Hey, wow ! Pour une surprise, c'est toute une surprise! 7 reviews en si peu de temps ! ! Je m'étais dis que je vous ferais patienter un petit peu mais je suis trop contente alors je vous met le deuxième chapitre ce soir ! Comme toujours, ya rien qui est à moi, tout est à J.K Rowling ( sauf l'histoire bien sûr, elle vient tout droit de mon cerveau ! )
Alors là, c'est la situation de Draco, ce qu'il vit en même temps que Mione dans le fond !
Donc, bonne lecture ! :-)
Les réponses aux revieweurs sont à la fin du chap ! ( J'ai toujours rêvé d'écrire ça , lol ! )
Les pensées de Draco sont en italiques!!
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Ce qu'il restera de nous
Chapitre 2 - Où es-tu , mon ange?
Appuyé contre un arbre, un garçon pleurait. Ses vêtements étaient en lambeau, sa peau était déchirée de partout et il saignait abondamment. Le grand, fier et prétentieux Draco Malfoy pleurait. Il se sentait impuissant devant le sentiment qu'il ressentait depuis quelques mois...L'amour. Ce sentiment , qu'on lui avait toujours refusé et qu'on avait depuis toujours banni de sa vie, il le ressentait si fort qu'il allait en mourir. Son cœur allait cesser de battre tellement il battait vite à l'instant même. Hermione. Repenser à celle qui avait tout chambouler lui faisait si mal. Repenser à ses yeux miel qui le regardait d'un air charmeur, à ses mains douces qui se baladait sur son corps froid qui se réchauffait instantanément à leur contact, c'était véritablement une torture. Mais ce n'était rien à comparer à la douleur qu'il éprouvait en revoyant leurs nombreux baisers, tous uniques et extraordinaires, en s'imaginant encore dans ses bras. Il ressassait sans cesse cette nuit magique où il l'avait eu à lui seul, où il avait pu la prendre toute entière.
Mais par dessus toutes les choses qui le brisaient en entier, l'ultime souffrance était d'entendre et entendre sa voix le suppliant de rester près d'elle, sa voix entrecoupé de sanglots qui lui murmurait à l'oreille qu'elle allait mourir sans lui alors qu'il se savait obligé de partir, sinon elle serait réellement morte. S'il aurait resté, il les mettait en danger tous les deux, bien que sa propre vie était moindre à ses yeux face à sa vie à elle. Si elle pouvait être en sécurité, tout était parfait. Draco ricana doucement, malgré ses côtés brisés qui lui faisait mal, une douleur physique cette fois . Que penserait son père s'il entendait ses pensées ? Il crierait , le frapperait, le renierait en lui adressant un discours sur le sang pur de leur famille et le déshonneur qu'il lui apportait en fréquentant une fille de moldu et Draco pensait même qu'il le tuerait mais tout cela lui importait peu, son père n'était pas en état de tuer quelqu'un pour le moment. Lui non plus d'ailleurs ! Il ne savait même pas où il était. Dans une forêt, comme le témoignait les nombreux arbres autour de lui. Il voyait une ville , plus loin , aux travers des conifères. Donc, il était à la frontière d'une forêt qui devait bordé une ville. Oui, c'était ça ! Puis il éclata d'un rire glacial en se rendant compte de la stupidité de ses déductions.
Idiot, pensa-t-il, Quelle forêt ? Quelle ville ?
Il essaya de se lever. Sa cheville l'élançait affreusement . Elle avait une drôle de couleur, mauve tirant sur le noir et elle était enflée.
Mauvais signe ... Elle doit être foulée, c'est malin !
Il se força à marcher, un peu et lentement pour commencer puis il prit une vitesse régulière et se dirigea droit devant lui. Il essayait d'ignorer sa cheville et il se pinçait les lèvres pour ne pas gémir. Cela faisait plus ou moins 3 jours à ce qu'il estimait qu'il était ici, adossé contre un arbre. Il avait atterri là après avoir fait une vilaine chute au sommet d'une montagne apique qui l'avait entraîné à la dévalé, sans repos pendant il ne savait trop combien de temps, se frappant sur les arbres et fracassant des pierres avec sa tête de plein fouet. Il aurait pu y passer, le jeune homme le savait. Par chance, sa baguette avait miraculeusement survécu à la descente sans trop de mal, il avait ainsi pu atténuer ses maux avec son aide mais comme le démontrait son état, il avait besoin de soins. Si elle avait été là, elle l'aurait soigné en quelques minutes. Hermione. Il sentit ses yeux s'emplir de larmes, larmes qu'il laissa cascader sur ses joues. Sa tristesse se transforma en longue plainte qu'il poussa, plainte qui se termina en un hurlement de rage. Relevant la tête, il reprit la route. Il avait quitter la forêt et sa montagne traîtresse, il voyait une maison aux allures pauvres qui se dressait dans le sillage du chemin. Il n'y prêta pas attention. Il devait trouver un popital, l'endroit où se trouvait les guérisseurs moldus, qui pourrait l'aider. Aussitôt rétabli, il essayerait d'avoir des nouvelles de son amour. Si elle était en sécurité, il serait serein.
Le serpentard se demandait où elle avait trouver refuge. Il espérait qu'elle n'était pas restée chez elle, c'était beaucoup trop risquée ! Peut- être au quartier général de l'Ordre, à Londres. Oui, c'était probable. Après s'être assuré de sa sécurité, il commencerait à vivre en moldu, il s'éloignerait du monde des sorciers comme le lui avait dit Dumbledore. Il ne savait pas s'il réussirait mais il se devait d'essayer, il n'avait pas d'autres choix. Il était arrivé à la hauteur de la maison délabré.
Le terrier, lisa-t-il sur une plaque de bois déconfite à coté d'une vieille botte. Drôle de nom pour une maison ! Les moldus me surprendront toujours!
Il se lassa tomber sur la bordure de la route. Assit, il murmura quelques mots à l'intention de la jeune femme qui prenait toute la place dans son cœur meurtri.
- Où es-tu, mon ange ?
Comme si elle l'avait entendue, un rire lui parvint de la cour de la maisonnette. Un rire cristallin, perçant, qui entraînait immédiatement à la rigolade ceux qui l'entendait. Un rire unique. Le sien. Draco l'aurait reconnu parmi des centaines d'autres. Il tendit l'oreille vers la demeure, soudainement intéressé par elle. Puis un souvenir remonta à sa mémoire. Il devait être en première année de Poudlard, ou tout juste avant de la commencer. Son père lui avait montrer cette maison en lui disant que les sorciers qui y vivaient déshonorait les sorciers purs sangs en adorant les moldus. Il se rappelait d'avoir éprouvé un tel dégoût qu'il s'était juré de toujours détesté les enfants qui vivait dans cette porcherie, comme il avait surnommé la maison. Honteux, il savait désormais qui vivait là. Les Weasley.
Ce qu'il pouvait être bête, c'était évident qu'Hermione était là ! Ron était son meilleur ami avec Harry, et avec l'énorme gaffe qu'il avait fait quelques mois avant c'était tout naturel qu'il la protège. Une énorme joie l'envahit en l'espace de quelques secondes. Il se remit sur pieds en un instant, oubliant sa cheville et tout le reste. Elle était là, si près de lui. 2 mois sans la voir et elle était là, pas question de se contenter de l'entendre rire. Même s'il ne pourrait pas la toucher ni lui parler, il pourrait au moins la voir ! Heureusement pour le serpentard, une grande haie ceinturait la cour de la famille rousse.
Il jeta un coup d'œil au environ, ne voyant personne il avança doucement vers la haie. Il alla se cacher dans la partie qu'il soupçonnait d'être près de la table, donc de sa chérie. En la voyant, son cœur défaillit ; elle était encore plus belle qu'il y a 2 mois, si cela était seulement possible. Il détailla sa nouvelle anatomie avec un désir brûlant de la découvrir intimement, même s'il savait que cela devrait rester uniquement dans son esprit. Quand il était arrivé, elle rirait aux éclats mais maintenant elle semblait étrangement de marbre. Il remarqua que Arthur Weasley discutait avec un homme qu'il devinait être un frère de Ron par la couleur de ses cheveux et leurs traits communs. Sa belle tremblait, elle semblait au bord de la crise. Le jeune homme voyait son beau visage se tordre de douleur, elle avait l'air tellement triste. Pourquoi avait-elle pu changer d'humeur en quelques secondes ? Il ne se questionna pas longtemps, il s'en fichait des raisons à vrai dire. Il n'avait qu'une seule envie, se précipiter vers elle et la coincé dans ses bras jusqu'à la fin des temps. Sa Mione, son amour. Elle sanglotait maintenant contre la poitrine du Saint Potter qui avait l'air franchement de ne pas trouver ça désagréable. Une rage montait dans la poitrine de l'exilé. Il comprit la raison des pleurs de la belle gryffondore en entendant son nom de la bouche d'un des jumeaux. C'était donc pour cela qu'elle pleurait ! Entendre son nom la faisait pleurer.
Draco voyait le malaise de Ron. Il avait beaucoup de mal à ne pas lui en vouloir, même si Hermione lui avait tendrement demandé de ne pas le haïr encore plus qu'avant. Le rouquin venait de marmonner quelque chose qui le fit rougir encore plus que le serpentard ne l'avait jamais vu en 6 ans . Hermione cessa immédiatement de pleurer.
- Répète ce que tu viens de dire, Ronald Weasley ! lui dit-elle d'une voix extrêmement menaçante.
- J'ai dit que tu devrais peut-être te calmer et penser à l'oublier , répéta-t-il d'une voix plus claire et plus forte.
- COMMENT OSES -TU ME DIRE DE L'OUBLIER ALORS QUE TU ES LE SEUL RESPONSABLE DANS TOUT ÇA ! SI TU N'AURAIS PAS OUVERT TA GRANDE TRAPPE POUR UNE FOIS IL SERAIT AVEC NOUS ET NON PAS CONDAMNÉ À S'ENFUIR POUR TOUJOURS PARCE QUE TU AS MIS NOS VIES EN DANGER !
Hermione hurlait de rage et les autres étaient sidérés. Ginny pleurait, Harry aussi, à la grande surprise de Draco. Les jumeaux se regardaient, atterrés et les gens qui restaient n'étant tout simplement pas au courant de l'histoire , ils avaient l'air de prendre la jeune fille pour une furie. Ron s'apprêtait à répliquer mais les regards que tous lui lancèrent le firent changer d'avis. Le serpentard en avait trop vu, c'était trop pour lui. Il s'élança et sorti du buisson brusquement. Ginny poussa un cri strident en le voyant. Hermione, qui était toujours aussi enragé et qui pointait sa baguette magique sur un Ron impuissant face à la colère de son amie, lâcha sa baguette et ses yeux s'agrandirent sous l'effet de la surprise. Draco crut pendant un instant qu'elle ne l'avait pas reconnue. Il était vraiment méconnaissable, avec ses vêtements déchirés et couverts de boue , avec ses blessures et le sang qui commençait à sécher sur son corps magané. Elle murmura le nom du garçon puis ... puis ... elle tomba. Évanouie. Suivit quelques instants plus tard par le ténébreux serpentard qui hantait son esprit depuis 3 mois.
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Et voilà, c'est déjà la fin ! lol ! Je sais qu'il est plus court que le chapitre précédent ,mais bon ! !
Réponse aux revieweurs :
CyNtHiA : Salut, salut mon adorable joumelleuh ! De rien, ça m'a fait plaisir de te remonter le moral ! Exceptionnelle, exagère pas non plus ! :P Mais mici quand même ch't'adow ! J'sais d'ja que le chapitre tu l'as aimé puisque tu l'as lu avant tout le monde mais bon ! :P Chhhuutt, faut pas le dire ! J'ai pleins d'autres idées ma belleuh pis j'arrêterais pas d'écrire, jte jure! Pis jdevrais pouvoir t'envoyer une autre chanson bientôt ! :-) Tk, je m'en vais te parler MSN là ! ;)
Doudou : Salut Doudou ! Merci pour les encouragements, ça fait plaisir de savoir que tu aimes ! :-)
Carol : Hello Carol ! Merci, moi aussi je suis fan de ces histoires là mais je n'ai pas encore décidé si tout finira bien pour Mione et Draco, on verra ! Même si j'suis fan des belles fins pleines d'espoirs et romantiques à souhaits, je suis encore plus fan des fins tragiques et déchirantes, Mu Ha Ha HA ! rire diabolique
Stéphanie : Salut ! Moi aussi j'avais de la peine pour Hermione quand j'écrivais, lol ! Je n'ai pas encore décidé de ce qui va arrivé entre Harry et elle, à partir du prochain chapitre tu vas pouvoir voir ce qu'il leur ai déjà arrivé mais pour le futur je sais pas, je vais commencé par finir mon retour pendant leur 6ième année, ensuite je verrais ! ;) Merci des encouragements! :-)
Vicky -J : Et bien non, ce n'est pas un one-shot ! Même que à date, j'ai 14 chapitres d'écrit ! Ça va être une longue fic je crois ! !:/ Merci beaucoup, beaucoup, beaucoup ! :D Tu n'as pas eut à attendre très longtemps pour la suite ! ;)
Tak' : Merci ! ! ! ! ! :D C'est trop gentil ! :D
Genevieve Black : Si tu aimes, alors je suis contente ! :D C'est presque un honneur que tu aimes ça, car j'ai toujours trouvé que tu écrivais divinement bien ! Voilà la suite, ça pas été trop long ! ;) Bisous à toi aussi !
Bon ben à bientôt pour un autre chapitre, il s'intitule « Erreur sur la personne ». Comme il est très court, le quatrième viendra pas très longtemps après lui, il s'appelle « Le plus loin possible sera le mieux »
Au revoir,
Pleins de bisous pour vous tous !
Vengeresse
