Disclaimer : on sait, tout est à AKIRA TORIYAMA (mm pa assé sympa pr nou laissé végéta, celui là)
Totale DBZ 100J'ai relooké la fic pr ke ça donne un peu envie de lire quoi, vu ke jai kune seule fan ke je remercie !
Trunks était accroché au téléphone depuis plus d'une heure avec son meilleur ami.
-tu sais, mec, je trouve nos parents bien simples. Ils n'ont jamais cherché plus loin que le bout de leur nez comme femmes à part nos mères.
-Ils ont eu de la chance de tomber sur la perle rare ! moi j'ai trouvé la mienne. Elle s'appelle Leaticia, elle a 25 ans et est interprète internationale.
-Cool, mec ! t'as de la chance. Bon, je te laisse, j'ai un double appel. Bye !
-Ouais, bye !
12 mois plus tard...
Elle regardait Feden dormir, beau comme un dieu grec et se disait qu'ils n'étaient pas faits pour être ensemble. C'était juste pour le plaisir qu'elle avait couché avec lui. De cette manière, elle ressemblait à son père, car elle aimait les hommes, au détriment de leurs compagnes. Elle s'adossa au mur de la chambre d'hôtel et alluma une cigarette en passant les doigts dans les cheveux soyeux de son amant.
Une dizaine de minutes plus tard, elle sortait de la chambre, laissant un mot sur son oreiller qui disait qu'entre eux c'était terminé.
Le soir même, elle se retrouva en boîte seule, Pan ayant refusé de l'accompagner parce que ça ne lui plaisait pas. Elle dansait tranquillement avec un mec craquant quand une fille l'interpella.
-Bra ?
-Oui, c'est moi !
-Espèce de garce !
elle la gifla et bra tomba sous le choc. C'était la fiancée de Feden qui venait certainement se venger. Elle la piétina et partit fièrement.
Bra ne comprit pas ce qui passait, mais elle fut soulevée de terre et amenée sur un fauteuil par des bras masculins. Quand elle réouvrit les yeux, elle rencontra un visage qu'elle connaissait plus que bien.
-Goten ? articula t'elle en se redressant. Qu'est ce que tu fais là ?
-c'est à moi de te poser la question ! maintenant tu te fais tabasser sans réagir ?
-Laisse tomber... une conne sans importance. Je peux avoir 1 verre de sherry ?
Elle but les verres les uns après les autres et parut complètement saoule. Une copine de goten fit son apparition.
-Dis donc, gros mufle ! tu m'as plantée !
-Oh ! Ida ! je suis désolé ! voilà... la petite sœur de mon meilleur ami, Trunks !
-C'est pas vrai ! t'es qui, toi ? protesta t'elle en lorgnant la nouvelle venue. Je suis pas seulement, la sœur de son meilleur ami, je suis aussi sa petite amie, alors du vent, blondasse !
-Tu peux le garder, de toutes façons ! et puis moi c'est pas Ida, c'est Frida, connard !
-Bra ! qu'est ce que tu racontes ? t'es folle ? je viens de rater un des plus beaux coups de ma vie ! viens, je te ramène !
il la posa sur son épaule et l'emmena dans un apart de la capitale qu'elle ne connaissait pas.
-On est où, là ? je croyais que tu devais me ramener à la caps !
-ton père allait nous tuer tous les deux. On est chez ton frère et moi.
-Trunks... quel cachottier ! lui et ses nuits aux bureau... je connais son secret maintenant.
Il l'emmena dans la chambre et la coucha dans le lit deux places. Elle ferma les yeux et se tint la tête.
-Oh... ma tête... j'ai mal.
-Dors, demain je te raccompagnerai. Bonne nuit.
Il se pencha et lui fit une bise sur le front, comme à une petite sœur, mais il comprit trop tard que Bra n'était plus une enfant. Pourtant, il continua. Cette envie devenait irrépressible, décidément. Elle le tira sur elle et gémit faiblement. Il leva la tête.
-Bra... tu es saoule ! je ne peux pas faire ça.
-Arrête ! combien faut il de litres de boissons pour rendre un saiyen fin saoul ? ça t'a pas gêné de m'embrasser, alors, continue !
goten s'était réveillé en se disant qu'il venait de faire une connerie irréparable, mais ce n'était pas ce qu'il ressentait. Cette fille savait sacrément faire l'amour, malgré son jeune âge ! là, malgré le fait que ce soit la petite sœur de trunks, il n'avait éprouvé aucune gêne à la retrouver lovée contre lui ce matin.
Trunks, lui, s'était assez rapproché de Pan à cause de leur aventure dans l'espace, mais plus comme une amie qu'autre chose, et celle ci ne s'intéressait pas aux mecs comme lui. Son type, c'était plutôt des intellos ou des rabats joies sans le moindre muscle. Pourtant, elle était d'une beauté rare, et elle n'avait pas de complexes inutiles. Elle gagnait de l'argent en posant pour des magazines et en travaillant chez hercule, son grand père pour avoir son gagne pain en attendant d'être indépendante. Elle adorait Bra, c'était sa meilleure amie, mais en ce moment elle ne la comprenait plus. Elles venaient toutes les deux de fêter leurs 20 ans, et son amie passait d'un copain à un autre sans le moindre état d'âme. Elle n'avait pas voulu lui expliquer pourquoi et comment elle avait commencé à se comporter ainsi dès l'âge de 15 ans. Le pire, c'est que ça lui plaisait ! elle paraissait se venger de quelque chose qui lui était arrivé.
Ce matin, c'était son anniversaire, et elle comptait bien s'expliquer avec tout le monde. À commencer par Bra !
Elle composa le numéro de son portable.
Son téléphone sonna et elle se réveilla en sursaut. Goten lui passa la main dans les cheveux.
-ton portable sonne, bra !
-Ouais, je sais ! murmura t'elle en le prenant. Allô ?
-Bra ? c'est Pan.
-Pan, chérie ! ça fait des siècles !
-7 mois, exactement. Je te dérange ?
-Pas du tout ! tu sais que tu ne me déranges jamais.
-je voudrais te parler. Tu es à la capsule ?
-Non, chez un copain, puisque hier j'ai fêté mes 20 ans, alors...
-inutile de me le dire. On se donne rendez vous ?
-Euh... au café ''au bon paris'', au centre, à 11h, ça te va ?
-Ok, mais je te préviens, il ne te reste qu'une heure pour te préparer. Et pas de retard. Faut qu'on parle très sérieusement. Bye.
-à tout à l'heure.
Elle raccrocha et se leva à toute vitesse pour prendre une douche. ¾ d'heure plus tard, elle posa une dernière touche de fond de teint sur son visage et porta ses sandales qu'elle avait soigneusement tassées avec ses habits de ville dans son sac à main. Elle rangea ses fringues de sorties à la place et laissa son amant en lui disant qu'elle reviendrait les prendre.
-Bra, jure moi que tu savais ce que tu faisais hier nuit.
-Parfaitement ! goten, je t'en prie, rassures ton embryon de sens moral ! je sais très bien comment j'ai fait l'amour avec toi.
Elle l'embrassa et descendit rapidement les escaliers qui menaient au centre. Pan était déjà là, 10 minutes à l'avance.
-Qu'est ce que t'as embelli, ma poule !
-normal, quand on est obligée d'être fine et de surveiller sa ligne pour prendre des poses ridicules sur les couvertures de mode! assieds toi donc et parlons.
-Au fait, joyeux anniversaire !
-Toi aussi.
-Merci. De quoi veux tu qu'on parle ?
-Tu sais, aujourd'hui on a toutes les deux 20ans, et j'ai pensé qu'on pourrait habiter ensemble en payant chacune notre part du loyer. J'ai trouvé un apart, deux chambres, salon, cuisine et tout le tralala. Seulement, que chacune pose ses conditions. Moi, je ne peux pas vivre avec quelqu'un de débauché qui collectionne les petits amis et amants.
-Moi, je ne supporte pas qu'on fouine dans ma vie privée. Chacune ses problèmes, ma chère, et si tu ne peux pas les respecter, ce n'est pas la peine.
-Je veux bien, mais on est censée être des amies, et les amies ne se cachent rien !
-Tu as raison, certes, mais ils y a des choses qui ne se disent pas, même à sa meilleure amie.
-Tu acceptes de vivre avec moi, malgré mes défauts ?
-oui, sans problème, mais je te dois naturellement certaines explications. Pas ici. Viens.
Elle l'emmena dans l'appart de Trunks où elle l'installa dans le salon.
-Tu sais, je ne sais pas par où commencer.
-C'est moi qui te poserai les questions. Que s'est il passé pour que tu deviennes à moitié nympho ?
-Bien... pour fêter mes 15 ans, maman m'avait donné la perm de minuit. Je suis allée avec Marron chez un de ses copains qui nous a fait une surprise ! il s'offrait en cadeau d'annif pour moi. On est allés dans la chambre le plus naturellement du monde et il m'a appris à maîtriser l'art de donner et de prendre du plaisir. Seulement, à cet âge là, on espère que l'homme à qui on s'est offerte vous aimera, mais ce fut une horrible déception pour moi de savoir que c'était pas un simple ami de Marron, mais son petit ami. Je ne lui ai peut être pas montré, mais mon envie de vengeance sur les autres hommes n'a fait qu'augmenter depuis. Jusqu'à aujourd'hui.
-Pourquoi, aujourd'hui ?
-Parce que... Pan, je ne voudrais pas que tu sois fâchée, mais ça ne sert à rien de te cacher notre relation : je t'aime énormément, et je ne veux pas te faire de peine, mais... j'ai couché hier avec goten.
-QUOI ? je rêve ! tu viens de me dire que tu a couché avec mon oncle, là ?
-Je suis désolée... mais je viens de me rendre compte que je l'aimais et que je tenais énormément à lui.
-j'en suis ravie pour vous, beaucoup de bonheur ! mais es tu sûre que c'est réciproque ?
-non, et ça a peu d'importance. L'aimer me suffit amplement. Rien que de me réveiller dans ses bras me gonfle de bonheur, contrairement aux autres mecs.
-tu es sérieuse ?
-oui. Tu veux le voir ? eh! Goten ! il ya Pan qui voudrait te voir, viens donc.
Il cria un ''je suis mort de fatigue !'' peu convaincant et elle le tira du lit moins de trente secondes plus tard avec une proposition alléchante pour la nuit suivante.
-sur une chaise, qu'est ce que t'en dis ? murmura t'elle au creux de son oreille.
-Ma foi, tu voudrais juste que je fasse ça en échange ?
-exactement !
-Tu y vas fort, petite vicieuse ! dit il en enfilant son pantalon.
Il la suivit dans le salon et salua sa nièce.
-Alors ? tu viens nous rendre visite, comme ça ?
-J'étais là pour parler avec Bra, mais j'ai une petite question pour vous deux : comment pensez vous que les gens vont réagir en entendant ça ?ton père va le tuer, Bra ! ta mère va à tout prix vouloir vous marier, Goten ! et pensez à trunks, un peu. Sa sœur avec son meilleur ami ! il ne pourra plus vous faire confiance comme avant.
-T'inquiète pas, on se fiche de ce que les autres pensent, et ce n'est pas prévu qu'on se marie encore, on se connaît depuis pas assez de temps. Pas vrai, moumour ?
-Ouais. Tu veux un petit déjeuner? Fit il en se dirigeant vers la cuisine.
-il est 12h, mon chou. J'ai déjà mis le plat au four. Va, et prends ton petit dej dehors, en attendant 14 h. on doit parler, Pan et moi.
Dès qu'il descendit, elle continua :
-c'est à mon tour de poser les questions. Tu as déjà couché avec un homme?
-Euh...non ! pourquoi ? répondit elle, rougissante.
-C'est grave ! tu comptes devenir sœur, ou quoi ?
-Non, juste que je suis pas prête à le faire avec n'importe qui.
-Et avec qui tu voudrais le faire ?
-Je ne peux pas, le dire... la honte !
-vas y ! me fais pas languir ! un de tes élèves, ou un binoclard ?
-Arrête ! c'est quelqu'un que tu connais très bien.
-ne t'en fais pas, rien ne peux me choquer, maintenant.
-eh bien, personne en particulier mais un homme particulièrement séduisant à souvent nourri mes rêves les plus fous. C'est ton frère.
-Trunks ? c'est pas pour décevoir tes espoirs, mais il est sacrément occupé avec sa bombasse, Leaticia.
-Je sais, merci.
-et, malgré le fait que se soit mon frère, c'est un pur salaud avec les nanas.
-je le sais aussi. Il y a longtemps que je le connais, et j'ai laissé tomber il y a bien longtemps tout espoir. Je rentre, termina t'elle en se levant et en embrassant sa copine. Réfléchis pour l'appart et dis moi.
-Je t'appelle.
1 heure plus tard, son amant remonta à l'appart, le téléphone à l'oreille.
-ouais, je te rappelle ce soir. Salut ! raccrocha t'il. Ma puce, t'es splendide, ce matin. Tu me fais un câlin ?
-J'ai pas le temps, je dois filer.
-t'es pas sympa ! moi qui me faisait une joie de te presser une dernière fois contre moi !
-Dommage ce sera pour une autre fois.
-Tu reviens, cette nuit ?
-Peut être !
Elle lui appliqua un baiser sur la joue droite et repartit. Une fois chez elle , elle crut voir son frère à la fenêtre. Elle savait pourtant qu'il était encore pour 2 ou 3 jours à la plage ! bizarre. Elle entra et rencontra sa mère dans un couloir.
-coucou, maman !
-Ton père est fou de rage, aujourd'hui. La prochaine fois, dis lui où tu vas. Tu sais que moi ça ne me dérange pas du tout. Tu es grande et t'as 20 ans. Il y a une surprise pour toi au premier.
Elle monta dans le salon jaune et y trouva son frère.
-Trunks ? c'est toi ma surprise ?
-Ainsi, c'est toi, la petite sœur que je n'ai jamais eue ?
-Trunks, c'est toi, tu es sûr ? tu te sens bien ? d'habitude tu ne réagis pas comme ça, et je te signale que tu me supportes depuis 20 ans.
-Ah ah ! maman ne t'a rien dit, je parie ! je suis Trunks du futur, pas celui du présent.
-Ah ! voilà ! je me disais aussi que mon frère n'avait pas ce regard ! maman m'a déjà expliqué ta venue une fois, mais je ne pensais pas que t'allais revenir nous voir.
-C'est parce que c'est urgent, je suis venu voir papa.
-tu me diras plus tard ce qui se passe, mais là je dois appeler.
Elle composa le numéro de Pan et lui dit de venir tout de suite.
-c'est la fille de gohan, expliqua t'elle en refermant son portable. On est presque jumelles, on est nées à un jour d'intervalle.
-Je vois, donc vous êtes inséparables.
-T'as tout pigé, frérot ! bon, je crois qu'elle est là. Elle descendit la chercher et elles remontèrent toutes les deux. Le cœur de Pan battait à la chamade. Bra lui avait assuré dans les escaliers qu'elle allait avoir la surprise de sa vie. Quand elle le vit, les cheveux dans le dos, les yeux avec cette lueur étrange, son instinct lui dit que ce n'était pas le Trunks qu'elle connaissait. Même le parfum était différent. Il la regarda et un éclair passa. Elle lui tendit la main et il la prit, puis, il se rendit compte que leurs mains étaient restées plus longtemps que les convenances l'une dans l'autre. Il retira la sienne en souriant légèrement.
La suite bientôt...
