Affaire 6978 : Sirius Black

Réponses aux reviews : chapitre 2

Alex-13 : voilà, je pense que j'ai fait assez, vite, mais il faut dire que je ne suis pas très douée pour ce qui est des audiances de tribunal et que c'est très répétitif… allez, bisous

Tiffany Shin : ben non, elle arrive pas à le discréditer ! on ne peut pas discréditer quelqu'un qui dit la vérité, il va falloir qu'elle l'apprenne ! mais c'est vrai qu'elle fait un bon avocat (quand on veut quelqu'un de dur à cuire)… bisous

Remus James Lupin : ben oui, c'est pas drôle si tout le monde est tout de suite convaincu… enfin, c'est pas que je voudrais pas l'accuser, mais elle a encore rien fait (et Harry ne peut pas l'accuser, il ne la connaît pas) allez, biz'

M4r13 : des hauts et des bas, c'est sûr Umbridge va tous faire pour mais a ton avis ? crois tu que je vais libérer Sirius ou non ? bisous bisous

Johp5 : ben non, c'était pas Rémus, mais y va bientôt passer… faut dire que j'y vais un peu au bol pour l'ordre de passage… allez, bisous

Aetius : ben non, c'était pas Rogue, mais je sais pas vraiment dans quel ordre je les fais passé alors, tu vois… c'est difficile de deviner si même l'auteur ne le sait pas… biz' bisous

Godric2 :. Contente de voir que tu aimes malgré que les chapitres sont courts, d'ailleurs celui-ci le sera encore plus (tout comme les prochains) enfin, gros bisous et j'espère que cela te plaira quand même… bisous

Gabrielletrompelamort : tu m'enverras le dessin ? que je puisse moi aussi m'amuser un peu avec ? enfin, merci et gros bisous

Darky : oui, elle est méchante, très méchante, et si tu veux tu peux aussi lui mettre un coup de poing de ma part ! allez, gros bisous

Enna : tiens, ta première proposition était juste ! j'espère juste que cela va te plaire ! et pour Sirius, je ne sais pas encore… alors, gros bisous

Khiêna : merci, c'est très gentil et je suis désolée de ne pas pouvoir accéder à ta requête (mais si c'est pas l'envie qui me manque) mais c'est sensé être une fic sérieuse, donc pas de dragon ! dommage… allez, gros bisous

Alinemcb54 : merci beaucoup pour ton message et gros bisous !

Chapitre 03/08

- J'appelle à la barre, Mademoiselle Ginny Weasley.

La jeune fille se leva et vint prendre la place qu'occupait Harry moins de deux minutes plus tôt. C'était normal que cela soit elle qui passe en deuxième. Après tout, elle était celle qui, à part Harry, connaissait la vérité depuis le plus longtemps.

- Mademoiselle Weasley, jurez-vous de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérit ? demanda Dumbledore.

- Je le jure, Monsieur.

- Bien… alors quand avez-vous entendu parler de Sirius Black pour la première fois ?

- Quand j'ai vu sur le journal qu'il s'était évadé.

- Et que racontait l'article.

- Que Sirius Black s'était échappé de la prison de Azkaban où il avait été enfermé pour le meurtre de douze personne. Et que son but était de tuer Harry Potter.

- Très bien, et quand est-ce que vous avez découvert que ce n'était pas la vérit ? demanda Dumbledore.

- Le jour de la rentrée, se remémora Ginny. Harry était redescendu dans le dortoir durant la nuit et comme je n'arrivais pas à dormir, je l'ai rejoint. Il ne m'avait pas entendu arriver et j'ai pu voir qu'il écrivait une lettre à Sirius, et c'est pour cela que je lui ai demandé des explications.

- Que vous a-t-il expliqu ?

- Que Sirius n'était pas qui je croyais, qu'il avait été piégé et qu'il ne lui voulait aucun mal.

- Vous l'avez cru ?

- Bien sûr ! Harry ne mentirait jamais sur un sujet aussi important que cela ! s'exclama la jeune fille, outrée que le directeur puisse douter de la confiance qu'elle avait en son ami.

- Très bien, je n'ai aucune autre question, Monsieur le Ministre.

Fudge hocha la tête et demanda à Umbridge de continuer l'interrogatoire, espérant à tout prix pouvoir trouver une faille dans toute cette histoire, qui ferait à coup sûr une mauvaise impressions pour la suite de sa carrière politique si elle se révélait exacte.

- Mademoiselle Weasley, vous dites avoir appris l'innocence de Sirius Black lors du jour de la rentrée ?

- C'est exact.

- Pourquoi Monsieur Potter vous aurait-il tout révéler à vous alors que vous ne faisiez pas partie de ses meilleurs amis ?

La jeune fille se sentit vexée. Comment est-ce que cette bonne femme pouvait dire qu'elle ne faisait pas partie des meilleurs amis de Harry ? même si elle n'avait pas toute à fait tort, quand au fait que Harry et elle n'était pas très proche avant cette année-ci.

- Il n'a pas eu le choix, j'ai vu qu'il avait adressé sa lettre à Sirius. S'il ne m'avait pas expliqué la vérité, je n'aurais eu d'autre alternative que d'en parler au directeur, et il ne le voulait pas.

- Qu'est-ce qui était écrit sur la lettre ?

- Harry parlait à Sirius de l'attaque des détraqueurs dans le train, du Professeur Lupin, ainsi que le fait que l'école était protégée par les détraqueurs.

Umbridge hocha la tête. Harry ne parlait de rien qui aurait pu être un motif d'ennui. C'était bien dommage pour elle, mais il fallait qu'elle trouve quelque chose.

- Et pourquoi n'en avez-vous pas parlé à quelqu'un ?

- Parce que Harry m'a donné sa confiance, et que je ne l'aurais jamais trahi. De plus, il fallait d'abord trouvé la preuve de l'innocence de Sirius.

- Mais vous ne l'avez pas cette preuve ?

- Six personnes ont vu Pettigrow vivant, c'est une preuve suffisante, je crois.

- Oui, mais vous aviez dit que vous attendiez une preuve pour en parler au directeur, une preuve matérielle, je suppose que vous voulez dire ?

- Oui, mais…

- Mais vous n'aviez aucune preuve matérielle quand vous l'avez dit au Professeur Dumbledore.

- Non, mais on n'avait plus vraiment le temps. Le Ministre était sur le chemin pour l'exécution de Sirius, il fallait qu'on le libère et on avait besoin de l'aide de Dumbledore.

- Donc, vous avez aidé Sirius Black à s'échapper ?

- Non, affirma Ginny.

Et elle ne mentait pas, elle n'avait absolument rien fait pour libérer Sirius et personne ne pouvait rien redire à cela. Elle savait qui l'avait fait, mais elle n'avait pas participer.

- Très bien, j'en ai fini avec elle, Monsieur le Ministre.

- Très bien, vous pouvez retourner vous asseoir, Mademoiselle Weasley.

La jeune fille hocha la tête et se leva, retournant aux côtés de ses amis, pendant que Dumbledore revenait vers le devant de la salle.

- J'appelle à la barre…