salut tout le monde!!
comme toujours, je ne répondrais pas au reviews (je ne m'acapare pas ce qui ne m'apartient pas, lol!!) mais je vous remercie beaucoup pour vos encouragements:
lilith, mymykrakra, Bob Chiri, luffinette, morganna, draco-tu-es-a-moi, ania14, elfica, bee orchid, WendyMalfoy, dragonia
voila la suite.........
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disclamer: rien ne m'appartient
Chapitre 7:
Draco était allongé sur le ventre le long de son lit, son visage était enfoui dans ses bras mais son esprit se trouvait dans la salle de bain au rez-de-chaussée. Pourquoi était-il resté à regarder ce spectacle? Après tout, son père avait peut-être raison, il était certainement faible.
Il avait eu l'intention de l'humilier, de lui faire honte, de la punir pour avoir eu l'audace de le frapper. Au lieu de cela, il s'était lui-même mit dans une fâcheuse situation. La regardée l'avait affectée d'une certaine façon qu'il n'avait pas très bien compris. Quoi qu'il ait pu penser auparavant, il la voyait désormais comme une femme. Son image avait été gravée dans sa mémoire, et il se demanda s'il l'oublierait un jour. Il avait déjà été avec des filles, des sorcières qui appartenaient au même statut social que lui, mais aucune ne ressemblait à Hermione.
Les formes d'Hermione étaient fines, délicates et sa peau blanche était légèrement rosit. Draco n'était même pas conscient qu'une telle créature puisse exister. C'était la plus belle chose qu'il avait jamais vue.
Il se retourna et regarda le plafond. Comment pouvait il pensé à ces choses ? Elle était d'abord une sang de bourbe, ensuite une femme. Ce qu'elle était, il ne devrait pas s'en soucier. Mais ce n'était pas le cas, et à chaque fois qu'il examinait ses traits si fins, son cœur commençait à battre très fort. Son corps réagissait à ses pensées et il ne pouvait pas l'arrêter.
Elle était comme l'ultime fruit défendu, quelque chose qu'il ne pourrait jamais avoir et qu'il ne devrait pas vouloir. La toucher serait le déshonorer, sans parler d'enfreindre la loi. Pour un sorcier, s'unir avec une sang de bourbe serait une offense terrible. Souillé le sang pur était condamnable de la peine de mort.
Malheureusement, la seule chose qu'il voulait s'était elle. Il voulait sentir ses courbes délicates dans ses bras, et ne faire qu'un avec elle. Il voulait la posséder (ce qui était déjà vrai) mais elle était comme la poupée d'un enfant avec laquelle il ne pourrait jamais jouer. C'était une torture.
Une petite voix dans sa tête lui chuchota : et elle ? Que ressent Hermione à ton égard ?
Draco se mit à rire. Pourquoi se soucierait il de ses sentiments ? Elle était son esclave, une sang de bourbe. Elle n'avait jamais le droit d'avoir des sentiments ou d'exprimer ses opinions. Mais, l'image d'elle rouler en boule sur la plate forme de la salle de bain, tremblante de sanglot, apparut dans son esprit. Une vive douleur traversa sa tête, comme si une migraine s'était approchée vite. Il se demanda si son corps le punissait pour sa cruauté depuis que sa conscience l'avait trahi.
Pendant un instant, il mit en question ses idéaux. Pourquoi une telle créature devrait avoir à souffrir à cause de la manière dont elle est née ? Qu'est ce qui lui avait donné le droit d'être si odieux avec elle ? Il secoua la tête. Il ne pouvait pas se laisser distraire par de telles pensées. Si son père savait ce qu'il pensait, il le jetterait certainement dehors, et Hermione serait mise à mort.
Quoi qu'il puisse penser, il ne pouvait toujours pas se concentrer sur autre chose qu'elle. Il avait commençait à éprouver des sentiments à son égard, et il fallait qu'il reprenne le contrôle de ses émotions. Il râla lorsqu'il se leva du lit et fit les cents pas dans sa chambre, essayant de l'effacer de sa mémoire mais cela le frustra encore plus. Il voulait toujours la voir. Il voulait qu'elle soit dans sa chambre. Il voulait que les choses redeviennent comme elles étaient avant, lorsqu'il la considérait encore comme rien de plus qu'une esclave, et qu'elle lui obéissait.
Après réflexion, il appela finalement les domestiques pour l'amener dans sa chambre. Il décida qu'il réagirait comme si rien ne s'était passé et il changerait ses intentions au sujet du châtiment. Il lui donnerait juste un sort douloureux qui aurait des effets temporaires. De cette manière, les choses pourront redevenir normales.
Lorsque les domestiques l'amenèrent, elle marchait lentement, comme un zombi. Elle regardait le plancher et ne leva jamais les yeux vers lui. Ses joues étaient rouges, il fut surpris qu'elle soit toujours embarrassée, bien qu'elle ait remise sa robe. Ce qui le surprit également, était le fait qu'il continuait à l'imaginer sans sa robe.
- Hé bien, j'espère que tu as appris la leçon. Peut-être que maintenant tu seras plus sage. Dit-il
Elle inclina la tête sans le lever les yeux vers lui.
Sa réaction était décevante. Faisait elle la moue ?
- C'est impoli de ne pas regarder son maître lorsqu'il te parle. Lui dit-il en grommelant.
Elle leva son visage et le regarda droit dans les yeux. S'il avait perdu la maîtrise de soi, il aurait eu le souffle coupé. Son regard trahissait sa tristesse, sa honte et son désespoir. Ses yeux étaient toujours aussi brillants comme s'ils étaient sur le point de pleurer, et ses lèvres tremblaient légèrement. Il ne lui était pas venu à l'esprit qu'elle avait passé une journée difficile.
Il se rappela ses premières pensées lorsqu'il l'avait acheté, qu'il serait agréable d'apprivoiser une sang de bourbe rebelle.
Hermione ne pu supporter plus longtemps son regard et baissa les yeux. La conscience de Draco lui disait de s'excuser, mais il ne pouvait pas faire cela. Il ne pouvait pas prouvait à son père qu'il avait raison. Elle était juste une sang de bourbe. Il ne s'en soucierait plus.
- Nous allons poursuivre les sorts expérimentaux, cela inclura ta punition. J'ai décidé de ne pas t'envoyer chez les domestiques. Dans ton état, tu les aurais probablement ennuyés à mourir.
Hermione inclina la tête. Cette bonne nouvelle ne l'aida pas beaucoup à se sentir plus sereine. Un sentiment d'excuse envahit Draco. Il posa une main sur ses épaules et la secoua légèrement.
- Hé, tu vas bien ?
Elle releva la tête et le regarda pendant un moment.
- Je vais bien. Dit-elle, sa voix reflétait insupportablement son inquiétude et son désarroi. Elle semblait si fragile.
Draco se rendit compte qu'il n'avait pas enlevé sa main, et impulsivement il mit son autre main sur l'épaule d'hermione. Une main caressa sa nuque et s'arrêta à son menton. Il releva son visage délicatement. Il était si magnifique, et sa peau semblait si chaude contre lui. Il se pencha, désirant sentir son souffle contre son visage. Ses lèvres frémissaient, et il ne voulait rien de plus que les couvrir avec les siennes.
Pendant une seconde de faiblesse, il déposa ses lèvres férocement sur les siennes. Sa bouche était si chaude, si délicieuse. Les lèvres d'Hermione se convulsaient au contact de sa bouche, et ses yeux se fermèrent lentement. Draco n'avait jamais embrassé quelqu'un de cette manière et il était sûr qu'Hermione non plus car elle tremblait.
Soudainement il réalisa ce qu'il venait de faire et s'arrêta, puis il la poussa en arrière de quelques pas en même temps. Sa main monta jusque sa bouche et il s'essuya vigoureusement. Il sentait toujours la chaleur de ses lèvres. Pour la première fois, il se rendit compte de l'étonnante différence de température que dégagée leur deux corps. Il a toujours été d'un tempérament et de nature froide, et d'ailleurs toute sa famille l'était également. Hermione était la personne la plus chaleureuse qu'il n'avait jamais rencontré et touché.
Elle semblait complètement choqué, le regardant bouche bée avec les yeux grands ouverts. Il ne pu déterminer si elle était effrayée ou offensée, et il se dit à lui même que cela n'avait aucune importance. Il aurait voulu la goûter et bien plus. Elle était à lui, après tout !! Pourquoi n'en profiterait il pas tant qu'elle avait encore de la valeur ? Elle n'était plus une enfant, et elle n'était pas infirme. Elle était une sang de bourbe adulte et en bonne santé. Qu'est ce qu'il y aurait de mal à ça ?
Il s'approcha d'elle et saisit ses épaules de nouveau. Il jeta un coup d'œil vers la porte pour être certain qu'elle était bien fermée, puis il regarda le visage d'Hermione. Elle semblait avoir retrouver ses esprit.
- Qu'est ce que vous faites ? demanda-t-elle timidement.
Il n'avait aucune réponse à lui donner, ni à lui même. Tout ce qu'il savait c'est qu'il la voulait à n'importe quel prix. Il la regarda droit dans les yeux, une mèche argentée lui tomba devant les yeux.
- Enlèves ta robe. Murmura t il.
Hermione commença à s'affoler, sachant ensuite ce qui allait ce passer. Elle repoussa ses mains de ses épaules.
- Non ! Vous m'avez déjà humilié une fois aujourd'hui ! s'écria t elle, se reculant de lui.
Il fit quelques pas vers elle.
- Tu ne peux pas me refuser. Je suis ton maître, dit il, et de plus, je sais que tu es attiré par moi.
Malgré les meilleures intentions, ses joues devinrent rouges.
- Qu'est ce que vous voulez dire?!
- Dans la salle de bain, j'ai vu tes yeux lorsque l'eau t'a renversée. J'ai vu pourquoi tu étais si gênée, je t'ai vu rougir. Je ne suis pas stupide.
Hermione secoua la tête.
- N'importe qui aurait été embarrassé par une telle situation ! néanmoins elle rougit encore plus furieusement.
Draco souriait. Il avait eu raison. En vérité, il avait seulement eu un petit doute sur ses sentiments, mais son comportement l'avait confirmé. Il serra ses bras autour d'elle fermement, ses mains commencèrent à déboutonner sa robe. Hermione voulu hurler ou se battre, mais quoi qu'elle se disait, Draco avait raison: elle était attirée par lui. Malgré ses sentiments à son égard, elle ne voulait pas ça. Elle ne voulait pas que cela se passe de cette manière. Elle n'était pas d'accord, mais comment pouvait elle résister ? Il était son maître, et il était plus puissant qu'elle. Tout ce qu'elle pouvait faire c'était de pleurer en silence, et regardait la porte qui semblait si loin d'elle.
Draco défit le dernier bouton de la robe et la retira. Elle frissonna, la chambre était toujours très froide. En moins de temps qu'il n'en fallu, il avait enlevé le reste de ses vêtements, excepté ses chaussettes en coton blanches. Il la regarda de haut en bas, et honteuse, Hermione cacha son visage dans ses mains.
Il lui prit sa main et la regarda dans les yeux. Elle était plus belle que jamais. Avec quelques caresses et quelques baisers, il avait l'impression qu'il scellait son destin, mais il ne s'en soucia pas. Il aurait préféré mourir plutôt que de se mentir à lui-même. Il ignora ses larmes, se disant que cela lui étaient égal.
Il l'emmena vers le lit et la déposa dessus. Il déchira sa robe, impatient de s'être enfin libéré d'elle, et regarda les yeux d'Hermione parcourir son corps, son visage commença à rougir dés la première seconde où ses yeux se posèrent sur lui. Ses larmes s'arrêtèrent pendant un moment, lorsqu'il s'avança vers elle et qu'il l'embrassa passionnément. Mais elles réapparurent dés que ses mains recommencèrent à la caresser doucement.
Il se servit de son corps en entier, l'explorant et le caressant de toutes les façons dont il pouvait imaginer. A certain moment, elle résistait. Quelque fois, elle pleurait bruyamment, mais elle redevenait plus calme lorsqu'elle lui permettait de faire ces choses avec elle. De toute façon, sa situation était désespérée.
Lorsque enfin il entra dans son intimité, il la senti se crisper et de nouvelles larmes s'échappèrent de ses yeux. Elle détourna son regard de lui, fermant ses yeux fortement et essayant d'imaginer que cela n'était pas entrain de se passer. Il saisi son visage par ses mains et le tourna vers lui.
- ouvres les yeux. Dit-il d'une voix enrouée.
Elle refusa, plissant ses yeux encore plus fort. Il lui donna volontairement une gifle douloureuse.
- j'ai dit, ouvres les yeux !
Ainsi, elle le fit, et de nouveau, il découvrit des yeux au bord du désespoir. Ils étaient si beaux, particulièrement lorsqu'ils étaient si douloureusement tristes. Une part de lui voulait la réconforter et lui dire quelque chose de gentille, mais il détruisit mentalement cette part de lui même aussitôt qu'elle réapparue. Il continua simplement à se rappeler qu'elle était son esclave, et qu'il était son maître. Il la regarda dans les yeux jusqu'à ce qu'il ait fini.
Il se leva du lit et reprit son calme. Il prit et étendit un drap sur son corps. Elle tremblait, et elle se recroquevilla comme lorsqu'elle était dans la salle de bain. Il ressenti de nouveau un petit remord. Il se pencha vers elle.
- si cela peut te consoler, ça n'arrivera plus jamais.
Elle ne pu réussir à le regarder en face, elle inclina donc la tête.
- lorsque tu en auras envie, appelles les domestiques et elles te nettoieront et te donneront de nouveaux vêtements. Ton dîner devrait être entrain de t'attendre dans ta cellule. Je vais me laver jusqu'à ce que je me sois débarrassé de tes microbes sang de bourbe. Je te vois demain.
Il commença à se diriger vers la porte, mais il s'arrêta au son de sa petite voix.
- non, si je ne suis plus là!
Il se retourna.
- qu'est ce que tu dis ?
- j'ai dit, pas si je ne suis plus là. Répéta-t-elle sans lever les yeux de l'oreiller.
- Ne me dit pas que tu as projeté de t'échapper.
- M'échapper de votre manoir ? de l'esclavage ? pas exactement, elle haussa le ton et en étreignant le drap par ses mains tremblantes dit: j'ai envisagé de m'échapper de la vie.
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alors vous avez aimé?
programme du prochain chapitre: notre Hermione commence à se rebeller mais Draco est toujours là pour la remettre à sa place.
à mercredi
kiss
