Elle est l ! La suite de mon ch'tit poème ! J'ai pas traîné à la faire pour une fois ! lol !
Bonne lecture !
Chapitre 1 : Réveil en douceur.
« Po… Harry ! »
Ce cri résonne dans le silence si pesant de la pièce. Le corps encore agité de soubresauts irréguliers, je referme les yeux après les avoir ouverts sous l'impulsion du choc. Mon souffle haletant se perd dans les draps blancs que j'essaye tant bien que mal de faire remonter un peu plus sur moi pour me réchauffer. Mais je n'y arrive pas. Je n'y arrive jamais. Toujours tremblant, je me tourne sur le côté et attrape le verre qui se trouve sur une petite table de nuit blanche. Je bois le contenu cul-sec et grimace, m'étonnant toujours plus du goût âcre de la potion du sommeil sans rêves. Cependant, autre chose me dérange. Un vide considérable se forme au niveau de mon estomac et je lutte de toutes mes maigres forces pour essayer de garder le peu de nourriture que j'ai avalé aujourd'hui. Je me pelotonne dans mes couvertures.
Mais il fait encore froid.
J'aurai toujours froid.
Je ferme les yeux si fort que j'en pleure presque de douleur. La potion ne fait pas effet. Je jette un rapide coup d'œil à l'horloge accrochée au mur en face de mon lit. Il est 5 heures, le jour ne va pas tarder à se lever. Je frotte mes yeux rougis et débordant de larmes. Je sais très bien que ce n'est pas en les fermant le plus fort possible que je me rendormirais mais je sais aussi que ce n'est pas en prenant une vulgaire potion de sommeil sans rêves que je vais oublier que, 10 minutes avant, je hurlais sans retenue le nom de Potter.
Potter.
A chaque fois que je prononce son nom, mon estomac se tord, une incroyable chaleur monte en moi. Alors pourquoi ai-je toujours froid ? Pourquoi faut-il qu'il fasse naître en moi tant de sentiments contradictoires ? Je soupire et tends le bras vers la table pour prendre un verre d'eau. Une fine sueur couvre mon front alors que j'essaye d'oublier toutes les sensations affolantes qui naissent en moi. Ma respiration se fait difficile.
Je deviens fou.
Tu me rends fou.
Le verre se brise dans mes mains et je retombe mollement sur l'oreiller du lit que j'occupe depuis un mois à Sainte-Mangouste. La potion fait son effet en fin de compte…
« Drago ? »
J'émets un grognement évasif pour toute réponse. Une douce chaleur m'accueille alors que je sors la tête de sous les couvertures. Cela veut dire que nous sommes dans l'après-midi. Je n'aime pas le jour.
Parce qu'il n'est pas là.
Je pousse un cri de frustration et me retourne brusquement, rouvrant les yeux pour me trouver face à mon interlocuteur. Malgré mon état de demi-inconscience, je reconnais Dumbledore. Sa barbe scintille à la lueur du soleil entrant dans la chambre n°3107 du plus grand hôpital du monde sorcier et ses rides sont encore plus accentuées alors qu'il laisse traîner sur son vieux visage un triste sourire. A ses côtés se trouve une femme entre deux âges que je ne connais que trop bien. C'est Alicia, l'infirmière qui s'occupe de moi. Enfin quand je la laisse entrer dans ma chambre car je ne supporte pas que l'on me voit dans un tel état. J'ai toujours haï les gens qui avaient pitié des autres. Mais dans mon cas, c'est plutôt moi qui fait pitié à voir.
« Bonjour Drago. Avez-vous passé une bonne nuit ? me demande Dumbledore d'une voix trahissant sa réelle inquiétude. »
Allez vous faire foutre Albus !
« On peut dire ça, dis-je en me relevant légèrement. »
Chaque fois qu'il vient, il me pose cette question et moi je lui réponds toujours de la même manière. La première fois, il m'a comparé avec amusement à Rogue. Ce qui, je l'avoue, ne m'a pas totalement déplu. Severus et moi avons dû passer beaucoup de temps ensemble ces 5 dernières années. Autant pour raisons professionnelles que personnelles. J'admire son cynisme face à n'importe quelle situation. Il reste impassible en toute circonstance. Je le sais pour avoir involontairement assisté à une de ses infiltrations en temps que mangemort.
Involontairement, oui…
Mais ne remuons pas le passé. Mon ventre gargouille et Dumbledore retrouve ce sourire si joyeux qui me met hors de moi. Il me conseille :
« Vous devriez aller manger un morceau Drago. Alicia, vous pouvez lui apporter un peu de nourriture s'il vous plait ?
- Vous appelez ça de la nourriture ? je réplique tandis que l'infirmière sort en grommelant. »
Je vois les coins de sa bouche tressaillir et il toussote légèrement. J'ai un sourire satisfait. Il brûle d'envie de me dire cette phrase, je le sais. Je peux sentir qu'il veut parler. Je le devance et dis d'un air moqueur :
« Je ressemble de plus en plus à Severus, n'est-ce pas ? »
Et là, son sourire disparaît complètement. Il n'a même plus cet éclat pétillant dans les yeux. Il me fait de plus en plus penser à un vieil homme qui perdrait peu à peu ses forces, ses rides, marques de toute une vie passée à faire le bien, imprégnées d'un désespoir profond. Mais après tout, n'est-il pas ce vieil homme à qui l'on surestimerait les capacités ? Je ne devrais même pas être surpris lors de ces manifestations de fatigue évidente. Alors pourquoi le suis-je ? Pourquoi tout le monde pense mettre sa vie entre les mains d'une seule personne ?
Comme avec Potter…
Je n'ai jamais suivi la masse, j'ai toujours été le seul à décider de ce que je devais faire ou penser.
A part quand il s'agissait de Potter…
Je n'ai jamais aimé ça.
Sauf lorsqu'il était question de Potter…
Je me rends compte qu'il ne me regarde plus. Ses yeux bleus cachés derrière ses petites lunettes en demi-lune sont posés sur la fenêtre dans une expression pensive. Je ne veux pas le déranger et m'inquiète même pour lui. Une chose que je n'ai pas hérité de mon ancien professeur de Potions. Enfin, je pense que ce sentiment est dû à l'inquiétude. Il a dû se passer quelque chose d'extrêmement grave pour qu'il réagisse de la sorte. Depuis que je suis ici, je ne me tiens plus au courant de l'actualité.
« Drago. »
Je sursaute violemment. Il tourne son visage fatigué vers moi et sourit faiblement avant de m'annoncer :
« Vous semblez avoir meilleure mine. »
Sous-entendez : « Tu as toujours la tête d'un mort qu'on aurait déterré depuis six mois mais ça se voit moins. » Il reprend :
« Comme vous sembler aller mieux, je pense qu'il serait préférable que vous rentriez le plus tôt possible chez vous… »
Il marque une pause et se racle la gorge avant de me dire :
« … au Manoir. »
Je lève un sourcil interrogateur. Pourquoi veut-il que je retourne au Manoir ? Cela fait presque un an que je n'ai pas remis les pieds dans l'immense demeure des Malfoy et il veut que je m'y installe de nouveau. Depuis un an, j'ai élu domicile chez Severus. Je ne pouvais plus supporter l'ambiance familiale et il m'a accueilli comme si j'étais… son fils. Je ne le remercierais jamais assez pour tout ce qu'il a déjà fait pour moi.
Non, jamais…
« Mais… Je ne veux pas retourner au Manoir ! Ecoutez… Depuis que père est à Azkaban, je… je n'ai plus ma place là-bas ! Je ne l'ai jamais eue ! Si Severus vous a dit quelque chose à mon sujet, dites-lui que je… que je m'en excuse ! Au Manoir, il y a tellement de chose que j'aimerai oublier… »
Il n'y a pas qu'au Manoir que je dois oublier des choses…
Je n'ai jamais eu l'habitude de supplier et je ne pense pas l'avoir un jour mais je ne veux pas repartir au Manoir, je veux rester avec Severus. Je me lève brusquement. Le contact de mes pieds nus avec le carrelage froid est très désagréable. Je frissonne. Il se lève et m'attrape doucement le poignet.
« Drago, ça… ça ne sert à rien. Severus ne se trouve pas chez lui… Il est parti.
- Comment ça « parti » ? m'écrie-je, ma peur refaisant surface. En voyage ? En mission ? »
Je me voile la face, je sais très bien qu'il n'a jamais aimé voyager, je sais très bien qu'il n'y a plus de mission depuis très longtemps. Un petit rire nerveux s'échappe de ma gorge alors que je me laisse tomber sur mon lit. L'actuel directeur de Poudlard me lâche le poignet et pousse un long soupir fatigué alors qu'Alicia rentre, un plateau dans les mains. Mais je n'ai pas faim.
« Je ne l'ai appris que ce matin… Désolé, murmure t-il. Il aurait été heureux de vous voir guérir. »
J'aimerai lui dire qu'il a tout faux, qu'il se trompe lourdement. Je ne suis pas guéri, je ne guérirai sans doute jamais. Ma voix se bloque et je ne peux que me taire.
Je pense qu'une potion de sommeil sans rêves me ferait le plus grand bien…
Mon propre cri me réveille… encore une fois. Je tremble de toute part. Ce froid m'envahit une nouvelle fois, mon estomac se contracte violemment, tout mon corps se recouvre de sueur froide et mon souffle se saccade.
J'ai envie de vomir.
Je me donne envie de vomir…
C'est la dernière nuit que je passe à Sainte-Mangouste. Alicia n'a pas daigné me donner une nouvelle potion de sommeil sans rêves car je devrais déjà être parti depuis une semaine. Mais je ne veux pas rentrer au Manoir, je ne veux pas m'endormir sans avoir la certitude que mes songes ne vont pas être hantés par son visage. Pourtant, ils le sont. Cela fait aussi une semaine que j'ai appris que Severus est… parti. Mais ce n'est pas de lui que je rêve. C'est pour cela que je me dégoûte. Une petite larme roule le long de ma joue.
Elle ne coule pas pour lui… mais pour moi.
Je commence à faire comme tous ces gens que je déteste : je m'apitoie. La pitié est un sentiment qui me répugne. Personne ne mérite la pitié de personne. Alors, raison de plus pour ne pas m'apitoyer sur mon sort. Je devrais pleurer sa mort, refaire dans ma tête tous ces moments passés en sa compagnie. Au lieu de ça, je pleure parce qu'un abruti qui a réussi à survivre deux fois me fait des faveurs au beau milieu de la nuit !
Non, je pleure parce que ce n'est pas la réalit
Je me dégoûte.
Comme je n'ai plus rien à faire ici, ils ont installé un autre lit dans la chambre. C'est une petite sorcière de 8 ans avec une sérieuse plaie qui est tombé de son balai. Ce matin, sa mère est venue la voir. Elle avait l'air si peinée pour sa fille. Et je la comprends. Depuis une semaine, j'essaye de me focaliser sur son doux visage avant de m'endormir, sur ses petites joues rondes, sur ses beaux cheveux bruns et sur sa lente respiration quand elle dort. Mais ça ne marche jamais.
« Vous savez, cela ne se voit pas, mais elle a de très beaux yeux… Des yeux vert émeraude comme je n'en avais jamais vu. Oh, elle les tient de son père, c'est son portrait crach ! »
Comment pourrais-je m'endormir alors que j'ai un souvenir flagrant de ce que je cherche à tout prix à oublier sous les yeux ? Comment ne pas penser à lui ? Pour ça aussi, je me dégoûte.
« … Des yeux vert émeraude comme je n'en avais jamais vu. »
Je me demande s'ils sont aussi brillants que les siens. Je me demande s'ils ont le même éclat doré que les siens lorsqu'il parlait avec ses proches. Je me demande s'ils ont la même noirceur que lorsqu'il croisait ceux des personnes extérieures à son cœur.
Comme lui avec moi…
Je ferme les yeux et soupire. Je n'arrive plus à dormir. Je ne peux plus rester ici, Dumbledore a été assez influent pour me laisser une semaine de répit, après… C'est à moi de choisir. Deux solutions s'offrent à moi : soit je retourne au Manoir, soit je reste chez Severus. Les deux me déplaisent autant l'une que l'autre mais pas pour la même raison. J'aurai aimé séjourner ici, à Sainte-Mangouste, entouré de tous ces Médicomages et toutes ces infirmières.
Car je suis malade.
J'ai mal.
J'ai senti quelque chose en moi se briser, il y a de cela 8 ans… J'ai longtemps cherché pour enfin découvrir que c'était mon cœur. Ce genre de blessure ne peut pas se refermer…
« Ma… Maman ? »
La petite fille se relève doucement et cherche sa mère du regard. Ne la voyant pas, elle laisse échapper un sanglot puis allume une lampe de chevet qui se trouve à sa droite. Je sens qu'elle me fixe dans l'espoir que je tourne la tête vers elle mais je ne le fais pas et essaye de me rendormir.
En vain.
D'autres larmes coulent sur ses petites joues rondes. Doucement, je sors la tête de sous les couvertures. Elle me fait un petit sourire et sèche ses larmes de la paume de la main. Je réponds à son sourire. Elle a un petit rire. Depuis qu'elle est là, je n'ai jamais vraiment parlé avec elle. Et puis d'ailleurs, qu'est-ce que cela m'apporterait de parler avec une petite fille de 17 ans de moins que moi ?
« Rendors-toi. »
Je ne trouve que ça à lui dire alors que je m'apprête-moi aussi à passer une autre nuit blanche. Je crois qu'elle l'a deviné car son sourire s'accroît et elle me dit :
« Vous non-plus vous n'arrivez pas à dormir.
- Mais je suis une grande personne, je réplique, peu sûr que mon argument la fasse changer d'avis.
- Vous avez fait un cauchemar ? »
Pourquoi faut-il que les gosses observent tout ce qu'il se passe autour d'eux ? Pourquoi voient-il tout ce que nous, les adultes, essayons de cacher ? J'ai un rire nerveux. Comment expliquer à une petite fille de 8 ans que je fais des rêves peu catholiques sur un héros international ? Mais j'y pense, je n'ai pas à lui expliquer !
« Les adultes ne font pas de cauchemars, dis-je avec un sourire las. »
Non, ils se rendent simplement compte que la vie est déjà un cauchemar…
« Allez, rendors-toi sinon tu ne seras pas en forme pour voir ta maman.
- J'ai mal, gémit-elle en versant une autre larme. Je n'aurais pas dû prendre mon balai alors que Maman me l'avait interdit… Vous savez, avec ma maman, on habite dans une grande maison. C'était celle de mon papa mais il est mort.
- Désolé, je murmure sans même savoir pourquoi.
- Bah, vous n'avez pas de raison d'être désol ! s'exclame t-elle en riant. Ca fait 2 ans qu'il nous a quitté. Au début, Maman voulait qu'on déménage, elle ne voulait pas rester une minute de plus dans la maison où Papa avait grandi mais Mamy lui a dit que se souvenir d'une personne… Euh… Qu'est-ce qu'elle lui a dit déj ? »
Je ne sais pas pourquoi mais cette petite m'amuse… Non, elle ne m'amuse pas, elle… m'attendrit.
« Ce n'est pas en laissant de côté notre passé que l'on arrivera à grandir, continue t-elle en réfléchissant. Si on se souvient de ces personnes, ça veut dire que… qu'on ne les oublie pas, finit-elle un peu moins sûre que précédemment. Enfin, bref, tout ça pour vous dire qu'on a fini par rester dans la maison de Papa et maintenant, Maman et moi, on est heureuses. »
Elle me fixe un instant puis rougit violemment.
« Oh ! Excusez-moi si je vous dérange ! Hein ! dîtes-le-moi si…
- Au contraire, dis-je dans un souffle. »
Elle m'aide à penser à autre chose que Severus… ou Potter.
« Vous aussi vous avez perdu une personne qui vous était chère ? me demande t-elle, hésitante. »
Je hoche lentement la tête.
Mais il n'est pas vraiment mort…
« Euh… C'était qui ? »
Celui qui hante tout mes putains de rêves !
« Un homme que je… que je considérais comme mon père. Il est décédé il y a une semaine.
- Oh ! Toutes mes… Euh…
- Condoléances ? finis-je avec un petit rire. »
Elle rougit encore plus et éteint la lampe de chevet. Le jour commence à pointer le bout de son nez et mon estomac se tord. Albus ne va pas tarder à venir pour me demander de choisir. Cette petite m'a fait réfléchir… Elle continue de me regarder tandis que je suis plongé dans mes pensées.
C'est sûr, je vais rester chez Severus. Je ne vais pas l'oublier. Je relève soudainement la tête et m'écrie :
« Approche-toi ! »
Elle paraît désarçonnée puis, gênée, elle s'avance lentement jusqu'à mon lit. Je me lève précipitamment et m'agenouille devant elle. Ses yeux… Ils sont exactement pareils que les siens… Exactement… Elle est assez embarrassée. Je lui adresse mon plus beau sourire puis lui dis :
« Tu as des yeux magnifiques. »
Lui non-plus je ne vais jamais l'oublier… comment le pourrais-je ?
Voil !!!!! C'est la fin du premier chapitre ! Bon, j'espère que ce n'est pas trop nul parce que moi, franchement, je ne suis pas convaincue… Bah, je vais voir.
Bon, voici les réponses aux reviews :
Christabelle :… Ouah ! Tu trouve ça… Magnifique ? (Emue jusqu'au larme ) Bah, c'est franchement gentil à toi Pour le côté fleur-bleue, c'est moi et on ne peut rien y faire, lol. Merci à toi, ma première revieweuse !
Koyomi-San : ui, moi aussi c'est mon passage préféré Tu as parfaitement cerné le sens de ce poème, je suis contente. J'espère que la suite te plaira.
Le poème, je l'ai écrit un jour de déprime donc je ne sais pas si j'ai réussi à garder ce côté mélancolique et triste mais j'essaye… Merci pour ta review !
Artemis : Franchement, vous allez me faire pleurer (lol, faudrait que j'arrête les romans à l'eau de rose, ça me monte à la tête ) C'est super gentil de la trouver magnifique. Alors pour toi, et rien que pour toi, je fais la suite ! lol ! Comme je l'ai dit plus haut, j'espère que la suite ne déplaira pas. Bah, j'espère bien que tu seras là, mdr !
Bizouxxx !!!
Yume : mici ! Bah, pour les fautes, ça n'a jamais été mon fort l'orthographe alors… lol ! J'espère que la suite te plaira.
Nee Chan et Chana : oh ! c'est trop en une journée (rougissements et gloussement stupides)… lol ! C'est la troisième fois en 5 reviews qu'on me dit qu'il est magnifique ! C'est trop gentil (celui qui me dit que je n'ai pas du tout confiance en moi se trompe… lol) Voilà la suite. J'ai fais des efforts pour ne pas trop dénaturaliser la fic du poème, j'espère que c'est réussi.
Big bises !
Tête de nœud : Mici pour ta review ! . Voilà la suite.
Anonyme : Bah, c'est bête de laisser des reviews anonymes, faut signer (à part si tu as quelque chose à cacher lol) C'est gentil ! La suite est là, toute belle (hum) toute chaude ! lol.
Will black : bah, c'est gentil ! Bon, j'espère que la suite ne te déplaira pas ! Pardon si je t'ai fais de la peine ! Je veux pas faire de la peine à mes reviewers moi !!! lol ! En tout cas, voilà la suite.
Comme ce sont les vacances, j'essayerai de faire les chap le plus vite possible.
A dans pas longtemps… !
