Remus James Lupin : il me semble qu'il le découvre au moment où il plonge dans la pensine de Dumbledore (il a vraiment de ces aventures avec les pensines !) et sinon, je vais voir ce que je peux faire pour Umbridge, parce que moi non plus je l'aime pas, mais pas du tout ! bisous
Andromede : contente que tu veuilles aussi suivre celle-là… et le procès commence ! gros bisous
Johp5 : je sais pas encore si ça va être drôle (enfin, si ça l'es se sera pas volontaire) et puis voilà… biz'
Godric2 : je suis contente que tu veules suivre cette suite, et on verra si tu auras toujours envie après… gros biz'
M4r13 : merci beaucoup ! je sais pas si j'ai un si bon niveau que ça en français, mais je me débrouille, au vu de mes résultats… allez, gros bisous
Hermione5 : kikoo ! bah, j'espère que cela aura été assez vite pour toi, et voilà le procès… ou du moins le début, gros bisous
Tiffany Shin : moi non plus, je n'aime pas Umbridge, mais j'avais pas vraiment envie d'inventer un nouveau personnage alors voilà, je me suis dit qu'elle ferait parfaitement l'affaire… allez, gros bisous
Darky : bah, il faut espérer que cela sera intéressant, on verra quoi ! bisous
Alex-13 : ça me fait très plaisir que tu aimes, et j'espère que cela restera le cas… gros bisous
Gabrielletrompelamort : merci, même s'il faudra encore attendre un peu pour le tome4 ! allez. Bisous
Aetius : merci beaucoup pour ton message et j'espère que ce chapitre te plaira ! allez, gros gros biz'
- J'appelle à la barre, Monsieur Potter, déclara Dumbledore.
Le jeune homme se leva, sachant qu'il serait le premier à passer. Après tout, c'était lui qui savait le plus de chose sur Sirius, depuis qu'il s'était échappé de la prison de Azkaban. Il s'assit à la place qui lui avait été indiquée.
- Monsieur Potter, jurez-vous de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérit ?
- Je le jure, déclara-t-il, la main droite levée.
Albus lui fit un sourire, et se décida à commencer l'interrogatoire.
- Monsieur Potter, savez-vous qui est Sirius Back ?
- Oui, il s'agit de mon parrain.
- Quels sentiments avez-vous à son égard ?
- Je le considère comme un père.
Il y eu des murmures dans la salle. Comment Harry pouvait-il considérer comme un père l'homme qui avait trahi ses parents, et les avaient vendu à Voldemort ?
- Le considérez vous comme responsable de la mort de vos parents ?
- Non !
Il y eut encore plus de murmure.
- Comment cela se fait-il ?
- Il n'a jamais été leur gardien du secret, contrairement à ce que tout le monde croit, ce n'est donc pas lui qui a révélé leur cachette à Voldemort.
Cette fois-ci, ce fut de frémissement que la salle fut secouée. Ils avaient tous peur du nom de Voldemort et le fait que Harry le prononce sans accro n'était pas du tout du goût de tout le monde. Mais la révélation qu'il venait de faire choquait encore plus les gens autour.
- Qui était le gardien du secret, Monsieur Potter ?
- Peter Pettigrow.
- Quoi ??? ne put s'empêcher de s'exclamer Fudge avant de se reprendre.
- Avez-vous vu cet homme ? demanda Dumbledore à Harry.
- Oui, Monsieur.
- Était-il vivant ?
- Oui…
- Ce sera tout, Monsieur le Ministre.
Toute la salle était emplie de murmure. Les gens conversaient sur ce que venait de dire Harry et celui-ci était plus que sûr que tout le monde le prenait pour un fou maintenant. Un fou et un complice de criminel. Quoi qu'il en soit, il était prêt à tout pour libérer son parrain.
- Très bien, bégaya Fudge. Maître Umbridge, le témoin est à vous.
La femme aux allures de crapaud se leva et vint se placer devant Harry.
- Monsieur Potter, savez-vous quelles sont les charges retenues contre Sirius Black ?
- Il est accusé d'être un Mangemort, d'avoir tué une douzaine de personne, dont Peter Pettigrow, et d'avoir livré mes parents à Voldemort.
Harry vit que Umbridge fut obligée de serrer la mâchoire pour ne pas le reprendre quand il prononça le nom du mage noire. Néanmoins, elle reprit vite sa contenance.
- Et pourquoi donc croyez-vous qu'il n'est pas coupable.
- Je l'ai dit, Maître, j'ai vu Peter Pettigrow vivant.
- Aviez-vous déjà vu Monsieur Pettigrow avant, Monsieur Potter.
- Non.
- Alors comment pouvez-vous êtes certain qu'il s'agissait bien de lui et non de quelqu'un qui était là pour aider Black dans son jeu.
- Je n'en ai aucun moyen, mais ce n'est pas la seule preuve de l'innocence de Sirius Black que j'aie eu.
- Et quelle autre preuve avez-vous eu, Monsieur Potter ? demanda ironiquement Umbridge, pensant qu'il ne saurait quoi répondre.
- J'ai vu ses souvenirs.
Cela fit l'effet d'une bombe et la femme qui l'interrogeait perdit toutes ses couleurs. Elle ne s'était visiblement pas attendue à ce qu'il ait autre chose pour faire innocenter Sirius que sa certitude d'avoir vu Pettigrow. Néanmoins, il fallait qu'elle continue son interrogatoire.
- Et comment avez-vous vu ses souvenirs ?
- Il les a mis dans une pensine et m'a demandé de les regarder.
Ce qui voulait dire qu'il n'y avait aucun moyen qu'il ait pu mentir et cela, toute la cours le savait, mais Umbridge affichait maintenant un sourire qui ne disait rien de bon pour le jeune homme.
- Donc, Monsieur Potter, cela veut dire que vous vous êtes retrouvé face à Sirius Black.
- En effet.
- Et quand cela ?
- Je ne sais plus exactement. Pendant la deuxième partie des vacances d'été.
- Et il vous a montré ses souvenirs, vous prouvant son innocence.
- Exact.
- L'avez-vous revu ensuite ?
Harry commençait à voir où elle voulait en venir. Elle voulait montrer qu'il avait aidé un criminel en fuite. Ce n'était vraiment pas bon pour lui. Malgré tout, il ne fallait pas qu'il mente, sinon ce serait Sirius qui en paierait les frais.
- Oui.
- A quelle fréquence ?
- Presque tous les soirs, pendant deux semaines, à peu près. Et ensuite, j'ai passé une semaine entière chez lui. Et le soir où j'ai fui de chez mon oncle.
Umbridge afficha un sourire carnassier avant de reprendre.
- Et pendant tout ce temps-là, vous saviez qu'il était recherché par le Ministère ?
- Oui.
- Alors pourquoi n'avez-vous contacter personne pour signaler que vous saviez où Black se trouvait ?
- Parce que le Ministère ne lui aurait pas laissé une chance de s'expliquer et l'aurait directement livré au détraqueurs !
- Et donc, vous avez préférez cacher un criminel en fuite ?
- Il est innocent.
- Ça, Monsieur Potter, ce n'est pas à vous d'en décider. Quoi qu'il en soit, j'en ai fini avec le témoin, Monsieur le Minsitre.
Fudge hocha la tête, content que l'avocate ait réussi à mettre du tort sur les épaules de Potter, aitcar il commençait à entrevoir la sérieuse méprise qu'il avait faite il y a treize ans et cela l'effrayait. Mais les autres personnes présentes dans l'assistance, les jurés, eux ne se souciait pas vraiment du fait que Harry ait aidé Black à se cacher, mais plutôt de ce qu'il avait dit quand à son innocence.
- Monsieur Potter, vous pouvez retourner vous asseoir, déclara Monsieur Fudge.
Pendant que Harry retournait à sa place, Dumbledore se leva à nouveau.
- J'appelle à la barre…
