Notes-de-lauteur-dont-on-a-tjs-rien-a-faire-mais-qu'elle-se-plait-à-croire-que-certains-lisent : Petits changement ds le chap 1, il a été mis à jour, pas grd chose, qq petits trucs au niveau de la description du médaillon, quelsques autres corrigées (oui je me suis dit, quitte à faire quelque chose d'à peu près cohérent, autant me relire..) enfin bref...voila le chap 2!! deux fois plus long que le premier, oui enfin vous attendez pas a avoir 20 pages non plus ( eh ouais y'en a que 4 lol), mais bon je me suis dépêchée et tout et j'ai fait mon possible pour que vous vous embétiez pas trop...Enfin bon, j'arrête le blabla et je vous livre, le ..

Chap 2

Evelyn entra dans l'office du ministère, qui servait aussi de centre d'informations pratiques. Elle demanda à l'accueil comment elle pouvait joindre le directeur de Poudlard, Albus Dumbledore. La sorcière assise derrière le bureau lui montra une rangée de cheminées, séparées par de petits murets. Elle avait déjà vu son père se servir des cheminées pour parler avec d'autres sorciers, mais vu qu'elle-même ne connaissait que très peu de gens, elle n'avait jamais eu l'occasion de s'en servir. Elle remercia silencieusement mère nature d'avoir doté les humains d'un minimum de bon sens, assez pour mettre les instructions à côté de chaque cheminée en tous cas. Elle saisit une poignée de la poudre grise contenue dans une petite urne, la lança dans l'âtre et prononça « à voix haute et intelligible » Albus Dumbledore, Poudlard. Le feu crépita quelques instants puis apparu dans les flammes, la tête d'un vieux sorcier à la longue barbe et aux lunettes en forme de demi-lune.

Le sorcier la dévisagea quelques secondes puis afficha un air surpris. « Mademoiselle Stunlow ??? Etes-vous seule ?? Où est votre père ?? » D'abord abasourdie qu'il la connaisset et qu'il sache qu'il soit arrivée quelque chose à son père, elle répondit : « Ils l'ont eu...Ike Norbu l'a tué » « Votre frère ? » La gorge serrée, elle leva vers lui un regard triste et secoua la tête. « Et qu'est-ce devenu...le...vous savez quoi...Est-il en sécurité ?? » « Quoi ? Vous êtes au courant pour... » « Chut ! Attendez-moi deux minutes!! Sortez de l'office et attendez moi devant. Surtout ne partez pas, quoiqu'il arrive!! » Et il disparut des flammes. Elle obéit sans discuter et sortit de l'office. La rue était vide, seul régnait le martèlement de la pluie qui faisait rage. Soudain un craquement se fit entendre et Dumbledore apparut à ses cotés. Il la regarda de son regard perçant, et lui dit doucement : « Il vaut mieux ne pas rester ici, si vous voulez bien me suivre, je vais vous emmener en lieu sur. » Il dégageait une telle impression de puissance et de sécurité qu'elle le suivit sans se poser de questions. Ils se dirigèrent vers une rue où s'alignaient d'autres cheminées, plus longues cette fois, elles servaient au réseau cheminier que des voyageurs armés de poudre de cheminette s'apprêtaient à emprunter. « Dites POUDLARD clairement, je vous rejoins là bas de suite. » déclara-t-il en se dirigeant vers la cheminée d'à côté.

Après les secousses caractéristiques de ce voyage et ses amas de poussière et de suie, elle arriva dans un grand corridor éclairé de nombreux chandeliers. Les portraits dans leur cadre l'observèrent avec intérêt. « Venez avec moi, nous serons mieux pour discuter dans mon bureau ». Elle le suivit dans un dédale de couloirs puis ils s'arrêtèrent devant une statue étrange représentant une sorte de gargouille. Dumbledore prononça ce qui sembla être un mot de passe « baguette au réglisse ». Aussitôt la statue se mit à tourner sur elle-même, découvrant un escalier de pierres. A la suite du sorcier, elle gravit les quelques marches qui les menèrent à un vaste bureau. La pièce était richement décorée, de nombreux globes et autres instruments d'astronomie dont la fonction lui échappait, trônaient majestueusement dans le fond de la pièce. Une quarantaine de portraits endormis ou en grande discussion, étaient disséminés sur tous les murs. Un phoenix perché non loin du bureau la fixa avec insistance au moment où elle mit les pieds dans la pièce.

« Bien », fit le directeur en s'asseyant sur son fauteuil, « Je pense que vous vous posez beaucoup de questions quand à la raison pour laquelle je vous ai emmenée ici. Vous avez dû remarquer que des personnes en voulaient à votre vie, d'où la tragique fin de votre père et de votre frère. Sachez que vous êtes en sécurité ici à Poudlard, c'est l'un des endroits les plus sûrs (hormis Gringotts), sans vouloir paraître présomptueux. Avez vous une question particulière à laquelle vous voudriez que je réponde en premier ? ». Elle réfléchit quelques secondes puis demanda :

- Eh bien tout d'abord, qui êtes-vous ? Je veux dire, par rapport à ma famille et moi. J'ai tenté de vous retrouver parce que...c'était la seule chose que j'ai trouvé à faire...C'est Eric qui m'a crié de vous retrouver.

- Je suis un ami de longue date de votre père. Nous nous sommes connus en forêt lorsque tous les deux étions en train de chercher des ingrédients pour une potion. Votre père était un sorcier très doué en potion, il m'a souvent aidé en de diverses occasions, lorsque je n'avais pas le temps de préparer une potion difficile, il parvenait toujours à raccourcir le temps de préparation. Ce jour là, je l'ai sauvé des griffes d'un loup-garou particulièrement agressif. Ce pauvre Dan...Qu'il repose en paix...

Il prit une pause comme pour rendre hommage à la mémoire de son père.

- Nous ne nous sommes pas revus depuis...17 ans...oui c'est ça, depuis votre naissance...et la disparition de votre mère...Après ça, Dan émit le souhait de partir vivre ailleurs, dans un coin paisible, à l'écart pour que vous puissiez grandir tranquillement en développant les dons hérités de votre mère sans éveiller l'attention des autres.

- Hérités de ma mère...Vous voulez dire que...les pouvoirs de guérisons...c'est elle qui me les a..., balbutia Evelyn, sous le choc de la nouvelle.

- Bien entendu. Votre père vous a-t-il déjà parlé de l'identité de la femme qui vous mit au monde ? demanda t-il en la regardant droit dans les yeux.

- Non, répondit-elle, et j'avoue que jusqu'à maintenant j'ai toujours cru que c'était une sorcière comme une autre. Mais ce n'est pas le cas c'est-ce pas... ?

- En effet, elle faisait partie du clan des Amaries. Ce sont des enchanteresses très puissantes, dotées de grands pouvoirs de guérison. Toutes d'une beauté merveilleuse, elles vivent en communauté fermée dans des forêts diverses et ne communiquent avec l'extérieur que rarement. Avec le temps, elles ont acquis un statut un peu légendaire. On parle d'immortalité chez ces femmes, du fait qu'elles peuvent vivre plus de 600 ans sans prendre une ride. Peu de gens peuvent se vanter de connaître une Amary dans sa vie, comme les hommes leur ayant donné des enfants. Car les lois de la nature exigent qu'elles aient des descendantes et elles sont forcées de porter l'enfant d'un sorcier qu'elles auraient choisi, parfois sans même leur révéler leur véritable identité. Une fois né, l'enfant subira des rituels afin d'en extraire son côté amary et repousser ce qu'elle garde de « normal », hérité de son père, en elle, afin d'en faire une Amary à part entière. En effet, seules les filles sont gardées, les garçons sont abandonnés à leur pères. Les Amaries forment un peuple qui ne fait pas beaucoup dans les sentiments, du fait d'une sensibilité exacerbée, elles évitent de faire preuve de sentiments humains, afin de ne pas en être blessées. Elles captent malgré elles de nombreuses émotions, la détresse, les joies, les peines des autres et en souffrent. Alors elles se ferment, au risque de paraître insensibles, froides mais au moins évitent d'endurer tout ce qui les blesse.

Il s'arrêta quelques instants, caressa son phoenix, perdu dans ses pensées, comme méditant sur le sort des Amaries. Puis il reprit :

- « Pour en revenir à votre mère, Alya, elle tomba amoureuse de l'homme qu'elle choisit, Dan. Elle fit tout son pouvoir vivre heureuse avec lui, renoncer à sa place au sein du clan qu'elle n'avait jamais quitté et même son immortalité. Tout ceci elle ne l'obtenu que plus difficilement du fait qu'elle était la fille de la reine du clan, Shakar, et donc la future reine. Ainsi, elle pu finalement vivre heureuse aux côtés de l'homme qu'elle aimait jusqu' à votre naissance, où non préparée à l'accouchement propre aux Amaries, elle succomba.

- Attendez, et Eric dans tout ça ?

-Eric était en fait, votre demi frère, fils lui aussi d'une Amary, qui l'abandonna. Dan n'a jamais eu de chance avec les femmes », dit –il avec amertume. Il fit une pause avant de continuer, lui laissant le temps d'encaisser le choc de toutes ces révélations. « Quoi qu'il en soit, votre mère en partant eut juste la force de mettre dans un médaillon et dont son contenu, tout ce qui restait d'elle d'amary, formant ainsi une protection autour celui le porte. Du fait de son origine amary, le médaillon assure une durée de vie inhabituelle, 200, 300 ans ou plus. C'est pour cette raison que ces hommes sont à sa recherche. Cependant, et ils se sont vite aperçus, les pouvoirs réels, ceux qu'ils voulaient n'agissaient qu'en présence des deux éléments. Le médaillon seul, ne comporte qu'une protection personnelle, faite de l'amour que portait votre mère à l'égard de celui avec qui elle avait choisit de passer le reste de son existence et celui qu'elle aurait voulu vous porter. Et cette protection là, personne ne peut vous la ravir. Bien sûr, elle ne constitue en rien une barrière immuable contre tous les sorts dont vous pourrez être la cible, mais elle peut néanmoins faire échouer, dévier quelques uns lancés dans le seul but de vous détruire.

- Mais...Ike...Il a été mon professeur...enfin je croyais...Je ne sais plus enfin...Il...Il ne voulait pas ce médaillon pour lui, n'est-ce pas ? Il n'en avait pas besoin, il n'avait pas de telles ambitions...Vivre aussi longtemps...Ce n'était pas lui...

- Ma chère Evelyn, dans ce monde il y a de nombreux facteurs qui font qu'une personne change du tout au tout, et combien ne font qu'endosser des rôles pour assouvir leurs sombres desseins...Quoiqu'il en soit, n'avez-vous pas reconnu dans leur façon de s'habiller et leur manière d'agir, la marque des Mangemorts ? Seuls eux peuvent avoir une action aussi perfide et acharnée.

- Vous voulez dire que c'est...Vous-Savez-Qui qui veut le médaillon ?

- Exactement, dit il en se levant. Il fit quelques pas à travers la pièce et continua, Tous les moyens sont bons pour monter en puissance, et il n'usera que plus de ses pouvoirs et son influence pour s'en emparer. C'est pour ça qu'il faut que vous vous cachiez. Vous n'êtes pas en sécurité dehors.

- Mais où voulez-vous que j'aille ??!! Je n'ai nulle part où aller !! Je n'ai plus de famille , JE SUIS SEULE !!!!!!, cria-t-elle de toute la force de son désespoir. « Je suis seule... » Répéta-t-elle au milieu de ses sanglots.

- Non, tu n'es pas seule, dit-il d'une voix douce en posant la main sur son bras. Elle releva la tête au son de ce soudain tutoiement. « Dan était quelqu'un que j'estimais énormément. Je ne peux laisser sa fille dans une telle situation, sans faire insulte à son souvenir. Moi-même, je ne me le serai jamais pardonné. Poudlard te souhaite la bienvenue. Tant que j'en serai directeur, ses portes ne seront jamais fermées à quiconque en a besoin.

Ni le regard qu'elle lui adressa, ni aucun mot ne pouvait retranscrire toute la reconnaissance qu'elle éprouvait. Elle s'était sentie si perdue...Elle se mit à pleurer à chaudes larmes sur l'épaule de ce sorcier qu'elle ne connaissait que depuis une heure, mais qui lui inspirait une telle confiance, de plus c'était désormais un des seuls liens qui la rattachait à son passé.

- La rentrée est dans deux jours, que dirais-tu d'intégrer, disons, la 6ème année ? Si tu as des problèmes, tes camarades seront là pour t'aider, et puis, ton père a sûrement dû t'enseigner quelques bonnes bases, sans compter que tu aies suivi Ike quelques temps.

Au regard étonné qu'elle lui lança, il répondit avec un sourire :

- Un élève très brillant que cet Ike Norbu », puis il s'assombrit. « Jamais je n'aurais cru qu'il ne saurait pas ouvrir les yeux face au danger que représente Voldemort. Mais il faut croire que l'ambition, le pouvoir et les possibilités qui s'offrirent à lui avec la magie noire eurent raison de lui...Vraiment dommage, il aurait fait un auror remarquable. »

Perdu dans ses souvenirs, il se tu quelques instants, se rassit et reprit :

- Pour ta propre sécurité, je pense qu'il est nécessaire que, pour ton année scolaire à Poudlard, tu caches ton identité. Changer de nom est inévitable tout comme ton apparence. Ces magnifiques yeux bleus sont beaucoup trop inhabituels. Laisse-moi t'arranger tout ça...Loomorkph Hidache.

Evelyn sentit sa peau se gonfler et de curieuses sensations lui traverser tout le corps. Tout cessa au bout de quelques minutes. Le sorcier d'un air malicieux lui désigna le miroir accroché sur le mur. Elle s'y approcha pour inspecter son nouveau « moi ». La première chose qu'elle vit fut ses yeux. Le bleu turquoise avait fait place à un noir profond. Son visage sans pour avoir complètement changé était cependant différent, elle reconnaissait ses traits, mais ce n'était plus tout à fait elle. Sa longue chevelure rousse était maintenant d'un noir de jais, légèrement bleuté par endroits. Sa peau était un peu plus mate, elle qui avait tellement de mal à prendre le soleil (en fait elle en prenait que les coups de soleils). Elle n'était en général pas mécontente de son physique (fille d'Amary oblige, elle n'était laide dirons-nous, fans d'euphémismes) mais il fallait avouer qu'elle était assez satisfaite de cette transformation, mis à part le fait assez frustrant de ne plus avoir ses yeux de la même couleur.

- Eh bien je crois que je n'ai pas trop perdu la main, déclara Dumbledore d'un air facétieux. Ce sortilège, sans changer vraiment l'apparence de quelqu'un lui permet de passer sans se faire reconnaître, car toutes les personnes qui ont déjà ton visage auront une impression familière mais ne parviendront pas à mettre de nom sur visage, du moins ton vrai nom. Assez sembable à un sort de confusion quand on y pense. Ensuite, quelques questions administratives à régler, ton nom de famille et autres choses. Stunlow est à bannir, que dirais-tu de Benders ? Si les gens se montrent trop curieux sur ton origine, tu devras t'inventer un passé, il faut absolument que tu caches l'histoire du médaillon et de la poursuite fatale avec Ike. Tiens en parlant du médaillon, j'oubliais ! « mashere decarum ».

Le médaillon au lieu des runes, comportait maintenant de nombreux graphismes sans signification particulière.

- Voilà, à partir d'aujourd'hui, tu es autre. Il en va de ta propre sécurité que tu gardes ce secret, sans quoi Ike et même pire, Voldemort pourraient avoir connaissance de ta présence ici, et en plus de toi-même, tu mettrais tes camarades en danger.

- Je vous remercie vraiment de tout ce que vous faites pour moi. Vraiment, vous me sauvez la vie...Mais...Qu'est-ce que je vais devenir ? Je veux dire, oui je serais ici à Poudlard pendant toute l'année mais après ? Ma vie n'a plus aucun sens, je n'ai plus de chez moi, je n'ai plus de famille et on me recherche pour me tuer !

Elle n'osait pas parler de vengeance avec lui, elle savait très bien qu'il tenterait de l'en empêcher ou du moins de l'en dissuader. Et elle ne voulait pas entendre ce genre de paroles, sa colère bouillonnait encore au fond d'elle, malgré son désarroi.

- Ma chère Evelyn, depuis quelques années, Voldemort prend un malin plaisir à mettre sans dessus dessous le monde des sorciers. Beaucoup ne savent même pas s'ils survivront dans les six prochains mois tant leur sort est aléatoire. Je ne veux pas t'effrayer avec ça et je te répète que tu es en sécurité ici à Poudlard tant que tu restes Evelyn Benders aux yeux de tous mais avec ike et les autres à tes trousses, ton futur semble assez imprévisible. Et je te rassure il en va de même pour beaucoup d'autres. L'avenir est tellement incertain qu'il n'est pas nécessaire de voir aussi loin. Pour le moment, vivre au jour le jour me semble la meilleure solution. Pour en revenir à ta situation actuelle, tu peux aller sur le chemin de traverse à Londres en attendant la rentrée, tu passeras inaperçue en tant qu'élève de Poudlard. Voici la liste des matériels et livres nécessaires, que tu trouveras là bas. Je suis obligé de t'y laisser seule car les mangemorts et autres partisans de Voldemort surveillent le plus possible mes faits et gestes en public, alors il vaut mieux pour toi qu'ils ne me voient pas en ta compagnie. Enfin voilà, si tu n'as plus de questions je vais te raccompagner dès à présent. Avec cette rentrée qui se prépare, il y a encore des tonnes de préparatifs.

Ils sortirent du bureau et redescendirent jusqu'aux cheminées par lesquelles ils étaient arrivés. A ce moment, dans l'une d'elle apparut un homme. Vêtu d'une grande cape noire, les cheveux courts et bruns il se tourna vers Evelyn et lui lança un regard surpris, avant que celle- ci ne pousse un cri. Le regard terrorisé, elle se recula comme si devant elle se trouvait un monstre. Immédiatement, Dumbledore intervint :

- Evelyn, calme toi... ne te méprends pas, ce n'est pas lui.

- Comment avez-vous pu !!! ... LUI ici !!! Et vous qui disiez que...

- Encore victime de la réputation de mon imbécile de frère, je présume ? dit l'homme d'un air peu enchanté.

- Vous êtes en avance Julian, je ne vous attendais pas avant 20 bonnes minutes...

- Julian ? Répéta Evelyn, incrédule.

- J'ai hérité des yeux marrons moi !!!! Ike, lui s'amusait à assortir les siens au ciel sinistre de l'Angleterre.

- Julian, est le frère jumeau d'Ike Norbu.

- Pour mon plus grand déplaisir croyez-moi...

- Leur famille aussi a été touchée par le vent de la discorde semé par Voldemort lorsque Ike se tourna vers le mauvais côté.

- Si seulement je pouvais ne pas être la copie conforme de ce stupide mouton !

- Bien Julian, vous pouvez aller attendre dans mon bureau, je n'en ai que pour quelques minutes.

Le prénommé Julian hocha la tête et s'en alla en direction du bureau. Même après son départ, Evelyn ne pu s'empêcher de continuer de trembler légèrement. Se retrouver en face de ce visage, de si près, l'effrayait plus qu'elle ne le voulut, et lui faisait mal, à cause des souvenirs qui s'y liaient, mais surtout, pour ceux qu'ils avaient détruits, anéantis, les souvenirs de sa famille de ses jours heureux.

-Evelyn, il faut que tu prennes sur toi, je sais que c'est beaucoup te demander, surtout si tôt, mais il faut que tu parviennes à te ressaisir. Garde en mémoire que ce n'est pas lui, ce n'est pas celui qui t'a fait tant de mal, que c'est Julian et non pas Ike. Ils sont aussi différents que le jour et la nuit, tu n'auras rien à craindre de lui. Il faut que tu exorcises la peur liée à ce visage. En attendant, tu peux prendre une chambre au Chaudron Baveur, sur le Chemin de Traverse, déclara-t-il en lui donnant une poignée de poudre.

En se demandant ce que faisait Julian à Poudlard, elle articula « Chemin de Traverse » et sentit la cheminée l'emmener à destination.

Hiyaaaaa c fini..pfff, g galéré pour trouver toutes ces idées, et comme j'ai mes idées au fur et a mesure, ca risque encore de changer encore un peu lol, eh oui je découvre l'historie en même temps que vous ( oui enfin un peu avant quand meme)..enfin bref pour répondre aux questions de Cixy, ben oui elle aura bien à faire avec les maraudeurs, et bien sur, pour qu'elle puisse dealer avec en beauté, il faut bien qu'elle soit à gryffondor...quoique ca aurait été interressant de la voir ailleurs, mais bon, ca serait plus dur apres pour mettre à jour les plans machiavéliques que je prépare pour elle muahahahahahaaa

enfin bon, voila, j'espère que ca vous a plu, et que vous voudrez bien gratifier tout ca d'une ptite review?

En attendant .....voici un aperçu de ce qui vous attend la prochaine fois

Chap 3 : - pas de titre la tout de suite j'y ai pas encore réfléchi-

« COMMENT OSES TU INSULTER LES POTTER DEVANT MOI ???????? » .. « ...Sorciers de seconde classe..une honte pour notre monde... » ... « Ne t'avise plus jamais de critiquer la famille Black où ce que tu viens de subir te semblera une douce caresse... » « ....Adieu ! »

oui c court, ça veut pas dire grd chose mais si vous devinez bien vous saurez de quoi je parle ...