salut

tout d'abord, merci pour vos encouragements:

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voici la suite......

disclamer: rien ne m'appartient.

Chapitre 9 :

Hermione attendait nerveusement dans une cellule froide. Ce n'était pas la sienne, l'une des domestiques l'y avait menait afin de la préparer lorsque le moment serait venu pour son lynchage. Elle perdit son temps à penser que Draco s'était moqué d'elle. Maintenant, elle en payer le prix car elle ne s'était pas préparer mentalement.

Son esprit s'aventura à s'imaginer qu'un énorme et imposant homme revêtu d'un masque noir venait la fouetter. Comme cela était écoeurant. Un frisson parcoura sa nuque lorsqu'elle regarda avec dégoût, les chaînes accrochées au plafond et qu'elle s'imagina les porter.

Hermione fut étonnée lorsque la porte de la cellule s'ouvrit et fit apparaître deux femmes. Elles se dirigèrent vers elle.

-Nous venons pour vous préparer. Dit l'une d'elle rapidement en lisant de la stupéfaction sur son visage.

Hermione se demanda si elle devait être ou non reconnaissante envers ses femmes car elles n'étaient sûrement pas ses bourreaux. Les deux domestiques commencèrent par mesurer les poignets d'Hermione puis par ajuster les chaînes. L'une d'elle se tourna vers elle.

-Vous devez enlever votre robe.

Hermione s'accrocha au mince tissu de coton.

-Pourquoi ?!

-Vous pouvez garder tout le reste.

-Oh ! Tout le reste ? Mes deux sous-vêtements ?! demanda Hermione, mais regretta immédiatement sa réplique sarcastique. Ces deux femmes n'étaient pas responsables. Elles accomplissaient juste leur travail. Il ne faisait aucun doute qu'elles seraient également battues si quelque chose tourner mal.

-En réalité, quatre, si vous comptez vos chaussettes. Dit une femme avec un faible sourire lorsque Hermione enleva sa robe. J'attendrais dehors avec elle et je vous la rapporterais lorsque le châtiment aura cessé.

Hermione se demanda si la femme avait entendu ce que Draco lui avait fait la nuit précédente.

-Combien de temps cela dure d'habitude ? Lui demanda-t-elle, lorsqu'elles levèrent ses bras et fixèrent ses poignets par les chaînes. Les orteils d'Hermione frôlèrent à peine le sol lorsque les domestiques tirèrent sur le levier qui souleva les chaînes.

-Cela dépend de beaucoup de choses. Répliqua-t-elle difficilement, puis elle suivit l'autre femme hors de la cellule et ferma la porte derrière elle.

Hermione était debout depuis moins de dix minutes lorsqu'elle sentit l'air glacial du donjon parcourir son corps nu, elle ne pu s'empêcher de frissonner. Elle était très vulnérable ainsi, et l'idée qu'un étranger puisse la voir à n'importe quel moment dans une telle position était insupportable.

Non, se dit-elle à elle-même, qui que se soit, le bourreau répètera à Draco tout ce qui se passera ! Je ne peux pas le laisser avoir la satisfaction d'entendre que j'ai crié comme une enfant !

Un moment plus tard, elle entendu la porte s'ouvrir en grinçant. Elle tournait le dos à la porte, mais elle pu entendre la porte se refermait ainsi que des pas lents s'approchaient d'elle. La seule source de lumière émanait des trois chandeliers disposés au quatre coins de la pièce, et l'atmosphère était terrifiante, du moins, à ce qu'on pouvait en déduire. Elle frissonna de nouveau au point de claquer des dents. Elle ferma ses yeux fortement lorsqu'elle entendit des pas se rapprochaient. Son bourreau lui faisait désormais face.

-Tu as peur d'un petit lynchage, sang de bourbe ? Entendit-elle avec horreur la voix de Draco demandait. Tu seras fouetter jusqu'à ce que ton sang se répande sur le sol !

Elle ouvrit les yeux et le regarda choquée

-Vous allez faire la sentence ?!

-Bien sûr ! Pensais-tu que je laisserais quelqu'un d'autre que moi toucher à mon esclave personnel ? Il prononça les deux derniers mots d'une manière séductrice puis ria lorsqu'elle rougit. Cela l'amusait énormément de la faire rougir si facilement et il semblait encore plus enchanté lorsqu'il jouait avec ses sentiments sans pour autant révéler les siens.

-Je suppose que tu as du bien cojit sur mon "supposer plan".

-Que voulez vous dire ? demanda-t-elle en plissant les yeux.

-Je te ferais tomber amoureuse de moi ! Pauvre pathétique sang de bourbe ! Comment pouvais-tu envisager une seule seconde que le plus puissant et le plus séduisant des riches sorciers de cette contrée se soucierait de ta petite personne et te ferait tomber amoureuse de lui ?

Hermione se força à rire.

-Maintenant, que cela est amusant. Je ne pourrais même pas imaginer qu'une sorcière au sang pure puisse tomber amoureuse de vous, encore moins une sang de bourbe que vous avez maltraitée et ridiculisée avec tant d'enthousiasme.

-Dis ce que tu veux, mais je connais la vérité. Je peux lire dans tes yeux comme dans un livre ouvert.

-Amusant, j'ai toujours pensé qu'ils étaient fermés lorsque vous marchiez dans la pièce, pour éviter de regarder votre visage perfide. S'écria Hermione. Elle était devenue folle pendant une seconde. En son fort intérieur, elle se demanda si elle ne l'était pas effectivement devenue car il avait certainement raison.

-Bien, mettons de coté ta désillusion romantique pour moi, je pense que nous devrions nous mettre au travail.

Il disparut dans l'obscurité puis se rapprocha d'Hermione avec un énorme bâton recouvert d'épines.

-C'est le bâton que nous utilisons d'habitude sur les très mauvaises domestiques. Malheureusement, je ne peux pas l'utiliser sur toi.

-Parce que je ne suis pas assez mauvaise ?

Il la toisa du regard.

-Non, parce qu'une centaine de coups avec celui-ci te tuerait. Tu perdrais tout ton sang avant que je puisse atteindre la cinquantaine, en particulier puisque tu es une si petite chose si fragile. Il étendit son bras vers elle et d'une main effleura avec douceur ses cheveux, sa main froide contre sa nuque et ses épaules la firent tressaillir.

Il la regarda droit dans les yeux pendant un moment, puis avec une expression illisible, il partit brusquement. Il revint avec un petit bâton qui n'avait aucunes épines.

-C'est celui-ci que je vais utiliser sur toi.

Hermione soupira. Elle pouvait endurer ça. Elle avait l'habitude de recevoir des coups dans la rue de la part du commerçant furieux ou des sorciers et sorcières qui s'amusaient à la traîner hors de la cellule pour la malmener ou lui cracher dessus. La seule chose qui l'inquiétait était les émotions de la raclée qu'elle endurerait cette nuit. Draco était avantagé sur le fait qu'elle était attirée par lui

Il lui donna le plus exquis des sourires et marcha autour d'elle.

-Nous allons commencer.

Ce fut la dernière chose qu'elle entendit avant que le son du bâton ne la frappe fortement sur le dos. Elle poussa un gémissement, mais refusa de crier. Elle ne se le permettrait jamais. Il la frappa encore, et encore. Au bout d'une vingtaine de coups tout au plus, elle finit par hurler.

A la fin, elle se mit à crier après chaque coup, puis après une quarantaine, ses jambes se fléchirent et elle s'effondra sur le sol. Elle avait pensé que les chaînes la soutiendraient, mais elles s'affaissèrent suffisamment pour que ses genoux et ses pieds frôlent légèrement le sol.

Draco s'avança vers et s'accroupit en face d'elle.

-Tu les as déjà cassées ? Seulement après quarante coups ?

-Que ... voulez-vous dire ? Murmura-t-elle en haletant.

-Ces chaînes sont cassées. Elles te maintenaient en place jusqu'à ce que tu cèdes physiquement et que tout ton poids les rompe. C'est de cette manière que nous déterminons si une domestique est sur le point de craquer ou non. Dit Draco en arborant un sourire suffisant et écoeurant.

-Donc... c'est fini ? demanda-t-elle en relevant péniblement la tête vers sa direction.

Draco ria froidement.

-Non, tu étais condamnée à une centaine de coups pas à quarante.

Le visage d'Hermione se renfrogna, et la douleur ainsi que la frustration de la situation touchèrent à leur fin lorsqu'elle gémit bruyamment.

Draco se rapprocha d'elle et lui murmura :

-Si tu veux, je pourrais t'infliger la sentence sur ta poitrine. Peut-être que nous pourrions éviter ainsi d'arracher la peau de ton dos.

Hermione le toisa du regard furieusement, lui faisant ainsi comprendre son désaccord.

Draco lui lança un large sourire en guise de réponse.

-Très bien.

Et il reprit à battre son dos. Après une bonne heure, le centième coup fit cesser la torture d'Hermione mais elle avait déjà arrêté de crier et elle était presque inconsciente. Draco semblait furieux lorsqu'il s'approcha d'elle et lui leva son visage.

-C'est fait ! dit-il d'un ton étrangement ravi.

Hermione parla sèchement.

-Vous voulez dire que c'est fini ?

Il acquiesça. Il baissa le levier sur le mur afin que les chaînes qui soutenaient Hermione, la relèvent. Il s'approcha d'elle de nouveau et examina son dos. Il était mutilé et recouvert de sang. Il traça les blessures avec ses yeux. Prudemment, il appuya avec ses doigts glacés contre l'une des importantes cicatrices, et la parcourue doucement de toute sa longueur.

Hermione haleta à cette brusque sensation, et se crispa sur les chaînes à chacune de ses touches.

-Ça fait mal ? demanda-t-il, et elle pu remarquer qu'il semblait sincèrement curieux.

-Oui ! Beaucoup ! Recevrai-je au moins des bandages ?

Il ignora sa question et toucha une autre lacération, en répétant le même geste. Elle laissa échapper un petit cri de douleur et s'agrippa de nouveau aux chaînes.

-Arrêtez ça ! Hurla-t-elle.

Il regarda son dos pendant de longues minutes, comme s'il n'avait jamais vu de véritables blessures. Puis, soudainement, il se précipita sur elle et l'étreignit en appuyant sa poitrine contre son dos et en entourant ses bras autour du ventre d'Hermione. Hermione poussa un cri, la sensation de sa peau si froide contre ses blessures à vif lui fit énormément mal.

-Que faites-vous ?! Laissez moi ! Vous... aggravez les blessures !

Il pencha sa tête vers elle afin qu'il puisse la regarder dans les yeux. Il étendit sa main droite et inclina la tête d'Hermione pour lui faire face.

-Je ferais venir des guérisseurs pour qu'ils prennent soin de ton dos ce matin, chuchota-t-il, et ils effaceront ces vilaines cicatrices.

Hermione le regarda stupéfaite.

-Je serais guérie demain ? Donc le châtiment était seulement pour la nuit dernière ?

-Je viens juste de le décider. Ton dos est horriblement marqué, à un tel point qu' chaque fois que je poserais mon regard sur lui, il me donnerait la nausée. Lui répondit-il froidement.

Sa main gauche caressa langoureusement son ventre puis remonta tendrement jusqu'à son sein gauche. Il tâtonna la chaire presque gentiment, en ne quittant jamais ses yeux des siens. Il remarqua que ses joues rougissaient de nouveaux à ses caresses.

-A-arrétez ! dit-elle doucement, elle se sentait encore très vulnérable par la perte de son sang.

Avec sa main gauche, il dégrafa son soutien-gorge et le laissa tomber sur le sol. Puis, il reprit ses caresses, et brièvement, il effleura son sein droit.

-J'ai dit : STOP !hurla-t-elle avec plus de conviction. La situation commençait à lui échapper.

Draco regarda son visage prudemment, comme s'il essayait de lire dans ses pensées. Puis, il dit lentement :

-Exactement, qui est le maître et qui est l'esclave ici ?

-Qui est le sorcier au sang pure et qui est la sang de bourbe au sang souill ? demanda-t-elle en espérant contre tout espoir que cela l'effrayerait et qu'il s'arrêterait.

Mais, il ne le fit pas. Il lui adressa un sourire en coin. Il retira une de ses mains et la déposa violemment sur ses cuisses. Ce geste déplacé la fit paniqu : elle donna ainsi des coups de pieds et le repoussa difficilement, elle cria dans l'espoir qu'une des domestiques puisse lui venir en aide. Mais aucune ne se manifesta. Personne ne pourrait l'aider. Et, lorsqu'elle sentit la main de Draco glissée dans sa culotte, elle laissa échapper un cri horrifié qui perça le silence qui régnait au manoir.

Draco tenait toujours fermement le visage d'Hermione vers lui et la regarder avec envie, bien que son sourire s'était effacé. Il semblait désormais beaucoup plus sérieux. Maintenant, il caressait son corps avec ses doigts, il lui lança un regard sombre.

-Au plus tu cries et tu résistes, au plus tu te feras du mal.

Hermione essaya de détourner sa tête, mais il tenait fermement son visage. Elle cria de nouveau, puis haleta lorsqu'elle retrouva ses sens.

-S'il vous plait... murmura-t-elle, si faiblement qu'il pouvait à peine l'entendre, battez-moi avec le bâton recouvert d'épines jusqu'à ce que j'en meurt, faites-moi brûler vivante avec un sort, poignardez-moi jusqu'à ce que vous atteignez mon cœur, avant que vous me violez encore.

-Pourquoi ? Pourquoi est-ce que maintenant c'est si horrible ?

Elle le dévisagea.

-Parce que maintenant.... Elle ne pu terminer sa phrase, sentant qu'il lui ôtait délicatement sa culotte.

-Qu'est ce qu'il y a ? Pourquoi luttes-tu maintenant alors que tu l'acceptais avant ?

-Parce que les choses ont changées. S'écria-t-elle. La situation est différente.

-Qu'est ce qui est différent ?

Elle voulait hurler « mes sentiments sont différents ! » mais elle ne pu trouver la force de prononcer ces mots. Et même si elle l'avait fait, Draco essayerait d'en connaître les raisons. Et comment lui expliquer alors qu'elle-même ne comprenait pas sa réaction ? Que ressentait-elle pour Draco ? Elle le détestait, mais pourquoi s'était-elle trouvée de plus en plus anéantie lorsqu'il montrait de moins en moins de respect pour ses sentiments ? Ses forces et sa volonté succombaient, elle ferma ses yeux et déposa sa tête sur ses épaules. Draco sentait son souffle sur son cou et se retira d'elle. Il libéra ses poignets des chaînes et elle pu sentir ses genoux se posaient délicatement sur le sol.

-Je suis satisfait du châtiment, di-il simplement. Puis il se dirigea vers la porte.

Hermione s'assit sur le sol, ses bras autour de Elle ne pu empêcher les larmes de courir sur son visage.

-Draco, dit-elle d'une voix rauque, et lorsqu'il se retourna, elle demanda : pourquoi as-tu arrêt ?

Il la regarda droit dans les yeux avant de lui répondre:

-je te l'ai dit, c'était l'affaire d'une minute. je ne te toucherais plus jamais de cette manière. puis son sourire s'élargie: à moins que tu me le demandes!

Hermione équarcilla des yeux d'incomprréhension. il plaisantait, n'est-ce-pas? il savait pertinament qu'elle ne lui permettrait plus jamais qu'il la touche.

-jamais,je...

elle ne put terminer sa phrase, Draco était déjà sorti et la porte s'était refermée violament derrière lui, laissant Hermione confuse et fatiguée.

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alors vous en pensez quoi?

vos commentaires et vos impressions seront les bien venus dans une petites reviews.

kiss et à mercredi pour le prochain chapitre.