Je suis vraiment désoler pour ce retard..masi j'avais beaucoup de travail....encore toute mes excuses.

Zakath Nath : Merci pour tes encouragements

Chouttha : Certe....masi tu verra que plus tard tout ces éléments vont s'imbriquer. Pour l'instant je pose les faits. L'action pointe son né a l'horizon.....
ainsi que les explication.

Flammifer : Nonn n'appelle po la police mdr je ne suis pas perdu, la preuve je poste ce chap.

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Chapitre 6

La tête rejetée en arrière, les jambes croisés négligemment l'une sur l'autre, lentement, Lupin se remettait de son périple au milieu des sombres souvenirs de notre maître des potions. Son regard si vif habituellement, semblait vide, et ses lèvres s'entrouvrirent faiblement pour ne laisser qu'un simple soupire s'évanouir dans le bureau du directeur.

«.....c'est donc ainsi que tu nous est revenu.... » Songea t-il.

Gravement Rémus se redressa et attrapa la cape qui semblait patienter sur le dos du siège sur lequel il s'était précédemment tenu.

« ...tant de vies gâchés pour que tu comprennes tes erreurs...tant de je te comprends...mon ami »

Fumseck, sentant le trouble de Lupin, vint d'un majestueux battement d'aile se poser sur son épaule. Sa douce étreinte réchauffa son cœur mais son regard triste et songeur, persistait.

« Merci de ton soutient, je te jure que je ferais de mon mieux pour le tirer de se mauvais pas. Ainsi s'achèvera ma dette envers lui. » Proféra t-il d'un ton résigné.

Le phénix reprit, alors son envole et se reposa près du bureau ensevelie par divers paperasses. L'homme revêtit sa cape et disparut sous l'oeil confiant de l'oiseau de feu. Seul le bruit de ses pas réguliers trahissait encore sa présence, dans cette partie du château. Il ouvrit la porte et se dirigea hâtivement en direction des donjons.

« ...Pourquoi m'avoir faillit...toi que je considérais comme mon ami.......Severus... »

Dans la pénombre hostile de ces lieux, un homme de grande stature, aux cheveux longs et platine, se remémorait certains événements qui illustraient son passé :

......................... La journée paraissait joyeuse, les raillons de l'astre bienveillant, inondaient le dortoir des Serpentard.

Seul, allonger sur son lit, Lucius comblais ce doux instant, par de la lecture. Ce charmant tableau cependant ne fut qu'éphémère. La porte vola en éclat. Surprit, l'étudiant fixa son attention sur le facteur de cet éclat.

Severus se tenait là, sur le seuil, comme prostré. Son visage n'exprimait plus qu'une colère sans nom et de la détermination. Son regard aussi sombre que les bas fonds des océans, scrutait le visage encore juvénile de lucius. Soudain sa voix s'éleva telle un murmure, dans la tranquillité, néanmoins perturber de la pièce.

« Je t'en prie, mène moi à lui. Ce monde n'est désormais plus le mien. »

Soigneusement son compagnon referma son livre, puis se leva afin de se poster devant son interlocuteur. Il le jaugea un instant, et proféra enfin :

- Puis je connaître la raison de ce revirement si soudain ?

Le jeune Snape resta quelques instant silencieux, comme pour mesurer ses dires :

-C'est fort simple, je viens de me rendre compte que je ne suis que néant pour personne. Rien ne me retient ici. Et le Lord noir, lui à besoin d'un maître des potions, ce que je suis dés à présent.

Lucius acquiesça du chef, et lui répondit :

« Dans ce cas, vient me rejoindre dans mon manoir, le deuxième jour des grandes vacances. Et soit ponctuel, le Maître n'apprécie guère le retard. »

- J'y serais.

......Les jours passèrent, les examens de même. Les élèves diplômés quittaient définitivement Poudlard. Quelque uns pour travailler, d'autres pour poursuivre leurs études, et enfin certains pour s'aventurer sur le chemin de la peine et de la souffrance. Le jeune Snape se tenait sur le quai. Sa cape rapiécer, et la pâleur de ses traits, lui donnais triste figure, fassent à ces congénères, aux visages joviales et insouciants. Tout ces mouvements, ces cries de joies, ces bourrades amicales, semblaient être l'objet d'une même pièce de théâtre, où seul le silence n'avait pas sa place. Ce dernier s'incarnait en la personne de Severus. Il quittait ce monde, qui n'avait pas sut l'apprécier et encore moins le comprendre. Maintenant, sa vie sera guider par la volonté du mage le plus honnit de tout les temps, Voldemort.

Le train entra en gare. Le souffle puissant de la locomotive, balaya sans peine ses cheveux, mais il ne paraissait nullement s'en inquiété. Une main se posa sur son épaule, et il se retourna, pour se confronter aux yeux glacés de son ami. Ce dernier lui fit un sourire carnassier et l'invita à monter dans l'un des wagons. Lentement ils se faufilèrent tout deux dans les couloirs afin de gagner un compartiment non occupé, afin d'être plus à leur aise.

Une fois assis, l'un en face de l'autre, Lucius cru lire dans le regard de son compagnon, un semblent de regret. Un formidable coup de sifflet, signala le départ imminent du train. Les pistons s'actionnèrent, le souffle de la locomotive s'intensifia. Une brève secousse se fit sentir. Le dernier voyage commençait, et une page importante de leurs vies se refermait.

Sur le quai, seul vestige de ce passé, un journal à la reliure abîmer y reposait.

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Le grincement sinistre de la porte, fit relever la tête de l'homme aux cheveux platine. Ses yeux d'acier se firent plus durent lorsqu'ils rencontrèrent les manières fuyante d'un être à la main d'argent.

« Le...le..le Maître vous attend. » Couina l'abject personnage.

Sans mot dire, Lucius se dirigea d'un pas assuré vers la sortie. Sa cape fouetta l'air violement. Son maintien digne et fier, ne fit que croître la peur qu'il instaurait à ce pitoyable acolyte. Ce dernier se voûta encore plus qu'auparavant, comme s'il craignait être battu, voir torturé. Mais rien de cela n'arriva.Lucius se contenta simplement de le fustiger du regard, avant de refermer la porte derrière lui. Le Mage noir attendait son rapport, aussi il n'avait pas à perdre temps.

Une voix sifflante semblent provenir des profondeurs de la salle, retentit.

« ….Entre mon ami, ne t'occupe dont pas de ces êtres vils et idiots…..Avance donc, tu sais pertinemment que toi seul, peu daigner m'approcher à moins de cinquante pas. »

- Bien Maître.

Ce qu'il fut dit dans cette salle, nul n'en saura jamais rien.

A cet instant, Dans le domaine de Poudlard, Lupin surgit enfin dans les cachots. Quelque chose avait changé, comme si un vide avait pris place en cet endroit lugubre et sombre. Un frisson lui parcourut l'échine, quand son attention se porta un peu plus loin dans le fond du couloir. Une faible lueur se dessinait dans l'ombre. Il s'approcha et constata que curieusement, la porte donnant sur les appartements de Severus, semblait entrouverte. Intriguer par ce manque de prudence, de la part de cet homme qu'était Snape, il s'empressa de la pousser, et se propulsa tel un démon dans la pièce.

« .....Personne ?!!!!.. » Hurla son esprit.

Le feu dans l'âtre crépitait. Le fameux journal qu'il avait précédemment osé profaner, se trouvait sur le bureau. Quelques pages semblaient avoir été rajouté, car l'encre sèchait encore.

« ...se doute il de ma présence ?..... » se demanda Lupin.

Ses doigts parcourèrent en bref instant la surface granuleuse et agréable du papier.

Il fallait se rendre à l'évidence, Severus s'en était aller régler ses comptes, et ce pour la première fois, malgré l'interdiction dresser par Dumbledore.