Auteur : Sakura Hiwatari
Base : elle change pas
Genre : Défis sauce Sakura, OCC de la taille d'un gundam, kawai(yeah ! j'ai trouvé un nouveau genre !), etc.
Disclamer : je voudrais bien avoir un chibi Heero à la maison, et les autres G-boys pour s'occuper de lui aussi, mais rien a faire, on veux pas me les céder ! Bah, je les emprunte, c'est du pareil au même !
Note : eyh yeh ! je suis de retour !(pour vous jouer un mauvais tour o on voit les références) alooooooooors, par où commencer… merci a tous et toutes d'avoir lu et aimé ette fic, ça me touche beaucoup vous savez ! Et si vous ne le saviez pas, je vous le dit ! vos reviews me poussent un peu a faire une suite, car, je vous l'avoue, je suis flemmarde ! lol mais il faut aussi dire que j'ai peu de temps a moi en ce moment, et que je consacre trèèès peu de ce précieux temps a mes fics, j'en suis navrée. Faut dire aussi que j'en ai écrit trop oO c'est trop pour mon pitit cerveau !
Enfin bref, le nouveau chapitre est là, et je m'excuse pour cet incomensurable retard auquel je me ferais pardonner incessament sous peu durant mes vacances ! je vais tenter de fiker un max…
Gros bisous encore aux reviewers(euses) toujours au rendez vous, et a ceux qui me soutiennent dans mon entreprise !
Dur dur d'être fanfikeuse o
Little Perfect Soldier… Chap.4COUCOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU !!!!!!!!!!!!!!!!
AAAAAAAAAAAAH !!! Ah……..ah….. oumf….Hee….Heero ?
Ah, vi! c'est mouaaa! tu m'as reconnu Duo ? ou tu m'as vu ? ou alors est ce que tu m'as vu et reconu ? hein dit Duo ? Hein ? dit dit dit dit dit dit dit dit dit dit dit dit dit dit dit dit???
Heu, Heero, tu devrais arrêter de sauter sur le ventre du pauvre Duo, il a l'air d'avoir un peu de mal a respirer… fit Quatre en prenant le bout le chou dans ses bras.
Oops, gomen nasai Katoru Sama…
ce n'est pas a moi que tu devrais t'excuser mais a Duo.
Oh… gomen ne Duo chan. Ze le ferais plus, c'est juré !! fit il en une sorte de longue plainte, humidifiant déjà ses grands yeux prusse.
C'est…, pas… grave Heero. Répondit Duo, difficilement.
Ah ! alors c'est tant mieux ! doit, si c'est pas grave, je peux recomme,ncer , hein dit Duo ? Hein ? ditditditditditditditditditditditditditditditditditditHUMF !
Allez, ça suffit Heero ! On va laisser Duo se remettre un peu de ses émotions, pas vrai ?
Hmf ! Huhuhuhummff !!! fit heero, la maind e Quatre bien placée sur sa bouche, l'empêchant ainsi de parler et de débiter un flot monstrueux de paroles dans les oreilles de ce pauvre Duo qui se réveillait a grand peine.
Dit, tu veux faire un jeu amusant ? demanda suspicieusement Duo.
De quoi ????? répondit aussitôt Heero, enlevant la main de Quatre de sa bouche après l'avoir scrupuleusement mordue et léchée pour faire lâcher prise a l'arabe.
Ca s'appelle « allons embêter Wuffynounet en allant chercher ses caleçons avec des petits dragons dessus et en les arrachant a un bout de bois comme un drapeau ». Tu accepterais cette mission Heero ?
Inconsciemment, au mot mission, les yeux de l'ex-pilote 01 s'illuminèrent, et une petite lueur bien connue de tous y fit son apparition.
Mission acceptée. Dit Heero le plus sérieusement du monde, avant de se mettre a courir en chantonnant gaiement « allons embêter Wuffynounet en allant chercher ses caleçons avec des petits dragons dessus et en les arrachant a un bout de bois comme un drapeau, lalalala… »
Riant sous cape, Quatre regarda le petit soldat parfait gravir une a une les marches des escaliers, tantôt debout, tantôt a quatre pattes, ses petites jambes ne lui permettant pas de monter plus rapidement les hautes marches devenues trop grandes pour lui. Il tourna ses yeux vers Duo qui, allongé sur le canapé, haletait toujours sous le réveil difficile qu'il venait de subir.
Vas tu t'en remettre mon pauvre Duo ? demanda Quatre en s'asseyant sur la table basse en face du canapé.
Je crois oui. Mais dit moi quatre…
Hm ?
Tu ne m'avais pas dit que tu emmenais heero faire des courses…
Ah ! ça… ou, en fait, nous étions partis pour le parc, et je me suis rendu compte de quelque chose en route…
FLASH BACK
Quatre marchait dans les rues piétonnes de la ville en direction du parc, tenant le petit Heero par la main. Lorsqu'il avait accepté d'emmener leur ex-leader faire une ballade, c'était surtout pour que celui ci laisse un peu le pauvre Duo en paix, qui n'avait eu de cesse que de le surveiller depuis leur retour remarqué à la planque. Sautillant comme un cabri, le jeune Heero chantonnait, jouait, tirait sur la main du pauvre Quatre qui devait se baisser tous les trois pas chaque fois que le japonais faisait une acrobatie dont il avait le secret.
Et un et deux et trois petits moutons, qui sautent dans les prés…lalalalalala… et quatre et cinq et six petits moutons, qui sautent dans les prés…et plouf dans l'eau !
Dit moi heero, où… as tu appris une si jolie chanson ?
Ah ? c'est Duo qui me l'as chanté pour « m'occuper » il a dit… mais j'ai pas compris pourquoi il a dit ça.
Ne t'inquiète pas, moi je comprends… souffla l'arabe.
Ah ! Alors c'est que t'es aussi intelligent que Duo, ne ?
Heu, très sincèrement…
Allez ! Tu chante la chanson des moutons avec moi Katoru sama ?
c'est que… je… je ne la connais pas… fit Quatre, tentant de se défiler.
Oh, tu vas voir ! c'est joli ! écoute et répère avec moi ! Et un et deux et trois petits moutons !
Et un et deux et trois petits moutons…
Qui sautent dans les prés !
… qui sautent dans les prés…
Et Quatre et cinq et six petits moutons !
…et quatre et cinq et six petits moutons…
Qui sautent dans les prés !
…Heero, tu devrais faire…
Et PLOUF dans l'eau !!!!!
…..attention….
A dernier vers de la chanson, le brun sauta a pieds joins dans une immense flaque d'eau qui trônait au beau milieu du trottoir, au plus grand plaisir du petit japonais, mais au désarroi de Quatre qui ne savait que faire de ce garnement mouillé.
regardes toi Heero ! Tu es tout mouillé maintenant ! Rah, et qu'est ce que je vais faire de …
Gomen ne katoru Sama, mais je voulais juste jouer… et j'ai pas froid comme ça, c'est pas grave…
Il y a quelque chose de plus grave encore ! fit Quatre, décomposé.
Et… c'est quoi ? osa le pilote du Wing.
Je t'ai emmené dehors, alors que tu es encore en débardeur ! Mais quel idiot je fais !!
On dit Baka, katoru sama.
L'arabe regarda L'enfant qui le fixait avec une moue adorable. Celui ci portait effectivement le long débardeur vert d'avant sa transformation, et qui lui arrivait bien en dessous des chevilles. Trempé jusqu'aux os, Heero frissonnait mais tentait de ne pas le faire remarquer. C'était évidemment sans compter sur l'instinct protecteur et légèrement mère poule de Quatre qui le sentit tout de suite. L'enveloppant dans son grand manteau, Quatre changea de direction et se précipita dans le premier magasin de vêtements qui lui tomba sous la main… magasin qui se trouva être à une demi heure de bus, quinze de marche, en comptant les divers « arrêts pipi » de Heero et la chasse aux oiseaux improvisée par le jeune japonais qui se trouva une passion nouvelle pour l'ornithologie.
Fin FLASH BACK
Et après?
On est rentrés dans le premier magasin, rempli de vendeuses ! Se je n'avait pas retenu Heero, il aurait laissé le perfect soldier en lui s'occuper des vendeuses !
… et pourquoi ?
Elles n'ont pas arrêter de nous pincer les joues dés que nous avons franchi les portes de la boutique !
NOUS ????
Oui… moi… moi aussi… murmura Quatre, légèrement honteux.
Je te l'avais dit que t'avais des joues a croquer !!!
Calmes toi un peu Duo, ce n'est pas l'affaire.
Excuses moi. Et ensuite ?
On a fait plusieurs autres boutiques, deux galeries marchandes… je ne savais pas qu'habiller un bout de chou était aussi fatiguant !
Un cri a l'étage les tira de leur conversation alors qu'un vague « Rends moi ce caleçon, sale petite vermine a pattes !!! Reviens ici tout de suite et j'éviterais de te découper en rondelles ! » leur parvenait aux oreilles.
Quatre lança un regard réprobateur a Duo qui se contentait de lever les yeux au ciel et de sourire discrètement.
Tu es fier de toi, je présume ?!
Et comment ! Si ce n'était pas Heero, j'en ferais mon fils spirituel !
…
Heu, et ensuite, qu'avez vous fait ?
Tu as l'art et la manière de détourner une conversation !
Je suis censé m'occuper de lui, alors je veux savoir comment tu as réussi a occuper sa journée…
Très bien. Donc, nous avons fait plusieurs magasins, et après deux heures de pinçages de joues et de regard brillants…
Il a fait du charme aux vendeuses ?!
Oui, et il est doué je dois dire… heu, enfin…oh Allah !
Racontes !
Grâce a lui et ses « magnifiques yeux bleus », on a eu une réduction de 50% sur tout le rayon puériculture et vêtements en tous genres.
… Tu m'aurais dit ça de Heero il y a une semaine, je t'aurais jamais cru…
Et moi donc ! et je ne te parle même pas du magasin de chaussures !!!
Pourquoi ?
Sache que tu n'as ni habillé ni chaussé le petit enfant dont tu as la charge, monsieur Duo Maxwell ! tu devrais avoir honte !!!
Euh, et après, vous avez fait quoi ?
Duo…
l'art et la manière, tu l'as dit toi même ! fit il avec un grand sourire.
… ça a été horrible.
Tant que ça ?
Il a essayé 40 paires de chaussures !! Il a même fait pleurer le vendeur !!
eh bah… si seulement je m'attendais à ça… je suis heureux d'être assis.
On a quand même fini par lui trouver quelque chose qui lui plaise, qui soit a sa taille, qui soit mode, qui soit « joli et pas trop moche », qui « fasse pas fille parce que Duo il aimerais pas ça », enfin bref, un vrai parcours du combattant !
… laisse moi deviner… c'est lui qui a choisi ces critères, ne ?
Exact.
Quatre se laissa tomber sur le canapé aux côtés de Duo et soupira.
Ma patience a été mise a rude épreuve aujourd'hui. Je crois que je mérite ma place au Paradis…
Tu as une patience d'Ange Quatre. Mes respects.
Tous deux se regardèrent, très sérieusement, puis éclatèrent soudain de rire. Une sorte de petite bombe brune dévala les escaliers à toutes vitesses, le tout sur les fesses pour gagner de la vitesse, et s'arrêta devant Duo, interrompant sa course.
Regarde Duo ! je l'ai trouvé ce caleçon !! Mais par contre, j'ai pas de bâton… je fait comment ?
Humm… Il y a une sorte de grand bâton dans la chambre de Wufei. Il est posé sur sa table de chevet, en face de son lit, tu ne peux pas la manquer !
Oki doki ! je vais la chercher !!
A ce moment précis, Wufei dévala les escaliers à une vitesse phénoménale, les yeux furibonds et le visage décomposé.
Où est il ?!! Où est il ?!! je vais l'étriper, ex-pilote 01 ou non !!! hurla Wufei, les cheveux en bataille. Maxwell !!! Dis moi où….
Gomen, je passe !!!!!
Heero se traîna à 4 pattes et passa sous les jambes du chinois en moins de temps qu'il ne fallu pour le dire, attirant par la même les regards pour le moins étonnés des trois autres pilotes. Heero était pour le moins agile, et il ne lui fallu que peu de temps pour gravir les escaliers.
Dis Duo, le bâton, t'es sur qu'il est sur la table de chevet ?
Et sur un acquiescement de tête discret de Duo, le japonais s'en alla parfaire son œuvre, alors que Wufei restait tétanisé et haletant au beau milieu du salon.
…bâton ? Table de chevet ???? MAXWELL !!!!!!!!!!!!!!! C'est mon KATANA que tu appelle « bâton » ???? JE VAIS TE TUER !!!!!!
Wufei, pour le bien de l'humanité et surtout de mes oreilles, ARRETE DE HURLER !!!!! Merci.
Avez vous fini tous les deux ? tenta Quatre en s'interposant de sa voix calme et sereine.
C'est vrai ! Wufei, arrête de chercher les histoires…
MAWWWWWWWWWWXEEEEEEEEEEEEEELLLLLLLL !!!!!!!!!!!!!!!!
Un énorme « JE L'AI TROUVEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE » retenti dans toute la maisonnée, ce qui fit tourner la tête de tous vers l'étage supérieur.
Silencieusement et calmement, ce qui fit légèrement peur à Duo sur le moment, Wufei desserra les poings et alla se poster tout contre le mur, aux pieds de l'escalier, et n'en bougea plus. Intrigué, Quatre le regarda faire alors que Duo prononça la question muette que l'arabe se posait en lui même.
Bah Wu, qu'est ce que tu nous as encore invent ?
Tu es encore plus bête que je ne le pensais…
Quelle amabilité. Et après ?
Si ce chenapan a réussi à monter les escaliers, il va bien falloir qu'il en descende ! et je serai alors là pour le rattraper !!
Wufei, ce stratagème est indigne de toi…
Parce que tu crois qu'aller fouiller dans mes sous vêtements est une attitude digne ?! Et de toute façon, peu m'importe, tant que l'ennemi se trouve coinc !
Il n'avait pas tors… peu de temps après l'acquisition de l'étendard rouge orné de petits dragons et de son support, Heero fut bien obligé de descendre les escaliers, rencontrant inévitablement une « résistance ».
Allez, fini de jouer Yui. Rends moi mon Katana et mon… enfin, rends.
Le japonais le toisa de son petit mètre et souffla de dédain, sans dire un mot. Wufei ne s'en laissa pas démonter pour autant. Duo, qui sentait venir le coup fourré à plein nez, posa une main sur l'épaule de Quatre, qui, peu rassuré, plus pour Wufei que pour heero, commençait à se ronger les ongles à une vitesse ahurissante. Au moment même où Wufei, perdant patience, commença à gravir les marches de l'escalier, le jeune Yui sauta de la plus haute d'entre elle, se servant du caleçon asiatique comme d'un simple parachute pour ensuite se laisser glisser le long de la rampe d'escalier à la vitesse de l'éclair. Les pieds, ou plutôt, les fesses ayant enfin touchées le sol, le japonais se remis sur ses petites pattes pour aller, tel que le lui avait demandé Duo, brandir son double trophée à travers toute la maison, chantonnant joyeusement.
C'est bizarre, mais ça ne m'étonne même pas… murmura Wufei.
Quatre et Duo, se regardant, éclatèrent de rire.
Plusieurs minutes s'écoulèrent avant que le japonais ne s'épuise et que tout le monde dans la maisonnée ne soit au courrant de la couleur des sous vêtements du chinois. Se lassant quelque peu de cette course poursuite qui ne rimait à rien, Heero alla soigneusement déposer le caleçon sur le canapé, à côté du katana, et s'en alla parcourir les pièces de la maison, pièces qu'il n'avait pas eu le temps de bien voir puisqu'il courrait sans savoir où il allait.
Son regard se posa partout, sur chaque objet, sur chaque meuble, leur portant à chaque fois une attention toute particulière, comme si il se devait de respecter toutes ces choses qui lui étaient inconnues jusqu'à lors.
Dans le salon, Duo, Quatre et Wufei, discutaient joyeusement, entre deux ou trois grognements périodiques de l'asiatique, heureux et vexé d'avoir récupéré « ses biens ». Un petit sourire florissant sur ses lèvres, le japonais fut tenté de faire une entrée fracassante, histoire de montrer à Wufei qu'il n'était pas à cours de ressources. Mais, étrangement, quelque chose en lui le retint de mettre e,n œuvre une nouvelle bêtise, et il retourna à l'exploration de cette bâtisse qui lui paraissait immense pour sa petite taille.
Ce dédale lui semblait infini. A chaque porte qu'il ouvrait, une nouvelle pièce faisait son apparition, tant et si bien que le jeune Heero cru bien se perdre dans ce labyrinthe. Pourtant, sans qu'il ne sache vraiment pourquoi, il avait la conviction de savoir où il allait, malgré le fait que, pour lui, il visitait cette maison pour la première fois de sa vie.
Les portes s'enchaînaient à ne plus finir, ouvertes ou entrebaîllées, lui donnant accès à tout le complexe.
Pourtant, l'une d'entre elle retint son attention plus que les autres. Elle était haute, large, sculptée à même un bois fort et vigoureux, mais plus encore : elle était fermée.
Les portes fermées attirent plus la curiosité des enfants, comme renfermant une sorte de trésor caché, ou une interdiction à braver… Dans le cas du japonais, les deux solutions étaient valables. Cette porte ne lui dissimulerait ses secrets pour longtemps !
Se mettant sus ses pointes de pieds, il tenta d'atteindre la poignée, sautillant sur place, prenant tout son élan, grognant et tappant des pieds sous le coup de la colère. Puis, se ressaisissant, il prit une moue des plus sérieuse et observa longuement l'obstacle qui se dressait sur son chemin.
… La poignée est trop haute… murmura-t-il.
Tournant la tête de tous côtés, il remarqua une chaise calée contre un coin de mur, et, remontant ses manches, pris la résolution de la pousser vers la porte.
Les pieds de la chaise émirent un son strident lorsqu'elles entrèrent en contact avec le parquet ciré de Quatre, y laissant quelques marques des plus voyantes. Le petit japonais atteignit tant bien que mal son objectif et, l'œil brillant, escalada vite et bien de façon à atteindre la poignée dorée qu'il poussa.
Le loquet s'ouvrit en un bruit léger, laissant apparaître aux yeux émerveillée d'Heero la pièce tant espérée.
… C'est quoi cette chose ?
N'attendant pas de réponse à sa question, il s'avança prudemment vers ce qui promettait d'être « très amusant » pour lui… mais, en serait il de même pour les autres ?
A suivre
Sakura : Mon dieu, depuis le temps que ce chapitre traîne…
Duo : je ne te le fait pas dire
Sakura désolée de ne pas avoir pu faire u chapitre plus long, mais je suis un peu à cours, ces derniers temps ! Promis, dés les grandes vacances, je m'y met, je le jure !
Dites moi si vous avez aimé ce chapitre, tous les commentaires sont bons, et puis, vos avis comptent vraiment beaucoup pour moi.
Merci beaucoup à vous de me suivre à chaque chapitre !
Bisouus
