Salut à tous ! comme jai le tps, je peux faire des résumés rapides et postez des news rapides. Allez voir mes autres fics en cliquant sur mon log in. J'écris sur tt...Bizous !

Deux ans plus tard, Maddy ouvrit son cabinet de masseuse professionnelle. Un samedi, alors qu'elle était occupée à faire du shopping dans une grande boutique de la place, elle oublia son sac dans un café où elle avait déjeuné. Elle y retourna donc et là, elle vit, assis dans un recoin sombre du café, C17. Il était là. Devant elle, sous ses yeux. Il l'avait vue, et avait détourné la tête comme si de rien était. Alors elle remarqua la blonde sulfureuse assise en face de lui en grande conversation au téléphone. Elle l'entendait nettement bien, du bar.

-Marron, je suis ta mère ! Ecoutes moi bien, maintenant. Si jamais tu mets 1 pied dehors, ne serait ce que pour aller à la plage te baigner tant que ton oncle et moi on sera pas rentrés, tu auras de mes nouvelles. C'est clair ?

Elle raccrocha, parfaitement calme. Elle n'élevait jamais la voix, celle ci étant dure de nature.

-Alors, qu'est qu'on disait ? Ah, oui. On parlait...

-Je déteste les humains. Je veux rentrer.

-17, par pitié ! Tu étais humain ! Tu l'es toujours !

-Non. Je ne le suis plus.

-écoutes moi.

-il faut toujours t'écouter.

-Oui, c'est vrai. Trouve-toi une bonne fille, qui va s'occuper de toi et te faire des enfants.

-Comme Marron ? Non, je n'aime pas tout cela.

-Marron n'est pas dans la conversation. On parle de toi.

-J'ai déjà quelqu'un.

-Ah bon ? et je peux savoir qui c'est ?

-Si tu insistes. C'est le femme au bar. La brune.

C18 vit la jolie brune assise entrain de prendre un café et sourit.

-Tu es amoureux ?

-Je ne sais pas. Je la suis depuis deux ans.

-Je vois à quoi tu occupes tes journées !cachottier !

il ne sourit pas.

-Vas la chercher et dis lui, fit elle en se levant pour aller payer l'addition.

Il se leva à sa suite et s'assit à côté d'elle. Le cœur de Maddy manqua 1 battement.

-Bonjour, parvint elle à dire.

-viens avec moi.

Il la prit par la main, sortit du café et s'envola. Surprise, elle s'agrippa à lui et le laissa l'emmener jusque chez elle.

-Comment tu connais ma maison ?

-Je t'ai suivie.

Il ne précisa pas combien de fois. Elle soupira avant d'ouvrir sa porte et l'invita à entrer. Il saisit ses hanches brutalement, referma la porte d'un coup de talon et la plaqua contre le mur pour l'embrasser à son aise. C'était la première fois en il ne savait combien d'années qu'il le faisait. Elle lui répondit avec tant de douceur qu'il se sentit gêné d'y être allé si fort. Il la lâcha et recula vivement.

-Je crois que c'est trop précipité, dit elle. Mais tu peux rester, il n'y a aucun problème. Qu'est ce que tu veux ?

-Toi. Rien d'autre. Je ne mange pas, je ne bois pas.

-Mais tout homme boit et mange !

-Je ne suis pas un homme. Je suis...

-Peu importe ce que tu es. Je ne veux pas savoir.

Elle noua les bras au dessus de son cou et l'embrassa encore et encore. Il la souleva, la porta sur le canapé et l'y déposa.

-Je dois partir.

-Mais où ?

-Je reviendrai demain.

-Mais...

-Ne t'inquiète pas, je te suivrai partout où tu iras.

-D'accord, se résigna t'elle en l'embrassant une dernière fois. A demain.

-N'en parles à personne.

-Pourquoi ?

-Parce que... j'aime à conserver ma réputation de tueur auprès des amis de ma sœur.

elle savait bien que ce n'était pas ça, mais elle fit semblant de le croire.

Le lendemain matin, elle se réveilla heureuse comme jamais auparavant. Elle fit son lit, se doucha, s'habilla coquettement( on se demande pourquoi !) et ramena ses cheveux en un chignon négligé qui laissait s'échapper des boucles rebelles. Elle but un café et prit ses clés de voiture pour aller au centre. Une fois arrivée, ses employées-et amies- la saluèrent et la laissèrent s'installer dans son bureau avant d'attaquer les problèmes du jour. Maddy fut étonnée quand une des filles lui apprit que Trunks Végéta-brief l'attendait dans une salle et insistait pour qu'il n'y ait qu'elle qui le masse !

-Ok, je crois qu'il me cherche la bagarre, lui !

elle enfila sa blouse par dessus sa petite robe violette et le rejoignit.

-alors, stressé dès le matin, monsieur ?

-Aujourd'hui, j'ai une réunion importante, alors vite.

Elle le massa avec application, et lorsqu'il se leva, une demie heure plus tard, il était si relax qu'il pouvait facilement atteindre le ssj3. il se rhabilla et l'embrassa gentiment sur la joue.

-à ce soir, Maddy, fit il de sa voix charmeuse.

Dès qu'il sortit, elle s'assit sur son siège. Elle devait faire le point. Maintenant. Elle avait toujours été amoureuse de C17, mais elle ne savait rien de lui. Par contre, trunks, elle le connaissait mieux que personne en deux ans. Il lui confiait tout, sans jamais mentir. Elle était au courant des origines saiyennes de ce dernier et les admirait beaucoup. De plus, tout le monde sentait ce lien particulier qu'il y avait entre eux. Trunks était persuadé qu'elle était la femme de sa vie. Mais il lui laissait le temps. Il ne s'était pas encore déclaré ouvertement, mais il lui envoyait des fleurs tous les jours, elle recevait des cartes et des invitations à dîner anonymes...

C17 lui faisait tourner la tête. Il y avait ce mystère, en lui, qui lui plaisait tellement ! et il était doux avec elle. Elle ne le connaissait pas assez. Elle prendrait le temps de le faire et après avoir pesé le pour et le contre, elle choisirait.

Elle fut tirée de ses pensées par son prochain client. Bra entra et se déshabilla pour laisser Maddy la masser.

-tu sais, j'ai rencontré l'oncle de Marron aujourd'hui, commença t'elle. C 17. il est insupportable ! un vrai gamin ! il veut ça, ça et encore ça !

elle parla tout le long de son massage.

-Maddy, trunks est fou de toi, sérieux. Epouse le !

-non, je ne peux pas.

-Bien, je n'insiste pas ! tu viens dîner à la maison ce soir ?

-pourquoi pas ? je vais en parler avec C 17.