Auteur : Kitty-Kat
Disclamer : Les G-boys ne sont pas à moi ... mais je les aurai !
E-mail : Si vous voulez me donnez votre avis, écrivez-moi à
Philippine.ROBERT@wanadoo.fr
Couple : 3+4
Chapitre 1
L'amour (Carla Bruni)
"L'amour ... pas pour moi, Tous ces toujours, c'est pas net, ça joue des tours, Ca s'approche sans se montrer, Comme un traître de velours, Ca me blesse, ou me lasse selon les jours.
L'amour ... ça ne vaut rien. Ca m'inquiète de tout, Et ça se déguise en doux, Quand ça gronde, quand ça mord, Alors c'est pire que tout, Car j'en veux ... plus encore.
Pourquoi faire ce tas de plaisir, de frissons, De caresses, de pauvres promesses ? A quoi bon se laisser reprendre, le c?ur en chamade, Ne rien y comprendre, c'est une embuscade.
L'amour .. ça me va pas. C'est pas du Saint-Laurent, C a ne tombe pas parfaitement, Si je ne trouve pas mon style, C e n'est pas faute d'essayer, Et l'amour ... je laisse tomber.
Pourquoi faire ce tas de plaisir, de frissons, De caresses, de pauvres promesses ? A quoi bon se laisser reprendre, le c?ur en chamade, Ne rien y comprendre, c'est une embuscade.
L'amour ... j'en veux pas. Je préfère les temps en temps, Je préfère le goût du vent, Ou le goût étrange et doux de la peau de mes amants, Mais l'amour ... pas vraiment."
***
Hilde fredonnait cette ritournelle que lui avait apprise sa mère. Dans cette chanson, tant de fois rechantée après toutes ses déceptions amoureuses, elle y mettait de l'amertume, du dégoût. Treize, Zechs, Noin, Duo (et maintenant Quatre ...) Toutes ces personnes qu'elle n'avait su séduire et retenir. Tout ces amant(e)s d'un soir. Des larmes de rage ruisselaient sur son visage pâle de colère.
"Messieurs Maxwell, Barton, Winner, Chang et Mademoiselle Hilde, je ne vous cacherais pas que l'heure est grave."
Tout en parlant, J déambulait dans son bureau nerveusement. Derrière lui, se tenaient G, O, H et S.
"Le pilote Heero Yuy vient de décéder à la suite de l'explosion de son Gundam. Yuy était l'élément clef de cette guerre. Si il meurt, la guerre est perdue.
_C'était pas un dieu non plus, rajouta Hilde. On peut gagner cette guerre !
_Non Mademoiselle, car un oracle a annoncé à sa naissance qu'il serait le libérateur des peuples opprimés et que sans lui le monde tomberait dans la décadence et ce serait l'apocalypse.
_C'est Mme Irma qui a prédit ça ? demanda Wufei.
_Ne vous moquez pas. G et moi avons la solution.
_Quoi ? s'exclamèrent les G-boys.
_Nous avons inventé une machine à remonter le temps. Un de vous prendre la place d'Heero dans son gundam et mourra à sa place. C'est d'une simplicité enfantine !"
Le silence se fit dans le bureau. Sacrifice, mort, explosion, moi ... Ces mots résonnaient dans ma tête comme dans celle des autres pilotes.
"J'accepte la mission."
Après avoir énoncé mon choix, tous me regardèrent, pétrifiés. Je sentais qu'ils étaient ahuris. Renoncé à la vie n'est pas une décision qu'on prend comme ça. Ils avaient besoin d'explications :
"C'est ma faute ... j'aurais dû prévenir Heero. Je sentais le danger. J'étais distrait et ... je suis le moins utile d'entre nous.
_C'est faux Quat'. Tu n'es pas inutile. tu es aussi important que chacun d'entre nous ! s'écria Trowa."
Hilde attrapa mon bras et me regarda de ses yeux les plus suppliants :
"Non Quatre, s'il te plait."
Son corps était agité de soubresauts.
"Hilde ... lâche-moi.
_Non, Quatre ! Je ne veux pas, JE NE VEUX PAS !!!"
Elle avait haussé le ton et dans ses yeux devenus acier, je voyais une détermination qui me fit froid dans le dos. Wufei a essayé de la relever, mais elle s'est mise à hurler comme une furie, une hystérique :
"Noonnnn ! Laissez-moi ! Je ne suis pas folle, ne pars pas ! Quatre."
Sally avait emmené Hilde à l'infirmerie pour lui administrer un calmant. Je me suis assis dehors sur la pelouse et j'ai regardé les étoiles. Et, brusquement, je me suis rendu compte que je n'avais jamais vraiment regardé le ciel. C'était si beau, si grisant, si enivrant, cette immensité, ce vide. Je me sentais comme noyé, les yeux vagues et je n'ai pas senti que Trowa arrivait. J'ai sursauté quand il a posé sa main sur mon épaule.
"C'est juste moi, m'a-t-il murmuré à l'oreille.
_Tu m'as fait peur."
Il s'est assit et j'ai posé ma tête sur son épaule.
****
Chapitre 1
L'amour (Carla Bruni)
"L'amour ... pas pour moi, Tous ces toujours, c'est pas net, ça joue des tours, Ca s'approche sans se montrer, Comme un traître de velours, Ca me blesse, ou me lasse selon les jours.
L'amour ... ça ne vaut rien. Ca m'inquiète de tout, Et ça se déguise en doux, Quand ça gronde, quand ça mord, Alors c'est pire que tout, Car j'en veux ... plus encore.
Pourquoi faire ce tas de plaisir, de frissons, De caresses, de pauvres promesses ? A quoi bon se laisser reprendre, le c?ur en chamade, Ne rien y comprendre, c'est une embuscade.
L'amour .. ça me va pas. C'est pas du Saint-Laurent, C a ne tombe pas parfaitement, Si je ne trouve pas mon style, C e n'est pas faute d'essayer, Et l'amour ... je laisse tomber.
Pourquoi faire ce tas de plaisir, de frissons, De caresses, de pauvres promesses ? A quoi bon se laisser reprendre, le c?ur en chamade, Ne rien y comprendre, c'est une embuscade.
L'amour ... j'en veux pas. Je préfère les temps en temps, Je préfère le goût du vent, Ou le goût étrange et doux de la peau de mes amants, Mais l'amour ... pas vraiment."
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Hilde fredonnait cette ritournelle que lui avait apprise sa mère. Dans cette chanson, tant de fois rechantée après toutes ses déceptions amoureuses, elle y mettait de l'amertume, du dégoût. Treize, Zechs, Noin, Duo (et maintenant Quatre ...) Toutes ces personnes qu'elle n'avait su séduire et retenir. Tout ces amant(e)s d'un soir. Des larmes de rage ruisselaient sur son visage pâle de colère.
"Messieurs Maxwell, Barton, Winner, Chang et Mademoiselle Hilde, je ne vous cacherais pas que l'heure est grave."
Tout en parlant, J déambulait dans son bureau nerveusement. Derrière lui, se tenaient G, O, H et S.
"Le pilote Heero Yuy vient de décéder à la suite de l'explosion de son Gundam. Yuy était l'élément clef de cette guerre. Si il meurt, la guerre est perdue.
_C'était pas un dieu non plus, rajouta Hilde. On peut gagner cette guerre !
_Non Mademoiselle, car un oracle a annoncé à sa naissance qu'il serait le libérateur des peuples opprimés et que sans lui le monde tomberait dans la décadence et ce serait l'apocalypse.
_C'est Mme Irma qui a prédit ça ? demanda Wufei.
_Ne vous moquez pas. G et moi avons la solution.
_Quoi ? s'exclamèrent les G-boys.
_Nous avons inventé une machine à remonter le temps. Un de vous prendre la place d'Heero dans son gundam et mourra à sa place. C'est d'une simplicité enfantine !"
Le silence se fit dans le bureau. Sacrifice, mort, explosion, moi ... Ces mots résonnaient dans ma tête comme dans celle des autres pilotes.
"J'accepte la mission."
Après avoir énoncé mon choix, tous me regardèrent, pétrifiés. Je sentais qu'ils étaient ahuris. Renoncé à la vie n'est pas une décision qu'on prend comme ça. Ils avaient besoin d'explications :
"C'est ma faute ... j'aurais dû prévenir Heero. Je sentais le danger. J'étais distrait et ... je suis le moins utile d'entre nous.
_C'est faux Quat'. Tu n'es pas inutile. tu es aussi important que chacun d'entre nous ! s'écria Trowa."
Hilde attrapa mon bras et me regarda de ses yeux les plus suppliants :
"Non Quatre, s'il te plait."
Son corps était agité de soubresauts.
"Hilde ... lâche-moi.
_Non, Quatre ! Je ne veux pas, JE NE VEUX PAS !!!"
Elle avait haussé le ton et dans ses yeux devenus acier, je voyais une détermination qui me fit froid dans le dos. Wufei a essayé de la relever, mais elle s'est mise à hurler comme une furie, une hystérique :
"Noonnnn ! Laissez-moi ! Je ne suis pas folle, ne pars pas ! Quatre."
Sally avait emmené Hilde à l'infirmerie pour lui administrer un calmant. Je me suis assis dehors sur la pelouse et j'ai regardé les étoiles. Et, brusquement, je me suis rendu compte que je n'avais jamais vraiment regardé le ciel. C'était si beau, si grisant, si enivrant, cette immensité, ce vide. Je me sentais comme noyé, les yeux vagues et je n'ai pas senti que Trowa arrivait. J'ai sursauté quand il a posé sa main sur mon épaule.
"C'est juste moi, m'a-t-il murmuré à l'oreille.
_Tu m'as fait peur."
Il s'est assit et j'ai posé ma tête sur son épaule.
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