Disclaimer : on sait, tout est à AKIRA TORIYAMA (mm pa assé sympa pr nou laissé végéta, celui là)
Totale DBZ 100J'ai relooké la fic pr ke ça donne un peu envie de lire quoi, vu ke jai kune seule fan ke je remercie !
Lorsqu'il ouvrit de nouveau les yeux, il se retrouva dans une salle blanche. Il se redressa et regarda autour de lui. La chambre avait une fenêtre, et il pouvait voir ses amis et sa famille à l'extérieur. Sa fille voulut entrer mais trunks l'arrêta en lui disant que son père n'avait peut être pas retrouvé la mémoire. Le geste de son fils lui fit encore plus mal que tous les coups qu'il avait reçus jusque là. Bulma le regardait et réfléchissait. Tout à coup, elle remarqua qu'il la fixait. En colère, elle cria.
-Comment osez vous le laisser dans cet état ?
Dendé lui donna un haricot et elle entra dans la salle sans attendre l'avis de ses amis. Elle s'assit et prit sa main dans la sienne. Il la retira, tourna la tête et elle sourit, puis baissa les stores pour ne plus que les autres les voient. Elle reprit sa main, et cette fois il ne la retira pas.
-Je te reconnais bien là.
-Tu m'as fait confiance, tu es entrée sans penser que je serais peut être encore possédé et que j'aurais pu te tuer... tu aurais dû faire comme Trunks, lui n'a pas hésité à me traiter de fou !
-Mais non ! comment peux tu penser ça une seconde ? il a pensé que je devais être la première à venir te voir, rien de plus ! s'il a dit ça à Bra, tu dois reconnaître qu'il a pas tort !
-c'est vrai.
-Et tu as prononcé mon nom avant l'accident. tu ne l'aurais jamais dit si tu ne te souvenais pas de moi.
-Comment pouvais je oublier tes massages ?
Goku n'était venu qu'une dizaine de fois, pour noël et pour les anniversaires réunis. Les enfants avaient sacrément grandi. Bra et pan venaient d'avoir 19 ans, Trunks 27, goten 26 et Marron, la fille de Krilin, 22. Mignonne, elle en faisait déjà craquer plus d'un dans la ville quand elle allait chez les Végéta. Un jour, la dg de la médicinal corps vint rendre visite à Bulma.
-Bulma ! dit son amie, tes enfants sont magnifiques ! quelles adorables anges ! laquelle est ta fille ?
-Bra. Les autres sont les filles d'amis très chers. Marron, fille de Krilin , et Pan, petite fille des deux derniers champions du monde.
-Dis moi, c'est ton fils aîné qui a été sacré champion, pendant 7 ans de suite, non ? je pourrais le voir ?
-Je ne sais pas s'il est là. Ma puce, tu peux voir si ton frère est là ?
-Il est sorti avec Goten, comme d'habitude. Maman, est ce qu'on peut aller au centre commercial ? j'ai presque plus de chaussures !
-Mais tu y es allée hier avec ton père !
-Allez... s'te plaît !
-Bon... ok, mais ne rentrez pas trop tard. La carte de crédit est sur la table de chevet.
Son amie regarda surprise les filles sortir de la pièce.
-Bulma, tu n'as pas peur qu'il leur arrive quelque chose ?
-Absolument pas ! elles ne craignent même pas les balles. Dès qu'elles auront un problème, leurs papas se chargeront de les aider.
-Bon, je te laisse te reposer. Bye !
-Tu reviendras dîner un de ces jours ?
-Pas de problèmes, appelle moi pour me dire quand.
Le téléphone sonna dès le retour des filles et Bra décrocha de sa chambre où elle essayait ses nouvelles robes.
-Allô ? Trunks, c'est toi ? oui, ça va. Tu veux que je te passe m'man ? attends je vois si elle est là. Non, elle vient juste de monter dans sa chambre. Oui, je suis avec Pan et Marron. Mais bien sûr que tout va bien ! non, je ne me suis pas faite embêter par des garçons. Mais non ! oh là ! qu'est ce que tu vas t'imaginer , frérot ? je ne sors pas ce soir ! quoi ? ok, je lui dirai, mais elle sera pas contente ! Bye !
-Qui c'était ? cria une voix de l'autre chambre.
-Mon frère ! il a dit de vous souhaiter une bonne nuit ! au fait, viens voir cette robe, marron, elle doit être à toi. Elle me serre au niveau de la poitrine !
-Regarde si elle est signée Chintz. Sinon, ça doit être celle de pan.
-Mais non ! je ne porte pas de robe, ne sois pas ridicule ! s'écria la concernée d'une autre chambre.
-Bon, elle doit être à moi, alors, se résigna t'elle en en essayant une nuisette en soie.
Le téléphone sonna une deuxième fois. Pan prit la communication.
-Allô ?
-Bonsoir, pourrais je parler à Bra ?
-Bien sûr, ne quittez pas. eh, la petite végie, c'est pour toi !
-Je prends ! Allô ?
-Comme ça tu t'appelles aussi Végie? je ne savais pas.
-Ah ! Richie ! pourquoi tu m'appelles à cette heure ?
-J'avais envie d'entendre ta magnifique voix.
-Oh... c'est gentil. Ne quittes pas, une minute.
Elle isola la ligne et dit aux filles de prendre leurs téléphones pour écouter.
-Oui, donc tu disais...
-Que je te trouves magnifique, splendide.
-Vraiment ? tu me flattes, je te jures !
-On se connaît depuis la sixième, on est bons amis, alors je voudrais savoir si on pouvait sortir ensemble.
-Je sais vraiment pas quoi te répondre, tu sais... tu pourrais patienter un peu ? on prépare le deug, là, et je ne voudrais pas me distraire en sortant avec quelqu'un.
-Et pour le bal de fin d'année ? tu ne voudrais pas être ma cavalière ? je sais que je ne dois pas être le premier à te le demander, mais qui ne risque rien n'a rien !
-Richie... rappelle moi demain, d'accord ? je te donnerai ma réponse.
-Bien. Bonne nuit, ma belle.
-Bonne nuit.
Dès qu'il raccrocha, elles se mirent à sauter partout en hurlant.
-Oh my God ! j'hallucine! Il me trouve belle !
-En plus il t'a demandé de sortir avec lui !
-c'est génial !
Le téléphone sonna encore et encore et tous les appels étaient pour Bra jusqu'à 4h du matin, heure à laquelle elle décida de débrancher le téléphone. Elle se réveilla à 13h et fit sa toilette, puis descendit rapidement prendre son petit déjeuner.
-Coucou, maman ! salua t'elle en entrant dans la salle à manger. Bonjour, père.
Il avait l'air en colère, sa mère un peu moins.
-Bra, depuis ce matin on ne fait que recevoir des coups de fil de tes copains et autres. Ton père en a plus que marre, et moi aussi. C'est pour cette raison que j'ai décidé de t'acheter un portable pour avoir la paix. Au fait, j'ai une liste de messages pour toi : Damien t'aime, marc aussi, jean Paul demande à sortir avec toi, Richie a rappelé à ta demande... je continues ?
-Mère ! je peux lire toute seule, je suis assez grande, se vexa t'elle en lui arrachant la liste des mains.
-Tu n'as que 19 ans ! regarde ce que tu fais ! des copains, des amours !
-Et alors ? 19 ans on est pas assez grands pour se débrouiller tous seuls ? je ne vois pas pourquoi tu me dis ça ! d'ailleurs, ce n'est pas moi qui appelle ! Pan et marron ,elles font tout ce qui leur plaît ! moi je suis obligée de faire ce qui vous plaît ! j'en ai marre ! je me casse d'ici, merde !
Elle partit en chaussant ses lunettes de soleil, en larmes. Elle prit sa moto et roula longtemps, jusque chez goku, plus loin encore. Elle s'arrêta dans une clairière et tomba par terre en pleurant.
Bulma fut tentée de la rattraper pour la consoler de ces paroles qu'elle jugeait trop dures, mais son mari la retint par la main.
-Pour une fois que tu dis aux enfants ce que tu penses profondément, laisse la méditer dessus au lieu de chercher à la consoler à tout prix. Ça ne sert à rien d'autre qu'à la gâter un peu plus.
-Tu as raison. Je retourne travailler.
-Je vais la chercher.
-Bonjour !
-Ah ! Pan ! Marron! Bra est... sortie. Elle reviendra ce soir. Vous pouvez aller chez tortue géniale, elle vous y rejoindra.
Elle pleurait à ne plus s'en arrêter, à se blesser. Elle ne savait même plus pourquoi elle pleurait.
Elle ne remarqua pas une ombre au dessus d'elle et lorsqu'il parla, elle reconnut sa voix.
-Bra ? que fais tu là ? tu pleures ? mais pourquoi ?
Elle leva les yeux vers lui.
-Go...goten...je...suis désolée. Je me suis arrêtée parce que j'étais fatiguée, et...bon, j'ai pas envie d'en parler. Je veux pas te déranger, je pars tout de suite.
Elle sécha ses larmes et se leva avec le peu de dignité qui lui restait devant lui.
-Mais non, tu ne me déranges pas du tout ! viens , ma piaule est à côté.
Il l'aida à marcher et la fit entrer dans sa maison, que sa mère avait fait construire dans le même secteur qu'eux pour ne pas diviser la famille.
Il y avait un fouillis total, plein de poussière et d'assiettes sales, du linge empilé partout.
-Désolé, on peut pas dire que c'est du 5 étoiles, mais c'est mieux que dehors, sous la pluie et le vent !
-Merci.
Elle s'assit sur la première chaise qu'elle trouva et ils parlèrent longtemps de tout et de rien, goten guidant la conversation vers ce qu'elle avait eu. Elle lui expliqua qu'elle s'était disputée avec Bulma à cause de ses relations.
-ça ne m'étonnes pas d'elle. Elle veut te protéger, tu comprends, pas gâcher ta vie et t'empêcher d'avoir des amis !
-c'est pourtant ce qu'elle fait !
-Sans le savoir. Tu ne cherches pas à savoir si elle sait que ça te pose problème quand elle te dit ou te fait certaines choses. C'est à toi de lui expliquer que tu n'es plus une enfant, pas en criant, parce que quoi qu'elle fasse, elle est et restera ta mère.
-ça m'énerve, moi !
-Je vois...alors il n'y a qu'une solution : et si tu te mettais aux arts martiaux ?
-Tu rêves ? je fais assez de fitness et tout ça, j'ai aucune envie de devenir musclée et de rester vieille fille !
Goten éclata de rire en voyant sa mine déconfite et pleine de colère.
-Ne t'en fais pas, c'est pour te défouler simplement ! et je te rassure, tu ne risque pas de devenir vieille fille, car tu es très belle, comme ta mère. Tu sais quoi ? je vais te dire un secret qu'il ne faudra dire à personne : j'étais amoureux de ta mère quand j'étais môme.
-Ah oui ? raconte !
-J'adorais aller chez vous rien que pour dîner à côté d'elle, dormir sur ses genoux, jouer avec elle et rester près d'elle, respirer son parfum de fraise. C'est pour ça que ton père ne pouvait pas me sentir, même en photo, mais il ne le montrait jamais en public. Depuis que j'ai connu d'autres filles, il m'a gentiment laissé tranquille, mais pas une seule fois j'ai cessé d'aimer Bulma, même si c'est d'une manière différente des autres que je l'aime. Ce n'est ni comme ma mère, ni comme Trunks, ni comme une amie, ni comme un amour passionné... c'est...
-Inexplicable.
-C'est ça. J'adorais regarder ses yeux, si bleus...
Maintenant, il ne souriait plus, ne parlait même plus pour la consoler, juste pour se libérer.
-Dis moi ce que tu ressentais, goten.
-Ce que je ressentais ? de l'envie, de l'amour, de la tristesse...
-Pourquoi ?
-Parce que ton père l'a prise avant moi !
-tu étais loin d'être né quand il l'a prise, voyons !
''Et ses yeux si bleus... je les retrouve là, devant moi !'' pensa t'il en la regardant.
Il sentit qu'il allait défaillir, l'embrasser malgré lui. Il avait toujours rêvé de ça. Embrasser bulma...
Mais ce n'était pas bulma, mais sa fille de 7 ans sa cadette ! il reprit ses esprits.
-Tu permets que je t'aide à faire le ménage ? demanda t'elle en se levant.
-Si tu veux bien.
-alors pousse toi, je vais aller très vite.
Il se mit dans un coin de la maison et en une demie heure, elle resplendissait, pas la moindre trace parterre, sur les murs ou les vitres. Une heure plus tard, elle finissait de faire la lessive et l'accrochait à la corde que venait d'installer Goten quand son père atterrit devant elle.
-Papa ?!
-Où t'étais ? je t'ai cherchée une heure !
-J'étais ici, entrain de faire le ménage et la lessive.
-Pour qui ?
-Un ami.
-Eh ! salut, Végéta !
Il se retourna. Goten ? ce sale mioche coureur de jupons, la honte des saiyens ?
-Allez, on s'en va, grommela t'il en s'envolant.
-Je n'ai pas envie de rentrer maintenant. Demain, si tu veux bien.
-Je paries que tu dormiras à l'improviste chez Pan, imposa t'il plus qu'il n'insinua.
-Mais oui, papa, mais oui !
-Ta mère m'a dit de te donner ça. Elle était sûre que tu refuserais de rentrer.
Il lui lança deux capsules et repartit.
-Ben dis donc, on peut dire qu'il m'ignore royalement !
-Mon pauvre ! soupira t'elle en lui tendant les capsules.
-Tiens moi ça et attends deux secondes que je finisse de sécher tes habits pour déballer mes valises.
-Comment tu sais qu'elle t'a donné ça ?
-C'est pas la première fois que je pars comme ça chez Pan. Elle commence à avoir l'habitude de mes coups de blues.
-Ah ! d'accord. Vous êtes une famille très étrange...
elle accrocha le dernier vêtement et se retourna.
-Donne les moi.
Il exécuta sa demande et elle entra dans sa maison , puis déballa ses affaires qu'elle rangea tout simplement dans son placard à lui dans lequel elle avait fait de la place.
-pourquoi tu fais ça ? tu sais que ton père t'a ordonné de dormir chez gohan !
-Mon père ne m'ordonne jamais rien. Juste qu'il ne te fait absolument pas confiance, je ne sais pas pourquoi et je compte bien le savoir.
''Qu'est ce qu'elle est perspicace ! '' pensa t'il, surpris.
-Alors... tu restes chez moi ?
-Ouais, pour le reste des vacances. Juste 1 mois. Après, je partirai.
-Je suis d'accord, mais j'ai un grand service à te demander en échange.
-Lequel ?
-Pourrais tu faire la cuisine pour moi ? je la fais très mal, en plus je ne prends pas soin de mes affaires.
-Aucun problème ! ça m'occupera, et je te dois bien ça ! qu'est ce que tu veux manger, ce soir ?
-Euh... fais ce que tu veux, du moment que c'est comestible.
-Il n'y a rien dans le frigo ! s'exclama t'elle en l'ouvrant. Faut faire des courses !
-tu veux qu'on y aille ? il est à peine 16h 30.
-ok !
Ils revinrent vers 18h, portant des lourds paquets qu'elle rangea. Ils mangèrent une soupe aux légumes et un gratin dauphinois au dîner et un gâteau au chocolat au dessert. Plus tard, Bra fit la vaisselle, nettoya la table et ferma les portes avant d'aller se coucher. Elle s'aperçut que goten restait dormir dans le salon et s'y opposa.
-C'est moi qui m'incruste et c'est toi qui est dans le canapé ? ça se fait pas ! viens donc avec moi !
-bra, voyons ! on ne peut pas dormir ensemble, c'est inadmissible pour des gens de notre âge !
-C'est ce que les gens disent, mais je m'en fiche complètement ! si tu refuses, je dormirai dans le canapé avec toi.
Il réfléchit un bref instant et se vit entrain d'épouser bra, enceinte de lui et Végéta comme beau père. Si avec ça il ne se retenait pas !
-Bon, d'accord, mais c'est juste pour ce soir ! demain, je m'achète un lit.
-Si tu veux.
Il se coucha d'un côté du lit et elle de l'autre, mais cette position ne dura pas longtemps. Elle se cala carrément dans ses bras et ronronna de satisfaction.
-Qu'est ce qu'on est bien !
-Dis donc, tu n'essayerais pas de faire quelque chose, toi ? tu imagines ce que quelqu'un d'autre aurait pu te faire ?
-Toi, tu es différent, tu ne me fera jamais de mal, souffla t'elle en fermant les yeux. Parce que je t'aime.
-TU QUOI ???????
Mais déjà, elle s'était endormie, le laissant atterré de ce qu'il venait d'entendre.
La suite bientôt...
