Chapitre 4

Amanda

Nous sommes arriver à Zanarkand en soirée, j'était enfin de retour chez moi c'était très agréable c'est à ce moment que je l'a vit approcher. Amanda. C'était bien la dernière personne que je voulais voir aujourd'hui.

Amanda ce jeta à mon cou sous les yeux de Yuna, je repoussa gentiment Amanda et prit la main de Yuna dans la ma mienne comme pour la rassurer et je crois que sa eu un bon effet. Amanda était surprise de ma réaction, mais n'en laissa presque rien paraître.

Amanda : Bonsoir Tidus, hé bien tu me présente pas à ta poulette. Elle avait dis sa sur un ton agressif que j'avais pas du tout apprécier.

-Yuna voici Amanda c'est mon ex-copine, Amanda voici Yuna ma fiancée. Je ne savais pas si le mot fiancée était approprié, mais tout ce que je voulais c'était de clouer le bec à cette fille que j'avais fini par détester.

Amanda prit un airs de vierge effarouché : Quoi tu sors avec une fille qui a des origines d'Al Bhed. Tu es sûr que sa va bien Tidus chéri....

« Bon d'accord je dois l'avouer qu'elle m'a bien eu là, j'avais toujours dis que je ne sortirais jamais avec une Al Bhed, mais j'avais changer et Amanda devais le comprendre »

-Amanda les choses changent et évoluent vois-tu j'ai arrêter d'avoir une mentalité puéril, sur ce je dois te laisser je dois aller voir ma famille...

Il était temps que je termine cette conversation qui ne menait nulle part et qui me rendait de très mauvaise humeur. Je laissais donc en plan Amanda et suivis de Yuna je me dirigeais vers la maison familiale. Sur le chemin Yuna me posa différente question sur Amanda.

Yuna avait perdu son sourire et je m'apprêtais à savoir pourquoi assez rapidement : C'est cette fille qui ta laissée tomber? J'en déduis donc que tu sors avec moi seulement pour l'oublier.

À ses mots j'arrêta ma marche et me tourna vers Yuna qui osait même plus me regarder droit dans les yeux. Je déposai ma main contre sa joue tout doucement.

-Non je ne suis pas avec toi pour simplement l'oublier, je suis avec toi parce que je t'aime énormément et ça peu importe tes origines et d'où tu viens.

Yuna avait retrouver son sourire : Je te crois Tidus ! Alors on va voir ta famille maintenant ?

Je sourit et me pencha vers elle pour l'embrasser : Je t'aime ma Yuna....

Plus que je me rapprochais de la maison où j'habitais avant plus je me sentais nerveux. J'avais beau détesté mon père, mais c'était vraiment important pour moi qui approuve mon choix par rapport à Yuna. Nous étions arrivé sur le pan de la porte et j'apprêtai à tourner la poigner de la porte quand elle s'ouvrit rapidement. Mon père avec une bouteille de boisson à la main était devant nous. Mon père buvait beaucoup et a entendre les voix en arrière il devait être en pleine festivité.

Jecht : Salut fiston, tiens tu as emmener de la compagnie, mais c'est une charmante demoiselle que tu as là, dit-il en hoquetant.

Je le savais mon père avait trop bu encore une fois, je me plaça devant Yuna pour la protéger au cas que où que mon paternel est quelques excès.

-On arrives au mauvais moment je crois qu'on va revenir quand tu vas avoir repris tes esprits, je lui avais dis ça sur un ton plein de reproche.

Mon père me retient par l'épaule : Tu as cru vraiment que j'était entraide de boire tout mon soûle, je t'ai faite marcher n'est-ce pas et il éclata de rire.

Je détestais ce rire, en gros je détestais tout de lui.

Jecht : Ah! Fait pas cette tête là tu veux! Apprend à avoir un sens de l'humour, bon vous rentrez ou vous restez sur le perron?

Sans lui répondre je pris la main de Yuna dans la mienne et rentra dans la maison à la suite de mon père. Mon père nous servit des cafés à la table de la cuisine.

Jecht : Ça fait longtemps que vous êtes arrivé? Dit-il en prenant place sur une des chaises libre.

Yuna prit la parole à ma place : Non, cela fait environ 1 demi heure je dirais Sir Jecht...

C'est à ce moment que je vis les joues de mon père prendre un ton de rouge vif et il ce mit a bégayer : Lady Yuna, laisser tombé le Sir svp....

J'étais surpris mon père connaissais Yuna : Vous, vous connaissez, dis-je doucement.

Mon père me regarda et à mon grand étonnement avec une aucune méchanceté dans le regard : La connaître est un bien grand mot, disons que j'ai très bien connu son père...

À Suivre...


Sakuya