Disclaimer : on sait, tout est à AKIRA TORIYAMA (mm pa assé sympa pr nou laissé végéta, celui là)

Totale DBZ 100

J'ai relooké la fic pr ke ça donne un peu envie de lire quoi, vu ke jai kune seule fan ke je remercie !

Pendant dix jours, ils s'appliquèrent à fabriquer une bonne centaine de vaisseaux et les chargèrent d'affaires pour les 5 familles, puis ils se dirigèrent vers la planète des dieux qui les installèrent dans la partie inhabitée de celle ci.

1 mois plus tard, toujours sans nouvelles de Sangoku et végéta, nos deux épouses se morfondaient de plus en plus. Les enfants avaient leurs copains, les cinés, l'école... tout était comme sur la terre, sauf qu'en prime, ils pouvaient rester jeunes éternellement une fois qu'ils avaient atteint la fleur de l'âge.

-mais où sont ils passés ?

-je n'en sais rien, Bulma, et c'est ça qui m'inquiète. Goku n'a jamais pu se passer de ma nourriture, et pourtant, ça fait 1 mois !

une sonnerie stridente retentit dans le sac de Bulma et elle prit son téléphone.

-maman ? c'est Trunks. Je crois qu'il y a un problème. Je ne sens plus l'aura de papa. Celle de goku est faible, mais...

-QUOI ????trunks, je t'en prie, ne me dis pas ça !

-Maman, calme toi, voyons ! je vais aller voir ce qui se passe sur terre et je reviens le plus vite possible.

-Trunks, non. Je t'interdis d'y aller. Si quelqu'un doit le faire ce sera moi.

-Mais maman, c'est risqué !

-Et alors, tu crois que mourir me fait plus peur que perdre ton père ? ne cherche pas à me retenir, je pars tout de suite.

Elle raccrocha et informa chichi qui voulut la suivre. Elles prirent la capsule la plus rapide et arrivèrent 23 minutes plus tard sur la terre, à l'endroit exact où elles avaient localisé Goku.

Au début, Bulma ne vit rien à travers cet épais brouillard qui l'entourait, mais son cœur la guida pas à pas vers une forme étendue à terre qui respirait avec difficulté.

-Végéta, c'est moi.

-Tu es inconsciente, ou quoi ? je t'ai dit de rester là bas ! l'engueula t'il malgré ses nombreuses blessures.

Il se redressa et lui tapa la tête pour lui montrer son mécontentement. Elle se mit à pleurer de bonheur et le serra contre elle.

-J'ai eu tellement peur de te perdre !sanglota t'elle.

-Mais non, voyons, je suis bien vivant !arrête de pleurnicher, et va t'en avant qu'il ne soit trop tard.

-je ne peux pas te laisser tout seul, c'est impossible.

-Quelles belles scènes d'amour, n'est ce pas, cher frère ?

-Parfaitement, chère sœur, dirent deux voix en séparant le brouillard.

Ils apparurent, leurs visages d'anges cachant leurs cruelles intentions.

-Allons, Végéta, prince des saiyens, dis nous où se cache ta petite fille esmeralda, et nous arrêterons de te persécuter.

-Jamais, plutôt mourir !

-Tu sais que tes désirs sont des ordres, cher prince, mais il faut que tu saches une chose : nous les retrouverons et nous les puniront de ton entêtement en les faisant souffrir mille morts. Adieu !

il lança une boule de feu qui explosa sur eux, sans pourtant faire la moindre égratignure à végéta. Quand à Bulma, elle était inconsciente, enfin, en apparence.

-Tiens tiens ! notre roi n'a rien eu ? la boule n'a pas d'effet sur lui, ou quoi ?

lui ne s'occupait que de Bulma qui ne voulait pas reprendre conscience. Il prit son pouls ; aucun battement. Il posa l'oreille contre son cœur ; toujours rien.

-Oh, non, pas ça, je vous en prie, seigneur !

il la serra contre lui de toutes ses forces en pleurant. C'était terminé, elle était morte, bel et bien morte ! et il ne pouvait plus la ressusciter, puisque les boules de cristal avaient disparu avec Petit cœur !

sa colère avait dépassé son paroxysme. Une aura bleutée l'entoura, et il se transforma en super guerrier 5, le dernier stade jamais atteint. Il les tua sans hésiter, et emmena le corps sans vie de sa femme dans le vaisseau qui les ramena, avec carot et sa femme chez eux. Lorsqu'il le dit aux autres, ils explosèrent tous en sanglots.

-Maman !!! hurla bra, pourquoi ?

-c'est bien ce que je me demande, chérie, lui répondit son père en la serrant dans ses bras. Pourquoi ? tout est de ma faute.

-papa ! ne dis pas ça ! ce n'est de la faute de personne.

-tu dis ça pour me consoler !

pendant la nuit, il n'arriva pas à dormir, et quand il s'endormit, au petit jour, son père lui apparut en rêve.

''mon fils, j'ai un secret à te confier. Je sais comment tu peux retrouver ta femme, mais tu dois me rendre un service en retour. Je t'attends en enfer.''

Il se réveilla en sursaut, puis, sans rien dire à personne, s'habilla et partit pour l'enfer. Il y retrouva ses ennemis les plus mortels mais tous se calmèrent lorsque son père apparut. ''fils, cela fait plusieurs années que l'on ne s'est plus vus .''

-C'est vrai, père. Mais je suis là pour une conversation privée, non ?

-exact. Suis moi.

Quand ils furent dans sa cellule, son père s'assit et lui resta debout, par politesse.

-Végéta, tu es mon fils, et je crois que tu sais que je te porte beaucoup de tendresse, et ton choix, je l'ai respecté. J'ai tout de suite su que tu étais fou de cette terrienne, rien qu'en te voyant te mettre dans tous tes états quand il lui arrivait la moindre petite chose. Tu sais pourquoi tu l'as perdue ?

-Non.

-pour la même raison pour laquelle ta mère m'a aussi quitté. Parce que tu n'as pas su lui exprimer tes sentiments, en bougre d'idiot que tu es !

il baissa la tête. Il avait raison, pensa t'il. Malgré les enfants, le mariage en grande pompe, elle n'avait plus eu ces étincelles dans le regard comme quand il lui avait dit qu'il l'aimait.

-Je ne t'ai jamais montré la photo de ta mère, continua t'il. La voici. Tiens, prends la. Vois quelle beauté elle était ! un véritable ange qui m'a supporté des années durant sans se plaindre une seule fois.

En effet, elle était belle, mais pas autant que Bulma.

-tu devrais aller lui dire que tu l'aimes et que tu voudrais qu'elle revienne avec toi. Mais ce n'est pas aussi facile. Il faudra que tu affrontes des épreuves terribles. Tu es prêt à commencer ?

-Oui, père. Alors assieds toi, et attends que la première épreuve vienne à toi. Un dernier conseil : attention à tes sentiments. Ils peuvent transformer la réalité. Tu vas affronter le diable, et ce n'est pas n'importe quoi. Il connaît ton point faible, ton vice. Je reviendrai pour notre accord.

Il ferma la porte et aussitôt, la pièce se transforma en une chambre luxueuse. Une fille entra, nue, et lui tourna autour en se frottant à lui. Il resta immobile, mais pas de partout. Elle se toucha et se caressa sous son nez se mettant dans des positions impossibles.

-allez, viens, je sais que tu as envie, chéri. Je suis à toi. Viens !

-NON !!!! je refuse !

ainsi il connaissait bien son vice !

l'illusion disparut et il se retrouva dans une pièce de la caps corps. Au début il ne vit rien, mais des gémissements l'attirèrent vers sa chambre. Il entrouvrit la porte et vit bulma, plus jeune, avec Yamcha, en entrain de faire l'amour passionnément dans le lit qui était déjà à moitié par terre. Son cœur faillit lâcher encore une fois, mais il résista à cette furieuse envie de tuer les deux tourtereaux et s'assit par terre pour les regarder faire jusqu'à ce qu'il se décide à le ramener dans cette fameuse salle blanche. Alors, il employa les grands moyens et fit apparaître une vitre qui sépara la pièce en deux. D'un côté, il y avait Végéta, de l'autre lui.

-Qu'est ce que tu vas encore essayer de faire, hein ? tu vois bien que ça ne marche pas, alors laisse moi repartir avec elle !

-Tu rêves, humain, jamais je ne la laisserais repartir avec quelqu'un comme toi. Elle m'a tout raconté : les misères que tu lui faisais, les tromperies incessantes...

-Ce n'est pas vrai !

il commençait à s'énerver.

-en plus, elle ne voudra pas revenir, tant elle a besoin de moi. N'est ce pas, ma belle ? dit il à la petite boule dans sa main qui s'agitait dans tous les sens pour se déloger de cette main griffue.

-enfin, tu ne crois pas qu'elle te déteste, après tout ce que tu as fait ?

-NON !!!

-et pourquoi tu crois qu'elle t'aime toi et pas un autre ?

-parce que...

il ne savait quoi répondre, et même, il ne le savait pas.

-Elle te hais, va t'en, je te préviens. Si elle sort de cette boule, ce sera grave pour toi.

-je m'en fiche !

-bon, puisque tu insistes...

il disparut, laissant tomber la boule qui se cassa et libéra l'âme de bulma retransformée en humaine.

-bulma, allons nous en d'ici. Les autres nous attendent.

Il lui prit la main et elle l'arracha d'un coup sec.

-laisse moi, toi, vas t'en. Je ne veux plus te voir.

-mais qu'est ce que tu racontes ?

-je t'ai dit de partir, non ? je te déteste, tu comprends, ça ? ici, je suis heureuse, tu ne me casses pas les pieds et je n'ai pas de bâtards à charge !

La gifle partit sans qu'elle ne s'en rende compte et la propulsa contre la porte.

-Tu es cinglé, tu vois ? c'est pour ça que je te hais.

Tout à coup, il comprit en quoi consistait cet affrontement.

-Moi, je t'aime, lui répondit il du tac au tac.

C'était la première fois qu'il arrivait à le dire aussi facilement.

-Je te déteste, répéta t'elle avec cette fois moins de fougue.

-Je t'aime.

-Je te déteste.

-JE T'AIME !!!!

Elle fondit en larmes en tombant dans ses bras.

-Végéta, la porte ! vite, passe la, sinon tu seras bloqué ici à jamais.

-Je ne veux pas te laisser, je ne suis pas venu pour rien.

-si je la passe je mourrai.

-Ah bon ? on verra ça, poulette.

Il la souleva et la transporta jusqu'à la porte qu'il franchit sans la moindre difficulté avec elle. Ils se retrouvèrent à la morgue, devant le casier où était installé le corps de Bulma.

-va donc retrouver ton corps, petite peste.

L'âme entra dans le casier et moins de 3 secondes plus tard, il entendit sa femme s'agiter.

-B, c'est quoi ça ? végéta, j'ai peur ! fais moi sortir de là.

Elle se cala contre lui, agitée de convulsions.

-Tu m'as sauvé la vie !

pour la seconde fois de sa vie, le guerrier fondit en larmes et la serra contre son cœur.

-Tu vois comme il bat ? c'est parce que j'avais peur d'avoir perdu l'une des personnes que j'aime le plus au monde, plus que ma personne.

Elle le couvrit de baisers mouillés. La porte s'ouvrit de nouveau, laissant apparaître trois personnes : C 17, le père et la mère de Végéta.

-Oh, serait ce mon fils bien aimé ? qu'il a grandi !

elle le serra contre elle.

-Mère, dit il , voici Bulma, ma femme et mère de mes deux enfants.

-J'aurais tellement voulu voir mes petits enfants ! mais je ne peux rester qu'une journée par mois sur la planète des dieux grâce à une permission spéciale.

-Vous viendrez nous y voir, j'en serai ravie.

-Quel âge ont ils ?

-Oh ! Trunks, l'aîné, a 29 ans, et Bra, la cadette en a 21. elle attend un bébé.

-ah ! et quel âge avez vous ?

-Moi ? j'ai 55 ans.

-Eh bien ! j'en ai 74.

-Ma foi, vous êtes toujours aussi belle qu'à vos 20 ans.

-Vous aussi, ma chère !

elles entrèrent dans une discussion pas possible de chiffons et Végéta se tourna vers son père.

-Merci, père.

-C'est toi que je dois remercier. Tu m'as permis de retrouver Irina. J'avais parié avec le diable que tu arriverais à récupérer ta femme. Si je gagnais, ta mère serait alors avec moi.

-Si tu perdais ?

-Et bien, j'aurais été obligé de ressusciter pour conquérir des planètes pour son compte et tuer beaucoup de gens.

-Tu te rends compte du risque que tu as pris ?

-J'étais prêt à tout pour revoir ta mère.

-Ma foi, je te comprends. Ce n'est pas tout, mais il faut rentrer, les enfants doivent s'inquiéter pour nous.

Ils rentrèrent, bulma sur le dos de son mari. Quand ils arrivèrent, ils ne trouvèrent personne à la maison, ils étaient tous à l'hôpital. Bulma sentit tout de suite que sa fille était en travail.

-végéta, Bra va accoucher, je le sens. Allons y !

elle le vit tout à coup s'affaler contre le tapis, endormi. Quel ange ! elle le couvrit d'un drap et sortit en fermant la porte.

La suite bientôt...