Réponses aux reviews : Merci à tous :D
Robinet : Mici mon chou, mais t'aurais pu laisser tomber le ... aquatique :P pis en plus je pensais pas sérieusement que tu allait me lire, toi qui trippe pas Harry Potter... remarque qu'il y a du slash à venir... j'espère tu vas continuer à me lire, je suis heureuse que tu l'ais au moins lu jusque là...et que tu sois pas trop choqué par certains bouts ... t'aime, gros bisoux
Ivrian : Wow, la grande boubou des fanfictions qui m'écrit une revieuw! Je suis super contente que tu aimes ce que je fais. Je suis une de tes grandes fans et c'est vraiment valorisant de se faire revieuwer par une écrivaine telle que toi :D Bonne chance avec ton ordi et gros bisoux à toi !
Dragounette : Loll, ça n'est pas Sévérus qui est dans un coin sombre avec Maïwen, c'est Meredith qui s'est cachée dans un coin sombre pour les espionner ! bisoux
Flammifer : Mici beaucoup, désolé pour le retard... quelques problèmes personnels (comme j'explique ci-dessous :D) mais c'est réglé... bisoux
Cheyna : Kikou à toi aussi ma belle, merci de pas m'abandonner, mais jveux quand même que tu me donnes un défi ;) et dla romance, ben y va en avoir :D inquiètes toi pas. Gros bisoux
N/A : Sorry sorry sorry sorry ' fait des puppy eyes tout chou pour pas que vous commencez à me blackmailer ;) loll... je sais que encore maintenant ça fait un long bout j'ai pas écrit de nouveau chapitre, et je m'en excuse. En plus, je risque d'avoir de moins en moins de temps pour écrire. Ce qui m'a prit tant de temps, c'est le fait que je suis retournée à un endroit où je n'ai pas accès à un ordinateur (maintenant oui..) et encore moins à Internet, alors c'est compliqué pour écrire... en plus, il y a le cégep qui est recommencé et j'aimerais garder des bonnes notes et si possible les améliorer!
Et en plus, j'ai eu quelques problèmes techniques avec ma fic :S. Ya que mon frère qui est nouvellement arrivé sur FFiction ... a montré ma fic à un de ses amis, et celui-ci l'a copié au complet (mes 6 chapitres) et les a mis a la suite de la sienne (non mais, y manque pas de culot !!!) Peu importe, c'est réglé, voici mon 7ème chapitre... avec certains bout... chaud ;)
Disclaimer : Jk Rowling possède tout les droits d'Harry Potter car elle en est l'auteure incontestée :D Ce qui résume le fait que comme je ne suis pas elle, je ne retire rien de faire ces textes et je n'ai rien créé de son univers merveilleux!
Résumé : Hum, fin des histoires d'amour de Sevi et (espérons-le, le début de ses années mangemort ;)... )
J'utilise Snape, le nom original anglais, ainsi que DADA, pour le cours de défense contre les forces du mal... ah oui, ' ' les pensées des personnages.
Chapitre 7 Sentiments et Souffrance
-TOI!
-TOI!
-Severus, je te signale que tu es avec MOI, ce soir, pas avec cette chienne de Gryffondor
- Meredith, Maïwen, je ne comprend pas pourquoi vous vous connaissez et vous vous détestez autant, mais je sais que je veux des explications!
'Wow Severus, tu t'en viens bien comme ça...'
-Et toi Meredith, j'ai cessé d'être ton cavalier au moment où, après t'avoir attendu pendant presque 2 heure, je suis descendu pour te chercher et t'ai trouvée dans les bras d'un autre. Je me suis alors cherché une autre compagne, plus gentille et digne de confiance que toi. Il fallait s'y attendre, tu es quand même une Serpentard... tout pour toi, sans penser su conséquences!
- Severus, je te signale que tu es toi aussi un Serpentard et tu fais honte à notre maison en t'affichant ainsi avec cette moins que rien de Gryffondor!
- Je te ferai remarquer que les autres élèves, quelle que soit leur maison, méritent le respect qui leur est dû, et cela compte aussi pour les Gryffondors. Maintenant j'aimerais savoir pourquoi vous vous connaissez ?
Maïwen, qui regardait silencieusement leur discussion, prit la parole :
- Severus, je suis la demi-sœur de Meredith!
- Tu es quoi ??? Mais comment peux-tu être sa demi-sœur...vous avez presque le même âge?
- Euh, c'est là que tu te trompe, en fait je suis en cinquième comme vous seulement grâce à une entorse au règlement... Je suis un an plus jeune que vous, et le fruit de l'amour de mon père et de la mère de Meredith.
- Tait-toi, c'est à moi que revient le droit de raconter l'Histoire de MA famille.
Ce qui s'est vraiment passé, c'est que ma mère trompait mon père avec le sien depuis un bout, alors que je n'avait que deux ans, mais elle ne dit rien lorsqu'elle tomba enceinte.
Cela passa pour l'enfant de mon père facilement car ils voulaient un autre enfant. Mais quatre ans plus tard, mon père découvrit les amants dans son lit alors qu'il revint plus tôt du travail.
Dans une colère immense, il chassa l'amant de ma mère à « coup de feu », mais malheureusement il ne mourut pas. Car on ne meurt pas si on a pas reçu l'Avada kedavra et mon père ne savait pas encore bien l'exécuter.
Lorsque mon père se rendit compte que sa petite préférée n'était en fait que le fruit de l'adultère de sa femme, il la chassa ainsi que ma mère.
- Et son père fut jugé pour avoir blessé gravement Logan, c'est comme cela que s'appelait mon papa, et fut enfermé en prison, à Askaban.
- Je t'ai dit de te taire, on se fiche du nom de ton père.
Mon père s'échappa de la prison grâce à Voldemort et ses partisans il y a de ça deux ans, mais il fut tué l'an dernier par un auror.
Moi qui croyait que je ne serais plus obligée de vivre avec elles, je dois maintenant vivre en permanence à ses côtés, et évidemment, je suis la mauvaise fille pour ma mère, car je suis d'accord avec les principes de mon père et donc avec Voldemort.
Mais elles sont pour la cessation du mal et la rédemption du bien. Je prends donc toutes les fautes pendant qu'elle est traitée en princesse.
- Ça n'est pas...
- OUI C'EST VRAI!
Elle partit en courant et en pleurant, se dirigeant vers la salle commune des Serpentards
- Euh, excuse-la Severus, elle est un peu jalouse, et c'est vrai que ça n'est pas toujours facile pour elle à la maison. Elle critique tout, ne fait rien de ses journées et nous fait sentir coupable de la mort de son père.
- Je...
- Ne dit rien, je comprend que tu ne veuilles plus me parler, nous sommes de vrai pestes dans la famille.
Je suis désolée... au revoir... elle s'enfui en pleurant
- Attend... Maïwen ...
Severus s'élança à sa poursuite et fonça dans James et Lily, ce qui retarda le processus et il la perdit de vue. Entre les insultes de James et les regards inquiets de Lily, Severus n'écoutait que son cœur, et, pour une fois, il faisait ressortir son côté Gryffondor.
Le lendemain, les chuchotements des autres élèves allaient bon train, spécialement chez les Serpentards :
- Qu'elle honte, c'est un Serpentard pourtant...
- Eh oui, qui l'aurait cru de ce pauvre rat dégoûtant...
...Et chez les Gryffondor tous avaient les mêmes mots à la bouche :
-Mais pourquoi nous a-t-il aidé...
Toujours est-il qu'il cherchait Maïwen partout dans l'école et qu'avec ses yeux hagards, il avait l'air plus sombre encore que d'habitude.
Alors qu'il s'en allait dams la mauvaise direction pour le cours de DADA avec les Gryffondors, Lily le prit gentiment par la manche de sa robe de sorcier et le ramena sur la bonne route.
- Tu... tu es inquiet à propos de Maïwen non? Si tu veux la voir, elle ne se sens pas bien et ne sera pas au cours aujourd'hui. Elle est à l'infirmerie pour la journée, mais je crois qu'elle s'échappera vers notre salle commune avant ça! Lança-t-elle avec un clin d'œil taquin.
Un rapide merci fusa de sa bouche et il s'en fut de peu pour qu'elle ne l'entende pas, trop pressé d'arranger les choses avec Maïwen.
Comme elle s'éclipsait de l'infirmerie, il l'attrapa par derrière et elle sursauta, prise en faute.
- Oh, ça n'est que toi, j'ai eu peur que madame Pomfresh ne m'ait vue sortir en douce.
- Non, pas encore, mais si on ne se dépêche pas, c'est certain qu'elle va nous trouver. De plus, comme j'ai séché le cours de DADA, Nadia Croutch sera furibonde.
- Pourquoi fais-tu tout ça pour moi? Je n'en vaut...hum
Sa bouche fermée hermétiquement par les lèvres de Severus s'ouvrit lentement sous les assauts répétés de la langue de son partenaire.
C'était son premier baisé, et de ce qu'elle pouvait en penser, ça allait rester son plus doux et son plus beau souvenir.
Ils se séparèrent, légèrement essoufflés.
Severus lui souris et dit : ça fait longtemps que j'en avais envie !
- Wow, tu embrasse très bien... pour quelqu'un qui m'a dit ne jamais avoir eu de blonde!
Elle dû paraître un peu sarcastique ou soupçonneuse car Severus cru bon de se justifier :
- Effectivement, je n'en ai jamais eu, tu as l'air d'en douter?
- Euh, je pensais sincèrement... mais bon, si tu le dit, allons ailleurs pour placoter, j'ai beaucoup de choses à te dire.
- Mais je croyais que tu ne voulais plus me parler, je te cherche depuis le bal, où tu m'a quitté si rapidement...
Après une bonne discussion et plusieurs baisés, les deux amoureux se quittèrent sur la promesse de se revoir dans la salle sur demande ou à Pré-au-lard.
Vers la fin de l'année, tous les élèves trouvaient normal que Severus et Maïwen sortent ensemble.
Sauf les Serpentards. Ils prenaient d'une façon personnelle le fait que Severus, même s'il n'était pas trop aimé, s'acoquine avec une Gryffondor.
Ils lui en voulaient plus que jamais, pour ce qu'ils prenaient comme une trahison à leur maison et leur sang.
Dans le train qui allait partir pour ramener les élèves chez leur parents, Severus disait au revoir à sa dulcinée.
-Je regrette, je ne peux pas décemment venir habiter avec toi, ils ne voudraient pas d'un Serpentard dans ta maison, je suis quand même ton ennemi par rapport à
Non, pas du tout, tu peux venir au lieu de rester au château en compagnie de Dumbledore encore une semaine.
Ça n'est pas ta faute si tu es orphelin et si tu as vécu de si terribles choses.
Mes parents sont moldus, et c'est la grand-mère de ma mère qui m'a transmis ses pouvoir magique, ma mère et grand-mère étant cracmol.
Mon père est un moldu, mais le père de Meredith était un sorcier... je dirais plus axé sur le côté sombre de la magie.
C'est pour ça que je suis à Gryffondor et elle à Serpentard.
Et n'ait pas peur de la voir, généralement elle s'arrange pour passer la quasi-totalité de l'été chez des amies de son « rang » comme elle dit, et ne revient à la maison que durant les trois dernières semaines.
Si tu reste jusqu'à ce moment, nous aurons passé presque tout l'été ensemble et tu retourneras à Poudlard en attendant la rentrée.
- Je ... je crois que ça pourrait se faire, mais il faudrait que je demande à Dumbledore et le train part dans moins de cinq minutes... pourquoi ces choses là m'arrivent tout le temps...
Un visage déconfit, un sourire triste et des yeux larmoyants firent place à de la joie pure lorsqu'il entendit Dumbledore derrière lui dire :
« Non, petit, tu n'as rien à dire, Maïwen, que voici, m'a déjà tout expliqué et je serais heureux que tu passes l'été en compagnie de vrai personnes plutôt que d'un vieux fou et de son oiseau comme moi et Fumsec. »
- Mais, et vous professeur? Ne vous sentirez-vous pas un peu seul durant ces deux mois ?
- Ne vous inquiétez pas et amusez vous pour une fois, soyez l'enfant que vous n'avez jamais eu la chance d'être.
fin du flash back
- Dumbledore à toujours été comme un père pour moi...
- Oui, c'est vrai, il en est de même pour Harry. Mais au risque de paraître trop curieuse, je voudrais savoir ce qui s'est passé cet été là.
Et aussi ce que vous avez eu à faire comme épreuve pour entrer au sein des mangemorts. Cela fait des semaines que vous m'en parler sans jamais me donner d'indices.
- Patience petite, j'y arrive. Tiens, prend un biscuit et une bièraubeurre, nous y reviendrons dans trois minutes après une pose bien méritée, pose à l'image de cet été que j'ai passé avec Maïwen. Une vrai délivrance, un repos bien mérité.
Cet été là fut mon le plus bel été de ma vie. Je rencontrai les parents de ma petite amie et ils furent très accueillant envers moi, très ouverts d'esprit, malgré le fait que j'étais un Serpentard. Des gens sans préjugés que j'aurais aimé revoir, mais ils ne m'aurait pas parlé... Car par ma faute ils ont changé du tout au tout. Ces gens biens je les ais réduits en poussière, en éclat de verre, par un geste que je ne voulais pas poser, mais qui ne fut pas de mon ressort.
Flash Back
L'automne approchait à grand pas et la nature avait mis son grand manteau d'or et de rouille. Le vent se levait pour accueillir la pluie qui rendait justice au climat de l'Angleterre, toujours humide. Puis, la neige blanche recouvrirait la nature encore pleine de l'été qui venait de s'achever. Et les études tisserait déjà leur trame de connaissance à travers les méandres des petits esprits auquel ils enseignaient.
Avec cet obstacle aux vacances, le temps des adieux pour mieux se retrouver à Poudlard approchait.
- J'ai passé un très beau séjour chez toi, mais comme ta demi-sœur arrive après demain, je vais prendre le premier train demain pour habiter au chaudron baveur en attendant de me rendre à Pré-au-lard, puis ensuite à Poudlard.
- Je pourrais venir avec toi? me demanda-t-elle avec une petite voix.
- Euh, tes parents sont-ils d'accord ? Je sais que tu viens d'avoir 16 ans, mais tu es peut-être encore trop jeune à leurs yeux.
- Non, ils m'ont dit que je devais faire mes propres expériences quand viendrait le temps et ils sont disposés à me laisser faire ce qu'il me plaît à condition de toujours savoir où je me trouve et avec qui. Toujours est-il que tu leur a fait très bonne impression cet été.
Elle s'approcha doucement et posa ses lèvres sur les miennes pour un ballet tout en douceur de nos langues entremêlées.
Le souffle court, nous nous séparâmes à contre cœur, pour aller nous coucher dans nos chambre respectives.
Je montai au grenier, empli des sentiments nouveaux que je ressentais et de la joie qui habitait mon cœur à l'idée de passer la dernière semaine de vacances avec Maïwen en tête à tête.
J'étais sur le point de sombrer dans le sommeil quand je sentis une main se promener dans mer cheveux, puis sur mon torse et mon ventre, pour toujours descendre plus bas...
Je pensais rêver, mais j'attrapai quand même ma baguette et lançai un « Lumos » juste avant que la main n'atteigne mon boxer.
Le regard fautif de Maïwen rencontra le mien, avec un soupçon d'incertitude quand à l'attitude à adopter dans cette situation.
- Mais qu'est-ce que tu fais, et tes parents qui dorment juste en dessous ?
- T'inquiète donc pas, ils sont partis chercher ma sœur et dorment chez une tante ce soir pour nous laisser le temps de se préparer et de partir avant leur retour.
- Euh, et tu veux vraiment... ?
- Appelle donc les choses par leur nom, oui je veux faire l'amour avec toi, car je t'aime et que je me sens prête. À moins que toi ???
- Oui, euh non, euh, je ne sais plus... Je n'ai jamais songé à ça, je ne pensais jamais tomber en amour avec quelqu'un qui me rendrait mes sentiments. Mais je crois que moi aussi je suis prêt.
- On pourrait commencer par s'embrasser, puis à se déshabiller tranquillement ?
Nos lèvres se rejoignirent et s'explorèrent, pendant que nos mains faisaient la même chose avec le reste de nos corps qui s'enflammaient peu à peu de désir.
Maïwen passa délicatement mon t-shirt par dessus mes épaules alors que j'en faisait de même avec sa chemise de nuit.
Avec le clair de lune qui illuminait doucement la pièce d'un halo d'argent, tout paraissait un peu surnaturel.
La lucarne qui filtrait les rayons lunaires les concentrait sur le galbe de la jolie poitrine de Maïwen et sur son corps parfait. Nous nous regardâmes pendant une dizaine de minutes avec pour seul complice de nos sentiments cet astre lunaire qui épiait nos moindres gestes.
Lentement, elle vint poser sa main sur mon torse et effleura du bout de ses doigt le petit duvet qui le recouvrait et qui commençait à foncir et s'épaissir au fur et à mesure que je vieillissais.
Un grand frisson me parcouru et cela l'enhardi à continuer.
Elle approcha sa bouche et me donna plein de petits baisers doux comme la caresse d'un papillon partout sur mon visage et mon ventre. Puis elle s'arrêta et c'est ce qui me fit prendre conscience que je ne bougeais plus et que j'avais fermé les yeux.
Je m'excusai en rougissant, mais par un heureux hasard ou un clin d'œil complice, un nuage passa ce qui l'empêcha de voir mon embarras.
Je m'approchai doucement, maladroitement d'elle, et je passai ma main sur ses seins, les caressant, les embrassant, prenant confiance en moi de secondes en secondes.
Elle répondait à mes caresses en ondulant doucement sous mes caresses, et en me caressant le dos gentiment de ses mains satinées.
Nous nous levâmes debout pour ôter nos sous-vêtements, nous regardant, nous admirant dans la lueur pâlotte qui venait de dehors.
Elle s'approcha et nos bras et nos lèvres se reconnurent avec passion. Ils se rejoignirent en une douce torture. Nos soupirs et notre respiration se firent plus profonds et plus rapides.
Une fièvre, une soif d'affection et de chaleur nous animait, comme si on avait peur de se perdre à jamais.
Je la couchai lentement sur mon lit, ne sachant pas trop comment m'y prendre.
Une érection douloureuse se faisait sentir dans mon bas-ventre.
Elle la prit gentiment dans ses mains et me guida en soulevant le bassin. À croire qu'elle le savait plus que moi.
Mais soudainement, instinctivement, je me plaçai et lui fit un sourire très doux, car j'avais senti la barrière et je savais que ça allait faire un peu mal.
Elle du voir que je m'étais arrêté, ne sachant pas trop quoi faire, comment la faire moins souffrir possible, et là encore elle savait ce qui l'attendait et voyait que je ne pourrais plus me retenir bien longtemps.
Elle poussa un peu pour briser ce qui nous séparais et un cri s'échappa d'entre ses lèvres.
Je les scellai d'un baisé, ne bougeant plus pour la laisser s'habituer à moi. Je commençai des mouvements très léger de va et vient.
Elle répondit rapidement à mes assauts et entoura mon cou de ses bras, me mordillant une oreille...
Accélérant le tempo, nous atteignîmes bientôt la jouissance de concert.
Une douce chaleur se répandit en elle et une dernière vague de plaisir nous souleva, nous emporta sur le même sommet, au paroxysme du mont plaisir.
Je la tenais serrée contre moi, contre mon cœur qui battait la chamade, quand je sentis une larme couler sur mon torse...
- Qu'est-ce qu'il y a, t'ai-je fait mal ?
- Non, je n'ai presque pas eu mal, ça n'est pas pour ça que je pleurais... C'est parce qu'enfin je suis devenue une femme, et que je trouve que l'acte d'amour est le plus beau qu'on puisse imaginer.
Je voulais dire aussi que je suis heureuse à tes côtés, et que j'espère qu'on ne sera jamais séparés! Oh oui, très heureuse...
Ce fut les derniers mots que j'entendis avant qu'elle ne plonge dans les bras de morphée.
Peu après, j'allai la rejoindre dans ses rêves, collé sur Maïwen, notre intimité encore scellée par notre amour.
Ce fut la plus belle nuit de ma vie, et je crois que ce fut pareil pour elle!
Le lendemain nous trouva vers les midis et il était déjà temps de se préparer à partir. On ne voulait surtout pas rencontrer ses parents et sa sœur, qui revenaient vers cinq heures, car ils verraient sûrement la matérialisation de notre nuit passée dans nos yeux et sur notre visage.
La semaine qui suivit fut remplie de merveilleux moments, de nuits passées à faire l'amour et à nous murmurer des mots doux aux oreilles.
Il fallait prévoir que ça ne pourrait pas durer éternellement, mais aussi naïf que j'étais, je croyais avoir plus de temps devant moi pour vivre notre amour naissant.
Mais c'était sans compter sur la ponctualité de Voldemort qui était en période de recrutement chez les gens de mon âge...
Ce qui m'amène à parler du jour fatidique de mon initiation aux mangemorts... Le jour de mon arrivée en enfer...
À Suivre
N/A : Je suis très contente de ce chapitre et j'espère que vous l'avez aimé, car Severus n'aura plus de répit pour sa 7e année à Poudlard. Je vais essayer de ne pas uploader trop lentement, mais il faut encore que j'écrive le chapitre suivant de Complications Stellaires! Gros bisoux à vous tous !
