Auteur:Kitty-kat
E-mail : Philippine.ROBERT@wanadoo.fr
Disclaimer : Les persos ne sont pas à moi.
Couple : 3x4;4+Hilde
Chapitre 2
Dans tes bras(Native)
Je descendai le soir en suivant le couloir, Loin sur les avenues d'un paradis perdu, Le temps s'arrête là, au milieu de tes bras, Où rien n'existe plus, oubliée dans les rues, Comme une rivière la nuit s'est écoulée.
Dans tes bras,j'ai trouvé un soleil insolent, Qui devait me brûler, Dans tes bras, je le sais, le temps s'arrête là, Dans un monde étoilé.
A en rester muets, nos yeux se sont parlés, Je veux te voir ainsi au moins toute la vie.
En une pluie de lumière la nuit s'est changée, Il faut se réveiller, Maintenant ou pour l'éternité, Tu sais, le marchand de sable va nous garder.
Le temps s'arrête là, Viens me dire au revoir, Le marchand de sable s'en va, Loin de toi et moi, Dans tes bras,j'ai gardé ce soleil étincelant que j'ai toujours cherché, Dans tes bras, à jamais, le temps s'arrête là, Pour l'éternité.
****
Quelques rayons de soleil égarés ont caressé les visages des deux jeunes hommes, allongés sur l'herbe fraîche et humide de la rosée matinale. Le petit blond se nicha dans les bras du français qui dormait encore du sommeil du juste. Duo les regardait tout en buvant son café. Quand, il les avait vu endormi, tout à l'heure, il avait apporté une couverture de l'infirmerie. Qu'il aurait aimé être ici avec Heero. Et dire que Quatre allait se sacrifier. Wufei, une tasse de thé à la main, s'assit sur la chaise qu'il traînait derrière lui.
"Pourquoi l'un d'entre nous doit mourir?Pourquoi la vie est si dure?
-Pour me sauver.
-Hein????"
L'américain regarda éberlué le chinois qui buvait tranquillement son thé.
"Pour sauver Heero, tu veux dire?
-Je suis Heero, baka.
-Heu Wufei, t'as de la fièvre?
-Je suis l'esprit d'Heero et j'ai pris le corps de Wufei.
-Et son esprit, où c'est qui l'est?
-Il se balade.
-Sally va faire une crise cardique. Mr Heero saut d'immeuble de 6 étages avec seulement une jambe cassée, il s'auto détruit 4-5 fois sans une blessure et maintenant qu'il est mort, son esprit revient. Tu nous en aura fait voir de tout les couleurs mon vieux!"
Et brusquement, il sauta dans ses bras:
"Oh, mon Hee-chanounet!"
Le pauvre chino-japonais étouffait tellement l'étreinte de l'américain était forte. Il sanglotait:
"Hee-chan, je veux que tu reviennes, ainsi que Wuffy et je veux pas que Quatchan s'en aille. La vie est trop compliquée. Maudite guerre, vivement qu'elle se termine!Les hommes n'ont-ils pas versés assez de sang sur l'autel de la mort!Quand les dieux seront-ils repus?"
Le natté larmoyait et Heero ne put s'empêcher de penser que le raisonnement de l'américain était plus que juste. La vie ne l'avait pas gâté. Pas de parents, ses amis morts de la maladie, le père Maxwell et S?ur Helen assassiné, et bientôt, bientôt Duo allait perdre son meilleur ami et confident, Quatre. A ce moment, il remarqua les deux silhouettes allongés par terre:
"Je rêve ou Trowa et Quatre ont passé la nuit dehors?"
Duo releva la tête et sourit au japonais tout en hochant sa bouille:
"Pourquoi, fallait pas?"
Heefei(je vais l'appeler comme ça désormais)leva les yeux au ciel:
"Sally va refaire une crise cardiaque, affirma-t-il."
Mes yeux encore endormis s'habituèrent peu à peu au rayonnement de cette belle matinée printanière. J'embrassai le front de Trowa et commençait à me relever quand une main agile entoura ma hanche m'empêchant de partir. Mon mamour adoré ouvrit doucement ses yeux émeraudes et me regarda droit dans les yeux. Un petit sourire se dessinant au coin de ses lèvres:
"Tu veux déjà me quitter?" Pour lui démontrer qu'il avait tort, je me penchai et embrassai ses lèvres et son cou de petits baisers légers comme des ailes de papillons. Sa peau douce frissonnait sous la caresse de ma bouche. Il alla à la rencontre de mes lèvres tendrement offertes et m'embrassa avec une passion non feinte.
"Alors les amoureux?demanda Duo. J'ai quelque chose à vous annoncer ou plutôt Wufei a quelque chose à vous dire."
La jeune fille sortit doucement de sa léthargie, les membres engourdis et la bouche pâteuse. Il faisait déjà grand jour. Elle se leva lentement et sursauta quand la porte s'ouvrit.
"C'est moi."
Elle regarda la silhouette blonde s'asseoir sur le rebord de son lit.
"Ca va mieux?T'es pas trop fatigué?T'as bien dormi?Je te réveille pas?"
Hilde sourit et intérieurement, elle pensait que Quatre était une vrai mère- poule.
"Ca va, j'ai bien dormi.
-Qu'est-ce qu'il s'est passé?
-Je sais pas, le stress, la fatigue et puis...je t'aime bien.
-Juste bien?
-Tu sais qu'entre nous c'est pas possible.
-Et pourquoi?
-Et Trowa?
-J'ai de la place pour deux. Je ne veux pas te rendre malheureuse. Je vais bientôt mourir et..."
Il n'eut pas le temps de finir. Hilde s'approcha et l'embrassa, mettant dans ce baiser tout son amour, sa tendresse, sa passion, sa rage, son désespoir. Quatre essuya les larmes de l'allemande, la prit dans ses bras et la berça.
****
Chapitre 2
Dans tes bras(Native)
Je descendai le soir en suivant le couloir, Loin sur les avenues d'un paradis perdu, Le temps s'arrête là, au milieu de tes bras, Où rien n'existe plus, oubliée dans les rues, Comme une rivière la nuit s'est écoulée.
Dans tes bras,j'ai trouvé un soleil insolent, Qui devait me brûler, Dans tes bras, je le sais, le temps s'arrête là, Dans un monde étoilé.
A en rester muets, nos yeux se sont parlés, Je veux te voir ainsi au moins toute la vie.
En une pluie de lumière la nuit s'est changée, Il faut se réveiller, Maintenant ou pour l'éternité, Tu sais, le marchand de sable va nous garder.
Le temps s'arrête là, Viens me dire au revoir, Le marchand de sable s'en va, Loin de toi et moi, Dans tes bras,j'ai gardé ce soleil étincelant que j'ai toujours cherché, Dans tes bras, à jamais, le temps s'arrête là, Pour l'éternité.
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Quelques rayons de soleil égarés ont caressé les visages des deux jeunes hommes, allongés sur l'herbe fraîche et humide de la rosée matinale. Le petit blond se nicha dans les bras du français qui dormait encore du sommeil du juste. Duo les regardait tout en buvant son café. Quand, il les avait vu endormi, tout à l'heure, il avait apporté une couverture de l'infirmerie. Qu'il aurait aimé être ici avec Heero. Et dire que Quatre allait se sacrifier. Wufei, une tasse de thé à la main, s'assit sur la chaise qu'il traînait derrière lui.
"Pourquoi l'un d'entre nous doit mourir?Pourquoi la vie est si dure?
-Pour me sauver.
-Hein????"
L'américain regarda éberlué le chinois qui buvait tranquillement son thé.
"Pour sauver Heero, tu veux dire?
-Je suis Heero, baka.
-Heu Wufei, t'as de la fièvre?
-Je suis l'esprit d'Heero et j'ai pris le corps de Wufei.
-Et son esprit, où c'est qui l'est?
-Il se balade.
-Sally va faire une crise cardique. Mr Heero saut d'immeuble de 6 étages avec seulement une jambe cassée, il s'auto détruit 4-5 fois sans une blessure et maintenant qu'il est mort, son esprit revient. Tu nous en aura fait voir de tout les couleurs mon vieux!"
Et brusquement, il sauta dans ses bras:
"Oh, mon Hee-chanounet!"
Le pauvre chino-japonais étouffait tellement l'étreinte de l'américain était forte. Il sanglotait:
"Hee-chan, je veux que tu reviennes, ainsi que Wuffy et je veux pas que Quatchan s'en aille. La vie est trop compliquée. Maudite guerre, vivement qu'elle se termine!Les hommes n'ont-ils pas versés assez de sang sur l'autel de la mort!Quand les dieux seront-ils repus?"
Le natté larmoyait et Heero ne put s'empêcher de penser que le raisonnement de l'américain était plus que juste. La vie ne l'avait pas gâté. Pas de parents, ses amis morts de la maladie, le père Maxwell et S?ur Helen assassiné, et bientôt, bientôt Duo allait perdre son meilleur ami et confident, Quatre. A ce moment, il remarqua les deux silhouettes allongés par terre:
"Je rêve ou Trowa et Quatre ont passé la nuit dehors?"
Duo releva la tête et sourit au japonais tout en hochant sa bouille:
"Pourquoi, fallait pas?"
Heefei(je vais l'appeler comme ça désormais)leva les yeux au ciel:
"Sally va refaire une crise cardiaque, affirma-t-il."
Mes yeux encore endormis s'habituèrent peu à peu au rayonnement de cette belle matinée printanière. J'embrassai le front de Trowa et commençait à me relever quand une main agile entoura ma hanche m'empêchant de partir. Mon mamour adoré ouvrit doucement ses yeux émeraudes et me regarda droit dans les yeux. Un petit sourire se dessinant au coin de ses lèvres:
"Tu veux déjà me quitter?" Pour lui démontrer qu'il avait tort, je me penchai et embrassai ses lèvres et son cou de petits baisers légers comme des ailes de papillons. Sa peau douce frissonnait sous la caresse de ma bouche. Il alla à la rencontre de mes lèvres tendrement offertes et m'embrassa avec une passion non feinte.
"Alors les amoureux?demanda Duo. J'ai quelque chose à vous annoncer ou plutôt Wufei a quelque chose à vous dire."
La jeune fille sortit doucement de sa léthargie, les membres engourdis et la bouche pâteuse. Il faisait déjà grand jour. Elle se leva lentement et sursauta quand la porte s'ouvrit.
"C'est moi."
Elle regarda la silhouette blonde s'asseoir sur le rebord de son lit.
"Ca va mieux?T'es pas trop fatigué?T'as bien dormi?Je te réveille pas?"
Hilde sourit et intérieurement, elle pensait que Quatre était une vrai mère- poule.
"Ca va, j'ai bien dormi.
-Qu'est-ce qu'il s'est passé?
-Je sais pas, le stress, la fatigue et puis...je t'aime bien.
-Juste bien?
-Tu sais qu'entre nous c'est pas possible.
-Et pourquoi?
-Et Trowa?
-J'ai de la place pour deux. Je ne veux pas te rendre malheureuse. Je vais bientôt mourir et..."
Il n'eut pas le temps de finir. Hilde s'approcha et l'embrassa, mettant dans ce baiser tout son amour, sa tendresse, sa passion, sa rage, son désespoir. Quatre essuya les larmes de l'allemande, la prit dans ses bras et la berça.
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