Masenko : merci de me faire cette remarque, mais cette police est destinée à ne pas répéter inutilement les verbes et les noms des persos. En somme à vs faire réfléchir et relire plusieurs fois pour meilleure compréhension !!!lol

Mariecool : ça devient une habitude pour toi de me laisser des reviews !! je t'adore d'autant plus... voilou !!

Chapitre 4 : aventure d'un soir sans plus... tu crois ?

-Tu refuses ?

il la regardait d'un air abasourdi.

-Oui, Trunks. Je refuse. Pour la simple et bonne raison que je ne pourrai pas supporter la pression. Toi et moi ? mariés ? trop jeunes, je dirais. On fera l'objet de poursuites, de scandales...

-Moi je pense surtout que tu as peur de quelque chose et que tu ne veux pas me le dire. Tu as un fiancé ? un ami ?

-non, rien de tel...

-bon. Epouses-moi.

-non, trunks, non.

-Laisse moi une chance.

-on ne joue pas avec ça.

-Je ne joue pas.

Il était 1 h du matin. La montre de Bra sonna et elle l'arrêta pour pouvoir continuer son travail. Son portable sonna également. Elle ôta ses lunettes, énervée, lissa ses cheveux avec ses doigts et le prit au bout de la troisième sonnerie.

-Bra, on t'attend nous ! fit Pan de l'autre côté de la ligne.

-Maddy ne vous a pas appelé ? je ne pourrai pas venir, désolée...non, je suis entrain de bosser vraiment dur là... mais oui, moi aussi je t'adore, amusez vous bien !!!

elle coupa et jeta le portable loin avant de remettre ses lunettes et d'attacher ses cheveux avec un chouchou jeté là par sa mère au cas où. Elle s'attela de nouveau à ses calculs pendant que C 17 déambulait dans le laboratoire.

-PUTAIN !!! tu peux arrêter de gesticuler aussi bêtement ! je bosse dur, moi !

-alors comme ça tu as fait des études de cybernétique ? intéressant...

-Je suis top model internationale, j'ai laissé tomber tout ça, mais j'aide maman à opérer C 18 et marron pour les interventions délicates. Maintenant, tiens toi tranquille. Mets toi ici, oui... et restes droit.

Elle le plaça dans le scanner encore une fois, juxtaposa ses résultats, gomma un ou deux qu'elle replaça et souffla un grand coup avant de sourire.

-J'ai réussi à capter ton problème, très cher !! tu es différent de ta sœur. Le professeur Gero a approfondi les recherches et renforcé la destruction de ton système humain, mais ta volonté est restée intacte. Ce qui fait que tu as encore tes émotions et tes sentiments, mais qui ne peuvent s'extérioriser qu'avec violence. Contrairement à elle où il a carrément détruit tout sentiment, il n'a pas réussi avec toi. II y a deux mois, j'ai pratiqué une intervention sur C 18.

Tout en parlant, elle faisait sortir les photos et les documents.

-je lui ai recréé des nerfs dans tout le corps. Pour l'instant, je ne l'ai fait qu'au niveau sexuel et elle doit me dire dans une semaine si ça a porté ses fruits. Je ne sais pas si toi ça marche au niveau sexuel...

-Très bien merci ! cracha t'il sur le défensive.

-ne t'excite pas, c'est juste une question professionnellement parlant, sans plus. Je pense pouvoir commencer à te suivre demain matin. Nous testerons avant tout ton potentiel émotionnel pendant 15 jours...on verra si tu peu passer de l'animosité à l'amitié, ce qui signifierai alors que tu as des sentiments...

-En clair ?

-Nous sortirons ensemble pendant 2 semaines et je te ferai découvrir des choses. Ce sera tout pour ce soir. Il est une heure et demie. Je pense finalement que je vais y aller, à leur fête débile !

elle ôta sa blouse, fouilla dans ses tiroirs, dégota une brosse de sa mère, se brossa la chevelure et la rejeta en arrière. Ce geste eut le don d'enflammer C 17. il prit la main de Bra et la tira à lui. Elle ne résista pas au début, pensant que c'était une blague qu'il voulait lui faire. mais quand elle s'aperçut que sa bouche n'était qu'à quelques troublants centimètres de la sienne, elle se recula.

-qu'est ce que tu fais ?

il haussa les épaules, tenant toujours sa main.

-J'ai l'intention de te mettre dans mon lit, Bra.

-Vraiment ? fit elle sèchement, refroidie par ces paroles directes. Moi pas. J'ai dit que c'était terminé pour ce soir, non ? qu'est ce que tu fais encore là ?

-ta mère m'a gentiment proposé de rester ici autant qu'il me plaira. Ce que je vais faire. je vais visiter et m'installer dès que possible.

Elle haussa les épaules et sortit de la pièce pour aller chercher son sac à main.

''non mais quel mufle !! me mettre dans son lit !'' tempêta t'elle en redescendant furieusement les escaliers, ce qui lui valut d'avoir la cheville foulée à la dernière marche. Elle se serait écrasée sans les bras qui l'avaient soutenue. Elle leva la tête et vit C 17, un sourire arrogant aux lèvres.

-A peine partie de mes bras, tu reviens ?

elle se dégagea et tomba par terre sous le coup de la douleur. Elle était plus humaine que saiyenne, n'oublions pas...

-tu vas arrêter de faire l'idiot et m'aider à aller au labo ?

-non. Démerde toi toute seule, ma petite.

Elle se releva et clopina jusqu'au labo, et il la suivit de près pour empêcher une nouvelle chute. Elle sourit. Mine de rien, il s'inquiétait pour elle...

Ils regardaient la télé. Enfin, pas vraiment. La télé était allumée, et Maddy s'était endormie sur ses genoux pendant que trunks réfléchissait. Elle avait insisté pour discuter, et ils l'avaient fait. Résultat : nul. C'était toujours pareil, elle restait campée. Il changea de position et prit la télécommande pour zapper. Son geste la réveilla.

-Quelle heure il est ?

-Oh, une heure et demie à peu près.

-et C 17 ?

-Ma mère l'a invité à rester ici tant qu'il faudra. Pourquoi tu ne restes pas ce soir ?

-Je travaille demain, trunks.

-J'ai réservé et déjà payé ta journée, annonça t'il. Restes. S'il te plaît. Je te promets que je n'aurai aucun geste déplacé.

-non. Je rentres.

Voyant qu'il était inutile de polémiquer encore, il décida de la raccompagner dans sa voiture à lui. Une fois devant sa porte, elle tourna la clé dans la serrure, l'ouvrit, entra et se retourna vers trunks.

-Je te promets d'y réfléchir longuement. On en reparlera dans deux ou trois semaines. D'accord ?

-ça veut dire que l'on ne se verra pas pendant...

-non. Ça ne veut rien dire. Coupa t'elle. Entre.

-Tu sais...je m'inquiète pour Bra, fit il, une fois assis au petit bar. Ces temps-ci –notamment ces deux derniers mois- elle a tout délaissé : travail, amis...elle ne va plus à ses défilés, Pan et Marron prétendent qu'elle les laisse tomber...

-Elle est amoureuse, Trunks.

-Mais de qui ? entre elle et Goten, c'est fini depuis un ou deux mois. C'est lui qui a l'air malheureux, en plus, pas elle !

-De C 17. enfin, je pense. Le première fois qu'il est venu à la capsule, c'était il y a deux mois. A la même période qu'elle a rompu avec Goten. Puis, elle a tout laissé tomber... réfléchis !

-Ah, c'est donc pour ça ! soupira t'il. Ça va vite s'arranger alors. il est temps que j'y aille. Les parents vont gueuler s'ils voient que j'ai laissé la maison sans surveillance.

-Tu n'as jamais pensé à déménager ? demanda t'elle soudain.

-non, pas vraiment. J'ai peur de me séparer de ma famille.

-Mais tu as 29 ans !

-L'âge ne change rien chez les saiyens. La famille reste unie.

Elle rit. Il arrêta son rire par un baiser. Le premier ''vrai'' à part les bisous innocents de tous les jours. Elle ne sembla pas y résister et attira sa tête à la sienne pour l'approfondir. Il ré entra et ferma la porte de l'appartement à clé. Ce ne fut qu'une fois à bout de souffle qu'ils se séparèrent pour se regarder.

-Mad... tu es sûre ? murmura t'il, troublé.

-Pourquoi ? je n'en ai pas l'air ? demanda t'elle en l'enlaçant à nouveau.

Ils roulèrent sur le tapis et se déshabillèrent à toute vitesse. Maddy lécha le lobe de l'oreille de son amant et il gémit. Sa langue descendit vers son cou et il la pressa un peu plus contre lui. Il enleva avec deux doigts son soutien gorge (N/A :ouh !!! l'expert !!!!)et prit dans ses mains ses deux seins parfaits, les embrassant, les vénérant. Elle avait l'impression d'être une déesse. Elle se tordit de plaisir quand il titilla une pointe puis l'autre avec la langue avant de revenir vers sa bouche pour en prendre possession. elle glissa la main droite dans le boxer et saisit l'objet de ses désirs. Elle sursauta d'étonnement. Bon dieu, il était énorme ! trunks s'écarta, confus et bégaya comme un écolier qui était encore vierge, pourtant, dendé seul pouvait savoir combien de femmes s'étaient pâmées de plaisir dans ses bras.

-tu sais...si...

-J'ai dit quelque chose ?alors tais-toi...

elle le fit coucher à terre et tira le reste du boxer vers le sol, s'asseyant sur le bas ventre de trunks pour effectuer une délicieuse pression à laquelle il ne put résister. Il la souleva, écarta sa petite culotte et la fit descendre progressivement sur son pénis durci. Elle gémissait de plus en plus fort et ses hanches imprégnaient un rythme infernal. Ne pouvant plus supporter l'attente, elle prit les mains de Trunks dans les siennes, arrêta la progression et le fixa dans les yeux avant de tomber d'un seul coup. Ils crièrent tous les deux. Elle se mit à faire un piqué incroyable et augmenta les coups de hanches. Jamais il ne s'était senti aussi satisfait que lorsqu'il se déversa en elle et qu'elle cria d'extase.

Assise, elle regardait C 17 lui faire son bandage et serrait les dents. Ses mains étaient très froides, mais la sensation n'était pas désagréable. Quand il eut terminé, il tapa dessus et elle cria.

-T'es timbré ou quoi ? non mais oh !

-Scuze, j'ai pas fait ''exprès'', se moqua t'il. Alors, on va se coucher ?

-ON ? JE vais en boîte, cheville foulée ou pas ! et puis non, j'y vais pas... mais il est HORS DE QUESTION que toi et moi dormions ensemble.

Il la souleva malgré ses protestations et la porta dans sa chambre. Il la jeta sur le lit.

-C'est très gentil, je t'en remercierais presque. Maintenant, au revoir, C 17.

Il sortit et elle se changea, mettant une nuisette en soie pêche qu'elle avait piquée à sa mère. Elle se coucha et se couvrit de son drap avant d'éteindre la lumière.

C 17 entra dans la chambre voisine de Bra que bulma lui avait attribuée et enleva ses vêtements pour rester en caleçon. Il s'allongea sur le lit tel quel, indifférent au froid qui le frappait.

Vers 3 h, La pluie commença à tomber et des éclairs déchirèrent le ciel. Bulma se serra contre son mari en soupirant de bonheur. Elle avait toujours eu horreur de l'orage. ( N/A :moi ossi...)

Maddy était dans les bras de trunks et ils dormaient paisiblement après l'amour. (N/A : ben koi ? cé un PG-13, pas un NC 17 !!!) un éclair plus violent que les autres la réveilla et elle se pressa contre Trunks.

-moumour... murmura t'elle.

-Hum ?

les deux seules choses qu'un saiyen –en l'occurrence trunks- ne pouvait supporter c'était le manque de nourriture et le fait d'être réveillé. Mais pour Mad, il faisait une exception.

-J'ai peur...

-je suis là, que veux tu qu'il t'arrive ?

-Pas de ça... de nous.

Il se réveilla complètement et s'assit dans le lit.

-Pourquoi ?

Elle lâcha la ''bombe''.

-Trunks, je sors presque avec C 17.

-''Presque'' ? ça veut dire quoi, ça ? tu te fous de moi ? comment tu peux faire ça ? laisser les choses aller si loin, laisser ma sœur tomber amoureuse de lui...fulmina t'il en se levant pour s'éloigner d'elle.

-je n'ai pas fait ça ! commença t'elle. C'est toi qui m'as embrassée !

-Pourquoi tu n'as pas refusé le baiser ? tu l'as fait plein de fois !!! et tu sais que C 17 est un robot ! il ne ressent rien ! RIEN !

-Si, il ressent des choses !! j'ai simplement omis de te dire que il y avait une relation privilégiée entre lui et moi... attends !!!

il avait déjà enfilé son boxer, pantalon et prit sa clé et sa chemise et dévalait les escaliers, furieux, pendant qu'elle le suivait en peignoir.

-Trunks... écoutes moi !!

il monta dans sa voiture et claqua la portière, montant les vitres pour ne rien entendre de ce qu'elle disait.

-je t'aime...

il baissa les vitres.

-C'est maintenant que tu sais que tu m'aimes ? il t'en a fallu, du temps, dis donc ! et venir tout gâcher avec ça ! C 17, hein ? s'il en vaut tant la peine, va le chercher ! non, je vais te simplifier la tache : je vais te l'envoyer empaqueté demain matin ! et si cet enculé a touché à un cheveu de ma sœur, je jure qu'il va venir dans plusieurs paquets !

il démarra en trombe, la laissant seule à genoux dans le parking. La pluie tombait de plus en plus fort, et la météo annonçait Satan city zone rouge à cause du verglas important. Il éteignit la radio et accéléra.

Bra frémit, seule, dans son lit. Son frère n'était pas là pour dormir avec elle. Il n'était pas encore revenu de sa balade avec Maddy. Elle y allait...non, elle y allait pas... si, elle y allait... oh, et puis zut ! il n'allait pas la chasser juste parce qu'elle avait peur !! elle se leva et clopina jusqu'à la chambre de C 17 qui étai ouverte. Il était assis en tailleur et la regarda entrer en souriant. Comme s'il savait qu'elle viendrait.

-Pardon, je ne veux pas te déranger... fit elle en fermant la porte et en s'appuyant dessus.

-qu'est ce que tu veux, petite ?

-Dormir ici... promis, je ne ferai rien ! enchaîna t'elle comme elle voyait qu'il voulait parler. J'ai juste peur de l'orage...

elle ressemblait à une petite fille perdue, et elle lui fit pitié. Il se poussa et tapota la place vide près de lui. Heureuse et épuisée par la journée éreintante, elle se précipita et se vautra dans les draps.

La voiture gagnait de plus en plus de vitesse et trunks, furieux, ne pensa pas à freiner à un feu tricolore et rentra dans un tank de sécurité. Le choc le fit s'évanouir immédiatement. Il entendit des cris et des appels au secours et reprit ses esprits. Un pompier lui demanda si l'on devait appeler quelqu'un. Il parvint à dire le numéro et le nom de sa mère avant de sombrer de nouveau dans l'inconscience.

La sonnerie stridente du téléphone de bulma vrilla le silence une fois, deux fois, puis elle se décida à laisser ses activités sexuelles de côté pour décrocher. Ce qu'elle entendit acheva de faire baisser son excitation... le drap passa par dessus les têtes et en moins de deux minutes bulma et végéta se retrouvaient en bas. Elle écrivit un mot rapide à sa fille pour ne pas qu'elle s'inquiète et s'accrocha à végéta qui s'envola après qu'elle ait pris son écharpe.