Cette fic est la première que je publier sur ce site alors soyer indulgent svp! J'espère que ça va vous plaire au début elle était sensé ne faire que un chapitre mais comme toujours je me suis étirer...lol...que voulez vous j'ai l'imagination très fertile et j'ai eu d'autre idée de scénario avec Sirius et Aendre...les autre chapitre devrait venir dans pas longtemps... Bonne lecture Un spécification sur le nom du personnage principal...son nom se prononce Endre le A est muet et il n'y a pas accent sur le E finale.

Callandre

Mot de la bêta-reader :
Salut! Moi je suis la bêta-reader de cette histoire ainsi que la "conseillère" de l'auteure, imaginez-vous donc! Je suis quelqu'un d'important hein? lol! Ouais, c'est la première fois que je fais ça, j'aimerais bien aussi écrire des histoires un de ces jours, même si je ne sais pas si j'égalerais ma copine Calladan ici présente, son histoire est super! Un de ces jours peut-être! En tous les cas, c'était une peut-être- possibilité-de-future-publicité là... Alors voilà, c'est moi, enchantée, j'ai pas de pseudo alors par commodité on va m'appeler mam' Chose pour l'instant lol ça marche? Yéy! Salut là! Bonne lecture!

Première nuit :

Entre chien et chat

Le couloir sud était libre. Sans cependant avoir vérifié trois fois pour être sûre, elle se dirigea le plus vite possible, sans oublier de marcher sur la pointe des pied, vers l'escalier descendant au cinquième étage. Elle ne voulait surtout pas que qui que ce soit l'entende. Ce n'était pas qu'elle avait peur d'avoir une détention; au nombre qu'elle avait eu, elle pourrait en faire une collection. Mais si elle se faisait prendre, elle serait sûrement surveillée, ce qui impliquait d'abandonner ces petites escapades hors du dortoir pour faire une ballade au clair de lune. Comme elle adorait ça, il était hors de question qu'elle se fasse prendre. Il fallait donc redoubler de discrétion.

Tout va bien! Encore trois escaliers à descendre, deux couloir et le hall à traverser et tu seras dehors. À partir de là, plus besoin de faire attention...

Son plan allait comme sur des roulettes: avant le couvre-feu, elle avait fait exploser des pétards fumants dans la salle des trophées, ce qui voulait dire que Rusard allait passer toute la nuit à nettoyer. Une partie d'elle-même regrettait de forcer le vieil homme à laver pour quelque chose qu'elle avait fait, mais la plus grande partie d'elle criait, pour ensevelir sa culpabilité, que c'était bien fait pour lui. Après tout, c'était lui qui la persécutait. Oui, c'est vrai qu'elle avait fait quelques bêtises, mais elle était persuadée que ce qu'elle avait pu faire dans toute sa vie ne dépasserait jamais le nombre de bêtises que les maraudeurs faisaient en une seule journée, et pourtant, eux n'avaient presque jamais de détention. Rusard avait la manie de lui en donner une chaque fois qu'il le pouvait.

J'y suis presque! se dit-elle tandis qu'elle traversait le hall.

Soudain, elle entendit un bruit dans un des escaliers du sous-sol, des bruit de pas. Le marcheur devait être soit très gros soit chargé d'un immense paquet, car il avançait lourdement et on l'entendait se frapper sur tous les murs environnant. Qui ça peut bien être? Ne prenant pas le temps de faire des hypothèses concrètes et plausibles, elle agrippa le sac qu'elle avait porté jusque là et se cacha dans un coin, à l'ombre produite par une grande armoire. Elle aurait sans doute dû foncer vers la porte, mais elle voulait savoir qui était cette personne à la démarche pesante. Si ç'avait été un élève, il aurait fait plus attention à ne pas faire autant de bruit, et qu'est-ce qu'un professeur pourrait bien faire dans ce couloir, il n'y avait pas de classe dedans; en fait tout ce qu'il contenait était un tableau tout à fait normal... Bien sûr, à Poudlard, le terme "normal" n'existait pas mais ce n'était qu'une façon de parler.

Soudain, un immence paquet enveloppé dans une couverture blanche apparut, suivie par deux jambes qui montaient péniblement. La "chose" se tourna et c'est là qu'elle put reconnaître la personne derrière tant de bruit: Sirius Black, rouge d'effort, se dirigeait tranquillement vers l'escalier. Mais d'un coup, il s'arrêta et renifla comme un gros chien le ferait. Il posa son fardeau par terre et fit le tour de la pièce avec ses yeux, toujours reniflant. Puis il avança tranquillement: il se dirigait droit vers elle. Mais comment diable il a su? C'est sûr que d'où il est il ne peut pas me voir! Au moment même où elle se posait la question, une main lui agrippa l'épaule et la fit sortir de l'ombre assez dûrement.

-Ande? En voilà une bonne surprise! Pendant un instant, j'ai cru que c'était James qui voulait me jouer un tour, mais c'est vrai que j'aurais dû reconnaître ton odeur féminine des plus agréables, dit le jeune Black avec un petit sourire qui voulait soit se moquer d'elle, soit la séduire.

Décidant de ne pas prêter attention à son attitude pour ne pas entrer dans son jeu, elle décida d'attaquer plutôt que de défendre. Elle répliqua d'un ton sûr:

-Premièrement, mon nom est Aendre et non pas Ande! Deuxièmement, tu n'as pas intérêt, si tu veux rester en pleine santé, à sentir de trop près et troisièmement, tu pourrais t'excuser de la façon violente dont tu m'as pris l'épaule.

Il la regarda stupéfait pendant un instant. Il est vrai que peu de filles répliquaient à Sirius Black de cette manière, surtout quand il avait ce petit sourire aux lèvres, la plupart ne faisant que baffouiller sans être capable de prononcer le moindre mot, mais certainement pas Aendre. Elle avait de l'honneur et elle avait en elle cette force qui fait que tous les autres élèves la respectaient et parfois même en avaient peur, bien que si on la connaissait, on savait qu'elle était douce et calme. Après que la surprise fut passée, Sirius retrouva son sourire avec encore plus de malice dans les yeux. Il prenait toujours plaisir à ce petit jeu.

-Alors accepte mes excuses les plus humbles, dit ce dernier, toujours plein de malice dans les yeux, je peux t'appeler "mon ange" si tu le veux...

-Tu as déjà beaucoup de chance que je veuille bien que tu m'appelles par mon nom alors contente-toi de ça.

-Mais c'est qu'on on est agressive! Pourquoi tant de frustration par une si belle nuit?

Il avança sa main pour pouvoir lui toucher la joue elle recula vivement.

-Bien, si tu veux tout savoir j'avais des projets pour ce soir et à cause de toi je suis déjà en retard, dit-elle en se dirigeant vers la porte, mais il lui attrapa la main, sans toutefois lui faire mal.

-Écoute, je ne sais pas pourquoi on fait ça, je suis sûr que tous les deux on pourrait devenir de très bons amis.

Cette fois, il n'y avait rien de moqueur dans ses yeux, ce qui la troubla. Il voulait vraiment devenir son ami. Sans répondre, elle dégagea sa main qu'il lui rendit sans résistance, ramassa son sac et sortit à la lumière de la lune. Elle marcha un moment avant d'arriver à son endroit préféré. Elle sortit son balais, le mit de façon qu'elle puisse s'envoler, mais regarda la porte du château. Finalement, elle n'avait pas du tout envie de voler ce soir. Elle laissa son balais tomber au sol, l'herbe amortissant le choc. Elle avança vers l'arbre le plus près et le regarda pendant un moment. C'était un grand hêtre à l'aspect un peu diforme. Elle aimait bien cet arbre. Elle en aggripa la première branche et monta, sachant que la sixième à gauche était bien pour se coucher. Rendue à destination, elle s'assit en accotant son dos au tronc. Elle se mit à penser à toutes sortes de choses et, sans le savoir, s'endormit, mais heureusement pour elle, quelqu'un l'avait suivie et la regarda dormir pendant un bon moment avant de la prendre et tout en la laissant dormir la ramener à la tour.