Mon nom est Zero

Auteur : Kazu-chan

Origine : Gundam wing

Genre : Yaoi, OOC, torturage de gundam boys…

Couple : 2/1, 4/1, 3/4, 13/5/13, 2/5(nouveau couple en perspective ? ? ?) Et le meilleur pour la fin…… 1 /? ? ? ? ? ? ? ? ?

Disclaimer : Ils sont pas à moua, sauf Zee, mais c'est une fille, snniifffffff ! ! Veux du bishonen moua

Chapitre 2:Un mystérieux sauveur.

Enfin ils étaient en lieu sûr. Une de leur planque, assez éloigné du lieu ou c'était déroulé la mission. Le nouveau gundam, plus légé, rapide et bien moin amoché que les quatre autre, était arrivé le premier. Duo avait sentit le Deathscythe tremblé pour finalement ateindre se qui semblait être le planché des vaches.

Il tenta de se sortir du cockpit mais une vive douleur fusant dans son bras l'en empêcha. Reprenant sa respiration, il palpa précotioneseument l'objet de tant de soufrance. La douleur ne se fit pas attendre et la reponse à son interrogation non plus : cassé.

Pour ne rien arrangé sa tête tournait et le liquide chaud qui coulait sur sa nuque l'informa qu'il était plus gravement touché qu'il ne l'avait présagé. Il fut tiré de ses sombres pensées par un grand bruit. Quelqu'un grimpait sur son gundam.

Ce quelqu'un ouvrit avec difficulté son cockpit endommagé. La lumière l'aveugla un instant. Il fut soulevé doucement et emmené loin du Deathscythe. Duo ne put distingué son visage tant sa vu était trouble. Une douleur sourde martelait ces tempes, et il faisait d'incroyables efforts pour ne pas perdre concience. Cependant, son instinct lui disait qu'il pouvait faire confiance à la personne qui le soutenait et l'aidait à marcher. Il remarqua qu'elle était relativement petite vu son inclinaison sur son corps. La chevelure douce que son bras valide frolait par moment lui apprit que c'était très probablement une fille, ou qu'il allait très bien s'entendre. Une voix s'éleva alors, venant confirmé ces penséés.

- Ne t'inquiète pas, tout ira bien.

La voix était douce et christaline et le ton employé calme et rassurant. Une voix de petite fille.

- T'inquiète…….. pas, je……suis……un dur à cuire.

Comme pour démentir ces paroles la douleur s'intensifia brusquement et il perdit connaissance.

Quand il se réveilla il était allongé sur le canapé du salon, quatre visage penché au dessus de lui. Deux impassibles comme à l'habitude de leur propriètaire, un passablement irrité et le dernier à la limite de la crise nerveuse.

- Il ouvre les yeux ! ! ! ! ! ! ! ! !

- Doucement Quatre, il va bien, déclara Trowa d'un ton appaisant.

POV de Duo :

Ca pour sur que je vais bien. Bien mieux que tout à l'heure en tout cas. Je suis allongé sur le canapé, bien au chaud sous une couverture. Mon bras est bandé et vu que lui et ma tête mon laissé quelque instant de répis, j'en déduis que les autres ( Quatre), ont du m'injecté dieu seul sait quel antiseptique. Je me rappelle soudain comment je suis arrivé ici, et tente de me relever

- La gamine, ou est elle ! ! ! ! ! ! !

- Quelle gamine Maxwell ? ? ?

- Oh Allah, il délire, c'est peut t'être plus grave qu'on ne le pensait ?

- Calme toi Quatre, il n'a qu'un hématome et un coupure à la tempe, c'est la perte de sang qui a causé son évanouissement.

- Mais heero……

Là, je commence à en avoir mare. D'abord il parle tous comme si je n'étais pas là et en plus si j'extrapole convenablement ils viennent de me traité de dingue. Faut pas exagéré ! ! ! ! ! Shit, j'l'ai pas rêvé cette voix et cette forme féminine.

- Vous croyer que je suis arrivé sur ce canapé comment ! ! Par l'oppération du saint esprit peut-être ! ! ! ! ! ! !

- Effectivement, répond Heero, on t'a retrouvé allongé sur le canapé et quelqu'un t'avais déjà donné les premiers soins.

Je tente de rassembler mes souvenir. La mission, piège…..

- Le nouveau gundam ! ! ! ! ! ! ! C'est elle qui m'a sortit du Deathscyte ! Mais comme ma vue était trouble je ne l'ai pas bien vu.

- Alors comment sait tu que c'était une fille, souligne Wufei moqueur.

- Parce qu'elle ma parlé. Et puis comment ça se fait que vous l'aillé pas vu ? ? Vous étiez juste derière nous. Elle a pas put me soignier et repartir avant que vous arriviez ! ! ! ! !

- Wing est tombé en rade, ça nous a considérablement ralenti, déclara Heero. Et arrête de dire elle. Tu ne l'as pas vu non plus.

Ca, c'est la goute d'eau qui fait débordé le vase.

- FUCKING SHIT! ! Heero, je supporte tes « omae wo korosu », tes « baka », tes monosylabes et ta sale humeur, mais pas que tu me traite de menteur même en insinuation. UNDERSTAND ? ? ? ! ! ! ! !

- Duo, ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, tu nous as toi même dit que ta vu était trouble, la perte de sang et tes blessure on put déformé ta vision des choses…

Ces paroles me calme brutalement.

Le ton de sa voix était d'un iota moins froid que d'habitude. Je rêve ou il a voulut me rassurer. Je le regarde droit dans les yeux et dit doucement :

J'ai entendu sa voix, j'en suis sur, ces cheveux, je les est senti quand j'ai passé mes bras autour de son cou. Et son odeur aussi… Je te jure que c'est vrai.

Il me croit, je le vois à son regard, cependant mes paroles l'ont choqué (autant que peut l'être le perfect soldier) et je n'arrive pas à en comprendre la raison.

Il n'est pas macho comme Fei, une femme pilotant un gundam ne le generai sûrement pas, même si elle est jeune, à moins……. qu'il ne la connaisse.

Ces concidérations se perdent à l'instant ou je me rend compte qu'il ne m'a pas quitté des yeux. Comme si les autre n'étaient plus là, une merveilleuse intimité c'est installé. Rien que son regard et le mien. Comme si nous partagions le secret de l'identité du pilote.Un secret et un regard qui nous li l'un à l'autre plus que tout les mots de la terre. Maintenant j'en suis certain, il l'a connait.

La voix de Quatre nous ramène à la réalité. Il a l'air énervé, c'est pas le genre de mon kitty quat, je me demande bien ce qu'il a.

Heero lui jette un regard très légèrement géné. Je comprend pourquoi. Ca doit bien faire dix minutes que quat chou le secoue et que Wufei me hurle dans les oreilles.

- TU VA REPONDRE QUAND ON TE PARLE ESPECE DE SHAZI ! ! ! ! !

- Vi, WuWu moi aussi je t'aime…

- Heero, ou vas tu ? Intervint pour la première fois notre deuxième glaçon atitré.

- Hn, rapport, contacté mads.

Du clair et du concis, bref, le retour du soldat parfait. Enfin pas tout à fait, il parait nerveux. On le fixe tous monté les escaliers sans même se retourné puis disparaitre dans le vestibule.

- Qu'est ce qu'il a ?

- Je sais pas poussy quat.

- On s'en fiche ! !

- Ehh parle pour toi Wufi ! !

- Quoi qu'il en soit, déclare soudain Trowa, fille ou garçon, je me demande pourquoi ce pilote n'est pas resté.

- Tu as raison Barton, il a l'air de notre côté, et c'est un gundam, je ne vois pas pourquoi il n'a pas voulu nous rencontré. Ce n'est pas un comportement honorable, tu dois avoir raison Maxwell, c'est surement une femme.

- Eh Wun-man, tu te rends compte de ce que tu vien de dire ? ! ! ! ! ! ! !

- Que c'était une femme ?

- Nooooonnnnnnnnnn ! ! T'as dis que j'avais RAISON ! ! ! ! ! ! ! ! !

- Nataku nous protège, soupira Wufei, avant de quitter le salon suivis de près par Trowa.

Viiii, je vais rester seul avec mon Kitquat, pas que j'aime pas les autres, mais avec lui, je vais pouvoir parlé plus ouvertement de cette fille. Et de Heero et moi.

Je me redresse tant bien que mal sur le canapé malgrè mon bras. Hereusement le petit blond vient à mon aide. Il s'assoie ensuite près de moi et me fixe d'un air grave. Y'a un truc qui cloche chez notre p'tit radiateur perso, après Heero, voila que c'est Quatre qui devient bizzard. Moi, chuis à deux doights de plus rien pigé du tout.

POV de Quatre :

Je fais tout pour le cacher mais vu la tête que fait Duo, je ne dois pas être très bon acteur.

Je suis jaloux, il ne faut pas cherché plus loin.

Je suis littéralement malade de jalousie.

Duo ne peut pas savoir puisqu'il était inconcient quand nous sommes arrivés.

S'il avait vu la tête d'Heero, quand nous avons trouvé le Deathscythe vide, le cockpit plein de sang.

Certes moi aussi j'ai cru mourir de peur, j'aime Duo, c'est mon meilleur ami. Mais cette expression inquiète et tendu, si étrangère à l'habituel masque de froideur du soldat parfait, jamais je ne pourrais l'oublié. Ainsi que ces ondes d'inquiétude terrible qui me parvenait. Et ce regard qu'il on partagés.

Heero n'est pas encore amoureux de Duo. Mais le encore fait toute la différence. Je sais aussi que c'est mal, mais je vais empêcher ce « encore » d'arrivé.

Je veux Heero, c'est un désir égoiste, mais j'en ai assez d'être le gentil petit Quatre. Pour une fois, je ne veux pensé qu'à moi. De plus ce n'est pas comme si je forçais la main d'Heero, je sens bien que je ne lui suis pas indifférent.

J'ai au moin cet avantage sur Duo. Grâce à mon Uchuu no kokoro je peux ressentir les moindres variations de sentiment du soldat parfait.

Je n'ai plus qu'à mettre une stratégie au point.

- Quatre, toi tu me crois pour la p'tite fille, isn't it ? Hee-chan lui y me crois.

- Ecoute Duo, je comprends que tu sois content que Heero te crois, moi aussi je sais que tu dis la vérité……

- C'est vrai, c'est super….

- Cependant, tu devrais arrêter d'embèter Heero.

Et un mensonge, un. Il s'arrête de babillé et devient très pâle.

- Il était vraiment en colère tout à l'heure….

Et un deuxième.

- Mais Quat, il bredouille, l'air perdu.

- Tu l'as mis vraiment mal à l'aise.

- Mais, mais, comment tu....., c'est ton empathie qui ..

- En partie oui et Heero aussi m'en a parlé, il trouve que tes gestes envers lui son déplacé depuis quelque temps, tu le met tellement mal à l'aise qu'il est venu de lui même se confier.

Et trois mensonge d'un coup, c'est bien, super même, en plus j'ai même réussi à faire pleurer mon meilleur ami, dont la devise est »boys don't cry ». C'est merveilleux, vraiment merveileux.

J'aimerais mourir. Allah, tue moi maintenant, pour m'empêcher de continuer, je ne peux pas le faire seul.

- Laisse lui un peu d'air ça vaut mieux.

Je continue quand même. Les larmes silencieuses roulent doucement sur ces joues pâles.

Et ce sont mes mensonges qui le font pleurer et moi, moi le gentil Quatre, je le prend dans mes bras pour le consoler. Je caresse ces cheveux si doux malgrè le sang qui les souillent alors qu'il deverse ces larmes sur ma poitrine.

Je veux Heero et je veux mourir quand je l'aurais, pour ne pas avoir à affronter le regard Duo.:

POV de Trowa

Je laisse Wufei finir de préparer le repas, nous avons vérifié la planque, elle est sécurisé, en bref tous va bien. Je retourne au salon. Je dois absolument parlé à Quatre.

Cette nuit, j'ai failli le perdre. Or, je refuse de mourir sans lui avoir dit ces trois mots.

Trois petits mots qui son devenu ma raison de vivre.

Je me fige en entrant. Duo est collé tous contre Quatre. Mon Quatre. Un éclair de jalousie me traverse, mais très vite avorté quand je m'aperçoie que le petit clown de l'équipe semble avoir abandonné sa doctrine « boys don't cry ». Je n'y comprend plus rien, il allait pourtant très bien il y a dix minutes.

J'avance jusqu'au canapé et interroge le petit arabe du regard. Il se lève et attire Duo contre lui.

- Il faut que tu te repose Duo, dit t'il en lui caressant la joue. Tu va monter prendre une douche, je vais t'aider.

Le natté qui semble avoir recouvré ses moyens, refute la proposition d'un signe de tête.

- Ca ira Q-chou, je vais y allez seul.

- Tu n'y pense pas Duo, et si tu perd de nouveau conscience ! ! ! ! !

- Je vais l'emmené, relique une voix derrière moi.

Je me retourne brusquement. Wufei c'est comme matétialisé dans mon dos. Je ne l'ai même pas senti venir. Il faut dire que de voir le Joker du groupe pleurer ma passablement choqué.

Duo ne proteste pas et laisse le chinois le guider vers la salle de bain du premier étage.

En partant il lance à Quatre un regard plein de reproche et aussi de…. compréhension. Le petit blond baisse les yeux.

Wufei deviens de plus en plus étrange ces derniers temps, ou alors c'est moi qui suis complètement à l'ouest.

Nous sommes à présent seul dans le salon. Aucun de nous ne parle, Quatre a toujours la tête baissé, l'air perdu dans ces pensées.

Les première lueurs de l'aube traversant les fenêtres donnent à ces cheveux d'or mille reflets cuivrés. Elles jouent sur sa peau blanche, la parant de leurs sublimes couleurs. Je ne peux détaché mon regard de ces fines lèvres rosés.

Comme il est beau.

Je ne peux plus resister. Je saisi doucement son menton et lui relève la tête. Mes lèvres se posent doucement sur les siennes. Elles sont exactement se qu'elles paraissent. Douces, tendres, fruitées.

Je suis en plein rêve et Quatre m'en réveille d'une giffle.

Il se recule, choqué.

- Mais,.... mais,... mais... qu'est ce qui te prends Trowa?

Mon dieu, ça fait mal, pourtant, je dois lui dire, il le faut.

- Je t'aime.

--QUOI ? ? ?

- Je t'aime, je murmure.

Il devient blanc, puis rouge, recule jusqu'a ce qu'il heurte le canapé. Plus que du dégoût, c'est de l'incompréhension qui se peint sur son visage.

- Mais, je croyais qu'on était ami…..

- Je ne veux pas être ton ami Quatre. Je veux plus.

- Je suis désolé Trowa, je, je t'adore, vraiment, mais j'aime quelqu'un d'autre.

Ca y est, il les a dit. Ces mots que je redoutais. A ce moment la jalousie m'étrangle.

- De qui, Duo ? ! ! ! !

- Non, non, je ne peux pas te le dire, je suis désolé.

Il se dirige rapidement vers la cuisine.

Vu l'odeur, le repas ne va pas tardé à brulé. Mais à ce moment ça n'a strictement aucune importance. Je me dirige d'un pas rapide vers lui et lui saisi le bras. Il gemit de douleur. Decidement je ne me reconnais plus moi même. Mais je dois savoir.

- QUI ? ? ? ? ? ? ! ! Quatre, je t'en prie, je te laisserai si c'est ce que tu veux. Si tu me dis que tu ne veux pas l'entendre je ne te dirais plus que je t'aime. Si tu me dit que ça te dégoûte je ne te toucherais plus. Mais tu dois me le dire, qui ?

Les larmes ravagent à présent son beau visage, et dans un souffle, il prononce le nom de l'être qui me l'a pris.

Je le lache. Le laissant s'enfuir dans la cuisine.

Je suis trop ébranlé pour faire quoi que se soit. Il y a des moment dans la vie, ou vos mots ne traduisent plus vos pensées, ou vos pensées ne traduisent plus vos sentiments et ou même vos sentiments ne traduisent plus ce que vous ressentez. Je suis dans un de ces moments.

Un coup d'oeil à la pendule m'indique qu'il est 6h30. Je ne me suis jamais senti aussi fatigué.

Le canapé me parrait soudain plus acceuillant que le mur ou j'ai l'habitude de m'adosser. Le moins qu'on puisse dire c'est que nous avons vécu une nuit riche en rebondissement.

Une mission piège, un nouveau gundam, Duo a faillit y passé, Quatre m'a rejetté.

Quatre m'a rejetté.

Je remonte mes genous sous mon menton. Non, je ne pleurerais pas. Je vais redevenir le mercenaire sans emotions puisque visiblement c'est ce que mon chibi boku désire. Je continurai de veillé sur lui, de loin, pour ne pas le gèner. Je continuerai.

POV de Duo :

Je me laisse entrainé par Wufei, trop choqué pour réagir. J'ai pleuré.

Mais, oh God, j'ai mal à en mourir. Pourquoi ne suis je pas resté dans mon gundam. Pourquoi ne suis je pas mort. Au moins j'aurais cessé de gèner Heero.

Mais, il est peut-être encore temps. Il suffit que je prenne les lames de rasoirs qui sont dans l'armoire à pharmaçie. Je me débarasse de Wufei, deux minutes suffiront. Je réfléchi déjà à ce que je vais l'envoyé me cherché quand une voix résonne dans ma tête.

« Ne t'inquiète pas, tout ira bien » Une voix douce et tendre, comme celle de soeur Helen, mais en plus jeune. Enfantine. Elle m'envellope de chaleur comme quand la nonne me berçait.

Je dois voir cette fille, je ne mourrai pas avant de l'avoir revu.

Je me réveille soudain, cette douce chaleur c'est l'eau de la douche. Wufei m'a désabillé et lavé sans même que je m'en aperçoive.

« tout ira bien »

- Ni pense même pas Maxwell, cracha le chinois comme si il avait lu mes pensées.

Il me sort de la baignoire, refait mon bandage et me sèche. Je me laisse faire, je n'ai plus la force de protesté.

Heero me deteste. Je le dégoute.

Wuffy fini de m'habillé et de refaire ma tresse, puis, sans crillé gard, il me sert dans ces bras.

Là, j'oublie tout, ou est passé mon chinois solitaire et colérique ? On l'a paumé en route ? Pourtant je me laisse faire, j'ai temps besoin de réconfort.

« tout ira bien » Oui, elle avait raison, ça va allé.

Fin du POV

Wufei et Duo retournèrent dans le salon.

L'auto proclamé Shinigami s'assis près de Trowa qui regardait pensivement par la fenêtre, tandis que le petit dragon, s'installait sur l'accoudoir. Quatre revint avec du thé, et du chocolat chaud pour Duo.

C'est ce moment que choisit le pilote de wing zero pour redessendre, une feuille fraichement imprimé dans la main.

- On part immédiatement, on peut laissé nos affaires ici, ce n'est pas une mission.

- C'est quoi alors, grogne Chang. Les mads veulent nous parlez, si il sont sur terre c'est que c'est très important. Trowa, prend les clés, tu conduis.

Sur ces quelques mots, ils se levèrent tous.

Le chemin ce fit s'en encombre, Quatre et Duo étaient endormis dans les bras l'un de l'autre, Wufei les empechait de se cogné partout. Yuy jouait les copilotes.

Vers midi, il arrivèrent enfin devant une petite maison, isolé, à l'allure banale, bien qu'elle posséda la plus grande grange qu'ils aient jamais vu.

Le petit blond et le natté furent reveillé sans douceur par un chinois fatigué du voyage.

Ils se dirigèrent tous finalement vers la porte. Duo sonna, quelques secondes plus tard, la porte s'ouvrit sur la plus jolie petite fille que la terre et les colonies est jamais porté. Ces cheveux était aussi long que ce de Duo, d'un beau roux doré. Sa peau laiteuse piqueté de tache de rousseurs. Ces lèvres rouges s'étirait en une moue boudeuse à la Heero Yuy. Mais ces yeux émeraudes s'illuminairent à l'instant ou elle reconnu Duo.POV de Duo.

Shit, on s'est rompé de baraque ou quoi ? ! Vla qu'une mome de douze ans vient nous ouvrir. Je m'apprête à m'excuser et à faire demi tour quand je sens se parfum. Mélange de framboise et de fraise, doux et chaleureux.

- Ah, c'est toi.

Et cette voix, cette voix.

Je m'apprête à parler quand Heero me bouscule brutalement, hereusement que Wuffy à de bon réflexe. Un peu plus et j'embrassais le sol. Je m'en vais lui gueuller dessus quand j'aperçois son visage.

Face à l'enfant tout son corps se met à tremblé alors qu'elle le regarde le visage inexpressif. Il est si pâle.

- Zee……

- Oui, c'est bien moi, Rone(1)…..

A suivre

:(1) Rone se prononce ro oine, j'expliqurais pourquoi dans le chapitre trois.

Bavardage débile et inutile de l'auteur :

DUO : Tu me deteste hein, allez avoue ! ! ! ! ! !

KAZU : Dudu mon bibi d'amour qu'est ce que tu va cherché là.

QUATRE : Moi qui croyait que tu m'aimais, tu me fais passé pour un monstre ! ! ! ! !

DUO : Moi, un crédule sucidaire ! ! ! ! !

HEERO :Et moi une lopette qui tremble devant une gamine ! ! ! ! ! !

TROWA : …………….. ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

KAZU : Ah lala, ces hommes, toujours en train de ce plaindre, Wufei, toi, tu t'en es bien sortit non ?

WUFEI : Pas question que je finisse avec Duo Onna ! ! ! ! ! !

DUO : Ya aucune chance. C'est une adepte du 5135.

KAZU : Comme le dit si justement maitre Yoda, l'avenir, incertain est.(sadique)

DUO :nooonnnnnnnnnnnnnnn ! ! ! !

WUFEI : Nataaaakuuuuuuuuuu