Disclaimer : on sait, tout est à AKIRA TORIYAMA (mm pa assé sympa pr nou laissé végéta, celui là)

Totale DBZ 100

J'ai relooké la fic pr ke ça donne un peu envie de lire quoi, vu ke jai kune seule fan ke je remercie !

-C'est gentil, ça ! tu es bien le fils de ton père, très très railleur ! va donc prendre une douche, tu pues !

-Oh ! bon d'accord ! se résigna t'il en montant les escaliers menant à la douche. Et au fait, Goku vient de nous contacter. Il a décidé de prendre sa journée et de revenir pour le tournoi d'art martiaux combattre enfin papa le mois prochain. Tu peux essayer de l'arrêter, au moins ? depuis ce matin il n'a pas fait de pause.

- je sais. T'en fais pas, je stoppe ça immédiatement.

Elle fit une entrée plutôt fracassante dans la salle de gravité et déclara qu'il était plus que temps de manger quelque chose, ce qui raidit aussitôt Végéta. Il avait très faim.

-Tu ferais mieux de prendre un bain, et pas le moindre ! ensuite, on ira dîner au restaurant avec Trunks.

-tu savais qu'il se transformait en super saiyen ? questionna t'il un peu plus tard, dans la chambre pendant qu'elle se coiffait.

-Depuis qu'il a trois ans à peu près, répondit elle essayant de se retenir les cheveux avec une barrette en diamant. Je croyais que tu le savais.

-Pas du tout ! je viens de l'apprendre à l'instant.

-Maamann ! tu peux venir me chercher une chemise, s'il te plaît ? cria une voix dans l'interphone général.

-Porte un tee shirt et un jean, on va à la pizzeria à côté.

-Est ce que t'as vu ma brosse ?

-Elle doit être dans ma salle de bain, viens la chercher. Sinon, prends celle de ton père.

-ok !

Presque dans la seconde, il se retrouva dans la douche de ses parents et se brossa les cheveux.

-chéri, combien de fois t'ai je dit de ne pas courir dans la maison ? tu risque de casser quelque chose de cher ou de te blesser.

-pardon, je le referai plus, soupira t'il en ressortant. J'ai le droit de prendre mon épée ?

-on va manger, pas cueillir des fleurs, lui lança son père en lui accordant la grâce d'un regard de dédain.

-Végéta, arrête ! lui chuchota t'elle en le tapant du coude. Je te rappelle que c'est un enfant !

-Bon, bon, si tu veux... mais ce sera contre ma volonté, grommela t'il en sortant de la chambre.

Trunks était sur le point de pleurer. Sa mère le prit dans ses bras pour le consoler.

-Ne pleures pas, mon petit prince. Tu sais, s'il fait ça, c'est parce qu'il t'aime. J'ai subi pire avec lui, mais je sais que jamais il ne supportera qu'on nous fasse du mal.

-Snif !snif ! mais, pourquoi il est pas comme les autres papas ? mes copains, ils font tout avec leur papa !

-C'est comme ça, mon chéri ! tu as un père dur, mais au cœur tendre. Il est si fier que jamais il ne voudra s'abaisser à emmener son fils dans un parc d'attraction, il en oublie que tu as du sang humain et que des sentiments enfantins, par conséquence. Mais si tu as besoin de lui parler, vas y franchement. Il ne t'en voudra jamais pour ça. Ça y est, c'est fini, les pleurs ?

Il bougonna que oui.

-Alors, sois gentil et laisse ton épée ici pour ne pas le vexer.

-D'accord. Merci, je t'aime, maman.

-Moi aussi je t'aime, mon petit prince. Tu pourras y voir Tom et Matt, leurs parents vont manger dans le même restaurant. On y va ?

-On y va !

Il n'y avait maintenant aucune trace de chagrin sur son visage et il gambada joyeusement jusqu'à la voiture de sport. Il ne vit pas son père adossé contre le mur du salon, tant il était excité de voir ses copains.

Quand Bulma passa, elle n'eut même pas besoin de se retourner et devina sa présence.

-Alors ?

-Alors quoi ?

-Tu as une fois de plus rattrapé mon coup ?

-de quoi tu parles ? je l'ai juste consolé de ce que son soi disant père lui fait ! j'espère que tu as entendu ce qu'on s'est dit et que tu en as retenu une bonne leçon.

-Je ne vois pas pourquoi je devrais l'emmener au parc avec ces misérables êtres !

-Arrête, merde ! c'est ces misérables êtres qui te préparent à manger, qui soignent ton fils, te permettent d'avoir à boire, une voiture, des plantes, du bonheur ! et je te signale que tu es avec une misérable humaine, alors, du respect ! jamais Goku ne s'est comporté ainsi, méprisant les autres parce qu'ils sont inférieurs ! C'est toi le misérable, ici ! maintenant, l'affaire est close. On va bouffer et se coucher. Je ne veux plus entendre parler de ça.

Elle monta dans la voiture et démarra.

-Je suppose que ça te répugne de monter dans la voiture d'une humaine ? tu nous rejoindra là bas, dans ce cas !

-Dis m'man, c'est à cause de moi que vous êtes fâchés ? demanda Trunks innocemment.

-Oh non, mon chéri, ne pense pas ça du tout ! il a dit quelque chose qui ne m'a pas plu, c'est tout.

Végéta ne vint pas au dîner et ils durent manger seuls, Trunks allant d'une table à l'autre pour parler à ses amis.

-Il me le payera ! rumina t'elle en posant son chèque sur la table quand elle dut rentrer. Son fils venait juste de lui demander la permission de partir chez Matt et elle n'avait pu refuser.

Dès qu'elle entra dans la maison, elle devina encore qu'il était juste derrière elle, mais ne fit pas plus attention à lui quand elle le vit qu'à une mouche qui se posait par terre. Elle posa son sac sur la table basse du salon rouge et alla au bar se servir un verre de sherrys, signe qu'elle allait péter les plombs. Végéta s'assit dans le premier fauteuil à sa portée et le fit pivoter vers elle. Elle se servit un deuxième, puis un troisième. Il stoppa son geste quand elle porta le sixième à ses lèvres.

-Je crois que ça suffit pour ce soir.

-Ne me touche pas, sale singe!

-Bulma ! calme toi, maintenant . Tu ne sais pas pourquoi je ne suis pas venu et tu t'énerves !

-ça fait huit ans que je supporte tes humeurs, tes coups de tête et tes insultes sur moi et mes confrères, mais là, ton orgueil a dépassé les limites du supportable ! va t'en, je ne veux plus te revoir !

Comme il ne bougeait pas, elle prit l'initiative de partir elle et remonta dans sa voiture. Il ne voulut pas l'arrêter, cette fois. Elle assumerait seule les conséquences de ses actes, saoule ou pas.

Elle ne savait pas où elle allait, mais du moment qu'elle était loin de lui, son cœur battait moins vite, la faisait moins souffrir. Elle se gara sur la bordure de l'autoroute et tapa rageusement les mains sur le volant.

''Quelle imbécile ! j'aurais dû l'écouter, au lieu de me barrer comme ça !de toutes façons, je n'ai jamais été douée pour réfléchir dans ces cas là,'' songea t'elle. Bon, j'y retourne.

Elle était restée à peu près sobre parce qu'avec le temps, elle tenait jusqu'à 11 verres de sherry avant de craquer pour de bon. Elle fit demi tour et roula lentement, se rangeant du côté gauche pour laisser les gens pressés passer. A un moment, des jeunes punks se garèrent devant elle, lui barrant le passage. Elle klaxonna, puis descendit.

-eh ! ça va pas, non ? laisser moi passer tout de suite !

-tiens tiens ! les mecs, c'est pas la célèbre Bulma Brief ? plutôt joli minois, pour une nana de presque 35 ans !dit le chef en la saisissant et en tournant son visage dans la lumière.

-Ouais, on dirait qu'elle en a 10 de moins ! chuchota un autre membre du groupe.

-On pourrait se la faire, non ?

-Oh, non ! lâchez moi !

-Il faudra que tu m'implores, pétasse ! dit il d'un air supérieur. Elle ne le supporta pas. Ses yeux étincelèrent de colère et elle envoya un coup bien senti dans les bijoux de famille de celui qui la tenait. Il en hurla de douleur et la gifla en retour.

-Frappez la, les mecs ! jusqu'à ce qu'elle crève ! hurla t'il, fou de rage.

-Faudra apprendre le respect, lui cracha t'elle en plein visage. Je ne suis pas une pétasse.

-Tuez la ! qu'elle se taise !

Ils se mirent à la frapper de plus en plus fort jusqu'à ce qu'elle accepte de tomber à genoux.

-T'es du genre coriace, hein ? pas de pitié, les gars. Laissez moi finir, les poussa t'il en soulevant une chaîne lourde et en l'abattant sur elle.

Végéta sentit le Ki de sa compagne augmenter d'un coup, puis s'abaisser subitement. Inquiet, il s'envola rapidement et se posa sur un rocher au dessus de la scène.

Elle vit toute sa vie défiler d'un seul coup et ferma les yeux.

''Mon petit Trunks me manquera beaucoup, mes amis aussi. Oh, végéta... je suis désolée...''

Pourtant, au bout de dix secondes, elle ne sentit rien venir. Quand elle ouvrit de nouveau les yeux, elle vit les cadavres des punks étendus, puis un corps qu'elle ne connaissait que trop bien qui la protégeait. Le coup partit et frappa végéta au visage. Il ne cilla pas, bien qu'un filet de sang se mette à couler et lui dit juste avant de le tuer :

-tu ne pourras jamais te payer une telle traînée.

Elle sombra dans un sommeil sans rêves et se réveilla quelques heures plus tard dans son lit, végéta couché dans sa position habituelle, les deux bras derrière la tête à côté d'elle, le visage toujours en sang. Elle essaya de bouger et y arriva avec énormément de peine. Sans même lui parler, il lui tendit un haricot magique qu'elle mangea. Ses blessures et ecchymoses disparurent sur le champ.

-Pardonne moi, lui chuchota t'elle en l'enlaçant. Je ne pensais pas ce que je disais hier nuit. On s'est disputés comme des imbéciles et voilà ce que ça a apporté. Tu m'as sauvé la vie.

-C'est bien normal. Tu es la mère de mon fils, et en plus je n'aurais plus eu personne pour m'enquiquiner.

-Oh, petit voyou ! attends, ne bouges pas...

Elle lécha l'entaille que la chaîne lui avait faite, puis l'embrassa.

-Je t'aime, mon chéri, malgré tout ce que tu dis.

-Je disais pas ça pour te blesser.

-Sache que même partant d'une bonne intention, on peut être blessant. Ça dépend de la personne à qui tu parles. Repose toi, moi je pète la forme et je vais avancer mon travail de 2 ou 3 jours.

Il s'entraîna plus qu'il ne le put jusqu'au jour du tournoi. Ils avaient reporté leur mariage à bien plus tard, ce qui avait un peu vexé Bulma, mais elle avait accepté à condition qu'il lui offre une bague de fiançailles, ce qu'il avait fait, quoique trouvant cela parfaitement ridicule.

Trunks s'était pressé de rejoindre les autres dès leur arrivée, laissant ses amoureux de parents tous seuls un instant.

-Je te souhaite de bien t'amuser, mais ne tue personne, d'accord ?

-Ouais, ok.

-Surtout pas Yamcha ! je te connais, tu vas pas l'épargner si tu tombes sur lui.

-Ok, d'accord. J'peux y aller ?

-Bonne chance.

Elle lui donna un baiser d'encouragement et partit s'asseoir pour pouvoir regarder les matchs.

La suite bientôt...