Avant tout, désolée désolée désolée désolée désolée pour le retard. Mais je ne suis plus si sûre d'arriver à maintenir le rythme... enfin, je vais faire ce que je peux.

Ensuite, même s'il ne la lira jamais, je voudrais faire une petite dédicace à Vaughan. Vaughan est le nouvel arrivant dans la famille, un chaton de trois mois qui est avec nous depuis mercredi dernier (ce qui explique en partie le retard). Pendant une bonne partie de l'écriture de ce chapitre, Vaughan a dormit sur mes genoux, alors que j'écrivais. C'est véritablement un animal adorable.

Merci pour les dernières reviews, elles m'ont fait plaisir, et j'espère que cette fic vous plaira autant même si je dois un peu espacer mes "publications"...

IV Halloween et dernier affrontement

24 Octobre : Externe

Une main qui sort de derrière le tableau. Un murmure de son gardien. Le corps derrière est immobile. Son souffle inaudible. Silence de quelques secondes. La main blanche poursuit son geste, ouvre la porte-tableau, et sort sans faire plus de bruit que le silence.

Une silhouette drapée dans un grand manteau noir à capuchon. Marche sur la pointe des pieds. Longe les murs.

Le propriétaire de la silhouette est un as dans l'art de la discrétion. Ce chemin, il le connait, il le parcourait déjà lors de sa première année ici, pour être seul, un être seul dans les ténèbres.

Il se fond dans la nuit, derrière chaque chandelier, chaque statue, personne ne le voit, personne ne pourrait le voir. Il parcourt les couloirs vides, personne ne l'entend, personne ne pourrait l'entendre.

Il est seul.

Sans l'être.

Il marche. Il ne possède pas de cape d'invisibilité, mais ce ne lui serait d'aucune utilité. Lorsqu'il fait sombre, personne ne peut percevoir sa présence.

Il arrive là où il doit se trouver. Leur point de rendez-vous.

Elle n'est pas encore là.

Il s'assoit sur le rebord de la fenêtre et l'attend. Il sait qu'elle n'est pas aussi douée que lui pour se dissimuler. Et elle préfère ne pas utiliser de sortilège d'invisibilité. On pourrait les repèrer, étant donné l'énorme concentration magique qu'il faut pour les effectuer.

Elle finit par arriver, elle aussi drapée de noir.

Il la prend dans ses bras et relève son capuchon pour l'embrasser. Ils enjambent simultanément le rebord de la fenêtre et se retrouvent sur le toit. Ils lèvent tous deux la tête vers le ciel. Nuit noire, sans lune. S'il y avait eu un peu de lumière et si quelqu'un les regardait de profil, cette personne aurait crû voir un seul être.

Puis ils se regardent et se sourient.

"Je suis arrivé avant toi, lui fait-il remarquer. Comme toujours.

- Désolée. Je sais que je ne suis pas assez rapide. Je ne cesse de me retourner pour vérifier que cette maudite chatte ou un fantôme ne me suit pas. Je crains en particulier l'esprit frappeur. Il a cette manie d'apparaître derrière vous quand vous ne vous y attendez pas...

- Il faut profiter de tous les éléments à ta disposition. N'hésite pas à te cacher derrière les statues.

- Je sais. Tu me l'as déjà dit. Mais j'ai peur qu'elles se retournent et me voient.

- A cette heure, elles dorment. Et si tu es assez silencieuse, elles ne te remarqueront pas.

- Tu me l'as déjà dis aussi. Mais tu es définitivement plus fort que moi à ce jeu.

- La prochaine fois, si tu veux, je passerai de prendre devant la salle communne des Gryffondors, et nous irons ensemble.

- Peut-être. Mais la grosse dame...

- Elle est sourde et soule la plupart du temps.

- Qui t'a dit ça?

- Des fois, quand tu reste longtemps dans le noir, tu peux entendre plus de choses que la plupart des gens...

- Sans doute, soupire-t-elle. Mais elle est plus maline que tu ne le penses. Et pas sourde du tout. Elle fait simplement semblant de ne pas entendre ce que lui disent les élèves qu'elle n'a pas à la bonne.

- Si tu le dis, je te crois. Nous continuerons donc à procèder de cette manière.

- Oui. Je pense que c'est le mieux."

Elle grimace. Il lui prend la main.

"Et maintenant, ma chère, si nous nous entraînions?"

Ils redescendent.

Elle place un sort d'insonorité autour d'eux, plus pratique et moins lourd que le sort d'invisibilité.

" Au fait, dit-elle, Flitwick ne s'étonne pas trop de tes progrès?

- Disons qu'il est un peu surpris, mais ne peut en être que plus heureux. Grâce à toi, c'est vrai que j'ai de bien meilleures notes.

- Pas grâce à moi. Tu as de grandes capacités en toi. Mais jusqu'ici, tu ne t'en servais pas beaucoup. Tu passais bien plus de temps à vanter tes exploits qu'à les accomplir. Mais tu es doué."

Il sourit à ce compliment et lui lance un sortilège d'Expelliarmus, qu'elle repousse négligeamment.

"Au fait, lui dit-il en continuant l'entraînement, les Serpentards veulent se venger.

- Oh, comme je suis étonnée... que projettent-ils?

- Quelque chose comme te surprendre dans un couloir, quand tu seras seule, et te bombarder.

- Bombabouses?

- Tout juste.

- C'est d'un original... et tu feras parti du raid, je suppose?

- L'honneur des Malefoy est en jeu. Tu m'as humilié en public.

- Ta tête enflait dangereusement, il était temps de la réduire, lui rappelle-t-elle avec un clin d'oeil.

- Cela, ils s'en moquent. Ils ne voient que l'affront. Enfin... je ne suis pas certain qu'ils aient compris le quart de tes paroles, mais ils ont en tout cas compris que c'était une injure, et qu'il fallait la réparer.

- Pourtant, ils n'ont pas le courage d'effectuer leur "vengeance" en public.

- Trop risqué.

- Si tu le dis... pense à te munir d'un anorak.

- D'un quoi?

- Rien. Oublies ce que je viens de dire. Mais mets-toi plusieurs couches de vêtements.

- Lya?

- Oui, Drago?

- Ne nous abîme pas trop. S'il te plaît."

Elle sourit.

" D'accord."

A son tour. Elle crée une Illusion, si habilement que lui-même ne sait plus qu'elle silhouette est réellement la sienne. Seule la manière de se tenir, légèrement gauchère, de la jeune fille de droite lui permet de s'y retrouver. Il s'adresse à celle de gauche.

"Très bien. J'ai eu un doute.

- Je l'ai vu. Mais tu m'as trouvée. Ce qui signifie que ce n'est pas encore parfait."

Elle agite la main devant son double, qui ne tarde pas à s'évaporer.

"C'est Halloween, samedi prochain, dit-il.

- Je sais. Qu'y a-t-il de prévu?

- Sortie à Pré-au-lard. Nous comptons d'attaquer avant, mais méfies-toi quand même. Surtout après que tu nous aies une fois de plus ridiculisés. Je crois que Pansy Parkinson a très, très envie de te faire du mal. Méfies-toi d'elle.

- Je sais. En Défense Contre les Forces du Mal, elle me dit de jolies choses. Mais je crois qu'elle n'a pas trouvé de synonyme à "tuer" et "refaire le portrait".

- Que lui réponds-tu?

- Je l'ignore totalement. Elle finira bien par se lasser.

- N'en sois pas si sûre. Fais attention, Lya. Elle te déteste véritablement."

31 Octobre : Drago

Je m'inquiète pour Lya plus encore que je ne veux lui montrer. Je crois qu'elle ne prend pas au sérieux la menace Pansy Parkinson.

Après qu'elle ait compris le sens des paroles de Lya lors de notre affrontement, Pansy les a pris encore plus à coeur que tous les autres Serpentards réunis. Déjà avant, elle détestait Lya. Maintenant, elle la hait véritablement, et compte l'éliminer.

De plus, l'échec de notre "vengeance" n'a pas arrangé les choses. Il est vrai que Lya nous a mis la tripotée.

Je me doutais que le choc des Bombabouses sur la peau faisait mal, mais pas à se point là. Je comprends maintenant pourquoi elle m'avait conseillé de prendre plusieurs couches de vêtements. J'ai suivi son conseil, mais je n'en ai pas mis assez, et je me retrouve maintenant avec plusieurs bleux.

Et je suis très, très content que cela n'ait pas eu lieu en public.

Nous nous sommes approchés d'elle aussi lentement et discrètement que possible. Je pense que, si j'avais été seul, l'opération aurait été un succès. Mais il est difficile d'apprendre aux éléphants à marcher sur des oeufs...

Elle nous a entendu mais ne s'est pas retournée tout de suite. Pansy a lancé la première Bombabouse, et c'est à ce moment qu'elle s'est retournée. Elle souriait. Oui, elle souriait. Les autres Bombabouses ont suivi. J'ai lancé la mienne. Lorsque toutes ont été en l'air, se dirigeant droit sur elle, elle qui continuait de sourire, elle a levé sa baguette magique, esquissé un mouvement gracieux, beau comme un mouvement de danse, et les Bombabouses ont changé de trajectoires. Et leur nombre a doublé.

Sur nous. Elle les a lancées sur nous.

Nous n'avons pas pû la dénoncer. C'est nous qui avions lancé l'attaque. Et nous en avons récolté les fruits.

Des bleux, rien de plus grave. Elle aurait pû, oui, elle aurait pû nous faire véritablement mal, nous punir d'une manière qu'aucun d'entre nous n'aurait oublié. Elle aurait pû défigurer Pansy. Je l'aurais fait, à sa place.

Mais elle s'est contenté de nous renvoyer nos projectiles. Et de les multiplier par deux. Deux fois plus mal. Alors qu'elle aurait pû faire cent fois plus.

Je ressasse tout cela, assis sur une chaise, dans la Grande Salle. Pansy, à côté de nous, me parle de je ne sais quelle idiotie. Soudain, je surprends le nom de Lya dans la conversation.

"... je pense que je vais l'affronter ce soir, lorsqu'elle ne s'y attendra absolument pas, au milieu de tout le monde. Comme ça, ils verront tous.

- Je te le déconseille. Elle nous a eu deux fois, une fois par l'intelligence, une autre par la force. Que veux-tu faire d'autre?

- QUOI? C'est toi qui parle comme ça après ce qu'elle a fait? Si c'était Potter, que ferais-tu?"

Je lui "referais le portrait", pour utiliser cette expression.

" Tu as raison, Pansy. Excuse-moi, je pensais à autre chose."

Pourquoi est-ce que je m'inquiète tant? Je sais que Lya est plus forte.

Mais Pansy est déloyale. Pansy est capable de l'attaquer lorsqu'elle aura le dos tourné. Si Lya pourrait épargner Pansy, pensant que ce n'est pas le moment, Pansy, elle n'a pas assez de jugeote pour le faire. Lya est sans pitié, mais elle est intelligente, et sait à quel moment ne pas frapper. Elle veut protèger la part d'innocence qui lui reste. Pansy ne songe pas à tout cela. Pas un seul instant. Pansy frappera sans réfléchir.

Voilà pourquoi.

Externe

La porte s'ouvre et Lya entre. Elle est belle, très belle même, dans cette robe. Et tout le monde la voit. Comment ne pas la remarquer? Déjà en temps normal, sa présence ne passe pas inaperçue. Mais là, avec cette robe blanche...

Même Peeves, occupé à détacher des citrouilles pour les faire tomber sur des élèves, la regarde.

Mais elle, elle semble ne pas se préoccuper de tous ces regards sur elle, elle semble ne pas les remarquer, ne pas les voir. Elle avance, elle marche dignement. Un sourire apparaît sur ses lèvres lorsqu'elle se rapproche des Gryffondors. Elle devient plus humaine, moins distante, alors qu'elle adresse un petit signe de la main à Colin Crivey, en grande discussion avec Padma Patil. Lorsqu'elle s'assoit en face de Ginny, elle ressemble à une élève normale.

Pansy Parkinson bouillonne de rage. Elle n'a jamais supporté cette élève. Elle la considère presque comme sa rivale. Comment peut-elle se comporter ainsi? Elle est encore pire que Granger! Son air narquois, lorsqu'elle répond, lorsqu'elle ose répondre, à Drago! Elle ose répondre, elle ose insulter, elle ose humilier un Malefoy! Elle ose s'adresser aux membres de grandes et puissantes familles de sorciers au sang pur avec une telle... indifférence! Comme s'ils n'étaient rien de plus, comme s'ils n'avaient rien de plus, que les autres, comme s'ils étaient, presque, des Moldus!!

Elle est folle. Oui, elle ne peut-être que folle. Et dangereuse. Pansy doit l'admettre. Dangereuse. Cette facilité avec laquelle elle réplique, que ce soit verbalement ou au niveau de la magie...

Folle et dangereuse.

Pire que Granger.

Une solution.

L'éliminer.

L'humilier.

La traîner dans la boue.

Lui ôter toute envie de recommencer.

Qu'elle sache ce que ça fait.

Ce que ça fait.

Ils ont déjà essayé. Mais elle semblait s'y attendre. Là, elle ne s'y attendra pas. Elle l'attaquera de dos. Elle l'aura. Il le faut. Il le faut.

Et... si ça ne marche pas... il faut que ça marche... ou alors il faudra capituler... mes c'est impossible... les Parkinson ne capitulent pas... il faut que ça marche... un sortilège dangereux... mais utile... pas si dangereux, en fait... pas impardonnable... mais presque...

Et elle, qui continue sa discussion, tranquillement. Sa seule vue est insupportable à Pansy.

Qui se lève.

L'autre se lève aussi.

Elle n'a pas senti la menace.

Drago

Je retiens Pansy par la manche.

"Qu'est-ce que tu fais?"

Question inutile. Je sais parfaitement ce qu'elle fait.

Mais Lya, non. Elle n'a pas senti la menace.

" Il faut nous venger..."

Et Pansy qui semble comme possédée... elle est possédée... par la rage... et la jalousie...
La jalousie? Aurait-elle? Inconsciemment? Non. Jalousie parce que Lya est plus belle, plus intelligente. Lya réussit toujours. Pas Pansy.

Externe

Pansy, d'un mouvement violent, détâche son bras.

Lya se prépare à sortir de la Grande Salle. Elle est toujours en train de parler à Ginny.

Lya

Ginny... toujours égale à toi même...

" Pourquoi tu ne lui en parle pas?

- Je n'ose pas... et puis, c'est aux garçons de faire leur demande!"

Je ris.

" Voyons, Ginny, tu sais à quel point il est timide.

- C'est vrai, capitule-t-elle. Mais... si ça se trouve, lui ne ressent rien pour moi. C'est vrai, je suis tellement...

- Jolie, intelligente, débrouillarde, futée, pleine de sang-froid, j'énumère, c'est vrai, qui voudrait de toi?

- Et même si tu as raison, il doit avoir l'impression que je l'ignore, regarde, l'année dernière, j'étais avec Michaël, là j'ai rompu pendat les vacances avec Dean... il me prend sûrment pour une croqueuse d'hommes!"

Là, j'éclate de rire.

Avant de ressentir la douleur.

La douleur.

Dans mon dos.

Elle part de mon dos, la douleur, puis elle se propage, je le sens, je sais ce que c'est, c'est presque comme le Doloris, mais ce n'est pas ça, je réalise, pas un Impardonnable, mais presque...

"Lya? Quelque chose ne va pas?

- Le Maléfice des Lâches..., je murmure."

Je tente de me ressaisir malgré la douleur qui s'amplifie. Je n'entends presque plus rien. Qui...? Qui?

Je sais qui. Je le sais.

Un Maléfice très lent. Très dangereux. Loin d'être mortel. Mais très douloureux.

Je sors ma baguette magique de ma poche, lentement. J'essaye. Ne pas m'évanouir. Ce serait un signe de faiblesse.

C'est le but de ce maléfice. L'autre finit par s'évanouir. Et là, seulement là, la douleur cesse, mais tout le monde a pû voir, a pû voir, combien la victime peut être faible.

Je sors la baguette.

Que je me retourne. Il faut que je me retourne. Que je me...

Externe

La salle est silencieuse.

Voyant son adversaire prêt à se retourner, Pansy Parkinson lance immédiatement un Expelliarmus.

Lya est projetée à terre et sa baguette magique atterit aux pieds de la jeune Serpentard.

Drago
Idiote!

Oh, Lya, je souhaiterais tant t'aider...

Mais quelle idiote que cette Pansy!

Relève-toi, Lya, tu le peux maintenant. En te lançant un Expelliarmus, cette peste a annulé le Maléfice.

Elle se relève, à mon grand soulagement. Weasley lui tent sa main mais elle n'en a pas besoin. Elle chancèle un peu, mais se tient debout. Elle fait face à celle qui l'a agressée, la regarde droit dans les yeux.

Pansy est décontenancée. Quelques instants. Mais cela suffit.

Empruntant la baguette de la rouquine, Lya lance vivement un Expelliarmus et se retrouve avec trois baguettes entre les mains. Elle tent l'une à son amie et lance l'autre à son ennemie, gardant la sienne.

Lya et sa bonté d'âme... n'a-t-elle toujours pas compris que Pansy n'a pas cette pitié?

Lya

Tu as voulu la guerre, Pansy? Eh bien, la voilà. Et je ne ferais pas de quartier. Si je te rends ta baguette, c'est uniquement pour que tout le monde voit que, moi, je ne suis pas lâche, je ne suis pas fourbe, je ne suis pas sournoise.

Je ne suis que le mal. Je ne fais que le mal.

Mais je ne suis pas lâche, Pansy, non. Je ne suis pas faible non plus. Bien entendu, je n'ai pas la force et le sang-froid de Drago, ce sang- froid qui lui permet de faire du mal sans ressentir, ou presque, cette douleur au fond de son coeur, ou même de l'ignorer. Je n'ai pas cette capacité là. Mais je peux, je peux, me montrer cruelle.

Je le peux.

Externe
 Pansy Parkinson hoche la tête d'un air éberlué, comme si elle ne contrôlait pas cet acte, ou comme si elle répondait à quelque chose à son propre insu.

Puis elle reprend ses esprits et élève sa baguette. Trop tard.

"STUPEFIX! rugit son adversaire."

Et la voilà stupefixiée.

Lya s'approche d'elle de sa démarche lente, tranquille, sûre d'elle mais pas pour autant fière ni orgueilleuse. Elle se penche un instant au- dessus de sa "rivale".

"J'espère que tu n'oublieras pas la leçon, Pansy. Je ne vous ai jamais attaqué, ni toi ni les autres Serpentards. Je n'ai fait que me défendre et défendre mes amis. La première fois, vous ne saviez pas en quel terrain vous vous avanciez. J'ai répondu à vos insultes. Vous ne l'avez pas supporté. Et je ne me suis pas souciée de ce "mécontentement". Puis vous avez tenté de vous venger, en m'attaquant alors que j'étais seule. Là encore, je me suis défendue. Je me suis dit qu'après tout c'était peut-être légitime, je vous avais offensée, moi, je vous avais répondu comme quiconque avant moi, même pas Harry Potter, n'avait osé le faire. Mais cette fois-ci, je ne te pardonne pas, Pansy. Parce que, cette fois-ci, je ne m'y attendais pas, et tu m'as attaqué dans le dos, de la manière la plus abominable et la plus lâche qu'il soit. Et tu n'avais pas raison de le faire. A un enfant, on dit non une fois, non deux fois, et à la troisième il est punit. Il n'y a que très rarement de quatrième fois. Alors j'espère que tu n'oublieras pas, que vous n'oublierez pas. Laissez-moi tranquille, et je vous laisserai tranquille."

Sur quoi elle sort de la pièce.

Voili-voilà. Je sais, je dis ça à chaque fin de chapitre, mais je n'ai pas encore trouvé d'autre formule...

Les réponses aux reviews, comme d'habitude :

lelfia : C'est sûr, je suis schtarbée... sûrement plus que toi... y a qu'à voir une fic que j'écris... je l'ai pas encore mise, je ne sais même pas si j'oserais... dans la série "délires écrits à une heure du matin", je te présente "Pathetic story", pour tout te résumer c'est un gros délire une super parodie du loft, star académy ou autres émissions de télé-réalité... un mix entre plein de choses... mais je n'en suis qu'à la première semaine de casting alors il y a peu de chance que tu lises ça un jour (et en plus, il faudrait vraiment que je sois encore plus dingue que d'habitude pour la poster!!!!!). Sinon on s'en fout pas de ta vie! Enfin, disons que je ne me mêle pas de tes affaires, mais si tu veux parler à quelqu'un, je suis là!!!!! Et pour le brevet blanc ça c'est bien passé, merci de demander, j'ai juste tout raté en maths... à bientôt sinon!

mwameme : Tu as raison, ce n'est pas très égal... j'ai tenu compte de ta review pour écrire ce chapitre. Mais tu sais, même si Lya a un avantage sur Drago avec la Légilimency, Drago a des avantages au niveau du caractère : il est plus déterminé, a moins de pitié... et je lui ai rajouté ce don pour passer inaperçu après avoir lu ta review. Merci beaucoup de cette critique qui m'a bien aidée!!

sohaya : Merci encore! C'est chouette d'avoir des revieweuses aussi fidèles!

Bon ben voilà!! C'est fini! A bientôt!!!!!!!