Disclaimer : on sait, tout est à AKIRA TORIYAMA (mm pa assé sympa pr nou laissé végéta, celui là)

Totale DBZ 100

J'ai relooké la fic pr ke ça donne un peu envie de lire quoi, vu ke jai kune seule fan ke je remercie !

–Trunks, je te présente Pan, et vice versa. Je reviens, je vais chercher le jus d'orange dans la cuisine.

Ils se turent quand ils furent seuls et Pan osa enfin rompre le silence.

-Tu...tu nous a sauvés, il ya longtemps. Sans ton aide, on ne serait jamais nés. Merci.

-de rien, c'était naturel.

-tu es très différent de l'autre trunks. Il est moins calme et plus incohérent. En plus, il a une raie à droite.

-Maman a du veiller à ça.

Ils se mirent à causer de tout et de rien et ils étaient si absorbés l'un par l'autre qu'ils n'avaient pas remarqué que Bra tardait à revenir de la cuisine. Elle resta dîner, puis téléphona à sa mère pour lui dire qu'elle ne comptait pas rentrer, mais dormir chez Bra. Celle ci confirma, puis lui passa Trunks qui la salua, elle et son mari.

Végéta était très étonné de revoir son fils du futur et ne s'en cachait pas, mais remit leur discussion au lendemain pour lui laisser le temps de se reposer. Plus tard, après manger, lorsque les parents furent couchés, ils montèrent tous trois dans le salon discuter.

-Papa a énormément changé, dit il à sa sœur.

-Il a toujours été comme ça avec moi.

-Alors, il a fait de gigantesques progrès, ma parole !

-Excuse moi, je peux t'emprunter Bra un moment ? interrompit Pan en tirant son amie dans un coin de la pièce. Pourquoi tu ne m'as rien dit avant ?

-Dire quoi ? je m'en fichais, mais il se trouve qu'il est 15 fois plus cool que le vrai Trunks...

-Et très beau ! sa beauté est différente de la sienne... il a un visage mûr, réfléchi et sérieux, alors que celui de ton autre frère est glacial, séducteur.

-Et tu te sens bien avec lui ?

-Oui, très à l'aise. Il sait me faire rire, et je dois t'avouer que personne du sexe opposé n'avait réussi ce coup là. Je l'admire !

-et bien, tu n'auras pas beaucoup de temps !

-Pourquoi ?

-Pour lui montrer ton admiration, voyons, mais d'une manière particulière !

-t'es folle ! je ne le ferais qu'avec une personne que j'aime, et pas en passant.

-Donc, il va falloir qu'il te kiffe et que toi tu le kiffe ? bof, laisse tomber, je ne peux pas arranger ce coup là !

ils parlèrent jusqu'à 3 heures du matin et puis se mirent au lit.

Vers 5 heures, Végéta se réveilla, faisant sursauter son épouse qui était entrain de lire.

-Chéri, ça va pas ?

-si, si, très bien. Je fais juste des cauchemars tenaces, ces temps ci.

-Tu veux un somnifère ?

-Non, je vais aller courir un peu, répondit il en se levant.

En allant prendre son petit déjeuner, il remarqua que Trunks était dans la cuisine entrain de griller des œufs.

-ah ! papa ? qu'est ce que tu fais là ? tu devrais dormir, il est tôt !

-j'ai l'habitude.

-Tu veux des œufs ?

-Non, je ne mange pas les matins, parce que je fais du sport et que ta mère n'est jamais debout pour m'en faire.

-Tu ne manges que lorsque c'est elle qui t'en fais ?

-Exact, sinon elle se vexe.

-Elle est debout ?

-Oui, elle lit un de ses plans grotesques sur une moto. Tu voulais me parler, fiston ?

-Oui. Ma mère est malade, et c'est incurable. Elle souhaitait te voir une dernière fois avant de mourir et je suis venu te demander de réaliser son rêve. Elle n'est plus jamais sortie avec personne et je voulais vraiment lui faire plaisir.

-Il faudra que j'en parle à Bulma, si elle est d'accord, je pourrais venir.

-D'accord, j'attendrai jusqu'à demain.

-Bien. Alors, ils viennent, ces œufs ?

-ahhhhhh !!!!! j'ai super bien dormi ! Bra ? Bra, où es tu ? interrogea Pan en cherchant la forme de son amie dans les draps. Personne.

Elle se douchait quand elle entendit la fenêtre s'ouvrir. Elle sortit la tête et vit son amie embrasser Goten avant que celui ci ne reparte. Dès qu'elle referma la fenêtre, Pan lui dit bonjour.

-Oh ! tu...

-J'ai vu, oui ! ne t'en fais pas, je ne dirai pas mot à Trunks. Tu t'es bien amusée ?

-Ouais, ça va.

-Je descends déjeuner, tu m'y retrouve ?

-Ok.

Elle entra dans la cuisine et crut avoir une hallucination. trunks était entrain de verser des larmes sur une photo de bulma assez vieille.

-Maman, je te promets que je ne t'abandonnerai jamais. Jamais, tu m'entends ? je t'aime très fort.

Il serra la photo contre son cœur et la rangea. Elle en profita pour entrer.

-Bonjour... tu n'as pas l'air en forme. Tu as besoin de parler ?

-Non, merci... En fait si ! j'en ai marre ! je vis dans un monde de chaos, je n'ai personne d'autre que ma mère, et il faut aussi que je la perde à cause d'un cancer du poumon !

-Je suis désolée, crois moi. Tu veux que je te dise une chose ? moi aussi j'ai perdu quelque chose de très cher, que personne ne pourra remplacer. Ce n'est peut être pas ce toi là, mais Trunks m'a brisé le cœur ! j'étais folle de lui, et il n'a pas eu autre chose à faire que de jouer avec mon cœur et de me jeter comme une vieille chaussette pour cette Leaticia ! je le trouve vraiment dégoûtant.

Elle s'était assise près de lui et il tentait de la consoler, en oubliant même son chagrin.

-Quand je pense que je l'ai fait avec lui... j'ai honte !

-tu sais..., lui dit il tout à coup, lui relevant le menton, je trouve que tu es belle quand tu pleures. Tu ressembles à un cygne. J'ai toujours rêvé d'embrasser un cygne grandeur nature...

-Trunks...

Mais déjà, il avait posé ses lèvres délicates sur les siennes et lui donna un baiser sucré, comme si elle suçait une fraise. Quand ils se séparèrent, elle n'osa pas le regarder dans les yeux, mais il lui passa la main sur le visage en souriant.

-Mais ce qui te va mieux encore, c'est le sourire.

-Tu es gentil, soupira t'elle.

-Et franc. Tu es belle comme un ange, Pan. Je n'ai jamais ressenti ça auparavant pour une personne. Je te trouve parfaite, et j'ai le coup de foudre. J'ai envie de t'embrasser sans cesse, te garder dans mes bras...

-Mais tout ça est impossible. Tu vis dans le futur, moi dans le présent et on risque d'inverser la sphère temporelle.

-J'en prends le risque.

-Non, c'est hors de question.

-Alors, profitons de l'instant présent. On fait une balade ?

-D'accord.

Ils partirent et restèrent toute la journée dehors. Pan l'emmena ensuite dîner dans un restaurant romantique et ils rentrèrent vers 23h. Bra était déjà sortie et les parents couchés. Arrivés devant leurs portes, qui étaient l'une en face de l'autre, ils hésitèrent.

-Bon, ben, bonne nuit, finit elle par lâcher en l'enlaçant.

-J'ai passé une excellente journée avec toi, Pan.

-Moi aussi. Quand est ce que tu repars ?

-Demain, dans l'après midi.

-Tu vas beaucoup me manquer, même si on ne se connaît pas beaucoup.

-En effet, mais je reviendrai, et on en aura l'occasion.

Elle lui donna un baiser sur la joue et entrait dans sa chambre quand il la fit pivoter vers lui.

-Ces baisers avait il une signification particulière, pour toi, ou...

-C'était mes premiers véritables, et je suis ravie que ce soit toi qui me les aies donnés.

-Je ne savais pas...

-ne sois pas surpris. Bonne nuit.

2 heures du mat...

Il se tournait et se retournait dans son lit sans arriver à dormir. Il entendit deux coups timides frappés à sa porte et se leva pour ouvrir.

-Pan ?

-J'arrive pas à dormir. Le fait que tu partes demain m'en empêche, alors je me suis dit que peut être toi aussi tu ne dormais pas, et que dans ce cas on pouvait parler un peu.

-Entre, voyons, ne reste pas dehors.

Il referma doucement sa porte et s'assit sur le lit, près d'elle.

-Je voulais juste te dire que tu comptais beaucoup à mes yeux, et que je ne voulais pas que tu partes si vite. Mais le devoir t'appelle, et je ne voudrais pas te retenir inutilement, pour moi.

-tu n'es pas inutile, au contraire ! j'aurais voulu rester, moi aussi. Mais je t'ai promis que je reviendrai, et ma parole est sûre.

-Je dois déménager dans moins d'un mois dans un nouvel appart avec bra.

-Je vous retrouverai.

-est ce que je peux... dormir avec toi ?

-Bien sûr. Viens.

Elle se lova contre lui et s'endormit peu de temps après. Lui non plus ne tarda pas à la rejoindre.

Pendant la nuit, ils ouvrirent les yeux au même moment et se regardèrent intensément.

-Tu crois qu'on devrait faire l'amour ? demanda t'elle en lui passant les doigts sur la poitrine.

-Je...ne l'ai jamais fait, murmura t'il, timide.

-Et alors ? laisse toi guider par la passion. Je veux que tu me laisses une trace, et je la veux sur moi...

Le lendemain matin, quand il ouvrit les yeux, il vit qu'elle dormait, les bras autour de son torse. Quelle nuit agitée ils avaient passé ! Il glissa lentement de ses mains et descendit du lit, puis fit sa toilette avant d'aller prendre son petit déjeuner. Il y trouva sa sœur et le Trunks du présent entrain de discuter.

-Bonjour ! lança t'il gaiement en embrassant Bra.

-Salut, frérot ! alors, tu as bien dormi ?

-Oui, très bien.

-aurais tu vu Pan ? je ne l'ai pas trouvée dans sa chambre, ce matin.

-elle dort dans mon lit.

-ah, ok ! dit elle en ricanant.

Une jeune fille entra à son tour dans la cuisine.

-Leaticia chérie ! appela Trunks, viens, que je te présente mon jumeau.

-Enchanté de vous connaître, mademoiselle, je m'appelle Trunks.

-Comme toi, mon chou ! répondit elle bêtement d'une voix aiguë.

-Comme quoi, on peut être jumeaux et ne pas avoir les même goûts, insinua Bra en pouffant.

Pan entra juste après elle, en mini jupe et en débardeur, prête à sortir. Elle avait attaché ses cheveux qui lui tombaient sur les épaules et s'était même mis un peu de gloss pour faire ressortir sa bouche pulpeuse.

Elle regarda les deux trunks, qui semblaient s'amuser de cette ressemblance et se dirigea vers celui qu'elle reconnaissait. Elle s'assit près de lui, lui donna un baiser assez long et dit enfin bonjour aux autres. L'autre Trunks s'interrogeait à propos de leurs relations qui pourtant semblaient claires. Elle dormait dans son lit et l'embrassait le matin au réveil...et elle prétendait l'aimer lui ! il attendit qu'elle sorte pour lui demander.

-Pourquoi l'as tu embrassé ?

-parce que c'est mon petit ami.

-Je suis ton petit ami, parce que je te signale que c'est de moi que tu parles.

-Non, lui est bien trop différent de toi ! j'ai cessé de t'aimer il y a 8 ans, mon pauvre, lorsque tu as tout bonnement décidé de me reléguer au fond de ta boîte à minettes. Toi, tu n'as été qu'un rêve trop difficile à atteindre.

-Alors pourquoi as tu couché avec moi ?

-C'était de la folie pure, rien d'autre. Lui, je l'aime, il m'aime, et même s'il faut le laisser partir, je le ferai. Mais toi, je t'interdis de te mêler de cette histoire ! j'ai été bien claire, j'espère. Occupe toi de ta petite fiancée.

Elle retourna à la cuisine continuer de parler avec Bra.

Trunks se demandait se que son père avait décidé quand celui ci vint le voir.

-J'ai parlé avec ta mère, et elle est d'accord, mais à une seule condition : que je te ramène avec toutes tes affaires pour vivre ici, avec nous, dans le présent.

-Mais, maman...

-évidemment, elle l'a dit par égoïsme, et tu n'es pas obligé de revenir avec moi quand ce sera terminé. C'est à toi de voir.

-Je ne reviendrai pas en même temps, mais le temps d'assembler quelques affaires et je viendrai m'installer ici.

Pan le regarda, rayonnante de bonheur. Tout à coup, elle ne prévoyait plus Bra dans son projet de colocation et celle ci en était contente, car elle pensait avouer à tout le monde qu'elle comptait vivre avec Goten.

Quand il durent partir, elle l'attira dans un coin.

-je t'en prie, promets moi de revenir, je t'en prie ! larmoya t'elle en le serrant.

-Je reviendrai, mon cygne. Je te le promets, et nous vivrons ensemble, pour toujours. Embrasse moi. Je veux te faire l'amour une dernière fois...

Il la plaqua contre l'arbre le plus proche et la déshabilla en l'embrassant.

-trunks... trunks... ton père va s'impatienter, et ta mère... vas y vite, comme ça tu reviendras aussi vite, murmura t'elle en se détachant de lui et de son étreinte passionnée.

-Non, on a encore dix bonnes minutes... si on se dépêche...

il lui fit l'amour, là, sous un arbre, presque sous les yeux de tout le monde et elle dut étouffer ses cris dans sa bouche pour ne pas qu'on les entende. Elle le griffa et le mordit de plaisir sur l'épaule.

-Je t'aime, dit il en se séparant d'elle.

-Moi aussi, je t'aime.

La suite bientôt...