Discamer : personnages pas à moi, mais la souffrance que je leurs prêtent me viennent du cœur.
Résumer : pas facile, faut lire, sombre et slash.
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Il y a des choses qu'on ne peut pas oublier et d'autre qu'on n'imagine pas vivre. Souvent je me demande ou ce situe cette histoire. Notre histoire.
C'est vrai qu'elle avait mal démarrer, partager entre la haine et le mépris. Des sentiments hors de nous, qu'on nous a donnés pour pouvoir s'approcher.
Une haine séculaire. Celle de deux maisons différentes. Une haine qui s'insinuait dans nos veines, qui était gravé dans nos gênes depuis des générations.
La peur de trahir notre sang malgré nos propres volontés. Une peur que j'ai apprivoisée pour toi et qui me fait douter maintenant.
Que serais-je sans ces sentiments contradictoires qui m'ont sauvé la vie si souvent et me fond si mal lorsque je te croisais.
J'ai été élevé dans la haine de tout ce que tu représente et toi dans le mépris de ce que je suis.
Nous sommes pourtant pareils, deux enfants, obliger par des adultes a devenir grand trop vite.
Pourtant y a-t-il vraiment une telle différence entre nous.
Nous avons appris les mêmes sorts, sûrement au même moment lors de notre jeunesse. Non, c'est faux, tu en as appris certains que je ne connaîtrais jamais protéger par la lumière de la magie blanche.
Là aussi, on t'as fait grandire bien trop vite, en t'apprenant que tu étais au-dessus de tous alors que tu n'étais qu'un enfant perdu parmi tant d'autre.
Notre première rencontre fut notre perte, je t'ai détester pour ces mots blessants et vexants que tu m'as dis, même si je les savais véridique.
A partir de là ma vie n'a été complète que lorsque je pouvais regarder tes yeux brillés, de haine il est vrai, mais tellement plus vivant qu'a la coutumé.
Et puis est arrivé le temps des choix, où se situe notre vie dans ce monde d'adultes dont nous ne fessons pas encore tout a faire parti mais qui nous demande tout de même d'assumer des choix que nous n'avons pas fait.
Et tu as choisi, tu as surpris tout le monde, la haine dans tes yeux était toujours aussi présente, mais elle n'était plus pour moi.
Nous nous sommes rapproche, nous nous sommes aimés et nous nous aimons encore malgré la séparation.
Oui je sais que je devrais vivre, mais je ne peux que souffrir de cette situation. Le destin t'as arraché à moi de la façon la plus brutal qui soit.
Ton père, il ne devrait même pas porté ce nom si doux, ton géniteur t'as tué pour t'empêcher de nous rejoindre. De me rejoindre.
Une honte, ma famille dit que je suis une honte de t'avoir aimé malgré tout. Et moi, Ronald Weasley suis fier de dire que j'ai aimé, que j'aime et que j'aimerais toute ma vie, toutes mes vies, Drago Malefoy.
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