Auteuse : Kenshi-sama ( kenshita@yahoo.fr )
Genre : petite discussion entre amis.
Couples : 1+2, 3+4 et 5+13
Base : Gundam Wing
Disclaiming : les G-boys ne sont pas de mon invention
Chapitre précédent : fini, la belle au bois dormants (version masculine).
La folie des Gundam 9.
(Ou l'enfer de wufi )
Dix-huit heures tapantes, Wufei entendait un bruit qui sonnait comme une douce mélodie à ses oreilles. Il était enfin là, l'invité de Treize, et avec son Nataku bien aimé. Le petit pilote se précipita vers l'entrée de l'immense demeure. Il serait tout à fait incapable t'attendre que l'arrivant ne vienne tranquillement à lui. Sautillant les marches deux par deux, il traversa la cours telle une flèche et se lança en direction de la plage.
Shenlong. Wufei n'en croyais pas ses yeux. Il se tenait enfin là, devant lui, du haut de ces 16 mètres. Quel criminel ce Treize d'avoir osé toucher à son dieu dragon. Il couru à vive allure jusqu'à l'endroit ou le Wing c'était posé. Shang ne tenait plus sur place. Il se mit à scruter de long en large son cher Nataku pour constater les éventuelles égratignures à faire payer au colonel.
Il ne se souciait guère de l'identité du pilote jusqu'à ce que le coque- pite ne se déclenche. Alors, il s'interrompit et fixa la rampe de décente. Mais personne ne sortit avant un bon bout de temps, cherchant sans doute à augmenter le suspense sur son nom.
A force de gambader dans tout les sens d'impatient, Fei trébucha. Il se sentit soutenir par des bras puissants qui ne lui étaient pas inconnus, apparemment ceux de Treize, venu sans doute à la rencontre de cette tête brûlée en personne. Mais la personne installé aux commandes de Nataku se décida enfin a sortir, infligeant un sacré coup à Wufei.
-« nan, mais tu est complètement barge Treize ?! -qu'est-ce que ce fou fiche ici... -tu as décidé de me tuer, c'est bien ça... ? » Hurla Fei au bord de la crise de nerf en voyant l'homme approcher d'eux à pas reposés comme dans son habitude.
Le pilote avait encore plus cet homme en horreur à cause de son arrogance masquée et de son attitude hautaine. Cet homme, c'était l'héritier de Cinq. Il est vrai qu'il se distinguait facilement dans une foule avec sa grande taille et ses magnifiques cheveux blond platine, caractéristique des ethnies nordiques. Il disposait en plus d'un charisme charmeur et d'un sex- appeal grandiose. Et il en était conscient. Il manipulait sans cesse les gens en les séduisant pour mieux les asservires. Dire qu'il porte le doux nom de Peacecraft. Il n'en fait malheureusement pas honneur.
-« calme-toi Amour. -je sais que tu le déteste, mais c'est la seule personne en qui j'ai confian... Il s'attira un regard haineux avant même d'avoir pu finir sa phrase, de la part du pilote. -...heu...je veux dire, après toi. »
Un long filet de sueurs froid descendit le long de l'échine du colonel. Il est vrai qu'il devait faire très attention à la manière dont il parlait devant le petit monstre sinon il risquait de fort bien le regretter. L'arrogance de Milliardo n'était qu'une façade. Seule lui et sa peste de sœur le savaient. Il était parfaitement différent en privé. Les gens ne se rendent pas compte à quel point il est difficile d'assumer le rôle d'hériter d'un royaume tel que celui de Cinq. Le roi a du se battre pour le regagner et le reconstruire jusqu'à la dernière pierre. Mais ça, Fei ne pouvait le comprendre qu'en passant quelque temps avec Zech.
Le blond arriva à eux dans une démarche nonchalante. Habiller de son uniforme de général qui le donnait une apparence noble et imposante.
-« il faut bien s'appeler Treize pour me tirer de mon trône et trimbaler une armure boueuse à travers les océans. -...dire que je fais tous ça parce que tu t'es amouraché d'une salop. »
Wufei ouvrit de grands yeux en direction de Treize, le questionnant mentalement s'il avait bien tout saisit. Mais il n'y avait pas d'erreurs possibles. Il venait bien de se faire traiter de salop. Et par ce grand machin en plus.
L'instant d'après, le pilote se vit mettre à l'écart par les deux compère qui se jetèrent dans les bras l'un de l'autre pour des salutations a n'en finissaient plus. A bout de nerf, wufei leurs hurla de cesser immédiatement leur cirque.
-« c'est bientôt fini vos sérénades stupides. - On n'a pas toute la journée. » Sur ceux, il accorda son attention à son Natuku. Remarquant plusieurs taches sur celui-ci, Fei péta littéralement un câble. Ce fut Zech qui s'attira son courroux vu qu'il devait en avoir la charge pendant tout ce temps. Après avoir cracher toutes les insultes qu'il avait en tête à la figure de Milliardo, il enleva son débardeur pour s'attaquer personnellement aux vilaines tâches qui avait eu l'audace d'élire le grand Shenlong comme domicile.
Treize et Zech, encore sous le choque du toupet de ce jeune homme, se rendants compte qu'il ne servirait à rien de discuter avec lui se retirèrent pour aller se raconter les derniers potins.
******************* Après le dîner, ces deux là continuaient toujours leurs potages comme si de rien n'était. Voilà que ça recommençait. Serait-il toujours voué à être ignoré, se demanda Fei. De toutes les façons, ça n'avait plus d'importance ? Il avait Shenlong entre les mains, et son accord avec le colonel prendra fin demain soir. Il n'avait plus beaucoup a patienté. Il se rendait compte d'avoir été assez bête pour croire que Treize ne se jouerait pas lui, comme d'habitude. Pourtant le blond y mettait tellement de conviction que n'importe qui aurait pût se laisser berner. S'ennuyant ferme à écouter des histoires de jeunesses qui ne le concernait pas, il décida de ce retirer discrètement. Il n'avait pas fait un pas que la voix de ce prétentieux de Milliardo retentit dans la pièce.
-« regards, ton joujou essai de déserter les lieu. ...tu devrais avoir honte de le laisser agir à sa guise de la sorte »
Le petit pilote fît un effort surhumain pour contrôler son envie de pulvériser la vermine qu'était ce Zech. Comment osait-il le traiter de joujou. Il lança un regard d'avertissement en direction de Treize, lui ordonnant silencieusement de faire taire son ami. Dans le cas contraire, il risquait fort bien de le regretter jusqu'à la fin de sa maudite vie.
-« ...Zech, Fei n'est plus mon jouet mais mon amant attitré. » Wufi se sentit prit de vertige. Il écarquillait ses fins yeux dans une expression affolée.
Le colonel commença à se mordre lèvre. Il ne savait comment réagir. A l'avenir, il tournerait sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Mais que ne fût pas sa surprise quand il vît Fei lui lancer un de ses regards aguicheurs. Le colonel se détendit et prit confiance. Le fait que Wufei ne le contredisait était très bon signe.
-« tu parles d'un amant...cette chose n'est rien de plus qu'une garce. confie le moi et je te le dresse en un rien de temps...comme un gentil toutou qu'il est... »
-« c'est toi la garce...Treize fait quelque chose. -c'est ton invité »
-« sais-tu à qui tu parles le morveux... au moins j'ai confirmation que tu es capable de parler. Tu sais faire quoi d'autre...à part donner tes fesse »
Le colonel les observait sans dire mot. Il savait que cette attitude est la manière détourner de l'héritier de Cinq pour montrer son affection à une personne. Et le fait que Milliardo apprécie Wufi était très important pour lui. Finalement, il se décida à interrompre la petite scène au moment ou le pilote, ne pouvant plus se contenir se jeta sur Zech. Ce dernier, sans ménagement s'en était saisis en le décollant du sol et se mît à le secouer comme un prunier. Un malheureux acte qui n'eut pour résultat que d'excité encore plus la rage du pilote qui ne se laissait pas faire.
-« ça suffit les enfants... », Leurs dit le colonel. Constatant que ses paroles ne trouvaient aucuns échos de la part des deux faux-ennemis, il changea de tactique. -« c'est drôle...vous me faite penser à un vieux couple qui se chamaille. -c'est vraiment trop mignons »
Mission accomplit. Wufei et Zech se figèrent en se regardant l'un l'autre avant de se séparer dans un mouvement frénétique, totalement dégoûter par l'imager d'eux deux en vieux compagnon qui s'imposait à eux grâce à ce subtile colonel.
-« si tu ose redire un chose pareille je rentre chez moi sur le champ. » lui balança un Fei hors d'haleine à cause de sa petite intercalation d'avec Milliardo.
-« Le morveux à raison... Quelle horreur... Passé sa vie avec une telle garce...non merci...très peu pour moi. »
Décidément, ce Zech Marquis ne pouvait s'empêcher d'en rajouter une couche. Mais le colonel ne doutait pas qu'il se rendrait compte tôt ou tard que ceci n'était pas l'attitude à adopter avec Wufei à ses propres risques et périls. Treize hésita longuement à le prévenir de surveiller ses arrières pendant la nuit. Milliardo avait la fâcheuse habitude de dormir comme un Ourse et Wufei était capable de tout quand il en tenait rigueurs à quelqu'un.
-« bon...ce n'est pas tout les enfants. Il se fait tard et je suis extenué d'avoir fais la cuisine, tout comme toi Wufei... » tu fais comme chez toi Zech. Nous parlerons demain si tu le veux bien. Ta pièce habituelle est déjà prête. Nous, on va se coucher...tu viens Amour »
Joignant le geste aux mots, il poussa gentiment son amant vers la porte.
-« hé ! Vous deux...n'allez pas me dérangé avec vos bruits cochons la nuit. sinon je fais un décente dans votre chambre pour vous bâillonner et participer à vos ébats... suis-je assez claire ... ? »
-« on ne peut plus claire mon prince » ironisa Treize. Fei ne comprit rien quand il vît les deux hommes éclater de rire avant de se faire un tape amicale. Sur ce, ils disparurent en laissant Zech dans la pièce et se dirigèrent vers les appartements du colonel.
A suivre.
La folie des Gundam 9.
(Ou l'enfer de wufi )
Dix-huit heures tapantes, Wufei entendait un bruit qui sonnait comme une douce mélodie à ses oreilles. Il était enfin là, l'invité de Treize, et avec son Nataku bien aimé. Le petit pilote se précipita vers l'entrée de l'immense demeure. Il serait tout à fait incapable t'attendre que l'arrivant ne vienne tranquillement à lui. Sautillant les marches deux par deux, il traversa la cours telle une flèche et se lança en direction de la plage.
Shenlong. Wufei n'en croyais pas ses yeux. Il se tenait enfin là, devant lui, du haut de ces 16 mètres. Quel criminel ce Treize d'avoir osé toucher à son dieu dragon. Il couru à vive allure jusqu'à l'endroit ou le Wing c'était posé. Shang ne tenait plus sur place. Il se mit à scruter de long en large son cher Nataku pour constater les éventuelles égratignures à faire payer au colonel.
Il ne se souciait guère de l'identité du pilote jusqu'à ce que le coque- pite ne se déclenche. Alors, il s'interrompit et fixa la rampe de décente. Mais personne ne sortit avant un bon bout de temps, cherchant sans doute à augmenter le suspense sur son nom.
A force de gambader dans tout les sens d'impatient, Fei trébucha. Il se sentit soutenir par des bras puissants qui ne lui étaient pas inconnus, apparemment ceux de Treize, venu sans doute à la rencontre de cette tête brûlée en personne. Mais la personne installé aux commandes de Nataku se décida enfin a sortir, infligeant un sacré coup à Wufei.
-« nan, mais tu est complètement barge Treize ?! -qu'est-ce que ce fou fiche ici... -tu as décidé de me tuer, c'est bien ça... ? » Hurla Fei au bord de la crise de nerf en voyant l'homme approcher d'eux à pas reposés comme dans son habitude.
Le pilote avait encore plus cet homme en horreur à cause de son arrogance masquée et de son attitude hautaine. Cet homme, c'était l'héritier de Cinq. Il est vrai qu'il se distinguait facilement dans une foule avec sa grande taille et ses magnifiques cheveux blond platine, caractéristique des ethnies nordiques. Il disposait en plus d'un charisme charmeur et d'un sex- appeal grandiose. Et il en était conscient. Il manipulait sans cesse les gens en les séduisant pour mieux les asservires. Dire qu'il porte le doux nom de Peacecraft. Il n'en fait malheureusement pas honneur.
-« calme-toi Amour. -je sais que tu le déteste, mais c'est la seule personne en qui j'ai confian... Il s'attira un regard haineux avant même d'avoir pu finir sa phrase, de la part du pilote. -...heu...je veux dire, après toi. »
Un long filet de sueurs froid descendit le long de l'échine du colonel. Il est vrai qu'il devait faire très attention à la manière dont il parlait devant le petit monstre sinon il risquait de fort bien le regretter. L'arrogance de Milliardo n'était qu'une façade. Seule lui et sa peste de sœur le savaient. Il était parfaitement différent en privé. Les gens ne se rendent pas compte à quel point il est difficile d'assumer le rôle d'hériter d'un royaume tel que celui de Cinq. Le roi a du se battre pour le regagner et le reconstruire jusqu'à la dernière pierre. Mais ça, Fei ne pouvait le comprendre qu'en passant quelque temps avec Zech.
Le blond arriva à eux dans une démarche nonchalante. Habiller de son uniforme de général qui le donnait une apparence noble et imposante.
-« il faut bien s'appeler Treize pour me tirer de mon trône et trimbaler une armure boueuse à travers les océans. -...dire que je fais tous ça parce que tu t'es amouraché d'une salop. »
Wufei ouvrit de grands yeux en direction de Treize, le questionnant mentalement s'il avait bien tout saisit. Mais il n'y avait pas d'erreurs possibles. Il venait bien de se faire traiter de salop. Et par ce grand machin en plus.
L'instant d'après, le pilote se vit mettre à l'écart par les deux compère qui se jetèrent dans les bras l'un de l'autre pour des salutations a n'en finissaient plus. A bout de nerf, wufei leurs hurla de cesser immédiatement leur cirque.
-« c'est bientôt fini vos sérénades stupides. - On n'a pas toute la journée. » Sur ceux, il accorda son attention à son Natuku. Remarquant plusieurs taches sur celui-ci, Fei péta littéralement un câble. Ce fut Zech qui s'attira son courroux vu qu'il devait en avoir la charge pendant tout ce temps. Après avoir cracher toutes les insultes qu'il avait en tête à la figure de Milliardo, il enleva son débardeur pour s'attaquer personnellement aux vilaines tâches qui avait eu l'audace d'élire le grand Shenlong comme domicile.
Treize et Zech, encore sous le choque du toupet de ce jeune homme, se rendants compte qu'il ne servirait à rien de discuter avec lui se retirèrent pour aller se raconter les derniers potins.
******************* Après le dîner, ces deux là continuaient toujours leurs potages comme si de rien n'était. Voilà que ça recommençait. Serait-il toujours voué à être ignoré, se demanda Fei. De toutes les façons, ça n'avait plus d'importance ? Il avait Shenlong entre les mains, et son accord avec le colonel prendra fin demain soir. Il n'avait plus beaucoup a patienté. Il se rendait compte d'avoir été assez bête pour croire que Treize ne se jouerait pas lui, comme d'habitude. Pourtant le blond y mettait tellement de conviction que n'importe qui aurait pût se laisser berner. S'ennuyant ferme à écouter des histoires de jeunesses qui ne le concernait pas, il décida de ce retirer discrètement. Il n'avait pas fait un pas que la voix de ce prétentieux de Milliardo retentit dans la pièce.
-« regards, ton joujou essai de déserter les lieu. ...tu devrais avoir honte de le laisser agir à sa guise de la sorte »
Le petit pilote fît un effort surhumain pour contrôler son envie de pulvériser la vermine qu'était ce Zech. Comment osait-il le traiter de joujou. Il lança un regard d'avertissement en direction de Treize, lui ordonnant silencieusement de faire taire son ami. Dans le cas contraire, il risquait fort bien de le regretter jusqu'à la fin de sa maudite vie.
-« ...Zech, Fei n'est plus mon jouet mais mon amant attitré. » Wufi se sentit prit de vertige. Il écarquillait ses fins yeux dans une expression affolée.
Le colonel commença à se mordre lèvre. Il ne savait comment réagir. A l'avenir, il tournerait sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Mais que ne fût pas sa surprise quand il vît Fei lui lancer un de ses regards aguicheurs. Le colonel se détendit et prit confiance. Le fait que Wufei ne le contredisait était très bon signe.
-« tu parles d'un amant...cette chose n'est rien de plus qu'une garce. confie le moi et je te le dresse en un rien de temps...comme un gentil toutou qu'il est... »
-« c'est toi la garce...Treize fait quelque chose. -c'est ton invité »
-« sais-tu à qui tu parles le morveux... au moins j'ai confirmation que tu es capable de parler. Tu sais faire quoi d'autre...à part donner tes fesse »
Le colonel les observait sans dire mot. Il savait que cette attitude est la manière détourner de l'héritier de Cinq pour montrer son affection à une personne. Et le fait que Milliardo apprécie Wufi était très important pour lui. Finalement, il se décida à interrompre la petite scène au moment ou le pilote, ne pouvant plus se contenir se jeta sur Zech. Ce dernier, sans ménagement s'en était saisis en le décollant du sol et se mît à le secouer comme un prunier. Un malheureux acte qui n'eut pour résultat que d'excité encore plus la rage du pilote qui ne se laissait pas faire.
-« ça suffit les enfants... », Leurs dit le colonel. Constatant que ses paroles ne trouvaient aucuns échos de la part des deux faux-ennemis, il changea de tactique. -« c'est drôle...vous me faite penser à un vieux couple qui se chamaille. -c'est vraiment trop mignons »
Mission accomplit. Wufei et Zech se figèrent en se regardant l'un l'autre avant de se séparer dans un mouvement frénétique, totalement dégoûter par l'imager d'eux deux en vieux compagnon qui s'imposait à eux grâce à ce subtile colonel.
-« si tu ose redire un chose pareille je rentre chez moi sur le champ. » lui balança un Fei hors d'haleine à cause de sa petite intercalation d'avec Milliardo.
-« Le morveux à raison... Quelle horreur... Passé sa vie avec une telle garce...non merci...très peu pour moi. »
Décidément, ce Zech Marquis ne pouvait s'empêcher d'en rajouter une couche. Mais le colonel ne doutait pas qu'il se rendrait compte tôt ou tard que ceci n'était pas l'attitude à adopter avec Wufei à ses propres risques et périls. Treize hésita longuement à le prévenir de surveiller ses arrières pendant la nuit. Milliardo avait la fâcheuse habitude de dormir comme un Ourse et Wufei était capable de tout quand il en tenait rigueurs à quelqu'un.
-« bon...ce n'est pas tout les enfants. Il se fait tard et je suis extenué d'avoir fais la cuisine, tout comme toi Wufei... » tu fais comme chez toi Zech. Nous parlerons demain si tu le veux bien. Ta pièce habituelle est déjà prête. Nous, on va se coucher...tu viens Amour »
Joignant le geste aux mots, il poussa gentiment son amant vers la porte.
-« hé ! Vous deux...n'allez pas me dérangé avec vos bruits cochons la nuit. sinon je fais un décente dans votre chambre pour vous bâillonner et participer à vos ébats... suis-je assez claire ... ? »
-« on ne peut plus claire mon prince » ironisa Treize. Fei ne comprit rien quand il vît les deux hommes éclater de rire avant de se faire un tape amicale. Sur ce, ils disparurent en laissant Zech dans la pièce et se dirigèrent vers les appartements du colonel.
A suivre.
