Réponse aux reviews : chapitre 05
Diabella : voici la suite ! j'espère que ça te plaira toujours autant ! bisous
Le Corbeau : oui, la suite est prévue… en tout cas, je continue ! gros bisous
Alex-13 : c'est vrai que Hermione a un peu plus de répondant que les autres, mais je la vois comme cela. Elle veut toujours arriver à convaincre les autres de ce qu'elle croit… allez, biz'
Théalie :. Voilà le prochain témoin ! bisous
Alinemcb54 : bravo ! tu t'es pas trompée ! c'est bien Ron…. Allez, gros bisous
Kitty-luv-Snape : ouais, vive Hermione !!! voilà le prochain chapitre, j'espère que ça te plaira toujours… biz'
Enna : et voilà, après cela, plus de suspence… enfin, sauf pour le verdict.. bisous
Remus James Lupin : c'est vrai que dès fois le côté je-sais-tout de Hermione peut être utile, n'est-ce pas ? gros becs
M4r13 : je crois qu'elle est un peu jeune pour être ministre, mais peut-être plus tard…. Au moins, elle ferait en sorte que toutes les créatures aient des droits égaux. Allez, gros bisous
Aetius : et oui, c'est Ron ! gros bisous
Déposition n5 : Ronald Weasley : chapitre 06/08
- J'appelle à la barre Monsieur Ronald Weasley, déclara Dumbledore.
Ron tiqua sur l'utilisation de son prénom complet mais ne fit aucune remarque, d'ailleurs quelle remarque aurait-il pu faire au directeur ? Surtout devant une cours de justice ! Il alla donc se mettre sur le siège des témoins et attendit la première question à venir.
- Monsieur Weasley, jurez-vous de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérit ?
- Je le jure, Monsieur, déclara solennellement Ron.
Dumbledore lui fit un sourire, voyant sa nervosité et se mit à l'interroger comme ses témoins antérieurs.
- Monsieur Weasley, vous avez grandi dans une famille de sorcier, vous savez donc qui est Sirius Black et de quoi il est accus ?
- Oui, Monsieur, je sais parfaitement quels sont les crimes qu'on lui impute.
- Vous avez appris en même temps que Miss Granger la sois-disant raison pour laquelle il s'était évadé.
- Oui, j'étais avec elle quand Harry nous a dit que Sirius en avait après lui.
- Vous étiez aussi là lorsque toute la vérité a été révél ?
- Oui j'étais dans la cabane hurlante.
- Pouvez-vous, Monsieur Weasley, confirmer ce que nous ont dit vos camarades ainsi que le Professeur Lupin sur le compte rendu de ce qu'il s'est passé dans la cabane hurlante ?
- Oui, Professeur, tout ce qu'ils ont dit n'était que la vérité pure et simple.
- Très très bien. Une dernière question, Monsieur Weasley, Sirius Black vous a-t-il menacer quand vous étiez seuls dans la cabane hurlante ?
- Non, Monsieur. Il ne m'a absolument pas parlé, seulement pour me dire qu'il ne me ferait jamais de mal.
- Très bien, Monsieur Weasley, très bien. Ce sera tout, Monsieur le Ministre.
Fudge hocha la tête, contrarié par le fait que Sirius Black n'ait pas menacé Ron. Cela aurait aidé à prouver aux membres du jury qu'il était réellement coupable. Enfin, de toute façon, Black ne pouvait être prouvé innocent, puisqu'il était coupable, n'est-ce pas ?
- Maître Umbridge, si vous le voulez bien… invita Fudge.
La femme se leva et vint se placer devant le jeune homme. Elle espérait qu'il ne serait pas aussi réponse-à-tout que Hermione, sinon elle ne savait vraiment pas comment est-ce qu'elle pourrait arriver à mener l'interrogatoire comme elle le voulait ?
- Très bien, Monsieur Weasley. Si vous me disiez dans quelles circonstances exactement avez-vous rencontré Monsieur Black ?
- Dans la cabane hurlante, lors de la soirée d'exécution de Buck.
- Et je suppose qu'il vous avais gentiment demandé de le suivre dans cette… cabane et que vous, comme le bon petit garçon que vous êtes, vous l'avez suivi sans rien dire.
- Pas exactement.
- Alors comme vous y a-t-il emmen ? De force, peut-être ?
- Oui. Il m'a traîné par la jambe alors qu'il était dans sa forme animagus.
- Vous a-t-il bless ?
- Un peu, mais il s'est tout de suite excusé. Et ce n'était vraiment pas grave.
- Donc, il a fait preuve de violence ?
- Ce n'était pas contre moi, mais contre Croûtard. Si Croûtard n'avait pas été dans ma main, il ne m'aurait pas emmené avec.
- Croûtard ? s'étonna Umbridge.
- Mon rat. C'était Pettigrow sous sa forme animagus.
- Depuis combien de temps avez-vous ce rat, Monsieur Weasley ?
- Il est dans ma famille depuis douze ans.
- Et dans ce labs de temps, il a été pendant trois ans dans le même dortoir que Monsieur Potter, ici présent. Pourquoi n'a-t-il donc pas essayé de le tuer ?
- Parce qu'il avait trop peur. Le Professeur Dumbledore l'aurait tout de suite repéré et mis hors d'état de nuire. Il n'avait plus son Maître pour le protégé, et comme c'était sa faute si Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom a disparu, ses anciens fidèles auraient essayé de le tuer.
- Et qui vous a fourni cette explication abracadabrante, Monsieur Weasley ? demanda Umbridge, exaspérée.
- Sirius Black, mais Pettigrow n'a pas nié. Il semblait trouvé cette explication assez juste.
- Très bien, Monsieur Weasley, je n'ai pas d'autre question pour vous. Conclut la femme, semblant assez satisfaite d'elle-même.
Fudge hocha la tête pour montrer son accord.
- Vous pouvez aller vous rasseoir Monsieur Weasley ! Dumbledore… pressa le ministre.
Dumbledore se leva, Ron reprenant sa place aux côtés de ses amis, et se racla la gorge.
- J'appelle à la barre…
