salut
voila le nouveau chapitre. j'en suis d'ailleurs assez fière étant donné qu'il ne m'a fallu qu'une journée pour le traduire,loll. par contre, c'est le premier auquel je me suis permise de faire des petites corrections au niveau de la cohérence entre les paragraphes. certains passage ne l'étaient absolument pas en français.
vos reviews me font toujours autant plaisirs; un grand mercie à:
serpentis
Benelie
lilouthephoenix
Bob chiri
stephanie
HP
draco-tu-es-as-moi
slydawn
virgini1
aaricia
Les-divans-infernales alias mymykrakra
Kam-livy
dragonia
elfica
WendyMalfoy
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disclamer: rien ne m'appartient
Chapitre 11
Hermione cligna des yeux de curiosité lorsque la domestique attacha une paire de menottes à ses poignets. La domestique était une très petite femme qui ressemblait étroitement à un gnome.Et elle était seule. Cela expliquait les menottes. Peut-être que Draco pensait que Hermione serait plus facilement maîtrisée par une domestique, et ne se risquerait pas de tenter une évasion. Ainsi, Hermione ne fit aucune objection lorsque la toute petite femme la conduisit en bas des marches du grenier pour ensuite la menait dans une chambre parfumée de muscat située au bout du vestibule.
Cette pièce servait de blanchisserie, du moins, c'est ce qu'Hermione en conclut lorsqu'elle constata qu'une pile de vêtements gisait dans tous les coins. Certains étaient froissés et visiblement très sales, tandis que d'autres étaient étendus et éparpillés sur le sol, attendant apparemment d'être plier.
La domestique indiqua d'un geste de la main une énorme pile.
-celles-ci sont les robes de Draco. Il veut que vous les pliiez avec soin et que vous les apportiez dans sa chambre.
Hermione acquiéça par un hochement de la tête et s'assit sur le sol afin de commencer son travail. Elle se demanda pourquoi une tache aussi stupide lui serait-elle attribuée, mais elle décida que ce n'était ni le lieu ni le moment de penser à ces choses là.
Au bout d'une heure, Hermione sentit la fatigue la gagnée. Le travail était certes facile, mais il n'en était pas moins fastidieux et le temps semblait infiniment long. La pile de vêtements semblait titanesque et elle pensait que cela n'en finirait jamais. Si seulement il y avait un sort d'enchantement qui puisse l'aider, sa tache n'en serait que plus tôt terminer. Mais elle ne possédait pas de baguette et, elle n'avait aucune idée de la manière dont on pouvait se servir de la magie.
Elle se remémora du jour, quelques années auparavant, lorsqu'elle fut projetée hors de sa cellule par une Sorcière couvert de suit qui avait l'intention de lui lancer des pierres en pleine tête. Après le second coup, Hermione commença à s'énerver et soudainement, les rochers lévitèrent et se dirigèrent vers la Sorcière. Hermione n'avait eu alors aucune idée de la manière dont elle s'y était prise, mais elle était persuadée que ses capacités magiques jusqu'alors ensommeillées s'étaient manifestées par sa propre rage.
Maintenant, elle était assise et contemplait avec la plus grande lassitude cet amas de linge. Si elle voulait terminer avant la fin de la semaine, elle devait y mettre du sien. Elle ne voulait pas passer son temps à plier le linge de Draco.
Cela faisait prés de 10 minutes qu'elle supportait une migraine provoquée par la concentration. Quand soudainement, un vêtement s'éleva doucement dans les airs et commença à se plier de lui-même quelque peu maladroitement. En moins d'une heure, dix des douze tenues s'étaient parfaitement pliaient et s'entassaient dans un coin.
Hermione se leva parmi eux, en se concentrant sur toute l'énergie de la magie qu'elle avait d'une manière ou d'une autre créée. C'était la première fois de sa vie qu'elle avait eu recourt à la magie par l'espoir : c'était une expérience très enrichissante ! Elle réfléchit quelque instant, se demandant si elle pourrait l'utiliser également pour autre chose. Si Draco l'apprenait, elle serait foutue. Ce serait alors, en dernier recourt. Dans les rares occasions où une sang de bourbe avait été aperçu entrain de lancer un sort, elle fut torturée impitoyablement avant d'être mise à mort. C'était un risque terrible, et Hermione en était consciente c'est pour cela qu'elle gardait un oeil constamment ouvert en direction de la porte, prête à abandonner les vêtements au moment opportun.
Une autre heure s"écoula et sa tache en fut terminée. Hermione se sourit à elle-même, satisfaite d'avoir enfin fini cette corvée. Elle se sentait plus sereine, plus forte et plus puissante maintenant que sa première tentative d'utiliser la magie est été un grand succès, même sans baguette. Elle commença à emporter les vêtements, en de petits tas, vers la chambre de Draco. Il n'était pas dans sa chambre, ainsi, sa tache n'en fut plus qu'agréable et paisible, cela la rendit encore plus heureuse.
Finalement, elle fit signe de la main à la servante la plus proche afin de lui signaler qu'elle était prête à retourner dans sa chambre. Elle gravit les quelques marches menant au grenier et s'effondra sur son petit lit (cependant plus qu'agréable qu'un banc). Le grenier comportait trois chambres différentes. L'une d'elle était la sienne, les deux autres étaient fermées à clef, et probablement par un sort. Elle présuma qu'elles devaient être des chambres de débarras. Alors qu'elle commençait à s'endormir, un fin faisceau de lumière provenant de l'une des portes attira son attention.
Elle se leva de son lit, et avança lentement vers l'étroit passage qui menait à cette porte. Elle était ouverte, juste de la taille d'une fissure, laissant la lumière s'infiltrée dans le noir et humide vestibule. Elle scruta attentivement l'obscurité, essayant d'assouvir sa curiosité. Mais ce qu'elle y vit était ce qu'elle y attendait le moins.
La chambre n'était absolument pas une pièce de débarras. Les murs étaient peint en rouge, des chandeliers étaient disposées n'importe où, et un énorme lit était dressé au milieu de la chambre. Dans le lit, reposé Draco avec quelqu'un qu'Hermione ne reconnaissait pas. C'était une jeune Sorcière très belle, qui devait probablement avoir 17 ans, avec de longs cheveux blonds.
La Sorcière était positionnée sur ses genoux, ses bras étaient attachés par une sorte de chaîne qui suspendait au plafond. Draco était derrière elle, la caressant avec ses doigts de tout son corps et lui faisant l'amour. Hermione pensa instinctivement que Draco l'avait violée, mais elle se ravisa lorsqu'elle remarqua l'expression de béatitude qui se dessinait sur le visage de la jeune fille.
Hermione voulut détourner son regard, repartir dans sa chambre, fermer la porte et prétendre qu'elle n'avait rien vu. Mais, elle en était incapable. Pour des raisons qu'elle-même ne comprenait pas, elle ne pouvait pas s'arrêter de les contempler. Draco ressemblait quelque peu à un ange qui descendait du ciel, et la Sorcière avait l'air d'être au paradis.
Hermione souhaita être cette Sorcière, qu'elles puissent échanger leur place pendant un instant, mais réalisant ce qu'elle venait de penser, elle s'éloigna de la porte. Comment pouvait-elle penser une telle chose ? Draco était un salopard qui l'utilisait comme bon lui semblait puis la jetait de côté dés qu'il n'en voulait plus. Elle se convaincue à elle-même qu'elle ne le voulait pas.
Cependant, sa curiosité prit le dessus, elle se retourna et s'avança lentement vers la porte. Elle s'agenouilla et jeta un coup d'oeil à travers la fissure afin de regarder ce qui allait se passer. Elle se sentit sale et honteuse, mais elle ne pouvait pas s'en empêcher. En réalité, elle n'avait jamais vu personne faire l'amour auparavant. Sa première expérience avait été cette nuit là, lorsque Draco l'avait violée.
Soudainement, les yeux de Draco bougèrent et se posèrent sur la fissure de la porte, où le visage d'Hermione encore rougissant les épier. Elle haleta silencieusement et se précipita vers sa chambre. Elle ferma la porte et s'effondra sur le lit. Elle s'étendit face au mur. Que pouvait-elle faire ? Draco l'avait vu les regarder ! Que c'était embarrassant !
Les minutes passèrent et Hermione entendit des pas provenant du vestibule du grenier. Ils étaient lents et délicats, sans aucun doute ceux de la Sorcière. Puis, les pas arrivèrent à la hauteur de sa porte et s'y arrêtèrent. Elle savait que c'était Draco, et silencieusement pria pour qu'il ne rentre pas. Elle ne pouvait pas le regarder en face désormais !
Ses prières ne furent pas exaucées, la porte s'ouvrit et Draco s'avança. Il la contempla pendant quelques instants avant de dire :
-je sais que tu es réveillée.
Elle l'ignora, peut-être qu'il partirait. Mais il s'assit au bord du lit à coté d'elle.
-je sais que tu nous as vu.
Elle resta tranquille, essayant même de ne pas respirer. Elle ne voulait pas parler de cela. Pourquoi ne pouvait-il pas admettre qu'il ne s'était rien passé ? N'avait-il pas honte après tout ?
-comment as-tu pu finir le repassage aussi rapidement ? Je pensais que cela te prendrait toute la journée.
Elle se retourna soudainement.
-ainsi, c'était pour cette raison que tu m'as donnée cette insupportable tache ?! Afin de te distraire pendant que tu utilises le grenier pour tes affaires illicites ?!
Draco la regarda de haut.
-lorsque je t'ai donnée cette chambre, j'ai oublié que la chambre de l'autre coté du vestibule était celle que j'avais arrangé pour...il fit une pause, essayant de trouver les mots justes pour qualifier cela.
-pour tes ébats sexuels avec les Sorcières des environs ?! Demanda-t-elle cyniquement.
-ce n'est pas quelque chose qui se passe souvent. En fait,... elle l'a été pendant un assez long moment. Dit-il difficilement. Son visage rougissait très légèrement à ses propos, cela surpris Hermione qu'une personne comme lui pouvait réellement rougir.
-bien, cela semble évident que tu savais ce que tu faisais. Dit Hermione sans réfléchir, puis baissa les yeux rapidement.
Draco sourit légèrement derrière elle.
-vas-tu me demander qui elle était ?
-pourquoi ? Tes relations personnelles ne sont en aucun cas mes affaires.
-elle est la fille d'un des amis de mon père, répondit-il, d'habitude, je ne me mêle pas beaucoup avec les autres, mais de temps en temps j'en ressens le besoin, comprends-tu ?
Hermione rougit furieusement.
-ceux ne sont pas mes affaires. Répéta-t-elle.
Elle le sentait bouger dans le lit et cela la mettait male à l'aise, elle commença à se crisper sur son oreiller. Il n'essayerait sûrement pas quelque chose sur elle après la scène de l'autre chambre ! Elle sentit sa main se poser délicatement sur son épaule. Il se pencha vers elle, son visage était si proche d'elle que ses lèvres effleurèrent son oreille lorsqu'il parla:
-n'en éprouves-tu jamais le besoin ? Chuchota-t-il.
Hermione frémit à cette évocation et se rapprocha du mur. Draco se pencha de nouveau vers elle.
-cela t'as excité, n'est se pas ? De nous regarder. Tu sais, tout ce que tu as à faire c'est de demander, et je te prendrais dans cette chambre. Personne ne le saura, tant que tu gardes ta maudite bouche fermée !
Hermione se détourna de lui en repoussant violemment son visage.
-je ne suis pas aussi désespérer au point de te supplier de me faire l'amour ! dit-elle d'un ton acide.
Draco ri en se levant.
-lorsque tu nous as épié, la magnifique blonde dormait dans mon lit avec un sourire aux lèvres, moi non. Je te laisses au tien...bien, je te laisserais pour n'importe quel enfer pourvu que tu te lèves toute la journée. (ndT: désolée si c'est pas très explicite, moi-même je n'ai pas compris ce que voulait dire l'auteur).
Hermione refusa de lui faire face. Elle l'entendit partir, claquant la porte derrière lui. Elle l'écouta lorsqu'il gravit les escaliers. Elle poussa un soupir de soulagement et se retourna sur le lit. Quel horrible jour se fut. Elle se demanda si elle ne se remettrait à jamais d'un tel choc.
Mais le pire était le fait qu'elle ne pouvait pas ôter ses images de son esprit. Draco était un salopard, mais il était un salopard sexy, et malgré tous ses efforts, elle ne pouvait pas le nier. Mais, pourquoi était il si préoccuper de la maintenir dans le grenier aujourd'hui ? Pourquoi ne voulait-il pas qu'elle le voit avec la blonde ? Elle trouva d'autant plus logique pour lui de vouloir qu'elle le voit, afin qu'il puisse d'avantage jubiler et se vanter. Ou peut-être, avait-il un autre tour dans sa manche, un qu'elle ne puisse prévoir ?
Sans tenir compte de ses projets, Hermione se dit à elle-même qu'elle ne devrait pas s'effondrer pour lui. Qu'au contraire, elle ne devrait pas se laisser distraire pour lui et qu'elle devrait trouver un moyen de s'échapper et de l'oublier. Mais, même si elle réussissait à élaborer un plan, elle savait, que quelque part enfoui au plus profond de son coeur, qu'oublier Draco Malfoy serait une tâche très difficile.
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alors, ça vous a plu?
vos impressions et commentaires seraient bien venus (comme toujours) dans une petite review
kiss et à mercredi
ha oui, j'allais oublier!
je sais qu'il est un peu tard mais bon courage pour le retour des cours!
