Coucou tout le monde ! Me revoilà avec un nouveau chapitre !
Je tiens à vous dire que cette fic devrait passer R ou P-G 13 dans pas très
longtemps. J'espère que vous prendrez plaisir à lire se chapitre, autant
que j'ai pris plaisir à l'écrire.
Je vous embrasse !
Réponses aux reviews :
Sleepy Angel : Merci Beaucoup !
J'espère que tu aimeras ce chapitre.
Kiss.
Guilderinette : J'ai fais un chapitre plus long cette fois !J'espère qu'il te plairas !
Je suis allée voir Troies dimanche ! J'ai pas mal pleuré pendant le film (trop sensible moi ? !non !). C'est vrai qu'Orlando est un lache dans le film, mais à la fin il venge son frère (en tuant le beau Brad Pitt ! Sniff !).
Bizoux !
Axoo : Je préfère le chapitre que je viens de mettre, il est plus élaboré que le dernier. J'espère qu'il te plairas, en plus il y a les réponses aux questions que tu te pose.
Bisous !
Chapitre 9 : nouveaux pouvoirs
Blaise lâcha Lavande et se retourna. Ron était face à eux, il les regardait avec dégoût. Lavande resta figée contre le mur. Elle ne savait pas quoi faire, alors elle s'approchat doucement de Ron, et mit sa main sur son épaule. Il enleva violemment la main de son épaule et hurla :
- COMMENT PEUX-TU ME FAIRE CA !
- Ron, laisse moi t'expliquer, je ...... euh...... en fait...... ce n'est pas ce que tu crois !
Ron se mit à rire, sous le regard interrogateur de Lavande. Blaise quant à lui était resté contre le mur, le plus loin possible du jeune Griffondor.
- Et moi qui croyais que j'allais te faire souffrire quand je te dirais qu'Hermione et moi....
Ron s'arrêta brusquement de parler. « 'Mione, je l'ai laissée devant la porte. Elle va croire que je ne l'aime pas, oh non ! Pensa-t-il. ». Il sortit de la salle désaffectée, laissant Lavande et Blaise seul. Il trouva Hermione par terre, elle tremblait. Elle essayait de se relever en vain. « Qu'est ce que j'ai fait, pensa-t-il, elle croit que je suis jaloux de Blaise. Mais pourquoi ai-je crié après Lavande ? Je m'en fou d'elle ! Qu'est ce que je peux être con des fois ! ». Il s'approchât de la jeune fille et l'aida à s'asseoir. Elle leva son visage plein de larme vers lui et dit faiblement :
- Ne t'en fais pas, ce n'est pas à cause de toi, je sais que tu ne l'aime pas.
Ron était stupéfait. « Elle a répondu aux questions que je me posais. Mais comment a-t-elle fait pour savoir a quoi je pensais ? Oh non ! Ça y est ! ». Il regarda son amie dans les yeux. Il avait compris ce qui se passait. Mais il lui demanda quand même :
- Comment as tu fais pour lire dans mes pensées ?
- Je n'en sais rien. Quand tu es rentré dans la salle, je voulais savoir ce que tu ressentais, et j'ai ressenti tous tes sentiments, puis j'ai aussi entendu tes pensées, et aussi celles de Lavande et Blaise. Je me suis senti faible et je suis tombée. Mais dis-moi, qu'est ce que tu as voulu dire par « oh non ! Ça y est ! ».
- Quand un Elfe aime une personne, il obtient de nouveaux pouvoirs incontrôlables. Il peut lire dans les pensées, ressentire les sentiments des autres et même déplacer des objets simplement par la pensée.
- Mais pourquoi est ce que ça ne s'est jamais produit auparavant ? Et tu es sur que je ne peux pas les contrôler ?
- Ca ne s'est jamais produit avant parce que tu m'as dis seulement ce matin que tu m'aimais, et dans la forêt d'Emeraude, ces pouvoirs ne marchent pas. Je n'en sais pas plus. Mais si ses pouvoirs t'affaiblissent autant que tes visions, il faut faire quelque chose et vite !
Hermione approuva par un signe de tête. « Tellement de changements dans ma vie en un week-end ! Au moins, maintenant j'ai Ron près de moi ! ». Le jeune homme la prit dans ses bras, et l'emmena dans sa chambre. Quand il la déposa sur son lit, elle était endormie. Il sortit de la chambre sans bruit, et s'assit sur le canapé de la salle commune. A ce moment là, Drago et Harry sortirent de la chambre du serpentard en se chamaillant. Ils s'arrêtèrent en voyant Ron. Ce dernier les dévisagea, sourit en voyant qu'Harry ne portait qu'un pantalon, et qu'il était encor plus décoiffé que d'habitude. Drago quant à lui ne portait aussi qu'un pantalon, ses cheveux étaient en bataille, et contrairement à son habitude, il était tout rouge.
- Ca y est, 'Mione et toi vous êtes rentré ! Qu'est ce que vous avez fait cette nuit ? Demanda Harry, les yeux brillants.
- Je crois que ce serais plutôt à moi de vous demander ça ! Répondit Ron en rigolant.
Harry devint écarlate et s'assit à côté de lui. Drago s'assit à côté du survivant et l'enlaça. Ron leur raconta tout ce qui s'était passe, depuis sa rencontre au cimetière avec Hermione jusqu'à ce qu'il la raccompagne ici. Il ne parla pas du moment ou Hermione s'était déshabillée pour aller piquer une tête dans la cascade. Ce moment, il voulait le garder pour lui. Après avoir écouter attentivement le récit de Ron, Harry prit la parole :
- Pauvre 'Mione ! Qu'est ce que tu compte faire ?
- Je vais écrire à Erwan, pour savoir si il y a un moyen pour qu'elle contrôle ses pouvoirs.
Il allait sortir de la salle commune pour aller à la volière quand la porte s'ouvrit. Le professeur Mc Gonagall entra dans la pièce.
-Bonjours Mr Weasley, elle regarda dans le fond de la pièce, Mr Potter, que faite vous là de si bonne heure ?
Puis quand elle vit que le jeune homme ne portait pas de T-shirt et que Malefoy l'enlaçait, elle sourit et regarda à nouveau Ron.
- Le professeur Dumbledore souhaiterait vous voir, c'est à propos de Miss Granger, d'ailleurs ou est-elle ?
- Euh, elle était fatiguée, elle est allée se recoucher. Répondit Ron.
Le professeur Mc Gonagall l'emmena jusqu'au bureau du directeur. Ron entra dans le bureau, Dumbledore était assis sur un fauteuil, il buvait du thé.
- Bonjours Mr Weasley, asseyez-vous !Dit-il en montrant un fauteuil face au sien.
Ron s'assit, le professeur lui proposa une tasse de thé, qu'il accepta. Il trempa ses lèvres dans la tasse pour goûter, mais à sa grande surprise, le thé n'avait pas l'horrible goût de framboise que celui que lui faisait sa mère quand il était malade. Le thé avait un petit goût sucré, il se souvint alors avoir sentit le même sur les lèvres d'Hermione.
- C'est du citron ! Dit Albus, pour faire sortir le jeune homme de sa rêverie.
- Je vous aie fait venir ici pour vous parler de Miss Granger. Erwan est venu me voir hier pour m'expliquer que c'était sa fille, c'est pourquoi je vous ai autorisé tous les 2 à passer la nuit dans la forêt d'Emeraudes. J'ai pensé qu'elle aurait besoin de vous. Reprit le directeur.
Il s'interrompit un instant pour boire une gorgée de thé et repris :
- Je viens de recevoir une lettre d'Erwan, et apparemment je ne m'étais pas trompé. Est-ce que Miss Granger a déjà eu ses nouveaux pouvoirs ?
- Oui, mais ça l'affaiblit. J'ai du la porter jusqu'à ca chambre après qu'elle n'ai utilisé pour la première fois ses pouvoirs. Elle s'est endormie pendant que je la portait. Professeur y a-t-il un moyen pour qu'elle puisse les contrôler ?
Dumbledore se redressa en entendant ça. Il devait faire quelque chose, si Hermione s'affaiblissait dés le début, elle était en danger.
- Il y a une solution. Mais d'abord je dois savoir, aimez- vous Miss Granger ?
- Oui. Répondit Ron qui ne comprenait pas pourquoi il lui demandait ça.
- La seule façon pour que Miss Granger aille mieux, ce serait de prendre une goutte de votre sang et une goutte de son sang à elle. De les mélanger et d'en mettre un peu dans deux amulettes. Et ensuite de prononcer le sort « vivio encantia ». Ensuite, il faudra que vous portiez chacun une amulette. Grâce à elle, vous aurez les mêmes pouvoirs que Miss Granger, mais au moins, vous pourrez tous les 2 les contrôler. C'est à dire que vous pourrez les utiliser seulement quand vous le désirerez.
- Alors c'est bon ! J'avais peur qu'il n'y ai pas de solution !Dit Ron.
- Attention jeune homme ! Vous serez tous deux liés à vie. Mais si l'un de vous 2 enlevait l'amulette, il risquerait sa vie.
- D'accord professeur. Nous ne l'enlèverons pas. Tout ce qui m'importe c'est qu'Hermione aille mieux.
Dumbledore se leva et fit apparaître deux amulettes sur son bureau. IL les pris dans sa main et les montra à Ron. Les amulettes étaient toutes deux identique. Une petite pierre bleu accrochée à une chaîne en argent.
- Allons en parler à Miss Granger. Dit le directeur.
Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent dans la salle commune des Préfets en Chef, elle était vide. Ils entrèrent sans bruit dans la chambre d'Hermione qui était toujours endormie. Ron s'assit sur son lit et caressa son visage. Il lui murmura des mots doux à l'oreille pour qu'elle se réveille. Elle ouvrit les yeux et embrassa Ron. Le professeur Dumbledore lui expliqua comment contrôler ses pouvoirs.
- Que voulez vous dire par « si l'un d'entre vous enlevait l'amulette il risquerait sa vie ? », demanda Hermione au directeur.
- Eh bien il perdrait tout contact avec l'autre et cela serais comme lui enlever une partie de lui-même.
- Est-ce que ça pourrait le tuer ? Se risqua Ron.
- Oui. Répondit franchement le directeur.
Hermione regarda Ron, et entendit ses pensées. « C'est le seul moyen pour qu'elle aille mieux. J'espère qu'elle acceptera, de toute façon je ne vois pas pourquoi nous retirerions cette amulette si nous savons que c'est dangereux. Je veux être lié à mon amour !». Elle s'approchât de lui et lui murmura à l'oreille :
- Tu es sur que c'est ce que tu veux ? Etre lié à moi ?
- J'avais oublié que tu entendais mes pensées, grogna-t- il. Bien sur que c'est ce que je veux !
Il déposa un léger baiser sur les lèvres de sa petite amie. Hermione se retourna quand elle entendit les pensées du professeur Dumbledore. « Ils ont l'air heureux, j'espère que ça durera ! J'espère qu'ils ne souffriront pas de cet amour. ». Il vit qu'Hermione lui sourit pour lui faire comprendre que tout irais bien. Il fit apparaître une aiguille, et piqua le doit d'Hermione. Il fit couler quelques gouttes de son sang dans une fiole. Il fit pareil avec Ron. Le jeune homme ferma les yeux pour ne pas voir le sang. Ensuite, Dumbledore mit les amulettes dans la fiole, pointât sa baguette magique et dit « vivio encantia ». La fiole et sang disparurent, il ne resta plus que les amulettes. Il en donna un à Hermione et une à Ron. Quand ils les mirent autour du coup, ils sentirent une chaleur les envahire. Ils se sentirent faible, et le dirent au professeur Dumbledore.
- Je vais vous laisser vous reposer les enfants. Dormez un peu, quand vous vous réveillerez les amulettes agirons complètement. Je passerais vous voir plus tard. Dit-il.
Hermione s'allongea à côté d'Hermione et se lova contre lui. Elle mit sa tête contre son torse (celui de Ron pas le sien, sinon elle serait hyper souple !) et écouta les battements rapides de son cœur.
-Je t'aime, murmura-t-elle.
-Moi aussi je t'aime mon ange.
Ils s'endormirent aussitôt, en pensant l'un à l'autre.
Réponses aux reviews :
Sleepy Angel : Merci Beaucoup !
J'espère que tu aimeras ce chapitre.
Kiss.
Guilderinette : J'ai fais un chapitre plus long cette fois !J'espère qu'il te plairas !
Je suis allée voir Troies dimanche ! J'ai pas mal pleuré pendant le film (trop sensible moi ? !non !). C'est vrai qu'Orlando est un lache dans le film, mais à la fin il venge son frère (en tuant le beau Brad Pitt ! Sniff !).
Bizoux !
Axoo : Je préfère le chapitre que je viens de mettre, il est plus élaboré que le dernier. J'espère qu'il te plairas, en plus il y a les réponses aux questions que tu te pose.
Bisous !
Chapitre 9 : nouveaux pouvoirs
Blaise lâcha Lavande et se retourna. Ron était face à eux, il les regardait avec dégoût. Lavande resta figée contre le mur. Elle ne savait pas quoi faire, alors elle s'approchat doucement de Ron, et mit sa main sur son épaule. Il enleva violemment la main de son épaule et hurla :
- COMMENT PEUX-TU ME FAIRE CA !
- Ron, laisse moi t'expliquer, je ...... euh...... en fait...... ce n'est pas ce que tu crois !
Ron se mit à rire, sous le regard interrogateur de Lavande. Blaise quant à lui était resté contre le mur, le plus loin possible du jeune Griffondor.
- Et moi qui croyais que j'allais te faire souffrire quand je te dirais qu'Hermione et moi....
Ron s'arrêta brusquement de parler. « 'Mione, je l'ai laissée devant la porte. Elle va croire que je ne l'aime pas, oh non ! Pensa-t-il. ». Il sortit de la salle désaffectée, laissant Lavande et Blaise seul. Il trouva Hermione par terre, elle tremblait. Elle essayait de se relever en vain. « Qu'est ce que j'ai fait, pensa-t-il, elle croit que je suis jaloux de Blaise. Mais pourquoi ai-je crié après Lavande ? Je m'en fou d'elle ! Qu'est ce que je peux être con des fois ! ». Il s'approchât de la jeune fille et l'aida à s'asseoir. Elle leva son visage plein de larme vers lui et dit faiblement :
- Ne t'en fais pas, ce n'est pas à cause de toi, je sais que tu ne l'aime pas.
Ron était stupéfait. « Elle a répondu aux questions que je me posais. Mais comment a-t-elle fait pour savoir a quoi je pensais ? Oh non ! Ça y est ! ». Il regarda son amie dans les yeux. Il avait compris ce qui se passait. Mais il lui demanda quand même :
- Comment as tu fais pour lire dans mes pensées ?
- Je n'en sais rien. Quand tu es rentré dans la salle, je voulais savoir ce que tu ressentais, et j'ai ressenti tous tes sentiments, puis j'ai aussi entendu tes pensées, et aussi celles de Lavande et Blaise. Je me suis senti faible et je suis tombée. Mais dis-moi, qu'est ce que tu as voulu dire par « oh non ! Ça y est ! ».
- Quand un Elfe aime une personne, il obtient de nouveaux pouvoirs incontrôlables. Il peut lire dans les pensées, ressentire les sentiments des autres et même déplacer des objets simplement par la pensée.
- Mais pourquoi est ce que ça ne s'est jamais produit auparavant ? Et tu es sur que je ne peux pas les contrôler ?
- Ca ne s'est jamais produit avant parce que tu m'as dis seulement ce matin que tu m'aimais, et dans la forêt d'Emeraude, ces pouvoirs ne marchent pas. Je n'en sais pas plus. Mais si ses pouvoirs t'affaiblissent autant que tes visions, il faut faire quelque chose et vite !
Hermione approuva par un signe de tête. « Tellement de changements dans ma vie en un week-end ! Au moins, maintenant j'ai Ron près de moi ! ». Le jeune homme la prit dans ses bras, et l'emmena dans sa chambre. Quand il la déposa sur son lit, elle était endormie. Il sortit de la chambre sans bruit, et s'assit sur le canapé de la salle commune. A ce moment là, Drago et Harry sortirent de la chambre du serpentard en se chamaillant. Ils s'arrêtèrent en voyant Ron. Ce dernier les dévisagea, sourit en voyant qu'Harry ne portait qu'un pantalon, et qu'il était encor plus décoiffé que d'habitude. Drago quant à lui ne portait aussi qu'un pantalon, ses cheveux étaient en bataille, et contrairement à son habitude, il était tout rouge.
- Ca y est, 'Mione et toi vous êtes rentré ! Qu'est ce que vous avez fait cette nuit ? Demanda Harry, les yeux brillants.
- Je crois que ce serais plutôt à moi de vous demander ça ! Répondit Ron en rigolant.
Harry devint écarlate et s'assit à côté de lui. Drago s'assit à côté du survivant et l'enlaça. Ron leur raconta tout ce qui s'était passe, depuis sa rencontre au cimetière avec Hermione jusqu'à ce qu'il la raccompagne ici. Il ne parla pas du moment ou Hermione s'était déshabillée pour aller piquer une tête dans la cascade. Ce moment, il voulait le garder pour lui. Après avoir écouter attentivement le récit de Ron, Harry prit la parole :
- Pauvre 'Mione ! Qu'est ce que tu compte faire ?
- Je vais écrire à Erwan, pour savoir si il y a un moyen pour qu'elle contrôle ses pouvoirs.
Il allait sortir de la salle commune pour aller à la volière quand la porte s'ouvrit. Le professeur Mc Gonagall entra dans la pièce.
-Bonjours Mr Weasley, elle regarda dans le fond de la pièce, Mr Potter, que faite vous là de si bonne heure ?
Puis quand elle vit que le jeune homme ne portait pas de T-shirt et que Malefoy l'enlaçait, elle sourit et regarda à nouveau Ron.
- Le professeur Dumbledore souhaiterait vous voir, c'est à propos de Miss Granger, d'ailleurs ou est-elle ?
- Euh, elle était fatiguée, elle est allée se recoucher. Répondit Ron.
Le professeur Mc Gonagall l'emmena jusqu'au bureau du directeur. Ron entra dans le bureau, Dumbledore était assis sur un fauteuil, il buvait du thé.
- Bonjours Mr Weasley, asseyez-vous !Dit-il en montrant un fauteuil face au sien.
Ron s'assit, le professeur lui proposa une tasse de thé, qu'il accepta. Il trempa ses lèvres dans la tasse pour goûter, mais à sa grande surprise, le thé n'avait pas l'horrible goût de framboise que celui que lui faisait sa mère quand il était malade. Le thé avait un petit goût sucré, il se souvint alors avoir sentit le même sur les lèvres d'Hermione.
- C'est du citron ! Dit Albus, pour faire sortir le jeune homme de sa rêverie.
- Je vous aie fait venir ici pour vous parler de Miss Granger. Erwan est venu me voir hier pour m'expliquer que c'était sa fille, c'est pourquoi je vous ai autorisé tous les 2 à passer la nuit dans la forêt d'Emeraudes. J'ai pensé qu'elle aurait besoin de vous. Reprit le directeur.
Il s'interrompit un instant pour boire une gorgée de thé et repris :
- Je viens de recevoir une lettre d'Erwan, et apparemment je ne m'étais pas trompé. Est-ce que Miss Granger a déjà eu ses nouveaux pouvoirs ?
- Oui, mais ça l'affaiblit. J'ai du la porter jusqu'à ca chambre après qu'elle n'ai utilisé pour la première fois ses pouvoirs. Elle s'est endormie pendant que je la portait. Professeur y a-t-il un moyen pour qu'elle puisse les contrôler ?
Dumbledore se redressa en entendant ça. Il devait faire quelque chose, si Hermione s'affaiblissait dés le début, elle était en danger.
- Il y a une solution. Mais d'abord je dois savoir, aimez- vous Miss Granger ?
- Oui. Répondit Ron qui ne comprenait pas pourquoi il lui demandait ça.
- La seule façon pour que Miss Granger aille mieux, ce serait de prendre une goutte de votre sang et une goutte de son sang à elle. De les mélanger et d'en mettre un peu dans deux amulettes. Et ensuite de prononcer le sort « vivio encantia ». Ensuite, il faudra que vous portiez chacun une amulette. Grâce à elle, vous aurez les mêmes pouvoirs que Miss Granger, mais au moins, vous pourrez tous les 2 les contrôler. C'est à dire que vous pourrez les utiliser seulement quand vous le désirerez.
- Alors c'est bon ! J'avais peur qu'il n'y ai pas de solution !Dit Ron.
- Attention jeune homme ! Vous serez tous deux liés à vie. Mais si l'un de vous 2 enlevait l'amulette, il risquerait sa vie.
- D'accord professeur. Nous ne l'enlèverons pas. Tout ce qui m'importe c'est qu'Hermione aille mieux.
Dumbledore se leva et fit apparaître deux amulettes sur son bureau. IL les pris dans sa main et les montra à Ron. Les amulettes étaient toutes deux identique. Une petite pierre bleu accrochée à une chaîne en argent.
- Allons en parler à Miss Granger. Dit le directeur.
Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent dans la salle commune des Préfets en Chef, elle était vide. Ils entrèrent sans bruit dans la chambre d'Hermione qui était toujours endormie. Ron s'assit sur son lit et caressa son visage. Il lui murmura des mots doux à l'oreille pour qu'elle se réveille. Elle ouvrit les yeux et embrassa Ron. Le professeur Dumbledore lui expliqua comment contrôler ses pouvoirs.
- Que voulez vous dire par « si l'un d'entre vous enlevait l'amulette il risquerait sa vie ? », demanda Hermione au directeur.
- Eh bien il perdrait tout contact avec l'autre et cela serais comme lui enlever une partie de lui-même.
- Est-ce que ça pourrait le tuer ? Se risqua Ron.
- Oui. Répondit franchement le directeur.
Hermione regarda Ron, et entendit ses pensées. « C'est le seul moyen pour qu'elle aille mieux. J'espère qu'elle acceptera, de toute façon je ne vois pas pourquoi nous retirerions cette amulette si nous savons que c'est dangereux. Je veux être lié à mon amour !». Elle s'approchât de lui et lui murmura à l'oreille :
- Tu es sur que c'est ce que tu veux ? Etre lié à moi ?
- J'avais oublié que tu entendais mes pensées, grogna-t- il. Bien sur que c'est ce que je veux !
Il déposa un léger baiser sur les lèvres de sa petite amie. Hermione se retourna quand elle entendit les pensées du professeur Dumbledore. « Ils ont l'air heureux, j'espère que ça durera ! J'espère qu'ils ne souffriront pas de cet amour. ». Il vit qu'Hermione lui sourit pour lui faire comprendre que tout irais bien. Il fit apparaître une aiguille, et piqua le doit d'Hermione. Il fit couler quelques gouttes de son sang dans une fiole. Il fit pareil avec Ron. Le jeune homme ferma les yeux pour ne pas voir le sang. Ensuite, Dumbledore mit les amulettes dans la fiole, pointât sa baguette magique et dit « vivio encantia ». La fiole et sang disparurent, il ne resta plus que les amulettes. Il en donna un à Hermione et une à Ron. Quand ils les mirent autour du coup, ils sentirent une chaleur les envahire. Ils se sentirent faible, et le dirent au professeur Dumbledore.
- Je vais vous laisser vous reposer les enfants. Dormez un peu, quand vous vous réveillerez les amulettes agirons complètement. Je passerais vous voir plus tard. Dit-il.
Hermione s'allongea à côté d'Hermione et se lova contre lui. Elle mit sa tête contre son torse (celui de Ron pas le sien, sinon elle serait hyper souple !) et écouta les battements rapides de son cœur.
-Je t'aime, murmura-t-elle.
-Moi aussi je t'aime mon ange.
Ils s'endormirent aussitôt, en pensant l'un à l'autre.
