Bonsoir ! Alors voilà, en fait, je trouve ce chapitre nul ! Mais je vous l'ai mit car à partir de demain, je n'aurais plus internet pendant environ 1 mois (10 jours au minimum) car je déménage. Ma fic n'est toujours pas passée R, mais si tout ce passe comme prévu (je ne vous promet rien, car rien ne se passe jamais comme prévu avec moi) elle le deviendra dans le prochain chapitre. Celui ci devrais s'appeler « la nuit du bal », et raconter, le reste de la soirée, de la Grande salle, aux chambres des différents couples. Reviewez, si vous en avez le courage. Au fait, je répondrais aux reviews la prochaine foi.

Gros bisous !

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Chapitre 13 : Le Bal

Drago, Harry, Ron et Hermione retournèrent dans la salle commune des préfets en chef sans un mot. Ron et Hermione marchaient lentement, main dans la main chacun perdu dans ses pensées. Quand ils arrivèrent, Harry se retourna vers sa meilleure amie.

- Ca va aller 'Mione ? Demanda-t-il.

- T'en fais pas ! Ca va. Dit Hermione d'une voix qui sonnait faux.

- On vas manger, dit Drago, vous venez avec nous ?

- Moi je reste là, je n'ai pas faim ! Répondit la jeune rouge et or.

-Allez-y, on vous rejoint après. Renchéri Ron.

Quand Harry et Drago furent sortis de la salle, le jeune Weasley regarda sa petite amie. Elle avait l'air complètement perdue, elle fixait le sol d'un regard vide. Quand elle vit qu'il s'approchait d'elle, Hermione recula de quelques pas. Elle paraissait effrayée.

-Euh.... je vais prendre une douche. Dit-elle en se dirigeant vers sa chambre.

Elle entra dans sa chambre, prit des vêtements propres et ressorti pour aller à la salle de bain. En passant dans la salle commune, elle vit que Ron était toujours debout au milieu de la pièce. Elle le regarda un instant dans les yeux, et ce qu'elle y vit la paralysa. Elle pouvait voir dans ses yeux bleus une profonde détresse, et une douleur extrême, exactement ce qu'elle aurait pu voir dans ses propres yeux si elle s'était regardé dans un miroir à cet instant. Elle détourna le regard, et pressa le pas. Quand elle fut dans la salle de bain, elle ferma la porte à double tour. Elle se regarda un instant dans le grand miroir de la pièce. Elle sentit sa colère monter en voyant l'état dans lequel elle était. Elle s'en voulait d'être faible. D'un geste vif, elle jeta son chemisier déchiré à terre, puis elle se débarrassa de sa jupe et de ses sous-vêtements qui allèrent rejoindre son chemisier sur le carrelage. Elle se glissa dans la douche et ouvrit le robinet d'eau chaude. Elle ferma les yeux et se détendit, sentant les gouttes d'eau glisser sur sa peau.

Pendant ce temps, Ron était rentré dans sa chambre. Il était assis sur son lit et pensait à ce qui venait de se passer. Il revoyait Blaise tripoter sa petite amie. « Pourquoi ? J'aurais dû rester avec elle ! Non, évidemment, une partie d'échec c'est plus important ! Mais quel con ! Zabini est un salopar ! Merde ! J'aurais au moins pu la venger ! Mais non, .....pensa Ron ». Dans un élan de colère, il se leva et renversa son bureau. Le meuble heurta le sol en un bruit sourd, et se brisa en deux. Ron donna des coups de pieds dans les morceaux de bois, il marchait sur ses livres qui étaient rangés dans son bureau. Il pleurait de rage, il se défoulait. Il se tourna vers sa table de nuit et pris le verre qui y était posé. Il le serra tellement fort dans sa main qu'il se brisa, laissant des bouts de verres entailler la paume de sa main.

Alertée par les bruits provenant de la chambre de son petit ami, Hermione s'habilla et sorti de la salle de bain. Elle ouvrit doucement la porte de la chambre de Ron, et le vit assis au milieu de la pièce, la main en sang. Elle regarda autour de lui, il avait saccagé sa chambre. La jeune fille vint s'agenouiller près de lui. Elle posa une main sur son épaule secouée de sanglots.

- Je suis désolé.... Dit-il d'une voie saccadée.

- Qu'est ce qu'il y a ? Demanda Hermione d'une voie douce.

- Si j'étais resté avec toi, il ne te serait rien arrivé ! Si tu savais comme je m'en veux ! Quand j'ai eu cette vision, de Zabini, te touchant, j'aurais pu le tuer ce salop ! Tu dois me haïr !

Hermione souleva le menton de Ron pour qu'il la regarde, et lui caressa la joue. Ses yeux étaient emplis de souffrance. Elle lui déposa un baiser sur le front, et dit :

- Ne dis pas de bêtises mon amour ! Ce n'est pas de ta faute ! Dumbledore voulait qu'on se voie moins, et tu lui a simplement obéi. Ne t'inquiète pas, je vais bien, j'ai eu plus de peur que de mal.

- Tu es sur que ça va ? Quand tu es rentré dans la salle de bain, ça n'avais pas l'air d'aller !

Elle lui fit un sourire, sortit sa baguette et la pointa sur Ron. Elle prononça un sort à mi-voie qu'il n'entendit pas. Un petit fil argenté sorti de la baguette, et s'enroula autour de lui. Il sentit toute sa haine et toute sa tristesse disparaître, en laissant une cicatrice douloureuse dans son cœur. Le fil disparut, et il regarda Hermione intrigué. Il souffrait toujours, mais sa douleur était enfouie si profondément en lui qu'il la sentait moins. Il regarda Hermione, intrigué. Il se souvenait qu'Hermione avait déjà utilisé se sort sur Harry et lui à la fin de la guerre, c'était un sort d'apaisement.

- Viens avec moi dans la salle de bain, il faut soigner ta main.

Elle se leva, et Ron la suivit. Il s'assit au bord de la baignoire pendant qu'elle ouvrait une porte du placard. Elle en sortit un flacon qui contenait un liquide jaunâtre, du coton et une pince à épiler. Elle posa la pince à épiler à côté de Ron, et ouvrit le flacon.

-Qu'est ce que c'est ? Demanda-t-il.

- C'est de l'alcool à 90, c'est pour désinfecter la plaie, ça pique un peu. Et ce qui est à côté de toi, c'est pour enlever les bouts de verre qui son encore dans la plaie.

Hermione prit un bout de coton, et l'imbiba d'alcool, puis elle l'appliqua doucement sur la main de Ron. Il poussa un cri lorsqu'il ressenti un picotement aigu, et retira sa main.

- Mais t'es folle, ça fait mal !

- T'en fais pas, c'est fini ! Maintenant, il faut juste que je retire le verre.

Elle désinfecta la pince à épiler, et s'accroupit devant lui. Il lui tendit sa main, et elle enleva un à un les petits cristaux. Quand ce fut terminer, elle mit une bande magique autour de la main de Ron pour qu'il n'ait pas de cicatrices le lendemain. Hermione se releva en même temps que Ron. Il posa ses mains autour de sa taille, et la regarda intensément.

-Merci. Murmura-t-il.

Elle lui répondit par un sourire, et l'embrassa sensuellement. Ils allèrent se coucher dans la chambre de Ron. Ils se blottirent l'un contre l'autre et s'endormirent aussitôt (vers 20h, et sans avoir manger, mais c'est ma fic, alors je fait ce que je veux, na !).

Le jeune couple se leva très tôt le lendemain matin, une longue journée les attendait. Le matin, ils devaient aller voir Dumbledore dans son bureau à cause des évènements de la veille, et le soir, il y avait le bal d'Halloween. Quand Hermione et Ron allèrent dans la grande salle pour déjeuner, il n'y avait personne. Les élèves devaient profiter de se samedi matin pluvieux pour faire la grâce matinée. Les deux Griffondor ressortirent du bureau du directeur de Poudlard à 11h30. Pendant de longues heures il leurs avait demandé d'utiliser leurs pouvoirs, pour savoir si ils pouvaient les contrôler parfaitement. Après de tels efforts, Hermione était exténuée, et l'estomac de Ron gargouillai, ce qui fit rire la jeune fille.

- Qu'est ce qu'il y a de si drôle ? Demanda-t-il alors qu'ils arrivaient dans leur salle commune.

- Je me demandais simplement ou tu casais toute la nourriture que tu avale ! Dit le plus sérieusement qu'elle le put.

Ron fit une moue boudeuse, et dit le mot de passe au tableau du chevalier du Catogan devant lequel ils venaient de s'arrêter. Il allait rentrer dans la salle, quand son ventre grogna plus fort. Le chevalier sursauta, et pointa son épée droit devant lui. Il se mit à gesticuler dans tout les sens, et à hurler :

- Ou se cache se monstre ? Il y a un dragon dans les parages, je l'ai entendu !

Hermione éclata de rire, et suivit Ron qui était rentré dans leur salle commune en colère. La jeune fille le rattrapa, et se planta devant lui. Elle le regarda droit dans les yeux, un léger sourire encor ancré sur son visage, et l'embrassa fougueusement. Ron ne voulait pas répondre au baiser, il voulait bouder jusqu'au bout, mais en sentant l'amour de sa compagne déferler en lui par le simple contact de ses lèvres, il approfondit le baiser. Après quelques minutes, ils se séparèrent enfin, à bout de souffle. Hermione esquissa un nouveau sourire quand elle se blotti dans les bras du jeune rouge et or, et lui murmura à l'oreille :

-C'était hilarant !

Elle releva la tête pour l'observer, elle avait réussi, il bouillonnait intérieurement. Elle adorait le taquiner, quand ses oreilles et tout son visage devenaient écarlate. Elle décida de le calmer, elle le sentait près à exploser, et elle ne voulait pas qu'ils s'engueulent, au contraire, elle voulait profiter du temps qu'ils passaient ensemble. Hermione passa délicatement une main sous le t-shirt de Ron. Elle faisait de lents mouvements, laissant ses doigts effleurer sa peau douce, le faisant frissonner. Elle passa une main derrière sa nuque ( sa nuque à lui) et le fixa intensément. Son regard était plein de tendresse, elle avait l'air de s'excuser, et Ron adorait se regard, on aurait dit une enfant de 5 ans qui à fait une bêtise, et qui voulait se faire pardonner par ses parents. Il mit ses mains autour de ses hanches, et la ramena un petit peu plus contre lui, et l'embrassa langoureusement.

- Je voulais seulement te taquiner. Murmura Hermione après avoir rompu le baiser.

Quelques minutes plus tard, Harry et Drago sortirent de la chambre de ce dernier. Ils avaient l'air assez mal réveiller. Ron les détailla et leur demanda joyeusement :

-A quelle heure vous êtes vous couchés pour vous lever aussi tard ?

Harry détourna immédiatement les yeux, et fixa intensément le bout de ses chaussures. Il avait viré au rouge pivoine, et ses joues étaient en feu. Drago, amusé par la gêne de son amant se redressa, et dit, un sourire narquois aux lèvres :

-Le problème n'est pas l'heure ou l'on s'est couché, mais plutôt celle à laquelle on s'est endormi.

Après ce petit échange piquant, aucun des quatre adolescents ne parla. Seulement Ron, qui dit qu'il fallait aller manger. A table, plusieurs regards plutôt explicites s'échangeaient entre les deux couples. Hermione était plongée dans ses pensées, quand elle sentit un soudain poids sur ses épaules. Gynni venait d'arriver dans la grande salle, et lui avait sauté au coup. Les deux jeunes filles se firent la bise, et commençaient à parler entre elle, quand leurs copains respectifs ( c'est à dire Ron et Dean) firent remarquer leur présences en se raclant la gorge. Elles arrêtèrent de parler, et se tournèrent vers leurs compagnons. Ce fut Gynni qui prit la parole en première.

- Désolée les gars, mais 'Mione et moi devons partir.

Ron poussa un grognement que seul Hermione entendit, et la retint par le poigné. Elle se pencha vers lui, et lui déposa un innocent baiser sur les lèvres.

- Ne fait pas la tête mon ange, mais si tu veux que ta sœur et moi soyons irrésistibles se soir, il faut qu'on passe une aprem entre filles pour ce préparer.

« Tu n'as pas besoin de vêtements pour être irrésistible, lui transmit Ron par télépathie ». Elle lui donna un coup de coude dans les côtes. Un instant plus tard, ses oreilles avaient virées à l'écarlate, et il fixait nerveusement Dean, qui embrassait sa petite sœur.

- Ron qu'est ce qui ce passe ?

- Imagine, chuchota-t-il à l'oreille d'Hermione, que Dean à pensé à la même chose que moi.

- T'en fait pas, Gynni est assez grande pour décider de ce qu'elle a envie de faire ou pas. Tu sais très bien que ta sœur a un fort caractère, et elle ne se laisse pas faire comme ça !

Sur ces mots, Hermione déposa un baiser sur le nez de Ron, et entraîna Gynni vers la sortie. Les deux jeunes filles passèrent récupérer quelques affaires de la rouquine dans la tour des Griffondor avant de se rendre dans la chambre de la préfète en chef. Elles passèrent l'après midi à se préparer, discuter et rigoler. Elles passaient sans arrêt de la chambre à la salle de bain, en prenant garde à chaque fois qu'il n'y ait aucun garçons dans la salle commune. A 19h45, elles étaient enfin prêtes. Les deux rouge et or se mirent face à face, et se regardèrent, toutes souriantes.

- Tu es magnifique ! s'exclamèrent-t-elles en même temps.

Elles sortirent de la chambre, et descendirent dans le hall, ou Dean, Ron, Harry et Drago les attendait. Lorsqu'ils les virent descendre les marches, Ron et Dean les regardèrent les yeux brillant. Gynni portait une robe rouge qui lui arrivait aux genoux, de fines bretelles passaient sur ses épaules. Ses cheveux roux d'habitude lissent, avaient été bouclés, et retombaient en cascade sur ses épaules. La jeune fille descendit la dernière marche, et se lova dans les bras de son petit ami.
Ron regarda Hermione de bas en haut, tandis qu'elle descendait à son tour l'escalier de pierres. Elle avait des chaussures à talons ouverts rose pâle avec des lacets qui entouraient ses fines jambes. Sa robe était de la même couleur, et s'arrêtait à mis cuisses. Sa poitrine était mise en valeur par un décolleté plongeant. Ses cheveux étaient attachés en chignon, et quelques mèches ondulées retombaient gracieusement sur ses épaules.
Ron prit Hermione par la main, et la fit tourner pour pouvoir la contempler encor plus. Quand elle s'arrêta de tourner, la jeune fille se retrouva face à Ron, qui avait l'air très à l'aise, ce qui surpris Hermione. En général, il rougissait dans de telles circonstances, mais là non. Elle se mit à penser qu'elle n'était peut-être pas si jolie que Gynni le prétendait, jusqu'à ce que Ron lui dit :

- Tu es magnifique mon ange !

- Toi aussi, tu es beau ! Lui répondit-elle en rougissant.

« Mais c'est pas vrai 'mione ! Qu'est ce qui t'arrive ! Pourquoi t'es gêné, c'est ton petit ami, ce réprimanda-t-elle intérieurement ». Les trois couples étaient enlacés, en bas des escaliers de pierre quand ils entendirent un grincement, et des cris de joies. Ils se retournèrent, et virent que les imposantes portes en chêne de la grande salle étaient en train de s'ouvrir. Les élèves se bousculaient pour pouvoir rentrer. Quand ils pénétrèrent dans la salle, Hermione, Ron, Drago et Harry furent époustouflés. Jamais ils n'auraient cru que la grande salle, d'habitude aussi chaleureuse puisse paraître si :

- Effrayant ! Lâcha Neville qui venait de les rejoindre.

La pièce était beaucoup plus sombre qu'à son habitude. Les flammes des bougies vacillaient, comme si il y avait du vent. Les tables magnifiques tables des différentes maisons avaient étés enlevés, et de vieux canapés miteux avaient étés disposés contre les murs. Il y avait des arbres, qui avaient poussés un petit peu partout, faisant des dégâts dans le sol. Hermione serra la main de Ron, et ils avancèrent à petits pas dans cette endroit lugubre. Au bout de quelques secondes, Ron poussa un cri aigu, et passa frotta énergiquement la tête avec ses mains. Sa petite amie le regarda, inquiète. Puis quand elle vit que d'autres élèves faisaient comme lui, elle rigola. Elle prit sa baguette qu'elle avait mit dans la poche de son petit ami, la pointa sur sa tête (à lui) et prononça le sort « finite incantatem ». Il la regarda un instant, cherchant ce qui s'était passé. Il avait déjà vu ça quelque part, mais impossible de se rappeler ou. Jusqu'à ce qu'il entende un élève à moitié mort de rire s'écrier : « VIVE LES INVENTIONS DES JUMEAUX WEASLEY ! ». Il se souvint alors qu'une fois, pendant les vacances d'été de sa cinquième année, en rentrant dans sa chambre il avait eu traversé une toile d'araignée. Et il avait alors sentit plein d'araignées marcher sur sa tête. Il s'était acharné sur ses cheveux, devant ses deux frères complètement morts de rire, jusqu'à se qu'il s'évanouisse. Lorsqu'il s'était réveillé, Hermione hurlait sur ses frères. C'était leur nouvelle invention, une toile d'araignée magique. Ron poussa un juron.

Un éclair traversa le ciel nuageux du plafond magique en un craquement sourd, et les bougies s'éteignirent. Hermione se jeta dans les bras de Ron, soudain paniquée par l'obscurité totale de la pièce. Harry et Drago observèrent le ciel noir, sans un mot. « Après tout, tout cela est faux, c'est Halloween, ils essayent de nous effrayer, pensa Harry pour se rassurer ». Le silence envahi peu à peu la salle, les élèves retenaient leur souffle, en attendant ce qui allait se passer. Comme si il avait été appelé par le silence, un dragon de couleurs vert et or apparut sous le plafond magique. Cette créature faite d'étincelles crachait de longues flammes jaune et rouge. Les élèves se baissèrent quand l'animal les frôla de ses longues ailes. Le dragon volait toujours, quand trois énormes soleils rose apparurent à ses côtés, ils fendaient les airs dans un sifflements assourdissants. Le dragon volait gracieusement, et slalomait entre les soleils qui s'étaient immobilisés. Il disparu en entrant dans un mur. Des fusées aux longs sillages argentés entrèrent en collision avec les soleils, ce qui donna des millier d'étincelles rose et argentées qui brillèrent dans le ciel durant plusieurs minutes.

Lorsque les ciel redevint noir, les bougies se rallumèrent, et les arbres laissèrent place à une piste de danse. Au fond de la salle, il y avait un nuage de fumé. On pouvait désormais y apercevoir les silhouette des professeurs Dumbledore, Rogue et Mc Gonagal. Il y avait avec eux deux silhouette masculine, grandes et fines. Quand le nuage de fumée fut complètement dissipé, des hurlements de joies s'élevèrent de la grande salle. Fred et George Weasley se tenaient entre Albus et Minerva. Ils étaient rayonnant, et se remettaient difficilement du fou rire qui les avait prit en observant, cachés dans l'ombre les réactions des élèves. Le directeur prit la parole :

- Cette année, comme vous l'aurez remarqué, les anciens fauteurs de trouble de Poudlard nous ont aidé à organisé ce début de soirée. C'est pourquoi, ils resteront dans l'école pour le reste du week- end. Maintenant, les professeurs, et moi-même allons vous laisser danser, et vous amuser. Nous attendrons les 1ere, 2ème années à 22h30 dans le hall. Les 3ème et 4ème années retourneront dans leurs dortoirs à minuit. Et enfin, les 6ème et 7ème pourrons rester aussi tard qu'ils le souhaiteront.

Le vieux sorcier avança au milieu des élèves vers la grande porte, suivi de ses deux collègues. Les acclamations pour Fred et George redoublèrent. En essayent d'atteindre leur frère, leur sœur et leurs amis, les jumeaux furent attrapés par les élèves qui les escortèrent jusqu'à eux. Quand ils furent reposés à terre, une célèbre chanson des Bizar'sisters retentit, et tout les élèves se précipitèrent sur la piste de danse. Les seuls qui étaient restés avec les les jumeaux étaient les trois couple, Gynni et Dean, Drago et Harry, Hermione et Ron. Les deux farceurs dévisagèrent Thomas, avec un air mauvais. La jeune rousse, se sentant gêné, lâcha sa main et sauta au coup de ses frères.

- Alors petite sœur, tu es bien accompagné à ce que je vois. Dit George en désignant son petit ami.
Fred s'approcha du jeune homme qui avait pali soudainement. Il lui donna une petit claque dans le dos, et dit :

- T'en fait pas Dean, tu nous connais ! Tant que tu lui fait pas de mal, on restera ami !

- Et n'oublis pas, renchéri George, nous sommes Gynni à 5 grands frères sur protecteur.

Bien qu'ils parlaient sur un ton amusés, les Weasley paraissaient tendus. Ils s'approchèrent ensuite du Griffondor et du Serpantard, et leur serrèrent joyeusement la main. Quand ils furent en face de Ron, ils se mirent chacun d'un côté, et lui donnèrent une grosse claque dans le dos, qui lui coupa le souffle quelques secondes.

- Alors petit frère, tu lui a enfin déclaré ton amour, il était temps ! Dit un des jumeaux.

- Maman est ravie ! Renchérit le deuxième.

Hermione s'était un peu mise à l'écart, pour échanger deux mots avec Gynni, quand on l'appela. Elle se retourna, et vit Fred et George qui la sifflaient. Elle rit avec, et alla les rejoindre. Fred la serra dans ses bras, et lui déposa un tendre baiser sur chaque jours, son jumeaux fit pareil.

- Tu es mon elfe préférée ! S'exclama George !

- Evidement, c'est la seule que tu connais ! Gloussa Gynni.

- Tu n'es pas encore totalement un elfe ! Dit Fred, puis il se tourna vers Ron et lui murmura, il faut que tu te mette au travail mon petit Ronnychounet, t'es un homme maintenant !

Ron rougit instantanément, sachant très bien ce que voulait dire son aîné. Ils s'assirent tout les huit sur un des canapés, et regardèrent les autres élèves parler, danser, et manger. A côté de la piste de danse, se trouvait une table rempli de friandises, parmi elles, se trouvaient des « crème canari » et des « praline longue langue ». Ils regardaient tous vers le buffet, quand Parkinson englouti une « crème canari », en même temps que Lavande. La robe de Pansy se déchira durant la transformation, et elle s'enfuit de la salle. La Griffondor, qui n'avait pas remarqué qu'elle venait de se transformé en un gros oiseaux jaune, retourna danser. Quand elle vit que tout le monde se moquait d'elle, elle regarda ses jambes. Elle n'avait plus que des plumes, et ses pieds étaient palmés. Sa jupe et son top en cuire la serraient tellement, qu'elle eut du mal à marcher vers la sortie.

Il était déjà minuit, et aucun d'eux n'avaient bougés de la soirée. Quand il n'y eut plus que les deux dernières années dans la grande salle, les elfes de maison apportèrent des Bière au beurre et des Whisky Pur Feu. Les six jeunes hommes allèrent chercher des boissons.