Les Enfants du Sorcier
Chapitre 1 : d'un rêve à l'autre« Comment oublier quelque chose comme son premier amour, sa famille, ses rêves, et quelques mots son être ? »
Driiiiiiiing driiiiiiiing
Une jeune femme endormit, tendit le bras vers le réveille pour l'éteindre. Cela fait, elle se rendormit pour quelques minutes avant d'être réveillée par une douce et mélodieuse voix masculine qui hurlait au pied des escaliers, dans l'espoir de n'avoir à monter réveiller la jeune femme.
« FAYE!! FAYEE! DEPECHE TOI!
- J'arrive! J'arrive, répondit-elle à moitié réveillée»
Elle se leva, prit son peignoir de bain, ses vêtements, sa brosse et sorti de sa chambre se dirigeant vers la salle d'eau qui jouxtait sa chambre. Après avoir prit une douche rapide et s'être habillée, elle entreprit de se coiffer devant le grand miroir. Elle était ni grande, ni petite, de taille moyenne au environ d' un mètre soixante-cinq, ses longs cheveux ondulés étaient auburn, ils encadraient un visage très fin, au teint pêche qui mettait en valeur ses deux prunelles verts électriques. Ce matin elle opta pour une haute queue de cheval, et noua un ruban bouton d'or assorti à la cravate de son uniforme bleu clair et vert marin. Elle descendit à la cuisine et trouva comme tous les matins depuis cette terrible journée, un jeune homme blond aux yeux bleu et liquide comme ceux d'une biche.
« Tu as bien dormis ?
- Oui, ça vas ! lui répondit-elle
- Pas de rêves bizarres
- Non, pas depuis un certain temps
- Tient, je t'ai préparé des pancakes, dit-il en lui tendant les dites galettes
- Mershi, tu sais toujours comment me remonter le moral. »
Pour toute réponse il sourit à la jeune fille, qui sortit de la cuisine et partit à vélo en direction du Lycée Li Xing. Elle arriva contrairement à son habitude en avance et se dirigea vers le bureau du directeur de l'établissement.
« Miss Xia Faye ? appela la secrétaire de ce dernier
- Moui, répondit la jeune femme en question, sortant de sa rêverie
- Veuillez me suivre Miss le directeur vous attend, dit la petite femme au cheveu argenté, en ouvrant une porte qui donnait dans le bureau.
- Miss Xia...il fouilla dans ses papiers, Faye, asseyez-vous »
Elle s'exécuta, en observant son interlocuteur, c'était un petit homme bedonnant, au visage rond et aux petits yeux noirs rieur et vif, il était jovial malgré son air sévère et ses petites lunettes rondes. Son bureau, était une pièce remplit d'objet en tous genre, ayant appartenu à des époques différentes.
« Miss, je vais être clair tous ce que nous attendons de vous c'est que vous intégriez au plus vite et que vous respectiez les quelques règles que tous les élèves de cet établissement se doivent de respecter, on ne fume pas, ne se drogue pas, ne se bat pas dans l'enceinte du Lycée ce que vous faites en dehors d'ici ne nous regarde en n'aucun cas, me suis-je bien fait comprendre Miss Xia ?
- Oui Monsieur
- Bien, je sens que l'on va bien s'entendre, Miss Zhang pouvez-vous conduire Miss jusqu'à sa classe. »
La secrétaire s'inclina poliment devant le gros monsieur aux yeux rieurs et au regard sévère. Elle conduisit la jeune fille devant sa classe, dit deux mots au professeur présent et la planta là pour retourner vers son bureau. Le professeur la considéras quelques minutes puis la fit rentrer en classe.
« Aujourd'hui nous accueillons une nouvelle élève d'origine japonaise qui nous vient des États-Unis, Miss si vous voulez bien vous présenter.
- Bonjour à tous, dit-elle d'une voix cristalline et enjouée, je m'appelle Faye Xia, j'ai 17 ans, je viens du japon et je suis heureuse de faire votre connaissance. »
Durant le court lapse de temps qu'avait durée les présentation tous les garçon avait dégagé la place vide qui se trouvait à côté d'eux et qu'il avait coutume d'envahir de leur affaires, des chuchotement s'étaient élevés certains énuméraient les qualité apparente de la jeune femme et d'autre s'insurgeaient de la réaction des garçons présent.
« Tu peux aller t'asseoir au fond à côté de Monsieur Li, levez la main je vous pris. »
Un jeune homme de grande taille, environ 1,80 m, aux cheveux et aux yeux chocolat leva le bras. Il ne semblait pas plus enchanté que ça d'avoir une aussi charmante voisine. Ses deux prunelles étaient les plus froides que Faye ait croisé de toute sa vie, et la perspective d'un tel voisin la faisait frémir d'avance. Elle s'installa néanmoins à la table qu'on lui avait attribuée, se tourna vers le jeune homme qui la dévisageait de façon fort déplaisante.
« Essayons de faire bon ménage » lui dit-elle en souriant.
Pour toute réponse il reporta son attention sur le tableau noir, les cours se passèrent sans grand intérêt de la part de la classe.
Vers Midi la cloche retenti et tous les élèves sortirent pour allez en direction de la cafétérias ou du parc de l'école pour se restaurer. Une jeune femme brune, aux yeux ambre et rieur, s'approcha d'elle en souriant, lui saisit le bras et l'entraîna vers un coin tranquille du parc.
« Eh qu'est-ce que ... Faye s'arrêta nette devant le visage toujours souriant de la jeune femme
- Désolé pour cette façon peu cavalière de te convier à partager notre repas, mais je n'aime pas trop m'aventurer trop longtemps dans la cour principale. Elle la fixa deux secondes avant de déclarer avec un grand sourire, Je m'appel Meilin.
- Oh, moi c'est Faye.
- Tiens j'ai supposé que tu n'avais pas pensé à prendre ton déjeuné »
Faye acquiesça, Meilin sourit, toutes deux commencèrent à manger en discutant de sujet et d'autre
«J'ai entendu dire que tu étais japonaise ? commença Meilin
- Oui, mais ça vas faire presque 4 ans que je n'y suis pas retournée, répondit-elle tristement
- Oh ! Et t'étais d'où ?
- Banlieue de Tokyo...elle réfléchit quelques seconde, Tamodi ou Tomoé quelque chose, si je me trompe pas.
- (Le regard de Meilin s'obscurci un peu) C'est Tomoéda, j'y suis allée lorsque j'étais enfin de primaire. »
Devant le regard triste de son amie, Faye décida de changer de sujet de conversation.
« Il fait froid ici en hivers ?
- Oui mais il ne neige jamais à Hong Kong
- Comme c'est triste, je pensais... enfin et toi Meilin tu en as déjà vu ?
- Moui une fois au Japon, et ces 4 dernières années t'étais où ?
- 6 mois en Angleterre, après une année en France et le reste du temps aux Etats-Unis.
- Comme tu as de la change, c'était comment les USA ?
- Super cool, seulement je commençais à perdre mon chinois et mon japonais. »
La jeune chinoise cessât nette de parler, elle se leva s'inclina poliment devant le jeune homme au regard froid.
« Allons Mei, ne fait pas tant de manière, tu... » il se tut lorsqu'il aperçut Faye et jeta un regard glacial à la jeune chinoise. Faye se leva à son tour et le salua, de la même façon que son amie. Il entraîna la jeune femme à l'écart.
« Qu'est-ce qu'elle fait là ? dit-il en désignant Faye
- Je l'ai invitée, elle est nouvelle et j'ai ...
- Tu n'as pensé à rien du tout, tu devrais faire un peu plus attention aux gens auquel tu entends faire confiance... »
Pendant que les deux jeunes chinois discutaient un peu à l'écart, la jeune fille se perdit dans ces pensés d'où elle fut tiré par un éclat de voix provenant de la discutions voisine.
« Je ne veux pas qu'elle reste, je suis bien clair Mei
- Mais.. »
Comprenant enfin le problème qui opposait les deux jeunes gens, elle se levât et se dirigea plus loin dans le parc, où elle s'assit en se prenant la tête entre les mains. Une douce voix s'éleva alors:
« Pauvre petite magicienne, toujours seule, peut-être aurait il mieux valu que tu les suives, vous seriez heureux tous ensemble, mais non, tu voulais le revoir.
- Qui ? Demanda t-elle, sachant qu'elle n'obtiendrait pas plus de réponse que les autre fois.
- Qu'est ce que tu serais bien avec ceux qui t'aiment et que tu aimes, continua la voix implacable, tu n'as qu'un vœu à faire et tous sera fini.
- Quel vœu, quelle fin ? Qu'est-ce que vous voulez ?
- Tu le sais, la voix s'évanoui dans l'air. »
Une voix masculine et énergique se fit alors entendre, une voix qu'avec les années elle avais fini par chérir.
« Comment as-tu pu nous oublier...même lui...c'est impensable !
- Mais qui ?
- Si tu as confiance en toi tous te reviendra, et bien plus encore
- Mes souvenirs
- Et bien d'autre chose avec, puis la 2cd voix s'évanoui aussi. »
Faye releva la tête le soleil était haut dans le ciel, la pause de midi prendrait bientôt fin, elle se leva et reprit le chemin de la classe le cœur séré, ce fut seulement lorsqu'elle eu croisé plusieurs élèves qui la défiguraient qu'elle comprit qu'elle avait encore pleuré lors de cette entrevu. Après s'être essuyée le visage qu'elle regagna sa classe, sa place et se voisin qui lui était hostile sans raisons. Le reste de la journée se déroula sans accroche et elle prit le chemin du retour, en passant par le parc voisin, et au détour d'un bosquet elle aperçut Mei qui lui souriait.
« Je suis désolée pour ce midi, c'est mon cousin depuis quelques années il est très protecteur avec moi et...
- Ce n'est pas la peine de te fatiguer, j'ai l'habitude.
- Vraiment je suis navrée, continua la jeune femme, il ... »
Meilin fondit en larme devant son amie, cette dernière ne sachant trop quoi faire la prit dans ses bras et se dirigea vers sa maison.
« Chuis rentrée, dit-elle en passant la porte
- Ma puce, comment t.., le jeune homme ne finit pas sa phrase en voyant la jeune chinoise en pleur
- On va aller dans ma chambre, dit-elle »
Elle montèrent à l'étage, le temps passa, combien c'était sans importance, Faye écoutait son amie pleurer et délirer au sujet de son insensible cousin. Elle finit par s'endormir sur le lit de Faye, qui sorti pour aller réfléchir dans le salon. Il était vide Shintaro devait être allé se coucher.
« ...Il est comme ça depuis qu'il à perdu sa petite amie, il s'en croit responsable, il ne veut pas que cela se reproduise, il n'a confiance en personne... »
Tous ce qu'avait dit Mei résonnait dans sa tête, comme elle le comprenait, ce froid jeune homme, finalement ils se ressemblaient plus qu'elle ne l'avait pressenti. Elle qui ne souvenait de rien et avait sans doute tout perdu, elle finit par s'endormir sur le canapé.
« Pauvre petite magicienne, toujours seule, peut-être aurait il mieux valu que tu les suives vous seriez heureux tous ensemble, mais non, tu voulais le revoir. La même voix les mêmes phrase le même environnement, grand temple englouti. Qu'est ce que tu serais bien avec ceux qui t'aiment et que tu aimes, continua la voix implacable, tu n'as qu'un vœu à faire et tous sera fini. Tient il semble que tu te sois résignée après tant d'année à ne plus me poser de questions
- A quoi bon vous n'y répondez jamais ! »
Une ombre apparue, malgré l'obscurité la jeune japonaise devina que son interlocuteur souriait, elle ouvrit les yeux quelle heure était-il ? 3 heures, un violent coup résonnait dans sa tête, un second, puis un troisième, elle se dirigea tout endormi vers la porte d'entré, l'ouvrit et tomba nez à nez avec le jeune chinois, qui n'attendit pas qu'elle invite à entrer pour passer dans le salon.
« Où est-elle ? demanda t-il froidement à Faye
- Qui ça ? répondit-elle encore endormit
- Meilin
- Qui ça ? demanda t'elle incrédule
- Meilin
- Ah oui, elle dort dans ma chambre, enfin je crois... »
Le jeune homme ne lui laissa pas finir sa phrase et se dirigea vers l'escalier, Faye se laissa tomber sur un fauteuil. Il redescendit avec sa cousine endormit dans les bras, arriva dans le salon et vit la jeune femme assoupit dans son fauteuil agitée de convulsions. Il déposa son précieux fardeau sur le canapé, et s'approcha de la dormeuse, elle semblait si fragile, comme un fils de verre trop tendu près à se briser d'un moment à l'autre, une douce lumière entourait son corps si délicat. Il approcha la main de son épaule pour la réveiller, lorsqu'une main le stoppa, il regarda Shintaro dans les yeux ce dernier ne cilla pas, détourna son regard, et effleura Faye toujours emprises de son cauchemar. Elle ouvrit les yeux sourit puis retombera dans cet univers chimérique. Le jeune chinois qui s'était éloigné récupéra sa cousine et sortit de la maison. Pendant ce temps Shintaro préparait un linge humide pour faire baisser la température de la jeune femme.
« Personne ne se soucie de toi viens, tu n'as qu'un vœu à faire et tous sera fini, ton esprit faiblit, je le sais, tu es à moi depuis toujours
- NON ! Vous mentez !
- Ton âme m'apparient déjà, tu me l'as offert, tu te souviens, ton âme contre ta vie, telle était l'enjeu de notre marché
- Jamais ! Rendez-moi ma vie !
- C'est trop tard, pour eux tu es morte en même temps que les autres.
- Quels autres, qu'est-ce que vous cherchez à la fin,
- Le moment est enfin venu, l'ombre s'approcha d'elle de façon menaçant, une main se tendit vers elle.
- C'est bien ce qui me semblait, dit une voix familière derrière l'ombre, cela ne pouvais être que toi
- Qu'est-ce ? une intrusion,
- Oh oui et une dont tu va te souvenir »
Faye regardait la scène de loin son être s'élevait déjà dans les airs, tous cet être qui brillait d'une douce lumière, celle de la vie qui s'échappe et que rien ne peu, ni ne doit retenir. Le jeune chinois jeta un coup d'œil au corps inanimé de la jeune femme.
« Tu ne l'auras pas ! Cria-t-il
- Tu crois ça ! dit l'ombre un soupçon d'amusement dans la voix, elle est déjà mienne
- C'est ce que l'on va voir »
Disant cela, il sortit, un pendentif duquel émanait une sorte de lueur diffuse et récita une formule en ancien chinois. La sphère devint alors un sabre chinois sur lequel étincelait un dragon rouge. Il le saisit d'une main et de l'autre plaça devant une incantation.
« Dieu des quatre éléments venez à mon aide »
Quatre sphères lumineuses se formèrent alors, éclatèrent pour laisser apparaître une jeune fille d'une dizaine d'années, aux cheveux blond vénitien et aux grands yeux verts électriques, dont les prunelles n'exprimaient que peu de chose. Elle se dirigea vers l'ombre et la frappa de plein fouet, la créature hurla et se dissipa dans un ricanement sordide. Le jeune homme s'approcha de Faye.
« Viens, il est parti, il ne te fera plus de mal
- Il a raison tu sais, ma place n'est assurément plus ici, je souhaitais qu'il gagne, sa voix était prête à se briser,
- Je ne te le permettrais pas tu dois vivre pour eux.
- On dit qu'une fois mort, toute nos questions trouvent leur réponses, ça fait près de 4 ans qu'il me hante, me parle par énigme... elle soupira, j'ai vraiment besoin de connaître les réponses.
- Ce n'est pas la bonne solution! Dit-il avec colère, pense à ceux qui on déjà succombé.
- Je n'en ai rien a faire! Tu l'as entendu, je lui ai vendu mon âme pour revoir quelqu'un, et je ne sais même pas qui c'est, un père, un mère...peut-être même un chien.
- Tu dois...
- ...Lutter, ne pas désespérer etc.... Ne me dis pas ce que je dois ou ne dois pas faire, 4 ans d'errance, d'oubli, de peur. As-tu seulement idée de ce que c'est de croiser des gens qui vous reconnaissent mais dont vous ne vous souvenez pas, son regard s'assombri, tu ne peux pas avoir idée. »
Le fantôme pleurait, il s'approcha toujours plus près de ce corps où il ne restait qu'une étincelle de vie, il se pencha et lui chuchota au creux de l'oreille
« Tu dois te battre pour tous ceux qui ont déjà succombé, te battre pour celle qu'il m'a pris et que je n'ai pu garder, pense à un évènement heureux. »
Il se pencha et effleura ses lèvres, la forme lumineuse réintégra son corps et disparu.
Shaolan resta là seul dans cet espace intemporel, immatériel et chimérique. Il l'avait repoussé une fois de plus, pour elle, et pour la première fois sa victime ne l'avait même pas remercié. Cette jeune fille devait traîner un lourd fardeau, pour accepter une telle perspective. La petite fille s'approcha « Elle est plus proche que tu ne l'imagine » elle lui sourie et disparu.
Il sourit, ouvrit les yeux et tomba nez à nez avec une Meilin au regard interrogatif.
« Oh ! Excuse-moi, je ne voulais pas t'inquiéter, dit rapidement la jeune femme
- C'est pas grave, il se leva et arpenta la pièce. Elle m'a dit, qu'elle était tout proche
- Qui ?
- Celle que je cherche !
- Sakura ??
- J'en sais rien, moi »
Un silence s'installa.
« Tu sais qu'il en a après la Jap. ?
- Faye
- Moui, j'aime pas ça
- C'est bizarre, pourquoi ?
- Elle aurait fait un marché, il réfléchit une minute, je préfèrerais que tu ne la fréquente pas trop.
- Mais on pourrait l'aider
- Non elle doit chercher seule la solution, c'est la seule solution. Tous ce que l'on peut faire c'est veillé sur ses nuits.
- Demande à Eriol de nous aider, il peut le faire
- J'en sais rien, il est bizarre depuis leur disparition.
- On peut toujours essayer! Je t'en pris, il lui jeta un regard interrogateur, je me sens bien avec elle
- Ok ! »
La jeune femme se jeta à son cou avant de se diriger vers la porte du salon.
« Je vais aller voir Tomoyo
- C'est de la folie, elle te hait depuis l'accident
- Je sais mais ave elle et Eriol on aura plus de chance de réussir
- Dans ce cas je contacte Tsukishiro et Hitori
- Pourquoi ?
- Parce que je pense que c'est mieux
- Dit surtout que tu veux retrouver ton fiancé, dit-il en souriant malignement. »
Elle lui jeta un regard furieux et sorti de la pièce.
« Hum elle est si prévisible, s'en devient presque comique. »
Il allait sortir pour se diriger vers son bureau, lorsque sa mère apparue sur le seuil de la porte. C'était une grande dame aux longs cheveux noirs, au teint pâle toujours vêtue d'un ensemble traditionnel rose pâle et bleu claire.
« Grand pouvoir est à l'œuvre, elle seul pourrait l'arrêter.
- Je sais mais à nous tous on devrait s'en sortir
- Je t'aiderais comme je peux, disant cela elle tendit ses mains vers les siennes, fait comme d'habitude, mon fils, je suis sur qu'elle sera fière de toi. »
Il lui sourit tristement et sorti du salon pour son bureau.
« Hiiragizawa
- Is it possible to talk to Eriol?
- I'm afraid you cannot Sir, Mister Hiiragizawa is in Japan since a few months
- Oh, Thanks"
Shaolan raccrocha le combiner perplexe, qu'est-ce qu'Eriol pouvait bien faire au japon puisque plus rien ne l'y attachait.
