Auteuse : Kenshi-sama ( kenshitayahoo.fr )

Genre : Humour, Voyeurisme, Limon

Couples : 12, 34 et 513

Base : Gundam Wing

Disclaiming : les G-boys ne sont pas de mon invention

Chapitre précédent : Treize arrive sur la petite île et c'est le clache entre lui et un petit morveux nommé Wufei.

La folie des Gundams 10.

( ou l'enfer de wufi )

Dans l'intimité de sa chambre, non loin des oreilles traînardes de son cher ami Milliardo qui l'épiait derrière la porte, Treize était tendu.

Il se demandait comment amener la chose à Wufi sans lui faire peur.

Le pacte entre le pilote et lui prenait fin le lendemain et le colonel n'avait aucune envie de le voir s'en aller.

Le faire rester. Tel était son objectif du départ mais il n'arrivait pas à le lui dire.

Quand à Wufei, il était très occupé à mettre son pyjama.

Le pervers avec qui il dormait oblige.

Quand il fini a son tour, il rentra dans le lit pour rejoindre le colonel.

Aucun d'eux ne prononçait mot, installant un silence insupportable. Aucun d'eux n'avait sommeil non plus et ils restaient là, assis côte à côte.

Enfin, Fei fit quelque chose. Il se pencha et embrassa Treize.

Il savait qu'ils ne se coucheraient pas avant d'avoir fait l'amour et il voulait mener le jeu pour une fois.

Il s'en ira demain, ce soir était donc la dernière fois qu'il dormait avec le colonel.

Celui-ci, en répondant à ses avances, le prit et l'installa sur ses genoux.

Le baiser s'approfondissait tendit que leurs sens se mettaient en éveils. Le pyjama passé juste quelques instants plus tôt se retrouva propulser à l'autre bout de la pièce.

Wufei, complètement nu sur le colonel s'afférait à ouvrir la chemise de celui-ci. Il fini par remporter son combat contre les vilains boutons et délivra le torse tant convoité.

Il écarta les pans du vêtement, un sourire de triomphe aux lèvres, avant de laisser courir ses mains sur le flanc du blond. (c qui le blond ? Treize est brun !!)

Les deux boutons sur le torse du colonel se rosirent encore plus sous les mains de (a supprimé) du petit pilote qui commençait à les rouler un à un sous sa langue. Treize le laissa faire, savourant le contact délicieux.

Mais Wufei semblait prêt à perdre son temps. Il ne s'attarda donc pas sur les tétons durcis et s'attaqua à la fermeture du pantalon.

Il fit sortir ce qu'il cherchait et y balada sa main droite dessus. La hampe de Treize commença à se soulever et Fei prit son propre membre dans l'autre main. Il ferma les yeux, prodiguant à leurs deux corps un massage délicieux.

Le rythme imposer par le brun les transportait petit à petit vers un plaisir incommensurable.

Il s'interrompit avant qu'ils ne puissent plus ce contrôler et rampa lentement sur le corps de Treize. Arrivé au niveau du sexe du colonel, il le saisi de nouveau entre ses mains et commença à lui procurer des petits coups de langue.

Très vite, un liquide salé transparent commença à couler du membre durci de Treize. Il gémissait de plus en plus, supportant à peine les sensations prodiguées par le brun.

Wufei le prit tout entier dans la bouche et fit des mouvements de va-et-vient, alors le colonel perdit la tête. Il bougea frénétiquement ses hanches tout en dirigeant la tête de Fei pour le ressentir le plus possible.

Le pilote ne l'entendant pas de cette oreille retira brusquement sa bouche. Treize le regardait, incrédule, mais il ne rencontre qu'une étincelle de défie dansant dans les prunelles sombre de son Amant.

Wufei continuait pourtant à satisfaire son propre corps, délaissant totalement le colonel. Assit sur les genoux, il frottait énergiquement sa propre hampe, se tordant de plaisir et gémissant de manière très obscène et impudique.

Le colonel laissa son esprit refroidir un instant. Inutile de se fâcher. Il allait reprendre les choses en mains.

Il se contenta de regarder son amant, qui se touchait sous ses yeux, pour lui.

N'en pouvant plus, Fei se laissa aller en se courbant sur lui-même, ses muscles paralyser par l'éclaire de plaisir qui montait en lui.

Il retomba aux pieds de Treize, récupérant lentement son souffle. Il se sentit observer par son amant et quand il souleva la tête, ce dernier s'en saisi de nouveau et le replaça sur ses cuisses.

Le caressant tendrement, il lui chuchota :

-« reste... »

-« ? » le pilote avait du mal à l'entendre alors il reprit en le regardant bien en face cette fois-ci.

-« j'ai dis, reste. Tu n'es pas forcé de partir demain. On commence à peine à se connaître. Puis tu n'as rien de vraiment passionnant à faire...alors reste encore quelques jours de plus. On verras pour le reste après »

Ces phrases étaient celle que Wufei voulait plus que tout entendre.

Au moins, il savait que le colonel ne voulait pas que le posséder comme il le prétendait.

Pourquoi a t-il fallut qu'ils oeuvrent pour deux camps opposer ? Leur relation aurait pu donner quelque chose.

Mais c'était impossible, inutile d'y penser plus. Il fallait en fini.

-« je ne peux pas, fut sa réponse. J'ai des responsabilités. Les autres et toutes les colonies comptent sur moi. De plus, tu es parfaitement conscient que ça ne peut pas marcher nous deux... »

Le Treize était très déçu mais il ne rajouta rien de plus. Il se contentera de ces deux semaines passées avec le brun.

De toutes façons, il savait le pilote totalement accro au sexe, alors ils se reverraient sûrement.

-« n'y pense plus. Tu as certainement raison...c'est dommage tout de même...maintenant, tourne toi. Je suis raide.... »

En effet, il était raide à l'exploser.

Il plaqua fermement Wufei sur le ventre et lui écarta les jambes.

-« non, arrête. C'est moi au dessus. »

-« non chéri, pas ce soir...jamais »

Wufei ne se résigna pas pour autant. Il implanta ses ongles dans les bras qui maintenaient ses jambes ouvertes et griffa le colonel sur toute la longueur des bras.

Mais il ne réussi qu'à attiser la colère de Treize qui lui flanqua aussitôt une claque sur une fesse dénudée.

Alors Fei se calma et resta docilement coucher comme le colonel le souhaitait.

Il senti un texture froide se poser à l'entrée de son intimité.

-« c'est quoi ça... ? Qu'est-ce que tu me fais ? »

-« détends-toi, ce n'est que du gel »

Ensuite, il senti le doigt de son amant entrer en lui. Bougeant tout doucement.

Il fût suivi d'un deuxième, puis d'un troisième doigt. Wufei en réclamait toujours tant. Il soulevait ses reins un peu plus à chaque va-et-vient du colonel et quand il ne pu plus en supporter d'avantage, il supplia Treize de le prendre.

Le brun s'introduisit en un poussé en lui, le fessant se tordre de douleur. Mais les cries de souffrance se transformèrent très vite en hurlement de plaisir.

Treize lui donnait de grands coups de reins comme il les aime, encourager par ses gémissements et le ton sensuel de sa voix lorsqu'il hoquetait son prénom.

Il prit son membre endolori entre les mains et lui prodigua des caresses à mesure qu'il s'empalait profondément dans le corps chaud et accueillant du brun.

Ils furent tout deux transportés, lentement, doucement vers le royaume du bonheur suprême.

Redescendant de la planète de la jouissance, ils restèrent enlacé longuement avant que Morphée ne les emporte, un sourire aux lèvres.

Pendant tout ce temps, Zech était toujours présent.

Il les avait longuement écouter derrière la porte et le couple ne l'avait pas entendu lorsqu'il avait ouvert la porte pour magouiller quelque chose dont lui seul savait ce qu'il leur réservait.

Même après avoir fini ce qu'il était venu faire, il se rinça copieusement l'œil avec cette scène torride.

Le problème maintenant est qu'il était très ému par tout cet amour partagé, mais lui n'avait personne. Il referma silencieusement la porte et s'en retourna sur la pointe des pieds dans sa propre chambre. Il allait avoir besoin de sa main gauche à défaut de sa collection de films érotiques et de ces nombreuses conquêtes.

A suivre.

Normalement, cette fiction devait être bouclée depuis plusieurs chapitres déjà, mais je ne sais franchement plus combien il y'en aura.

Les idées surgissent de nul part et je me sens obligée de les écrire. (Obsession de l'écrivain).