Auteuse : Kenshi-sama ( kenshita@yahoo.fr )
Genre : OOC, Yaoi, mensonges, je t'aime moi non plus...
Couples : 1+2, 3+4 et 5 +13
Base : Gundam Wing
Disclaiming : les G-boys ne sont pas de mon invention
Chapitre précédent : Wufei se fait dresser.
La folie des Gundam 7
(ou l'enfer de wufi)
Fei était totalement abasourdit par tous ce matériel dont Treize disposait. La salle comprenait prés d'une centaine d'ordinateurs tous reliés à des câbles interminables pour finir, sans doute, dans un méli-mélo grandiose derrière les murs. Heero serai parfaitement dans son élément ici. Fei voulu composer le numéro de la maison de Quatre mais il se rendit compte que Satan l'observait béatement.
-« tu ne voudrai pas que je te rapport leurs têtes sur un plateau, ça t'épargnerai bien des tracas, non ? -.....je ne peux pas te monter le numéro de l'endroit où ils sont »
-« ...je suppose que tu veux parler de la maison du petit blond en nouvelle- Louisine...1] -je sus que vous y étiez à l'instant où vous y aviez mis les pieds... -...tu me sous-estimes beaucoup trop, je suis un pur génie... »
Le pilote se doutait déjà de ce dont le colonel venait de parler. Il est pire qu'une chien de chasse qui hume l'odeur de sa proie, en l'occurrence, lui. Il ne discuta donc plus et passa son coup de fils. Pendant que le téléphone sonnait, il se demanda ce qu'il allait bien pouvoir dire pour rassurer ses compagnons. Au bout de plusieurs sonneries, c'est Heero qui répondit et lança un « hm » très familier a wufei.
-« salut Heero, c'est fei. Je vous appel en coup de vent pour prendre des nouvelles...»
-« ça va nous...toi tu es où ? -j'en connais qui chialent beaucoup parce que tu as disparu... » il se tourna vers Duo pour qu'il puisse bien comprendre à qui il fessait référence. Celui-ci lui servit un regard à faire friser les cheveux avant de lui arracher le combiné des mains
-« Fei c'est Duo. Tu n'as rien ? »
-« ne te fais pas de soucis Duo, je vais plus que bien. J'avais juste besoin d'un peu de... solitude » pour la solitude, il était servit, ce dit- il. -comment vont les autres ?»
-« ils sont à Hawaï, ça fait un bout de temps déjà »
-« et qu'est-ce qu'il font là-bas ? C'est une mission...vous avez besoin de moi ? »
-« nan t'en fais pas. C'est pour mieux se plotter qu'ils sont partis. - dis-nous ou tu es ...? - tu compte revenir ...hein... ?»
-« Bien sûr que je reviendrai, mais pour l'instant je me repose...chez un...vieil...ami » Treize faillit pouffer de rire. Le pauvre pilote ne pouvait serte pas dire à ces camarades de bataille au robots géants, qu'il était l'amant de leurs ennemi, mais de là à dire qu'ils étaient amis, c'était vraiment plus qu'il ne pouvait en supporter. Voyant que ça allait dégénérer, Fei prétexta un problème de liaison avec la ligne pour raccrocher.
-« bien...maintenant que tu as fini avec le téléphone, le bain. »
Un sourire étira les lèvres du pilote quand il entendit le mot « bain ». Ca avait fait tilt dans sa tête. En effet, il adorait se languire pendant de longues heures dans l'eau bouillante depuis que Treize l'obligeait à jouer dans l'eau avec lui et ses petits canards en plastiques. Il trouvait criminel d'avoir une baignoire comme la sienne et de ne pas en profiter plus souvent.
Son séjour touchait presque qu'à sa fin avec le Satyre pas aussi satyre. Il ne leurs restaient plus que trois jours avant de ce quitter pour de bon, le contrat touchant à sa fin avec ces trois jours et la restitution de son Nataku chéri. Le pilote ne pouvait empêcher une certaine nostalgie de s'installer en lui quand il repensait aux moments passés en compagnie de Treize. En tête-à-tête, il n'était pas du tout comme l'homme que fei avait imaginé. C'est à dire, froid, ne laissant paraître aucune émotion, ne pensant qu'à la guerre et au pouvoir. Tiens...c'est drôle comme ça pouvait lui rappeler quelqu'un... En fin bref, il avait choisi de faire confiance au colonel pour qu'il lui rende son armure peu de temps avant l'échéance du pacte. Et apparemment il avait eut raison car le colonel tenait paroles.
C'est étrange comme il avait l'air excité par la visite qu'ils allaient avoir. Fei ne pût avorter la question qui lui trottait dans la tête depuis qu'il lui avait annoncé la nouvelle.
-« dis Treize , qui va rapporter Nataku ? -c'est une personne de confiance... ? »
Le blond resta figé quelques instants. C'était la première fois qu'il l'appelait par son prénom. Peut est-être lui restait-il un peu d'espoir quant aux sentiments de Fei. Il était arrivé à jouer les indifférents et les méchant depuis qu'il était là, pour ne pas trop le déstabiliser. Maintenant ils commençaient à se découvrir et il avait la sensation que le petit Brun commençait à l'apprécier aussi. Sortant de sa réflexion, il réalisa que Fei attendait toujours sa réponse, le regardant fixement dans les yeux.
-« en faite, je le considère comme mon meilleur ami. -si tu le connaissais mieux, tu l'adopterais aussi, même s'il est un peu bizarre sur les bords. -c'est un chevalier comme moi. »
-« ...autrement dit : arrogant, qui se croit tout permis, méchant, sanglant etc.....? »
Le colonel lui sourit. Mais que voyait-il ? Il lui a semblé voir un lège mouvement étirer la bouche de Fei, qui dura à peine une fraction de seconde. Le cas n'était peut-être pas aussi désespéré, se dit Treize avant de se saisir de ce petit bout trop craquant qui se tenait devant lui et le jeta à travers ses épaules
Et c'est là que tout dégénéra. Le Diable de Tasmanie fît son come-back. Saisissant une touffe de cheveux du blond, fei les tira en arrière pour qu'il le relâche. Mais rien à faire. Au lieu de le descendre, il lui colla une claque sur ses fesses, le faisant lâcher prise aussi tôt.
-« Amour...voici une autre règle de conduite pour toi. -...ne jamais...au grand jamais tiré mes cheveux ...sinon...»
-« ...alors pose-moi. -ce n'est pas parce que je suis petit que tu dois me porter à chaque fois que tu en a l'occasion. -je ne suis plus un enfant » rumina le brun entre ses dents, très vexé de la manière dont on le traitait.
-« ...heureusement que tu n'en es plus un... -sinon...ne me dis pas que tu souffres d'un complexe par rapport à ta taille... »
-« ...NAN...j'ai jamais dis une chose pareille. -je t'interdis de transformer mes mots... »
-« tant mieux, parce que...tu es vraiment trop mignon tu sais... ?
Wufei s'était habitué à entendre ces mots depuis qu'il était ici, mais il ne pouvait s'empêcher de rougir à chaque fois que le colonel les prononçaient en le regardant de cette façon, dont lui seul avait le secret et pour son plus grand plaisir.
-...mais dis-moi, viens-tu de m'interdire quelque chose, juste à l'instant ... ??
Le pauvre Fei ne connaissait que trop bien ce regard pour y avoir fait face tant de fois. Par conséquent, il savait qu'il ne servirai à rien d'oser reprendre les propos qu'il lui à lancer si il voulait pouvoir s'asseoir. Déjà qu'il allait y passer dans le bain, inutile de raviver son ardeur envers lui.
-« ...qui çà...moi... ? -...j'ai dis une chose pareille ?? -non...ton esprit doit te jouer de vilains tours... »
-« je vois...mais pas de chance, je préfère croire que tu a bien osé... -..Tu connais le tarif...allons, pas de résistance, ça serai une perte de temps. »
Ce sourire sadique indiquait un très mauvais présage au pilote. Pour ce libérer du grand méchant loup, il le mordit dans le cou, de manière assez inoffensive mais ferme, provoquant une petite réaction de surprise chez le colonel qui relâcha sa pression et lui permit de sauter à terre des épaules de Treize.
De là, s'ensuit une demi-heure de couse poursuite et de cache-cache dans toute la villa pour la plus grande satisfaction du colonel qui se prenait pour un chasseur, parti à la recherche de son Amour de pilote avec une petite touffe de queue et des grandes oreilles pour tirer dessus.
Il ne tarda absolument pas à le trouve, le lapin s'étant jeté de lui-même dans les filets du chasseur, ou la salle de bain dans leurs cas, planqué derrière le rideau de douche et laissant dépasser ses petite pattes. Il n'eut donc plus qu'à fermer la porte et d'enlever les clefs pour profiter longuement du corps de ce petit lapin très coquin.
A suivre
La folie des Gundam 7
(ou l'enfer de wufi)
Fei était totalement abasourdit par tous ce matériel dont Treize disposait. La salle comprenait prés d'une centaine d'ordinateurs tous reliés à des câbles interminables pour finir, sans doute, dans un méli-mélo grandiose derrière les murs. Heero serai parfaitement dans son élément ici. Fei voulu composer le numéro de la maison de Quatre mais il se rendit compte que Satan l'observait béatement.
-« tu ne voudrai pas que je te rapport leurs têtes sur un plateau, ça t'épargnerai bien des tracas, non ? -.....je ne peux pas te monter le numéro de l'endroit où ils sont »
-« ...je suppose que tu veux parler de la maison du petit blond en nouvelle- Louisine...1] -je sus que vous y étiez à l'instant où vous y aviez mis les pieds... -...tu me sous-estimes beaucoup trop, je suis un pur génie... »
Le pilote se doutait déjà de ce dont le colonel venait de parler. Il est pire qu'une chien de chasse qui hume l'odeur de sa proie, en l'occurrence, lui. Il ne discuta donc plus et passa son coup de fils. Pendant que le téléphone sonnait, il se demanda ce qu'il allait bien pouvoir dire pour rassurer ses compagnons. Au bout de plusieurs sonneries, c'est Heero qui répondit et lança un « hm » très familier a wufei.
-« salut Heero, c'est fei. Je vous appel en coup de vent pour prendre des nouvelles...»
-« ça va nous...toi tu es où ? -j'en connais qui chialent beaucoup parce que tu as disparu... » il se tourna vers Duo pour qu'il puisse bien comprendre à qui il fessait référence. Celui-ci lui servit un regard à faire friser les cheveux avant de lui arracher le combiné des mains
-« Fei c'est Duo. Tu n'as rien ? »
-« ne te fais pas de soucis Duo, je vais plus que bien. J'avais juste besoin d'un peu de... solitude » pour la solitude, il était servit, ce dit- il. -comment vont les autres ?»
-« ils sont à Hawaï, ça fait un bout de temps déjà »
-« et qu'est-ce qu'il font là-bas ? C'est une mission...vous avez besoin de moi ? »
-« nan t'en fais pas. C'est pour mieux se plotter qu'ils sont partis. - dis-nous ou tu es ...? - tu compte revenir ...hein... ?»
-« Bien sûr que je reviendrai, mais pour l'instant je me repose...chez un...vieil...ami » Treize faillit pouffer de rire. Le pauvre pilote ne pouvait serte pas dire à ces camarades de bataille au robots géants, qu'il était l'amant de leurs ennemi, mais de là à dire qu'ils étaient amis, c'était vraiment plus qu'il ne pouvait en supporter. Voyant que ça allait dégénérer, Fei prétexta un problème de liaison avec la ligne pour raccrocher.
-« bien...maintenant que tu as fini avec le téléphone, le bain. »
Un sourire étira les lèvres du pilote quand il entendit le mot « bain ». Ca avait fait tilt dans sa tête. En effet, il adorait se languire pendant de longues heures dans l'eau bouillante depuis que Treize l'obligeait à jouer dans l'eau avec lui et ses petits canards en plastiques. Il trouvait criminel d'avoir une baignoire comme la sienne et de ne pas en profiter plus souvent.
Son séjour touchait presque qu'à sa fin avec le Satyre pas aussi satyre. Il ne leurs restaient plus que trois jours avant de ce quitter pour de bon, le contrat touchant à sa fin avec ces trois jours et la restitution de son Nataku chéri. Le pilote ne pouvait empêcher une certaine nostalgie de s'installer en lui quand il repensait aux moments passés en compagnie de Treize. En tête-à-tête, il n'était pas du tout comme l'homme que fei avait imaginé. C'est à dire, froid, ne laissant paraître aucune émotion, ne pensant qu'à la guerre et au pouvoir. Tiens...c'est drôle comme ça pouvait lui rappeler quelqu'un... En fin bref, il avait choisi de faire confiance au colonel pour qu'il lui rende son armure peu de temps avant l'échéance du pacte. Et apparemment il avait eut raison car le colonel tenait paroles.
C'est étrange comme il avait l'air excité par la visite qu'ils allaient avoir. Fei ne pût avorter la question qui lui trottait dans la tête depuis qu'il lui avait annoncé la nouvelle.
-« dis Treize , qui va rapporter Nataku ? -c'est une personne de confiance... ? »
Le blond resta figé quelques instants. C'était la première fois qu'il l'appelait par son prénom. Peut est-être lui restait-il un peu d'espoir quant aux sentiments de Fei. Il était arrivé à jouer les indifférents et les méchant depuis qu'il était là, pour ne pas trop le déstabiliser. Maintenant ils commençaient à se découvrir et il avait la sensation que le petit Brun commençait à l'apprécier aussi. Sortant de sa réflexion, il réalisa que Fei attendait toujours sa réponse, le regardant fixement dans les yeux.
-« en faite, je le considère comme mon meilleur ami. -si tu le connaissais mieux, tu l'adopterais aussi, même s'il est un peu bizarre sur les bords. -c'est un chevalier comme moi. »
-« ...autrement dit : arrogant, qui se croit tout permis, méchant, sanglant etc.....? »
Le colonel lui sourit. Mais que voyait-il ? Il lui a semblé voir un lège mouvement étirer la bouche de Fei, qui dura à peine une fraction de seconde. Le cas n'était peut-être pas aussi désespéré, se dit Treize avant de se saisir de ce petit bout trop craquant qui se tenait devant lui et le jeta à travers ses épaules
Et c'est là que tout dégénéra. Le Diable de Tasmanie fît son come-back. Saisissant une touffe de cheveux du blond, fei les tira en arrière pour qu'il le relâche. Mais rien à faire. Au lieu de le descendre, il lui colla une claque sur ses fesses, le faisant lâcher prise aussi tôt.
-« Amour...voici une autre règle de conduite pour toi. -...ne jamais...au grand jamais tiré mes cheveux ...sinon...»
-« ...alors pose-moi. -ce n'est pas parce que je suis petit que tu dois me porter à chaque fois que tu en a l'occasion. -je ne suis plus un enfant » rumina le brun entre ses dents, très vexé de la manière dont on le traitait.
-« ...heureusement que tu n'en es plus un... -sinon...ne me dis pas que tu souffres d'un complexe par rapport à ta taille... »
-« ...NAN...j'ai jamais dis une chose pareille. -je t'interdis de transformer mes mots... »
-« tant mieux, parce que...tu es vraiment trop mignon tu sais... ?
Wufei s'était habitué à entendre ces mots depuis qu'il était ici, mais il ne pouvait s'empêcher de rougir à chaque fois que le colonel les prononçaient en le regardant de cette façon, dont lui seul avait le secret et pour son plus grand plaisir.
-...mais dis-moi, viens-tu de m'interdire quelque chose, juste à l'instant ... ??
Le pauvre Fei ne connaissait que trop bien ce regard pour y avoir fait face tant de fois. Par conséquent, il savait qu'il ne servirai à rien d'oser reprendre les propos qu'il lui à lancer si il voulait pouvoir s'asseoir. Déjà qu'il allait y passer dans le bain, inutile de raviver son ardeur envers lui.
-« ...qui çà...moi... ? -...j'ai dis une chose pareille ?? -non...ton esprit doit te jouer de vilains tours... »
-« je vois...mais pas de chance, je préfère croire que tu a bien osé... -..Tu connais le tarif...allons, pas de résistance, ça serai une perte de temps. »
Ce sourire sadique indiquait un très mauvais présage au pilote. Pour ce libérer du grand méchant loup, il le mordit dans le cou, de manière assez inoffensive mais ferme, provoquant une petite réaction de surprise chez le colonel qui relâcha sa pression et lui permit de sauter à terre des épaules de Treize.
De là, s'ensuit une demi-heure de couse poursuite et de cache-cache dans toute la villa pour la plus grande satisfaction du colonel qui se prenait pour un chasseur, parti à la recherche de son Amour de pilote avec une petite touffe de queue et des grandes oreilles pour tirer dessus.
Il ne tarda absolument pas à le trouve, le lapin s'étant jeté de lui-même dans les filets du chasseur, ou la salle de bain dans leurs cas, planqué derrière le rideau de douche et laissant dépasser ses petite pattes. Il n'eut donc plus qu'à fermer la porte et d'enlever les clefs pour profiter longuement du corps de ce petit lapin très coquin.
A suivre
