Auteuse : kenshi-sama ( kenshita@yahoo.fr ) Genre : galère et misère, lime poussé, ooc de 5 et de 13... Couples : 1+2, 3+4 et 5+13 Base : Gundam Wing Disclaiming : les G-boys ne sont pas de mon invention

Chapitre précédent :wufei s'éclate toujours sur une île dessert...pour Heero et Duo, rien ne va plus !

La folie des Gundam.4

Wufei n'avait pas fermer l'œil de la nuit. Il avait tenté de réfléchir à la situation dans laquelle il se trouvait afin d'en trouver une solution, mais en vain. Il était dedans jusqu'au cou et n'avait aucun moyen d'y échapper. La personne qu'il détestait le plus, à le plus joli corps qu'il n'ait jamais vu et tenait la chose à la quelle il tenait le plus. Et s 'il voulait la récupérer, il devait se plier à ses désires pendant deux semaines entières. Il se serait baffé de s'être fait si facilement avoir par ce vil, dégoûtant et grossier personnage. De plus, rien ne lui prouvait qu'il tiendrait parole. Il devait s'en assurer et le plus vite possible. Se levant d'un bond, il se dirigea vers la chambre du maître chanteur, faisant trembler le sol sur ses pas, tel un Godzilla miniature. Le fracassement de la porte contre le mur fît émerger treize de son paisible sommeil. Il se tourna et vit un petit bonhomme se tenant dans l'encadrement de la porte, le visage marqué de rage et infiniment menaçant, en tous cas c'est ce que le pilote devait s'imaginer. Il en était certain. « qu'il est mignon... »ne put-il s'empêcher de remarquer au passage.

-« Lèves-toi, faut qu'ont parle. »

pas de réponse. Le colonel avait déjà refermés les yeux, rendant feinou malade d'impatience. Exaspéré au plus haut point par l'ignorance totale dont le gratifiait la tête châtain dans le lit. Il ressortit sans un bruit de la chambre pour en revernir quelques instants plus tard. S'approchant de la silhouette allongé, il visa le creux de l'oreille qui lui fessait face.

-« o_O kiaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!!!!! non mais tu as perdus la tête ou koi. Attends que je t'attrape pour voir.... ! » wufei venait de lui déverser un verre d'eau glacée sur la tête, et semblait très satisfait de lui même en plus.

-« je n'aime pas qu'on m'ignore.
-t'aurais pu éviter ça si tu t'étais réveillé à ma première visite »

-« dis-moi, as tu essayé la manière douce... ? »

« ^_^ pitié quelqu'un....je vais le tuer sinon ... »

-« tu voulais quelque chose ? »

-« je n'ai pas confiance en toi.
Que-est qui me prouve que tu mens pas en affirmant que tu me rendras Nat- nat ? »

L'expression d'amusement s'estompa du visage de treize. Il était plus que lasse des doutes infondés de cette petite chose. Ainsi, il n'avait pas confiance en sa parole. C'était pire qu'une douche froide. Mais bon, il est bien obliger de faire avec. Le colonel se composa donc le visage stoïque qu'il avait l'habitude de montrer pour se protéger.

-« de toutes les façons, tu n'as pas le choix, Fei. C'est moi qui fais la donne.
-mais tu peux toujours interrompre notre contrat si tu veux revenir sur ta promesse... »

-« c'est pas mon genre. -je veux juste avoir une preuve de ta bonne volonté »

-« c'est toi qui me parle de bonne volonté ?...
-jusqu'à présent, je n'ais pas eus l'impression que tu te tuais à la tâche...
- bien, c'est ton deuxième jours, avec moi, non ...? si je démonter ton armure en 6. et que je te promette de te donner un morceau tous 2 jours, sera tu plus...confiant avec moi ? »

-« ...oui.... »

-« bien entendu, tu aurais des taches en plus. Tu feras tout pour me donner entière satisfaction...nous sommes d'accords?» et le tout avec un sourire de la mort à faire chavirer tous les cœurs sauf celui de cette furie ambulante.

-« ... que veux-tu dire par...entière satisfaction ? »questionna une wufei suspicieux

-« ...arrêtes de faire l'innocent tu veux ! »

-« ...je vois...et que puis-je faire dans l'immédiat pour le bon plaisir de monsieur... » le pilote avait prit un ton aguicheur, et un attitude plus que provocante tout en s'approchant du blond dans son lit. remontant vers lui, il constata a quel point treize pouvait-être émut -« hum...qu'avons nous là, dis-moi... »

-«l'appréhension des 2 semaines à venir...» Sans un mot, il s'assit précisément à cet endroit, à califourchon sur le colonel et commença à s'onduler à un rythme infernal, prenant bien soin de plonger son regard de jade dans les magnifiques yeux bleus de son amant sur contrat. -« ...c'est bon comme ça ?...je le fais bien ?...» le colonel, comme hypnotisé par ce petit être si séduisant, qui avait le don de mettre touts ses sens en feu, était incapable de prononcer le moindre mot et se contenta juste d'un hochement de tête en signe d'approbation.

-« ...alors, qu'attends-tu ?...embrasse - moi...tu en meurs d'envie...non... ? »

Se précipitant pour exécuter les désires du jeune homme, le colonel fût stopper net dans son élan par la magistrale claque qu'il reçut d'un fei exorbitant de colère, et qui se dégagea tranquillement sans une considération pour le bouffon.

-« mais...O_o mais...ça va pas !...voilà que tu recommence... »

-« jusqu'à preuve du contraire, mes fesses sont à moi.
-c'est moi qui décide quand je serais disposé à faire des cochonneries avec toi et non le contraire »

-« _ ben moi je dirais que tu n'es qu'une petite allumeuse
-viens par - là... » le colonel dans un état plus que second s'empara du bras de wufei avant qu'il ne soit hors de porté et le fit basculer dans l'immense lit. Tentant avec toutes les peines du monde à calmer le diable de Tasmanie qui le lacérait littéralement sur place.

-« arrêts bon sang, ça ne sert strictement à rien.
-tu vas y passer ...et tout de suite Amour »

-« lâche-moi ou je mords... »

-« tu oublis que moi aussi j'ai des dents, et impeccables en plus alors fais pas le malin »

-« si tu ne me lâche pas immédiatement tu ne pourras plus jamais avoir de descendant dans moins d'une minute »

-« tu ose... ? -tu es vraiment trop insolant. Il va falloir que je prenne des mesures strictes et très vite j'ai été très gentil jusqu'à présent mais je constate que ça ne donne absolument rien. Et puis... pour ce qui est de la descendances, ce n'est pas bien grave vu mes orientations sexuel gros malin»

-« vas-y ! je te mets au défi de ma dresser. -d'autres s'y sont butés avant toi et je reste pareille à moi même ! »

-« c'est parce qu'ils ne s'y prenaient pas de la bonne manière. -tu vas voir quand tu vas goûter à ma méthode. Tu regrettera très vite de ne pas m'avoir écouter comme je te l'ais déjà si aimablement demandé. -alors, tu te décide... ? »

-« oui... va te faire...kiaaaah » .

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assit à table pour le petit dej', Quatre observait attentivement par - dessus son bol de chocolat, le petit manège de ses amis, tentant sans grands succès de donner l'apparence d'un couple heureux. Heero ne semblait pas être entrain de jouer mais, le plus sensible des pilotes avait remarqué depuis plusieurs jours que Duo était loin d'être aussi heureux qu'il le prétendait devant Trowa et lui. Le natté se renfermait un plus sur lui-même chaque jour, s'éloignant par la même occasion de son compagnon. Quatre sentait bien que l'amour qui à pu les unirent n'était plus aussi fort du coté de Duo. Il semblait tout faire pour se dégager de l'emprise de son compagnon. Le plus grave étant le fait qu'il envisageait de se couper sa longue tresse. Ils savaient tous pertinemment que Duo adorait sa natte et qu'il en était très fier. Ensuit, il y'avait le fait que Duo ne répondait plus que par monosyllabe et n'était plus le bavard farceur qu'ils avaient connus. Et pour boucler le tous, Heero ne le lâchait plus d'un poil. Il voulait sans cesse être avec lui, savoir ce qu'il faisait, avec qui il était... Le parfait crétin ne se rendait-il pas compte qu'il risquait de le perdre s'il continuait à l'étouffer de la sorte ? Si Heero voulait lui montrer qu'il l'aimait c'était plus que raté. Toute cette histoire débuta avec le départ de wufei et quatre se demandait quel rapport cela pouvait bien avoir avec l'état de jalousie chronique d'Heero envers son doudou. Il avait du mal à croire que c'était bien ce garçon nombriliste qui se tenait devant lui. Il ne se scotchait plus devant l'écran de son ordinateur pendant des heures d'affilées, trop absorbé à surveiller les moindres faits et gestes de Duo. Ça en devenait carrément maladive. Le blond comprit qu'il devait remédier à une telle situation avant que ne survienne une tragédie, qui fermerait ses rideaux sur les deux amants maculés de sang, victime d'une folie nommée jalousie.

-« ben, dis-donc mon petit Quatre !...ça promet hein...
tu vas souffrire sur ce coup, mais tu es le best, tu peux y arriver...tu peux le faire... » s 'auto-motiva Quatre à la perspective de la mission qui l'attendait.

A suivre

ciao !