Voici mon second châpitre de ma fanfic de Harry Potter. J'espère que vous aurez autant de plaisir à le lire aue j'en ai eu à l'écrire.
Je me dois de signaler que l'univers de Harry Potter et tous les personnages s'y rapportant sont la propriété exclusive de Mme J.K. Rowling, exception faite de tous les personnages que je créerai pour mon histoire.
CHÂPITRE 2
Hedwige s'en mêle
Tout était noir avant que Harry n'ouvre ses paupières. Quelqu'un le secouait violemment. Il ne voulait pas ouvrir ses paupières. Il craignait de voir ce qui se trouverait face à lui. Il tenta de repousser ce qui le secouait, mais n'obtint aucun succès. Il finit par se laisser entraîner dans un réveil forcé.
- Enfin, petit bon-à-rien, tu finis par te réveiller, entend-il de la part de son oncle.
Il fait encore nuit. Malgré cela, Harry distinguait clairement le visage de son oncle. Il était comme à son habitude face à lui, rouge de colère. Le simple fait que Harry puissent respirer le même air que lui dans une pièce semble irriter oncle Vernon. Mais pour qu'il vienne le réveiller, il devait s'être passé un événement.
Harry entendis quelques alarmes de voitures. Le son venait de trois ou quatre maisons voisines du 4 Privet Drive. Il s'appuya sur son bras pour tenter de voir par la fenêtre ce qui se passait à l'extérieur. Mais Dursley le plaqua brusquement dans le lit en l'agrippant par le collet. Les yeux de l'oncle sembla vouloir lui sortir de la tête. Il paressait vraiment fou de rage. Il étouffait un peu Harry qui tentait de se libérer de sa poigne. L'oncle Dursley tendit la main vers quelque chose à la droite de Harry. Ce dernier s'aperçut qu'il tenait sa baguette dans cette main.
- Tu vas me donner ça tout de suite, espèce de monstre, dit son oncle en exhumant une terrible rage dans sa voix. Je vais nous en débarrasser une bonne fois pour toute.
Harry lutta de toutes ses forces pour empêcher cela. Mais en même temps, il tentait de garder le contrôle sur lui-même pour ne pas jeter de sorts sur son oncle. Mais il se pouvait qu'il n'ait pas le choix de le faire. Ce fut à ce moment qu'une aide arriva par la fenêtre ouverte.
Hedwige entra de sa chasse nocturne. Elle vit Harry au prise avec l'oncle Vernon. Elle n'hésita pas à laisser tomber son écureuil au sol pour venir en aide à son maître. Elle s'attaqua à la main voulant du mal à la baguette de Potter. Vernon cria de douleur lorsque Hedwige lui prit le bras gauche dans ses serres et donna deux ou trois coups de bec à sa main. Vernon, surpris par l'attaque, roule en bas du lit jusqu'au pied du mur, entre le placard et la porte. De sa main droite, il se tenait son bras attaqué. Hedwige atterris par terre, en face de lui. Elle étendit ses ailes dans un large demi-cercle. Elle se mit à lancer des cris menaçant à l'homme enveloppé.
- Hedwige, calmes-toi! Ordonna Harry.
- Ta sale bête m'a attaqué, vociféra l'oncle Dursley. Je vais la faire euthanasier pour ça. J'y ai droit.
Hedwige réagit comme si elle avait compris les paroles du gros homme. Elle avança d'un pas avec un hululement qui n'avait qui rien d'amicale. Dursley tenta de reculer au-delà du mur dans son dos.
- Je ne crois pas que cela va la calmer, oncle Vernon, dit avec exaspération Harry.
- Ça ne fait rien! Elle va mourir et toi, tu seras renvoyé de ton asile pour avoir encore lancé un sort, postillonna de jubilation Vernon.
Il se mit à se bomber le torse. Il était content de cette perspective. Harry savait bien qu'étant donné l'absence des brevets d'usage de sortilèges élémentaires entre ses mains, il risque de voir sa baguette être détruite par un représentant du ministère de la magie. Il n'a pas eu de nouvelles des résultats de ses tests. Pourtant cela fait plus de six semaines qu'il les a passé.
- Tu vois, même tes amis n'y pourront rien, saliva l'oncle Vernon.
Un nouveau cri de Hedwige lui rappela la possibilité de perdre un doigt. Il serra encore plus son bras blessé. Tante Pétunia arriva à ce moment-là dans le cadre de la porte. Elle vit la scène et réagit comme à son habitude.
- Ho, mon Dieu! Que diraient les voisins s'ils voyaient cela!
Harry s'assit sur le bord de son lit. Il commença à caresser Hedwige pour la calmer. Cela marcha. Elle replia ses ailes et se montra de plus en plus calme en fermant les yeux sous le touché du garçon. Il la prit et la déposa tranquillement sur son épaule. Elle se blottit dans son cou.
- Alors, tu as encore décidé de nous mettre dans l'embarras en faisant trembler la terre, dit tante Pétunia de façon sèche en regardant Harry avec son air hautain. Ta race n'est bonne que pour nous embêter.
Harry roula les yeux vers le ciel. Tante Pétunia possède un esprit tout aussi obtus que son mari. Sa haine pour les sorciers et sorcières n'a d'égale que l'ignorance qu'elle entretient sur eux. Mais elle est bien moins ignorante qu'elle ne le laissa croire. L'été auparavant, elle et Harry eurent un moment de compréhension commune en silence. Ce moment suivait l'annonce qu'il avait faite du retour de Voldemort. Harry sut ce qu'il devait dire pour lui faire comprendre.
- Il fallait que je repousse Voldemort.
Étrangement, ils partagèrent une nouvelle fois ce regard de mutuelle compréhension. Une fois encore, oncle Vernon les observa en ayant de la difficulté à les comprendre.
- Quoi? Encore cette histoire de fous! éclata-t-il. On n'a pas assez de ces défroqueur...
- Détraqueurs, rectifia calmement Harry
- ... l'été dernier, continua Vernon sans faire attention à ce que disait son neveu, des hiboux qui viennent ici tous les trois jours, on reçoit aussi la visite d'un de ces fous ici ...
- L'as-tu tué? demanda la tante en ignorant les remarques de son mari. Il y a une marque d'espoir dans sa voix, mais elle contient également une petite colère sourde et contenue. Harry le remarqua. Il se demanda si c'est dû à la haine qu'elle entretient contre le monde magique. Ou si c'est parce que voldemort a tué sa sœur, parce qu'elle veut la vengeance.
- Non! Il m'a attaqué dans mon rêve. Je ne pouvais que seulement me protéger.
Une ombre de déception passa sur le visage de sa tante, chose que Harry remarqua également. Il se sentit vraiment perplexe. Il entendait rarement sa tante parler de sa mère. Quand elle le fait, c'est en mal et de manière détachée de sa famille, comme si elle parlait d'une étrangère. La seule fois qu'il a vue un véritable entre les deux sœurs, c'est l'été précédent lorsque Pétunia révéla qu'elle connaissait ce qu'est un détraqueur et leur dans le monde de la magie. Et là, suite à l'attaque chimérique de lord Voldemort, il vit ce lien ressortir à nouveau. À Harry, ce lien lui dit «Vous n'avez pas le droit de faire du mal à ma famille.» Mais Harry chassa cette idée de sa tête. «Ce n'est pas possible que se soit cela.» pensa-t-il.
- Mais il a eu horriblement mal en partant, dit Harry en se souvenant de la souffrance de Rogue lorsqu'il mit en place son charme du bouclier pour l'éjecter de son esprit.
Harry vit la satisfaction de sa tante à entendre cette nouvelle. Les yeux de Pétunia laissèrent échapper un léger éclair de contentement, et ses lèvres tremblèrent d'une envie de sourire sans le faire. Elle se mit à bomber le torse, montrant discrètement une certaine fierté. À cet instant, Harry sentit en Pétunia une alliée qu'il n'avait jamais connue auparavant.
- Hé, bien! Je peux voir que tu es tout aussi inutile dans ce monde de fou que dans le nôtre, déclara oncle Vernon avec fier dédain, voulant ainsi réaffirmer son autorité. Si mon Dudley s'en était occupé...
- Il aurait battu le record du 100 mètres course en direction opposée à celle de Voldemort, interrompit Harry avec un sourire narquois.
Le visage de Vernon prit à nouveau une teinte cramoisie. Il ne supportait pas être couper lors d'une de ses diatribes où il vantait les exploits de son fils. Harry se doutait que la plupart des pères devaient embellir les exploits de leurs fils. Mais, chez m. Dursley, cela devenait un véritable marathon. Il pouvait supporter de certaine personne de l'interrompre. Mais Harry dû supporter cette litanie d'éloges exagérés sur Dudley tout l'été devant les autres personnes qui venaient en visite au quatre Privet drive, pour ensuite déclarer que lui-même est dans une maison de correction. Harry supportait ces exagérations en public, mais il n'avait aucune intention de le faire en privé. Et cela déplaisait au plus haut point à l'oncle Vernon. Il ressemblait à un mini volcan sur le point d'entrer en irruption.
- PETIT BON-À-RIEN! Éclata l'oncle en brandissant à nouveau son doigt boudinneux en direction de Harry. NOUS T'AVONS DONNÉ UN TOIT. NOUS T'AVONS NOURRI. ET TOI EN REMERCIEMENT DE NOTRE GÉNÉROSITÉ, TU ...
Un cri de Hedwige rendit une nouvelle Vernon muet. Il blottit contre lui sa main encore valide avec laquelle il pointait un doigt sur Harry. Hedwige s'était activé à cause des cris de m. Dursley. Tout en restant sur l'épaule de Harry, elle étendit à nouveau ses ailes d'un air menaçant. Cela rappela l'oncle à l'ordre.
- Arrêtez de parler, vous m'avez réveillé! se plaignit Dudley.
Il apparut au coté de sa mère dans le cadre de la porte. Il parle avec une voix pâteuse. Son haleine sentait la bière ainsi que son odeur corporelle. Même à une distance de cinq mètres, Harry la sentait. Ça ne devait pas faire depuis longtemps qu'il était de retour de sa soirée.
- Haaaa! Je suis désolé mon doudlynouchet, s'excusa la tante.
Harry se reteint de rire à ce surnom ridicule. Lorsqu'une personne autre que sa mère utilisait ce surnom, cela faisait sortir Dudley de ses gonds. Dudley est, pour Harry, le pire opportuniste qu'il n'ait jamais vu.
- C'est ce sale monstre qui fait encore des histoires? demanda Dudley avec un geste de mépris en direction de Harry.
Ne t'en fais pas mon Duddy, dit Pétunia. Nous allons le punir, justement.
Harry s'attendait à une telle injustice. Il se faisait traiter de monstre quand celui qui est le plus menaçant était Dudley. Encore cette année, il s'amusait à martyriser de plus petit que lui. Toute trace de sympathie occupant les traits de sa tante une minute plus tôt avait disparue. Elle laissa place à l'habituel agacement que la présence de Harry provoque au sein de cette famille.
- Duddy, il y a un détraqueur derrière toi! crie Harry en écarquillant les yeux.
Instantanément, le visage de Duddley devient blanc comme un drap. En une fraction de seconde, il se retrouva sur le lit derrière Harry, cherchant la protection de son cousin.
- Fais-le partir, Harry! implora Dudley. Je t'en supplie!
Harry s'esclaffa de rire. Il s'écarte laissant la porte à la vue de son cousin. Ce dernier se recroquevilla encore plus, s'attendant à être attaqué. Mais il ne vit aucun détraqueur dans la pièce.
- Alors, vous pensez vraiment que cette grosse baudruche poltronne ferait le poids face à Voldemort? questionna ironiquement Harry à son oncle et sa tante. Pour moi, il pleurnichera comme le lâche qu'il est.
Les yeux de Dudley s'exorbitèrent. L'humiliation semblait figer son visage dans une apparence d'hébétude extrême. Cette hébétude laissa bientôt la place à une rage écarlate.
- Espèce de limace, je vais t'encastrer dans le mur, éclata-t-il en élançant son en direction de la tête de Harry.
Celui-ci l'a humilié devant ses parents. Il devait lui faire payer de la seule dont il savait : il le battrait de ses poings jusqu'à ce qu'il ne soit plus qu'une masse geignante sur le sol.
Ayant toujours sa baguette dans sa main droite, Harry la pointa sous le nez de son cousin. Cela arrêta sec l'élan de ce dernier. Tante Pétunia laissa échapper un cri d'effroi. Oncle Vernon, que Harry surveille du coin de l'œil, devint encore plus violacé et sert ses poings. Il était prêt à le charger quand un cri de chouette lui fait tourner son attention sur l'épaule gauche qu'occupe Hedwige. Celle-ci a les fixés sur le père Dursley, les ailes étendues, parée à fondre sur lui au moindre geste suspect de sa part. Elle lâche quelques cris perçant et menaçant au gros homme. Celui-ci se releva mais ne fit plus aucun geste menaçant, ouvrant ses poings. Au travers tout ça, tante Pétunia se mit à paniquer. Elle ne cesse de répéter les même mots de sa voix aiguë et agaçante.
- Ho, mon Dieu! Mon Doody! Ne bouge plus et peut-être qu'il te laissera tranquille.
Harry eu l'impression qu'on le prenait pour un ours. Sa tante sembla croire qu'il laisserait en paix Dudley s'il faisait le mort. Sa tante ne peut vraiment pas rester sympathique longtemps à ses actions.
- Si tu n'avais pas ce truc... commença Dudley.
- Je ne ferais pas tant le malin, etcetera et etcetera, finit Harry. Tu comptais sur moi et ce « truc » pour te protéger quelques secondes plus tôt.
Harry prit le temps de regarder chaque membre de sa famille. Des sentiments d'écœurement et de profond dégoût montèrent en lui pour cette famille nucléaire. Elle n'aurait jamais dû être.
WOOOSH
Un hibou vient de se poser sur le bureau, une lettre au bec. Il la dépose et s'en retourne par la fenêtre ouverte.
- Des hiboux! s'écria l'oncle Vernon. Ce n'est pas une maison de fou ici. Je déteste les hiboux.
Il commença à se diriger vers la fenêtre. Un cri de Hedwige le fit se raviser. Sa main l'élance encore de douleur causée par l'attaque de la chouette quelques instants auparavant.
Harry se déplaça vers son bureau, toujours en pointant sa baguette sur Dudley. La chouette, inlassablement sur l'épaule de son maître, maintient son regard sur le gros homme qu'est Vernon Dursley. Harry prit la lettre. L'adresse indiquait « Harry James Potter, 4, Privet Drive, Little Whinging, Surrey, dans sa chambre » . Bien qu'il ne l'ait vu que trois fois dans le passé, Harry reconnut l'écriture de Mafalda Hopkrik. Cette lettre venait probablement lui confirmer les sanctions qui lui seraient réservé pour avoir utilisé un sort en dehors de l'école. Pendant qu'il lisait l'adresse, Dudley esquissa une tentative d'attaquer son cousin.
- Han, han, han! fit Harry en donnant un mouvement de pendule musical allant de gauche à droite puis de droite à gauche tout en continuant à garder ses yeux sur la lettre. Toi, tu t'assois sur ton lard au bord du lit.
- Sinon quoi? répliqua Dudley. Tu n'as pas le droit de faire de la magie ici.
Harry leva les yeux de sa lettre. Il les planta sur ceux du grassouillet jeune homme. Ce regard paraissait placide et froid.
- Si cette lettre est ce que je crois, dit Harry avec une colère contenu, et que tu ne t'es pas assis à la fin de ma lecture, tu va avoir le groin de cochon que tu aurais pu obtenir il y a cinq ans.
Pétunia plaqua ses mains sur sa bouche en hoquetant d'horreur. Les yeux d'oncle Dursley devinrent très rond tandis que leur propriétaire prend une teinte écarlate. Dudley, lui, déglutit péniblement. Il se rappelait l'humiliation que lui avait fait subir Hagrid après s'être moqué de Harry face à lui. Il s'était pendant des semaines avec une queue de cochon sortant de son derrière. Ne voulant pas répéter l'expérience une nouvelle fois, il obtempéra et s'assoie sur le bord du lit.
- Maintenant, écoutes-moi bien... débuta Vernon avec mauvaise humeur.
- La ferme, mon oncle, coupa abruptement Harry toujours en contenant sa colère. J'en ai plus qu'assez des remontrances injustes que toi et ma tante faites envers moi. Tout cela à cause d'une chose dont je n'ai aucun contrôle dessus. Alors, aujourd'hui, faites-moi plaisir et fermer vos clapais et assoyez-vous aux cotés de votre bon à rien de fils.
De la main tenant la lettre, Harry leur fit signe de se déplacer vers le lit. Les deux parents de Dudley obéirent en maintenant un oeil sur la baguette de Harry. Une qu'ils se sont assis, leur neveu utilise rapidement sa baguette pour briser le scellé magique de la lettre. Hedwige quitta son épaule pour se poser sur l'étagère au-dessus du bureau en continuant de surveiller les Dursley.
« Cher monsieur Potter,
nous avons reçu des informations selon lesquelles vous auriez exécuté le charme de bouclier cette nuit, à environ une heure trente-quatre, dans votre chambre du 4, Privet Drive. Vous y étiez seul. Cela a provoqué une résonance qui s'est fait sentir sur un rayon de cinq cents mètres.
Bien que votre sortilège observe les lignes de conduite d'un sorcier de second cycle, vous permettant de pratiquer vos sortilèges élémentaires à votre demeure, ainsi qu'indiquer dans le Code du secret établi par la confédération internationale de sorcier, nous allons envoyer deux personnes officielles pour enquêter sur les circonstances d'utilisation de ce charme. Ils seront accompagnés par M. Arthur Weasley, liaison entre le ministère de la magie et le comité de défense contre les forces obscures.
N'y voyez pas une manœuvre punitive de notre part. Dû au fait que votre vie est particulièrement menacée par vous-savez-qui, nous portons maintenant une plus grande attention au sort que vous lancez. Les enquêteurs seront là pour recueillir votre témoignage et voir dans quelle circonstance ce charme a été lancé.
J'aimerais profiter de cette missive pour vous féliciter du nombre exceptionnel de note «optimale» que vous avez obtenu dans vos brevets universels de sortilège élémentaire. Je suis certaine que votre joie devait être débordante lorsque vous avez reçu vos brevets. J'espère que vous considérerez une carrière comme auror avec de telles notes.
En attendant, les enquêteurs et m. Weasley devraient arriver à la fin de la lecture de cette lettre. J'espère que vous n'avez pas trop de mal.
Sincèrement vôtre
Mafalda Hopkrik
Service de l'usage abusif de la magie
Ministère de la magie
Harry finit la lecture du message en bouillant littéralement à l'intérieure. Apparemment, il avait reçu ses brevets, mais sans qu'il l'ait su. Toutes ces interrogations, ces doutes sur son obtention de ces brevets s'avéraient inutiles. La frustration du mois et demi d'attente monta rapidement à la surface. Comment se fait-il qu'il n'ait pas ces brevets entre les mains? Qui est-ce qu'il lui a privé de son droit de les avoir? Il en raga tellement qu'il chiffonna la lettre de chaque coté tellement ses mains la serrèrent.
Le cri de Hedwige lui fit lever la tête pour voir Dudley fondre sur lui. Dans sa lecture de sa lettre, Harry s'était mis à pointer sa baguette vers le plafond. Perdu dans cette lecture, Harry n'avait pas remarqué Dudley se lever pour lui sauter dessus. Harry se prépara à lancer un sort de stupéfixion. Tant pis s'il est lesté de sa baguette, il ne pouvait laisser son cousin se servir de lui comme un punching bag.
Voilà! J'attends vos reviews. J'ai modifié mon setting pour accepté les critiques anonymes. Je remercie petite sorcire pour ce conseil. À la prochaine!
