Salut tout le monde ! ! ! ! ! Ah, je m'ennuie de vous poster mes chapitres à chaque jour ! ! Mais bon, en voici un comme prévu ! Et un assez gros en plus, il fait 9 pages sur Word, lol ! ! Ya pas mal de choses qui se passe, ça va peut-être vous éclairez un peu sur certaines choses... lol ! J'aime beaucoup ce chap, je l'adore même ! J'ai beaucoup eu de plaisir à écrire le bout en italique , vous allez voir... :D Je suis vraiment saturé d'être à mon chalet et j'ai très, très hâte de revenir en force ! ! ! Je vais commencer à manquer de chapitre très bientôt, va falloir que je me botte les fesses pour vous pondre une belle et gentille suite!

Bon en attendant je vous laisse lire, et je suis tellement aux anges! 14 reviews! ! C'est WOW! :D :D :D :D

Enjoy! ;)


Vengeresse...



10 - L'appel du mal

Draco ruminait des pensées sombres depuis quelques heures. Il avait décidé de se mettre au lit de bonne heure, il y avait longtemps qu'il n'avait pas dormi, ses nuits étant toujours peuplé d'une certaine jeune fille aux bouclettes brunes et aux yeux incroyablement attirants. Elle n'était pas rentré cette nuit, il l'aurait entendu sinon. Il n'avait plus le temps de l'amadouer, il devait ab- so- lu- ment lui parler, la mettre en garde. Le souvenir de cette soirée où son père et Voldemort avaient concoctés des plans pour mettre Potter hors de nuire était resté fraîche dans sa mémoire. Il se rappelait de tout ...

Draco était assis dans un coin de la pièce sombre. Il n'osait pas bouger, de peur que son père le réprimande. En fait, il osait à peine respirer tant il avait peur. Jamais il n'avait vu Voldemort de si près, il avait si froid, pire encore que quand il y avait des détraqueurs à proximité. Le seigneur des ténèbres avait une voix grave, une voix qui glacerait le sang d'un mort. Il s'adressait au père du jeune garçon comme s'il s'agissait d'une vieille chaussette et Draco n'avait encore jamais vu son père dans cet état.

-Lucius, Lucius, Lucius...Si j'ai réussis à te faire sortir de prison, ce n'est certainement pas pour que me dise que tu n'as aucune idée sur la façon de tuer Potter!

-Maître, je m'excuse mais si je puis me permettre, il est très protégé, il vaudrait peut-être mieux garder un profil bas pour l'instant, je ...

-Assez ! , le coupa l'horrible personnage, j'ai attendu tellement longtemps avant de pouvoir retrouver suffisamment de force pour le battre que je n'attendrais pas encore que mes incompétents de mangemorts apprennent à réfléchir !

-Je suis très bien capable de réfléchir, Maître ! lança hardiment le père de Draco, que celui-ci trouvait beaucoup trop arrogant pour la situation présente. Le garçon n'ignorait pas que Voldemort pouvait à l'instant même tuer son père...(Plus tard, il pensa qu'il aurait dû se montrer encore plus arrogant, pour que le puissant sorcier lui règle son compte )

-Prouve-le-moi, Lucius. Je te savais très courageux avant. Très cruel aussi.

-Je le suis encore, je vous l'assure.

-Bien ! C'est même très bien ! s'exclama le Lord. Que proposes-tu ?

-Je propose tout d'abord que les enfants des mangemorts entrent en activité. Nous avons besoin d'espion à Poudlard, vous en conviendrez!

-Évidemment, évidemment ! J'ai ouïe dire que ton fils avait une grande influence sur ses camarades, qu'il imposait le respect, tout comme toi dans ton jeune âge.

-Certainement , répondit Lucius Malfoy en bombant le torse. Mon fils impose non seulement le respect, il impose sa loi en plus ! Il fait la vie dure à Potter et ses misérables amis depuis 5 ans déjà!

-Amis...voilà un mot qui sonne très bien à mon oreille, dit pensivement Voldemort. Ne crois-tu pas que nous avons négligés de nous en prendre à cette partie de Potter? Ses amis...N'est-ce pas ce qu'il a de plus cher, après bien sur son crétin de parrain désormais hors d'état de nuire !

-( Lucius prit un temps infiniment long avant de répondre) Oui...Ses amis...Je n'avais pas penser à ça...

Il se grattait le menton, en proie à une intense activité mentale.

-Je ne crois pas que cela soit sage d'attaquer le jeune Weasley, puisqu'il a de la famille au ministère. Même si Arthur occupe un poste minime, il sait se montrer insistant quand un membre de sa famille est en danger et l'idiot qui nous sert de ministre n'hésiterait pas longtemps avant de déployer un tas d'aurors pour récupérer l'enfant.

-Vous avez entièrement raison Lucius. De plus, s'il s'agit de la même famille Weasley que je connais, ils sont de sang pur. Il serait stupide de risquer gros pour un être pur, même si Potter tient beaucoup à lui.

-Alors, vous allez vous rebattre sur la petite sang de bourbe?

-Oui...Elle est parfaite, tout simplement parfaite! Une fille de moldus, ce qui ne fera que renforcir l'image de haine inconditionnelle que j'éprouve pour ces créatures indignes. De plus, Potter tient beaucoup à elle. Ce n'est pas seulement son amie, il l'aime.

-Que voulez-vous dire ?

-Lucius, vous ne pouvez comprendre ce que je dis puisque vous ne savez ce qu'est l'amour ...Il vous ai impossible de comprendre, vous n'en avez jamais ressenti...

Draco comprenait lui. Il comprenait que Voldemort allait se servir de Miss -Je- Sais –Tout comme il l'avait fait avec le parrain de Harry. Draco eut envie de ricaner, il n'était plus original « Voldie » ! Il servait encore la même sauce à Harry.

-Mais maître, allez-vous vraiment capturer la jeune fille ou allez-vous faire comme avec Black ?

-Il serait idiot de jouer la carte du héros une deuxième fois avec Potter. Il n'est pas stupide, il comprendrait la supercherie. De plus , Granger est près de Potter en tout temps, pas éloigné comme l'était cette honte de Black. Il serait très difficile de feindre le danger. Il faudra donc la kidnappé. Pas besoin de la torturer, elle est jeune encore. Elle aura en masse de temps pour subir des sévices plus tard, il ne faudra pas trop la magané, elle doit rester en vie. M'entendez vous ? Elle doit rester en vie !

Draco commençait vraiment à avoir peur. « Voldie » avait tout prévu.

-Oui maître, j'ai entendu. Rester en vie, compris !

-Elle doit se rendre à Poudlard sans anicroches. Elle doit commencer l'année normalement, elle ne doit pas se douter de rien ! Avant Noël, nous déciderons de la date de son enlèvement.

-C'est parfait maître !

-Ah, j'oubliais... Je voudrais que nos futurs mangemorts gardent un œil constant sur elle. Il ne doit rien lui arriver !

-Aucun problème, mon fils – il désigna le fauteuil où Draco aurait voulu ne pas s'y trouver- vous sera fidèle. Il veillera spécialement à ce que personne n'embête la sang- de- bourbe. N'est-ce pas,fils?

-(Draco déglutit) Oui père, assura-t-il. Sans qu'il ne sache pourquoi, des larmes perlaient dans le coin de ses yeux. Il les refoula en s'injuriant mentalement. Il venait de se montrer faible. Ce n'était pas bien, pas bien du tout !

-Bien ! Notre conversation s'arrête ici. En attendant la réunion dans quelques jours, assure toi de montrer quelques sorts convenables à ton fils pour qu'il puisse tuer admirablement les moldus que Bellatrix a capturé pour la cérémonie. Je n'ai pas envie que les rejetons de Crabbe et Goyle performent mieux que celui de mon bras droit...

La voix de Voldemort était si menaçante que Draco ressentit une peur grandir en lui sans qu'il n'est la force de la stopper.

-Oui maître, ne vous inquiétez pas, il sera à la hauteur de ce que l'on attends de lui !

-Au revoir Lucius.

Puis il disparut dans un POP sonore.

Lucius marcha nerveusement vers le fauteuil où s'était admirablement écrasé son fils et il le renversa brusquement.

-Debout, fainéant ! Tu as entendu ce qu'à dit le Seigneur des Ténèbres ! Va dans la bibliothèque immédiatement et que je ne te vois pas en sortir tant et aussi longtemps que tu n'auras pas maîtriser l' Horricuenda .

Draco jeta un regard terrifié à son père. Il ne pouvait, il ne voulait ...

-Oses-tu laissé paraître une lueur de peur dans ton regard, Lucius Draco Malfoy ?

-Je...Père, ce sort est interdit. Je ne peux l'apprendre, il demande une grande puissance, une grande puissance que je n'ai pas !

-EH BIEN TÂCHE DE L'ACQUÉRIR AVANT LA CÉRÉMONIE ! hurla son père. SI TU DÉSHONORES LES MALFOY, JE TE PRÉVIENS, SI TU OSES ME DÉCEVOIR, TU N'AURAS QU'À FAIRE TES BAGAGES ET À PARTIR TRÈS LOIN ! TU NE MÉRITERAS PLUS D'ÊTRE MON FILS!

Draco pensa que c'est précisément ça qu'il aurait voulu, ne plus être son fils mais il se garda bien de le révéler. Il leva la tête et promis à son père d'être digne de sa famille.

Ses paroles semblèrent suffire à Lucius, il ébouriffa les cheveux blonds de son fils en lui disant que pendant un instant, il avait cru qu'il ne voulait plus s'allier avec le Seigneur des Ténèbres . Il éclata d'un rire sans joie et sortit de la pièce, laissant un Draco au bord de la folie.

Draco réprima un frisson. Il se rappellerait éternellement de cette soirée il en était certain. Il avait essayer d'apprendre l'horrible sortilège, mais comme il s'y était attendu, il avait royalement échoué. L'Horricuenda était un sort on ne peux plus complexe, qui consistait à brûler quelqu'un de l'intérieur, consommant ainsi tout ses organes vitaux, ne laissant plus qu'une carcasse sèche et dont les os saillaient un peu partout. Le jeune homme doutait que son propre père soit capable de maîtriser un tel sortilège, alors comment voulait-il qu'il soit apte à le lancer en quelques jours?

C'était en parti pour cela que le jeune homme avait déserté la réunion. Il savait que les représailles auraient été très douloureuse suite à son échec. Même si Lucius n'avait jamais usé de sortilèges impardonnables sur son fils, (même si Lucius était une ordure, Narcissia avait toujours empêché son mari de toucher ne serait-ce qu'à un cheveu de leur quoi elle pouvait avoir un fond de bonté ! ), Draco savait pertinemment qu'il n'hésiterait pas après un tel affront, peu importe ce que sa mère ferait.

Il était tellement soulagé que son père soit hors d'état de nuire, il ne saurait le dire tant son émotion était forte. Mais il restait Voldemort. Un Voldemort tout aussi puissant, quoi que sûrement un peu embêté d'avoir perdu pour un laps de temps non déterminé ses plus fidèles mangemorts. Mais ce qui importait le plus, un Voldemort bien déterminé à mettre en action ses plans de perversion pour tuer Harry, et ce en passant par une jeune fille que Draco affectionnait particulièrement sans pouvoir dire pourquoi.

Il descendit dans la salle commune, sachant qu'encore une fois, il ne trouverait pas le sommeil. Il redoutait plus que tout le jour où le Seigneur des Ténèbres attaqueraient Poudlard, plus le temps passait plus il la savait proche. L'inactivité des mages noirs n'était pas habituelle depuis que le ministère avait enfin reconnu son retour! Carnage après carnage, bain de sang après bain de sang, il ne se passait pas un jour sans qu'une horrible tragédie survienne. Puis un jour, plus rien. Étrange...Très étrange. Voire inquiétant !

Draco regardait l'antre du foyer, en somnolant. Il allait peut-être trouver le sommeil cette nuit, finalement. Alors qu'il s'apprêtait à sombrer dans les bras de Morphée, un vent glacé s'infiltra dans la salle commune. Le serpentard frissonna, il n'y avait aucune fenêtre dans leur appartement, comment ce vent avait-il pu...?

Le simple vent se transforma en bourrasque quelques secondes plus tard. La pièce était envahie par les parchemins et les livres qui reposaient jusqu'à tout récemment sur les étagères du petit meuble. Le feu s'éteignit brusquement, laissant un Draco paniqué dans le noir total. Un cri perçant se fit entendre dans – il le présumait – tout le château. Saisissant sa baguette, il poussa à toute vitesse le tableau pour sortir dans le corridor. Il remarqua que le couloir était rempli d'élèves qui avaient l'air tout aussi paniqué que lui.

Bien sûr, il y a encore ce stupide club de duel cette année! Et si je ne me trompe pas , il se donne près d'ici, pensa-t-il. Il détestait par dessus tout se retrouver dans une foule. C'était plus qu'il ne pouvait supporter. Tout ces regards tournés vers lui qui le jugeait, tout ses chuchotements d'où il ressortait toujours le mot mangemort , il haïssait se trouver parmi les autres sorciers.

Ils ne comprennent pas. Personne ne comprend. Sauf Potter et ses amis. Si seulement Hermione daignait m'écouter!

Toujours aux aguets, il avança doucement vers une élève qu'il jugea être en première année. À la couleur de sa cravate, il vit qu'elle était à Serdaigle.

-Qu'est-ce qui se passe? Lui demanda-t-il, sans la brusquer. Il voulait vraiment savoir, son instinct lui disait que le pire était arrivé.

-On ne sait pas ! Nous étions en train de pratiquer un contre sort quand le vent s'est levé et cette fille – elle pointa une fillette qui flottait plus loin, victime d'un sortilège tout probablement – a hurlé, on ne sait trop pourquoi! expliqua la petite sorcière.

Draco, qui n'avait jeter qu'un coup d'œil rapide à la fillette, s'approcha en tassant les curieux qui s'aggloméraient autour d'elle.

Une expression d'horreur frappa le jeune homme.

Morte. Elle était morte. Et elle ne faisait pas que flotter, elle flottait au beau milieu de la marque des ténèbres.

La plupart des enfants ne savaient pas ce que représentait cette tête de mort mais quelques uns étaient au courant, à voir l'air qu'ils avaient alors qu'ils s'empressaient d'expliquer à leur amis ce qu'il en était.

Un petit garçon vint aux côtés du serpentard et tira sur sa manche, pour attirer son attention.

-Quoi, lui dit distraitement Draco, le regard toujours fixée sur la fillette, comme s'il espérait qu'elle ouvre les yeux ou qu'elle cri encore.

-Dites, Monsieur, est-ce qu'elle va s'en tirer ma grande sœur? Lui demanda le garçonnet, une pointe d'inquiétude dans la voix.

Son regard s'arracha de la scène de meurtre pour se poser sur l'enfant. Comment pourrait-il lui annoncer que sa sœur était morte? Il ne pensa même pas à préciser pourquoi ou à cause de qui, il lui semblait que dire à un enfant de onze ans qu'il ne reverrait plus jamais une personne qu'il aimait était abominable. Est-ce qu'il avait seulement le droit de lui annoncer une chose comme ça? Est-ce qu'il avait le droit de parachuter un petit bonhomme comme celui qui le regardait avec des yeux larmoyants dans la cruelle vie sans préambule? Il sentait que ce n'était pas à lui de faire cela, mais à elle. Il avait la certitude qu'elle trouverait les bons mots pour éviter d'inutiles souffrances au futur homme qui réclamait d'être réconforté. Il doutait qu'elle lui aurait balancé « Ta sœur est morte des mains d'un sorcier cruel, ici on le surnomme Celui – Dont – Il – Ne – Faut – Pas – Prononcé – Le – Nom mais entre nous, Voldemort c'est beaucoup plus court! » comme il avait pensé faire.

Il se contenta donc d'hausser les épaules, luttant contre les larmes que la vision du garçon provoquait chez lui. Prenant conscience qu'il n'y avait pas de professeurs et qu'il était impératif d'en trouver un et si possible, plusieurs, il calma la foule en envoyant des étincelles dorées dans les airs. Il était le préfet après tout, les élèves devaient l'écouter. Il envoya un petit groupe chercher les responsables de leur maison puis il demanda gentiment au petit garçon perdu toujours accroché à sa manche s'il pouvait aller voir le portrait du « vieux sorcier au nez noueux » plus loin dans le corridor et lui demander d'alerter les portraits dans le bureau du directeur.

Enchanté de s'être fait confier une mission, le petit poufsouffle couru jusqu'au tournant et Malfoy le regarda avec un air désolé.

Une jeune femme observait la scène de l'autre côté. Hermione s'était précipité sur place quand elle avait entendu le cri, son devoir de préfète était de veiller à la sécurité de tous. Elle avait laissé Harry en plan, même si elle le regrettait, mais elle ne voulait pas que le jeune homme rencontre dans les couloirs obscurs des possibles mangemorts près à tout pour le tuer.

Elle était on ne peux plus stupéfaite de voir la fouine prendre en main les évènements. Elle se surprit à penser qu'elle n'aurait pas fait mieux elle même. Et la douceur avec laquelle il avait parler au petit bout de chou accroché à sa cape ! Elle réprima un frisson en regardant la pauvre fillette dans la marque des ténèbres. Elle la connaissait un peu , c'était une gryffondore de troisième année. Kate Bolton. L'an passé, alors qu'elle était à la bibliothèque, elle lui avait demandé de l'aide pour un devoir, en précisant que c'était une recherche complémentaire qu'elle faisait pour une recherche en métamorphose. Hermione avait été conquise, la jeune femme s'était reconnue en la petite gryffondore. Et voilà qu'elle était désormais morte.

Une force étrange la poussa à aller trouver Draco, de l'autre côté. En passant, elle jeta un sort d'isolement pour que la défunte gryffondore ait droit à un minimum de respect. Elle éparpilla les derniers curieux en enlevant un nombre considérable de point à ceux qui résistait, puis quand le serpentard fut le dernier ( avec ce petit poufsouffle adossé au mur ), elle s'approcha de Draco. La même force la poussa a agripper sa main, comme si elle avait peur de se faire aspirer dans la marque.

-Alors, tu as une idée de pourquoi on a fait ça? lui demanda-t-elle, en redoutant la réponse.

-Non, avoua le jeune homme. Il avait envie de lui dire que si ç'aurait été elle dans la marque, il aurait compris mais pourquoi s'attaquer à une fillette sans importance? C'était incongru, et surtout, dangereux.

Il lui livra la dernière partie de ses réflexions, qu'elle approuva.

-J'ai bien hâte de voir ce que fera Dumbledore quand ..., continua Draco.

-À propos, tu as été extraordinaire avec les enfants, le coupa-t-elle.

-Quoi?

-Oui,et bien...J'étais là depuis longtemps, seulement je voulais voir si tu allais être mesquin et mauvais avec eux.

-Croyais-tu sincèrement que je pouvais l'être?

-Oui..., murmura-t-elle

-Tu me connais mal Hermione.

-Non, je ne te connais plus...

-M'as-tu déjà connu ?

-Je ne sais pas. Le Malfoy que je connaissais était méchant, terriblement méchant. Et blessant. Il m'a fait ... (elle hésita un moment puis continua) haïr mes origines, il m'a fait me haïr. Le Malfoy que je connaissais avait un regard de glace, un regard rempli de cruauté. Il était au summum de la joie quand Harry était humilié. Et surtout, il me détestait...

Draco resta sans voix de ce qu'elle venait de lui dire. Il regarda ses beaux yeux...Si seulement il avait remarqué avant leur couleur ! Cela aurait évité à la jeune femme bien des souffrances...

-Ce Malfoy est mort cet été, en trahissant son père, en ne devenant pas un mangemort déclara-t-il.

Si la situation n'aurait pas été aussi sérieuse, Draco aurait sûrement éclater de rire en voyant le visage d'Hermione se décomposé lentement, pour ensuite faire place à une surprise totale. Les yeux écarquillés, elle ne semblait pas croire qu'il avait pu faire une chose comme ça.

-Tu as...Tu as...Tu as quoi ?

-Écoute, on en parlera plus tard veux-tu ? Les professeurs sont sur le point d'arriver...

Effectivement, quelques instants plus tard, Dumbledore arriva en transplanant près d'eux. Une lueur de malice passa dans ses yeux quand il vit que les deux préfets se tenaient par la main. Il toussota un brin puis il demanda qui avait jeter un sort d'isolement.

-C'est moi Monsieur, dit Hermione d'une voix tremblante. Il y avait pleins de curieux autour d'elle, je croyais qu'il était préférable premièrement d'éviter que les élèves la voient et deuxièmement...(elle baissa la voix, comme si elle était honteuse) je voulais qu'elle ait droit à un minimum de respect, se faire observer comme une bête de cirque alors qu'on vient de mourir, c'est horrible.

Des larmes silencieuses coulaient le long des joues de la jeune femme. Draco serra la main de sa nouvelle amie plus fort, il ressentait la même chose, il avait envie de pleurer lui aussi, mais son orgueil était trop grand, il ne pleurerait jamais devant la totalité des professeurs et devant son ange...

-Je comprend Miss Granger, je comprend parfaitement, la rassura le vieil homme. Vous avez une grandeur d'âme exceptionnelle, que j'admire beaucoup.

La jeune femme rougit du compliment puis inclina la tête, pour remercier le directeur, ne se sentant pas apte à parler, sa gorge étant trop nouée.

Dumbledore prononça un sortilège pour mettre fin à celui qu'avait prononcé Hermione quelques minutes plus tôt et un murmure se fit entendre chez les professeurs.

-C'est tout simplement monstrueux ! lança Mc Gonagall, l'air vraiment choquée que cela arrive à une élève de sa maison.

Même Rogue avait un air sinistre, c'est peu dire !

Dumbledore prononça un autre sortilège, et une voix grinçante s'éleva dans le corridor silencieux.

LA PROCHAINE NE MOURRA PAS, ELLE SERA TORTURÉ, CE QUI EST PIRE QUE LA MORT ... HA ! HA ! HA ! ... PREND GARDE, SANG – DE – BOURBE, CE SERA TON TOUR BIENTÔT ... HA ! HA ! HA !

Draco eut l'impression qu'on lui arrachait son cœur. Les professeurs se regardaient tous d'un air scandalisé, se demandant de qui parlait la voix mais le serpentard gardait ses yeux fixé sur Dumbledore, comme s'il espérait qu'il devine sans qu'il n'ait à trahir son père. Si le pourtant très grand sorcier ne devinait, est-ce qu'il trouverait la force de divulgué ce qu'il savait?

Un seul regard vers la petite sorcière qui tenait sa main et qui pleurait toujours le convaincu que oui, il l'aurait. Il ne pouvait peut-être pas maîtrisé de sortilèges anciens, mais il pouvait lui sauver la vie. Ah ça oui, il le pouvait!


Et voilà, ils se rapprochent tranquillement,mais sûrement! Personnellement, j'aime beaucoup le fait qu'elle lui parle honnêtement, sur ce qu'il était avant. C'est ce que je voudrais bien faire avec les Draco qui m'ont persécuté, roh là là ! Bon là je suis terriblement désolée, je n'aurais pas le temps de répondre comme d'habitude à vous tous SAUF QUE je répondrai en double samedi soir, c'est promis ! ! ! ! !

Donc, milles merci à Morri Chérie à qui je décerne la palme de la plus grosse review que j'ai lu lol ! et elle ma fait super plaisir en passant, à CristalBlue( ça m'arrive souvent des trucs comme ça et ça me frustre aussi lol !), à Laurel , à Marilla-Chan , à Carol, à Tak ( tes reviews ont mis pleins de soleil dans ma haine de retourner en vacs, lol ! j'ai hâte de te répondre,j'ai la tête qui fourmille!:D ) à Izzy ( ah ouf tu me rassure lol!!), à ma Rekha adorée avec qui j'ai hâte de bavarder sur MSN samedi soir si elle est là, à Sophorasi ( et voilà, ça s'en vient le Mione/Draco!), à Slydawn ( Jvais répondre brièvement à tes questions! Je m'appelle Amélie, j'ai 14 ans, j'habite au Canada dans le Québec mais attention, je ne me considère pas du tout comme canadienne!Moi , je suis québécoise ! ! et je m'en vais en septembre en secondaire 3 mais alors là la translation en France je sais pas du tout ! Voilà! Et toi ? ) à Lola et à Elissia ! ! ! :D :D :D :D

Merci merci merci merci ! Je vous adoreuh les amis ! ! ! ! ! ! :D J'espère que ma boîte de mail va débordé samedi soir ! ( Bah quoi, les messages subliminaux vous connaissez pas?! Lol ! ! ! )

À samedi!!

Vengeresse

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