Oh merci les fans !!! trop sympa, j'adore !!!
La damnee : merci de ton conseil je l'applique tout de suite...
Rappel du chapitre précédent :
Il était encore séduisant, et il avait succombé aux charmes d'une fille de 22 ans...
Chapitre 15
Bulma tempêtait dans le salon, en larmes.
-Quel salopard ! en 32 ans, je n'ai pas jeté un œil sur un autre homme ! je lui ai fait deux enfants ! deux ! il croit que c'est facile de porter des gosses ? et en plus, de les éduquer, de payer leurs études, de supporter le fait qu'ils ne soit pas tout à faits normaux ? je le déteste ! il n'a même pas essayé de me cacher cette pute !
-bulma, ma chérie, calme toi.
-Je vais demander le divorce, chichi. Je vais refaire ma vie ! mais comment a t'il pu ? pour bien me montrer que je suis une vieille peau ! ce mariage, c'était une erreur, ces enfants, bien que je les aime, c'étaient des erreurs qui m'ont liées à lui. Ma vie toute entière était une erreur !
Elle téléphona à son avocat et demanda le divorce.
-Je me fous de son avis, je veux qu'on me sépare officiellement de lui.
-Bien, madame.
Le soir même, le contrat de divorce fut signé et elle mit tout le monde au courant. Évidemment, cela fit sensation et ils occupèrent les premières pages des journaux pendant plusieurs jours.
'' le plus beau couple séparé sans raison ?!'' disaient ils. S'ils savaient !
Bra et trunks étaient contre tout ça. Ils allèrent la trouver à la caps corp, d'où végéta était parti après une dispute violente.
-Maman, tu ne vas pas laisser faire ça !
-Faire quoi ? demanda t'elle en lui servant une tasse de thé, parfaitement sereine.
-Mais cette fille t'a piqué ton mari !
-Bra, ton père a vécu 32 ans, si ce n'est plus, avec moi. Il avait envie d'expérience neuves, et il est parti ! je lui souhaite bonne chance.
-Mais enfin, mère, ce n'est pas sensé, intervint Trunks. Tu l'aimes, n'est ce pas ?
-bien sûr ! si je ne l'aimais pas, crois tu que je l'aurais épousé, que j'aurais divorcé ? si je l'ai fait, c'est parce que ça m'a fait très mal qu'il... m'ait trompée.
-je suis désolée, maman, mais tu mérites de recommencer ta vie.
-Avec qui ? qui voudra de moi, une vieille peau ?
elle les raccompagna à la porte en rigolant, mais dès qu'elle referma la porte, elle s'écroula et pleura contre la porte.
'' oh, végéta, je t'aime tellement que je n'arrive pas à te détester après ce que tu as fait ! je suis malade de toi, et toi tu pars avec une fillette plus jeune que ta dernière !''
Là bas, il entendit sa longue plainte par la pensée et eut une once de regret. Cette fille, elle l'avait quitté dès qu'elle avait su qu'il était marié à Bulma. Il eut une idée...
Quand elle se réveilla, elle eut ce vieux réflexe de s'étirer, comme au bon vieux temps, et se sentit nettement plus en forme que la veille. Elle se mit à faire le ménage sans prendre la peine d'aller prendre une douche et termina une heure plus tard, pleine de crasse. Dès qu'elle y entra, la glace lui renvoya une image d'elle magnifique. Elle n'en crut pas ses yeux. Elle avait rajeuni de 40 ans !
Bulma se précipita dans la douche, et un quart d'heure plus tard, elle brossait ses longs cheveux mauves, vêtue d'un jean ultra serré avec un petit haut bleu. Elle se fit une queue de cheval et se regarda. Plus besoin de maquillage ! elle passa encore ses longs doits raffinés sur ses joues roses, comme pour s'assurer qu'elle ne rêvait pas.
-ça te plaît ?
La voix venait de nulle part et de partout à la fois.
-qui est là ?
-Ne t'affoles pas, mon amour. Viens à la fenêtre.
Elle fit comme il lui avait demandé et se retrouva devant Végéta, à 21 ans, beau comme un dieu grec. Néanmoins, elle fit la fille qui n'était pas contente de le voir.
-On a divorcé, je te signale.
-Eh bien, on pourra se remarier. Tu es... belle, comme ça.
-Toi aussi.
-tu comptes me laisser dehors ?
-parfaitement.
-Bulma, je regrette d'avoir fait cette erreur idiote. Je t'aime, tu es la seule et unique femme qui ait jamais compté pour moi.
Elle ouvrit des yeux étonnés. Il lui faisait une déclaration d'amour, là !
-Végéta, c'est toi, tu es sûr ?
-Je prends énormément sur moi pour te dire ça, donc faut que tu saches que je le dirai pas deux fois !
Ils se remirent ensemble, comme d'habitude...
Bra et Pan avaient fêté leurs 23 ans, et Pan avait repris son métier de mannequin et de prof d'arts martiaux, puisque Ema était assez grande pour se passer d'elle. Évidemment, au début Trunks lui avait fait une scène, mais comme il ne pouvait rien y changer -car il connaissait sa femme- ils avaient signé un accord. Elle gardait leur petite fille 1 jour sur deux, pareil pour lui, et les dimanches, ils restaient tous les trois.
Un soir, alors qu'elle rentrait avec Ema, son portable sonna.
-Pan ? c'est moi...
-Salut, mon chéri ! ça va ?
-je ne pourrais pas rentrer avant 21 h au moins, alors ne m'attendez pas pour manger.
-D'accord. Tu veux que je te garde quelque chose ?
-Oui, volontiers. Merci, mamour. Je te laisse, j'ai une réunion avec trunks et Bra. Je t'aime.
-Moi aussi. Rappelle moi tout à l'heure.
-ok.
Elle fit rentrer sa fille, lui donna son bain, la fit manger et la mit au lit. Avant de dormir, elle lui raconta une histoire de fée et de roi qui étaient amoureux. Celle ci la fixait de ses grands yeux bleus, l'écoutant attentivement, ses deux nattes noires posées sur l'oreiller, de part et d'autre de son visage angélique.
-Bonne nuit, ma chérie. Dors bien, demain tu vas à l'école.
-Bonne nuit, mamounette !
il était à peine 20h30. trunks tapa à la porte dix minutes plus tard et elle ouvrit, le sourire aux lèvres. Sourire qui s'effaça devant la mine déconfite de son mari.
-Qu'est ce qu'il y a ? ça ne va pas ?
-Mais si, ça va très bien ! ça ne se voit pas ? demanda t'il, sarcastique.
Il faisait ça à chaque qu'il avait fait une connerie.
-J'ai remarqué, dit elle simplement. J'ai rangé ton plateau repas dans le micro ondes. Bonne nuit.
Quand il la rejoignit dans le lit, lavé, détendu, il l'enlaça et elle se retourna, enfouissant ses doigts dans ses cheveux.
-Qu'est ce qui s'est passé aujourd'hui, mon cœur ? demanda t'elle en le fixant dans les yeux.
Il n'arrivait jamais à lui mentir.
-Je me suis mal comporté envers Trunks à la réunion, je l'ai accusé de donner tout l'argent de la société à ses copines... les termes que j'ai utilisés étaient plus violents.
-Calme toi, mon bébé, c'est rien... juste un coup de tête. Demain, tu iras t'excuser auprès de lui.
-oui, demain...
il s'endormit, la tête posée sur sa poitrine, paisiblement.
-Je n'acceptes pas tes excuses. Tu peux aller te faire voir.
-Bien. Au moins, j'aurais essayé.
Il sortit du bureau de sa démarche souple, les mains dans les poches de son pantalon. Toutes les femmes dans Satan city étaient folles des deux trunks. Ils étaient beaux, intelligents, et malgré le fait qu'ils soient jumeaux, ils avaient deux personnalités différentes. Le trunks du présent aimait les femmes, avait un nombre incalculable de maîtresses. Le trunks du futur était fidèle, il aimait sa femme à la folie, et pour rien au monde il n'aurait voulu avoir une maîtresse.
Il entra dans le bureau de sa sœur et la trouva entrain de signer des contrats.
-Salut, sœurette !
-Eh ! comment tu vas, grand frère ?
-très bien. Et Goten ?
-Oh, il pète la forme ! il va au collège avec son fils pendant que je travaille. Tout le monde a adopté ce petit chenapan !
-Fantastique ! quant à ma Ema, elle va très bien. C'est une fille étonnante ! elle est calme et douce, mais quand elle se met en colère...
-Ne t'en fais pas, ce côté là, elle l'a pris chez nous ! rigola Bra. Je paries qu'elle est de plus en plus jolie !
-Exact ! elle va déchaîner les passions, d'ici dix quinze ans !
sur ces entrefaites, Goten, Pan, Shun et Esmeralda entrèrent et saluèrent.
-Papa ! J'ai bien travaillé aujourd'hui. Je sais écrire mon nom et mon adresse. Comme ça, je ne me perdrai jamais, annonça t'elle fièrement en s'élançant dans les bras de son père.
-C'est très bien, mon ange. Tu viens, on va dans mon bureau. À tout à l'heure, vous autres.
Ils sortirent et entrèrent dans le salon privé de trunks où il embrassa tendrement sa femme, vêtue d'un tailleur impeccable rouge qui faisait ressortir sa beauté brune.
-Tu m'as manqué, mamour...
-moi aussi.
Ema les laissa en prétextant une subite envie de chocolat.
-ta fille est beaucoup trop intelligente ! se plaignit il en riant.
Il tomba avec elle sur le sofa et prit son visage entre ses mains.
-Tu sais quoi ?
-Quoi ?
-Je t'aime à la folie. Veux tu m'épouser ?
-Mais on est déjà mariés !
-je sais, mais j'avais envie de reformuler la question.
Ils éclatèrent d'un rire joyeux.
-Et toi, tu sais quoi ? demanda t'elle à son tour.
-Je sais pas encore, mais tu vas me le dire !
-Je suis allée chez le médecin aujourd'hui...
il semblait suspendu à ses lèvres.
-Et je suis enceinte de deux mois et demi.
Il la souleva de terre et la tint enlacée contre lui, heureux comme jamais.
-Je ne sais pas encore le sexe de l'enfant, mais dans 3 semaines normalement...
-Oh, mon amour, je t'adore ! on va avoir un bébé ! comment on va l'appeler ?
-C'est à toi de décider. J'ai choisi le prénom de Ema.
-Si c'est un garçon... Végéta junior, et si c'est une fille, Videl.
Elle sourit. Son mari était très épris d'elle, et cela depuis leur première rencontre. Elle aussi, elle l'aimait. C'était donc parfait.
-Quoi ? tu vas épouser Trunks ? Marron, ça va pas ?
-Mais si, ça va parfaitement !
-Je te laisserai pas gâcher ta vie une deuxième fois.
-Ne t'en fais pas, c'est un mariage arrangé, et de toutes façons, on est convenus de certaines choses.
-Enfin, soupira son amie, si tu crois que c'est bien...
-Je vais t'avouer un truc : je suis amoureuse de lui.
Ils se marièrent le mois suivant, en présence seulement des parents et amis. Ensuite, ils s'installèrent dans un véritable palace et chacun reprit ses habitudes de célibataire. Le matin, ils se voyaient, déjeunaient ensemble, plaisantaient, allaient au travail, et le soir, ils dînaient avant de se séparer devant leurs chambres. Leurs relations se bornaient à ça. Trunks, cependant, avait arrêté d'avoir des maîtresses.
Un mois environ après leur mariage, alors que Marron prenait sa douche du soir, elle entendit un bruit furtif. Rapidement, elle éteignit l'eau et enfila son peignoir avant d'ouvrir le rideau, puis la porte. Elle se retrouva en face de Trunks et souffla.
-Ouf ! c'est toi ! j'ai bien cru qu'on était venu m'assassiner ! comment va mon mari, ce soir ?
-Oh, pas mal. Les affaires vont de mieux en mieux et j'ai une femme merveilleuse !
-Serait ce un compliment ?
-oui, c'en est un. Tu sais que tu es magnifique ?
elle fronça les sourcils et recula légèrement. Il remarqua son geste et en deux temps trois mouvements ferma la porte à clé qu'il mit dans sa poche.
-Qu'est ce que tu as ? s'inquiéta t'elle.
-Rien... je brûle d'envie de te faire l'amour, ma chère femme. Et comme je sais que tu ne voudras jamais, je t'encourage...
-Qui te dit que je voudrais pas ? questionna t'elle, l'air tout à coup aguicheur.
-Tu veux bien ?
-Mais bien sûr !
sans autre explication, il se jeta sur elle et elle se laissa faire, patiente, jusqu'au moment où elle eut la clé en sa possession. Là, elle le projeta de l'autre côté de la pièce d'un coup de pied bien placé et ouvrit la porte. Elle essaya de s'enfuir, mais il la rattrapa dans le couloir et la cloua au sol, les bras relevés en croix.
-Alors comme ça on veut me fausser compagnie, ma chère ? ce n'est pas poli !
elle crut voir une étincelle dans son regard quand il commença patiemment à entrer en elle avec légers coups de reins. Il se frotta à une résistance incroyable. Par un effort de volonté, Marron avait réussi à fermer son utérus avec un mouvement de muscles.
-Putain ! jura t'il en s'arrêtant. Marron chérie, soupira t'il de sa voix suave, laisse toi faire. tu verras, tu vas apprécier.
-Je ne veux pas... sanglota t'elle, ses yeux bleus ciels le fixant. Je ne veux pas faire l'amour avec toi parce que tu me considères comme un objet !
-Marron... arrête de dire des bêtises. Tu veux savoir pourquoi je t'ai épousée ?
il remarqua que la force de sa défense avait considérablement diminuée, mais il tint à aller jusqu'au bout de sa pensée. Il fallait qu'il lui dise.
-Je t'ai épousée parce que je t'aime. Parce que je n'arrivais plus à dormir sans penser à toi. Parce que même quand je couchais avec Leaticia, je croyais que je te faisais l'amour. Elle m'a quitté parce qu'un jour j'ai crié ton nom en pleine extase.
Elle pouffa de rire et s'arqua sous lui pour lui faciliter l'entrée. Le plaisir les emmena à des sommets inimaginables et marron s'évanouit à moitié.
Quand il la déposa sur son lit, il la couvrit jusqu'aux épaules et sortit.
-trunks ? pourquoi tu t'en vas ? demanda t'elle, en somnolant.
-Ce n'est pas ma chambre, chérie.
-Si, c'est la tienne !
elle paraissait tout à fait remise de ses émotions, maintenant.
-Viens te coucher avec moi.
-Ce n'est pas raisonnable... non. Je vais dans ma chambre.
Elle le regarda partir, les larmes aux yeux.
''Il m'a raconté des mensonges pour pouvoir me b, c'est tout !''
Trunks arpentait la cuisine, un pli soucieux lui barrant le front, quand elle vint l'y trouver.
-Tu m'as menti, n'est ce pas ?
-à propos de quoi ?
-Arrête de faire l'innocent ! tu sais très bien de quoi je parles !
-J'ai dit un seul mensonge, je l'admets.
Il quitta le petit bar et vint se planter en face d'elle.
-C'est quand j'ai dit que je t'aimais...
attention, keskil va enkor sortir kom anerie le ptit trunks ? à vou de ma le demandé poliment... :D
