
Ou Link
(ViVe LeS LaMpAdAiReS)
(non je prend po de drogue merci)
(cochonerie 557 mots de conclusion -_-)
(cochonerie maintenant c'est encore plus!)
(cochonerie encore plus maintenant qu'avant!)
(oh non cochonnerie encore plus c'te fois ci!)
(coch… ok ma yeule oui j'ai compris)
(ah oui j'y pense le titre nowhere ça vient d'une poésie que j'ai apris quand j'tait à l'école vers 8 ans… pis là ben je sais pas j'avais pas de titre alors…)
