Reslt !!!!! cé moi... oui, je sais, cette fic fait chier son monde etc...etc... mai jy peu rien, je lai écrite fo bien en faire kkchoz (lol) bizzzzz à ts les lecteurs ki daignent se déplacer pr lire ça.
Pendant la première semaine, ils restèrent tout le temps ensemble, puis comme son fiancé était de plus en plus réquisitionné par la production, elle passa ses journées comme dans le bon vieux temps avec Ryu, Manami et Ken, qui lui restait toujours en retrait, devant ou derrière. Un jour qu'ils faisaient des tours de montagnes russes, Ken leur dit d'y aller sans lui, parce qu'il ne se sentait pas en état de faire l'enfant. Chun li revint s'asseoir près de lui, faisant discrètement signe à son ami qu'elle restait aussi.
-Ken, tu es bizarre, je ne t'ai jamais vu comme ça. Dis moi ce que tu as.
-Rien du tout, je réfléchis juste.
-Tu m'as l'air un peu trop sérieux. Viens t'amuser avec moi !
-Non !
Il avait jeté ce mot avec une telle violence qu'elle en fut profondément choquée et se leva brusquement.
-Pardon, excuse moi, Chun li, je ne voulais pas être méchant...
-Mais tu l'as été ! Je ne sais pas ce qui t'arrive, mais tu n'es plus celui que je connaissais, l'ami rieur et enjoué, prêt à aider tout le monde !
-Et tu veux connaître la raison de ce changement ?
-Non, je ne préfère pas.
Elle partit, très en colère. En fait, c'était plus parce qu'elle avait peur d'entendre ce qu'il voulait lui dire qu'autre chose. Il la suivit et la retint par la main.
-Je vais te dire pourquoi je suis ainsi : c'est à cause toi !
-Quoi ?
Elle se retourna, stupéfaite.
-C'est parce que je suis obsédé de toi, je n'arrive plus à dormir depuis presque deux semaines, et j'ai failli en crever ! Alors, imagine le choc quand tu as dit que tu étais fiancée à Fei long et que pendant toute la semaine tu n'as pas arrêté d'être aux petits soins pour lui !
-Mais tu ne m'as pas appelée pendant tout ce temps ! Et j'ai supposé que tu m'avais largué dans ta vieille boîte à minettes ! Je suis désolée, mais c'est trop tard. Tu aurais dû réagir avant. Je suis tombée amoureuse de Fei long et on s'entend à merveille. On a prévu de se marier dans le courant du mois prochain, après le bouclage de son film.
Elle avait dit ça pour le blesser, mais son arme se retourna contre elle.
-Chun li, tu es cruelle avec les hommes, et ne penses pas que tu t'en tireras comme ça.
Elle fut tentée de lui dire toute la vérité, mais un regard la fit taire.
Un peu plus tard, dans un endroit isolé de la plage...
-c'est un supplice que tu nous fait subir à tous, alors pourquoi ? Je ne supporte plus de mentir à Ken, et il va finir par me détester alors que je l'aime !
-Je veux que tu m'aides, parce que tu as promis de le faire jusqu'à la fin !
-Fei long, cette comédie a assez duré, je ne veux plus continuer. Je veux que tu m'expliques pourquoi tu me mens depuis le début. Je me suis informée, et figure toi que j'ai appris des choses intéressantes, sur tes activités, depuis quelques temps. Mon père m'a dit que tu avais rencontré une charmante jeune tueuse du prénom de Camille et que le courant avait semblé passer. Tu passes ton temps dans les locaux de la CIA, à rechercher une personne inconnue, et tu dis à tous tes amis que tu as une fiancée, ce n'est pas eux qui te l'ont demandé comme tu me l'a dit. Je suppose que comme tu ne l'as pas trouvée, donc tu m'as comme par hasard invitée sur le tournage de ton film pour que je joues la comédie. Tout concorde, non ?
-Tout est découvert, je pense. Il faut donc que je t'avoue la vérité.
-Je crois, oui.
-En effet, tout ce que tu as dit concorde parfaitement et est exact. Le courant est trop bien passé et on est sortis ensemble. Tu t'imagines, la tueuse de mon maître ! Mais je n'y pouvais rien, j'étais attiré par elle et elle m'a promis de se fiancer à moi quand elle reviendrait d'une de ses missions de laquelle elle n'est jamais revenue. Moi, j'avais déjà dit aux autres qu'elle nous accompagnerait dans notre film. Heureusement, je n'avais montré aucune photo d'elle, ce qui a permis de te faire passer pour ma fiancée. Voilà, tu sais tout.
-Fei long ! Si tu m'avais tout dit dès le début, j'aurais pu trouver une solution ! Mais tu te l'es coulée douce, tranquille, jusqu'à ce qu'il devienne inévitable, ce fameux problème ! T'as vu dans quel merdier tu nous a foutu ? Il serait fier de toi, ton maître !
Elle partit en claquant la porte et monta dans la chambre faire ses bagages et appela le standard.
-Allô, madame long désire t'elle quelque chose ?
-Oui, je voudrais une autre chambre, s'il vous plaît. Au dernier étage, si possible. Et le poste de la chambre 756, monsieur Masters.
-Bien, madame.
-Mademoiselle, rectifia t'elle avant que Ken ne prit la communication.
-Allô, Ken ? Je voudrais te parler.
-Demain, si ça ne te gêne pas. Il est exactement 21 heures et 56 minutes et je voudrais dormir.
-S'il te plait. Et ne m'oblige pas à aller faire un scandale devant l'hôtel parce qu'il est hors de question que je te supplie.
-Bon, monte.
Elle s'arrangea un peu et prit l'ascenseur. Quand elle arriva, une jeune femme belle et très séduisante l'emmena jusqu'au salon où Ken était assis entrain de regarder la télé.
-Merci, Tilla, tu peux nous laisser.
-Bien, monsieur Masters.
Elle sortit et referma la porte doucement.
-Eh bien, de quoi voulais tu me parler, madame long ?
-Arrête. Je suis venue te dire toute la vérité...
Elle parla pendant près d'une heure, et quand elle eut terminé, il résuma.
-Je conclus que ce que tu as dit au parc ne consistait qu'à me rendre jaloux.
-Un peu, enfin, c'était mes espérances.
-Et bien c'est réussi, parce que j'en étais malade !
Il éclata de rire et la prit dans ses bras avant de la couvrir de baisers mouillés par ses larmes de joie.
-Ken, oh, Ken, j'avais si peur de t'avoir perdu par mes bêtises !
-Et moi donc !
-Tu sais, tu aurais dû deviner que je t'aimais, rien que par mon attitude quand on était en Espagne.
-Et moi, depuis que je t'avais vue !
Le lendemain matin, en se levant, Chun li remarqua qu'elle était seule. Elle se souvenait d'avoir commencé à embrasser Ken, et puis ses sens s'étaient embrasés et elle ne se souvenait que de parties indistinctes de la nuit agitée qu'elle avait passée. Elle essaya de se lever, mais Ken entra à ce moment là et elle remonta le drap sur sa nudité, toute rougissante. Il pouffa et posa le plateau repas sur le lit avant de lui prendre la bouche d'un geste passionné.
-je te signale que je t'ai déjà vue. Tu n'as pas de raisons d'avoir honte, tu es superbe.
-Merci.
Comme elle ne voulait malgré tout pas lâcher le drap, il lui prêta un de ses tee shirt et elle l'enfila pour manger.
-On l'a vraiment fait ? Se hasarda t'elle à demander, le nez dans le plat.
-Oui, on l'a vraiment fait, hier. Pourquoi ? Ça t'ennuies ?
-Oh, non, pas du tout !
-Tu sais quoi ? C'est la première fois que je te vois aussi belle, au réveil, mais il va falloir que j'aille me doucher. Tu viens avec moi ?
-Euh... non, il faut que je retourne à la chambre, Fei long doit s'inquiéter pour moi.
-Ne t'en fais pas, il a été prévenu que tu étais avec moi et il est parti à l'aéroport pour chercher sa surprise de ma part.
-Ah bon ?
-Oui.
Fei long attendait à la réception de l'aéroport avec impatience cette surprise quand une grande blonde arriva, perchée sur des talons qui lui donnaient 6 cm de plus et le regard caché par des lunettes de soleil. Elle ne prêta aucune attention à l'alentour et enleva ses lunettes pour pouvoir parler à la standardiste.
-Excusez moi, M. Masters n'aurait il rien laissé pour mademoiselle Bridgetown ?
-Si, ceci, Mademoiselle, lui répondit la concernée en lui tendant une enveloppe.
Elle la décacheta et lut le mot.
Je vous ai fait venir ici pour accomplir un travail pour moi. Vous aurez un million de dollars cash si vous jouez la comédie pour moi pendant 1 mois. Je veux que vous fassiez croire à mon ami Fei long que vous êtes revenue pour lui. D'ailleurs, il est venu vous chercher évidemment sans savoir que c'est vous.
Elle referma l'enveloppe et la mit dans son sac. Puis elle le chercha de son regard émeraude et l'aperçut entrain de signer des autographes pas loin de là. Elle se dirigea droit sur lui, écarta les petites minettes qui lui barraient le chemin et le tira par la main sans hésiter pour l'emmener dans un coin plus tranquille.
-Tu n'étais pas censé venir prendre une surprise ?
-Qui êtes vous ? Demanda t'il en se libérant de son étreinte.
-je savais que tu m'avais oubliée, mais à ce point là ! Souffla t'elle en enlevant ses lunettes.
-Camille ?
-Oui, chéri, c'est moi ! Tu ne me reconnais plus ?
-Je... croyais que tu étais morte, vu que tu t'es tirée en douce.
-Tu vois, chéri, je voulais réfléchir à propos de tout ça avant de me lancer dans un mariage, mentit elle. Maintenant, je suis prête. C'est M. Masters qui m'a aidée à te retrouver grâce à ton maître.
Pour un million de dollars, elle inventerait n'importe quoi ! Il suffirait de disparaître encore une fois, rien de plus facile pour un agent secret comme elle !
La fin des vacances arriva et il fallut se séparer. Chose très dure à faire pour Chun li et Ken qui ne s'étaient plus quittés depuis cette fameuse nuit, il y a un mois.
Camille, elle, s'était fait payer et avait décidé de rester avec Fei long parce qu'il pouvait prendre soin d'elle. Elle raisonnait comme Manami.
Ken usa de tout son pouvoir pour accompagner Chun li jusqu'à son siège dans l'avion. Elle était en larmes.
-S'il te plaît, ne pars pas ! Lui chuchotait elle dans l'oreille en le tenant par le cou. On ne se verra plus pendant 1 an !
-Chun, ne rends pas la séparation plus difficile qu'elle ne l'est. Je t'appellerai de mon avion toutes les heures et 2 fois par jour en chine.
Elle consentit enfin à le lâcher et ils s'embrassèrent longtemps, avant qu'il ne descende de l'avion.
Elle repartit s'asseoir dans son siège.
-Je ne suis même pas arrivée à le lui dire ! Quelle sotte ! Et qu'est ce que papa va dire ? Je ne pourrais pas le cacher longtemps !
2 mois plus tard, en allant à l'université, elle eut un malaise et son père l'emmena à l'hôpital.
-Monsieur, vous ignorez peut être que son malaise est dû à sa grossesse, et il est de mon devoir de vous en informer. Elle date de trois mois, et c'est une fille.
-QUOI ??? Je rêve ?!!? chun li n'a pas osé faire ça !!
Il était dans une colère noire et la première chose qu'il fit c'est de la gifler quand on lui permit d'entrer dans la salle de soin.
-Comment as tu pu ? Ainsi, ma fille n'est qu'une dévergondée qui couche avec des salopards brigands pour tomber enceinte d'une bâtarde ?
-papa ! Je ne suis pas une dévergondée, et je t'interdis d'insulter mon enfant et son père, ils n'ont rien à y voir ! Je suis assez grande pour prendre mes responsabilités et j'élèverai ma fille seule.
-Tu veux savoir ? Tu me déçois énormément, Chun li. Je croyais que tu étais sérieuse et que je pouvais te faire confiance en te laissant aller en vacances avec fei long, mais les faits me montrent que j'ai eu tort.
-Je tiens à te dire une chose, c'est que moi je suis fière de porter cet enfant parce que son père représente pour moi toute ma vie.
-J'espère, mais pense que l'amour a des revers. Tu rencontreras des choses que tu n'aurais jamais pensé rencontrer.
-Papa, tu me pardonnes ?Coupa t'elle.
-Certes, car tu es ma fille unique, mais je n'oublies pas. Tu travailleras pour nourrir ta fille quand elle naîtra. En attendant, je t'accorde un prêt.
-Merci, papa. J'appellerai son père dès ce soir pour lui annoncer la nouvelle.
Ça faisait 1 mois que Ken ne l'appelait plus et elle trouvait ça étrange. Elle téléphona donc et ce fut une jeune fille qui répondit.
-Pourrais je parler à Monsieur Ken Masters, s'il vous plaît ?
-Vous avez pris rendez vous ?
-Oui, c'est mlle Li.
-ne quittez pas.
1 seconde plus tard, une autre voix répondit, mais ce n'était pas Ken.
-Bonsoir, mlle Li, je suis désolée, vous n'êtes pas aux rendez vous vocaux, mais je vous passe la messagerie de M. Masters.
Elle lui laissa le message et raccrocha. Moins d'une heure après, il la rappela.
-J'ai reçu ton message.
-Ah bon, et qu'est ce que tu en dis ?
-J'en dis que tu dois venir tout de suite ici voir mes parents pour que je te les présente. Ton billet t'attend à l'aéroport et un chauffeur viendra te prendre à destination. Quand arrives tu ?
-Mais Ken, laisse moi le temps, voyons !
-Je t'attends demain soir, mon ange. Je t'en prie, dis oui ! Si tu ne viens pas, papa va m'obliger à épouser une autre !
-Bon, d'accord. Je prends le prochain vol, il est dans combien de temps ?
-Il est 15 heures... il est à 18 heures . A bientôt, mon cœur.
-à bientôt, je t'aime.
Elle fit ses bagages, prévint son père qu'elle serait absente quelque temps et prit l'avion pour arriver quelques heures plus tard à l'aéroport de Floride où le chauffeur la déposa chez les Masters. En descendant, elle fut étonnée de voir autant de domestiques venir l'accueillir, mais n'en laissa rien paraître et entra dans la somptueuse demeure. Ken l'attendait en haut des escaliers avec son chien et l'emmena voir son père d'abord.
-Bonjour, monsieur Masters, je m'appelle Chun li et je suis enchantée de faire votre connaissance.
Elle ponctua sa salutation d'un gracieux sourire accompagné d'un léger mouvement d'inclinaison.
-Eh bien, moi de même, mon enfant. Allez donc visiter la maison avec notre guide personnel pendant que je m'entretiens avec mon fils.
-Bien, monsieur Masters. J'ai été ravie de faire votre connaissance.
Dès qu'elle se fut un peu éloignée...
-Ken, elle est très jolie, mais tu sais bien que ta mère va exiger beaucoup trop de choses d'elle et comme je la vois, elle ne va pas le supporter.
-ça, c'est toi qui le dis, papa. Elle est merveilleuse, et jamais elle ne se laissera marcher sur les pieds.
-Mais ta mère veut que tu te maries à Élisabeth, et tu sais bien que rien ne la fera changer d'avis !
-Sauf une chose, papa. Tu verras.
Il sortit du bureau en souriant et alla la présenter à sa mère.
-Maman, je te présente Chun li, ma petite amie.
-Bonjour, madame Masters. Votre fils m'a beaucoup parlé de vous et je vois qu'il a raison, je vous trouve magnifique.
-oh, vous me flattez, jeune fille !
Un point pour moi ! Pensa t'elle en lui souriant.
-Chun li est chinoise, maman, comme toi, et elle est la fille de Do Laï, le commissaire et membre d'Interpol qui a arrêté le groupe Shadow Low.
-Je vois ! Ken, laisse nous entre femmes, veux tu ?
-Mais oui, maman ! Je vais faire préparer le dîner.
Elle lui posa de nombreuses questions sur elle et Ken, et elle lui répondit franchement. Mais elle arriva au point sensible :
-Aimez vous profondément Ken ?
-Oui, madame, de tout mon cœur.
-Bien. Avez vous quelque chose à me dire ?
-oui. Je ne suis pas venue ici pour votre argent ou celui de Ken, juste parce que je l'aime et que je porte son bébé.
-QUOI ????
-euh, maman, laisse moi t'expliquer, commença t'il en entrant.
-Ken Masters, il n'y a rien à expliquer ! Elle est enceinte un point c'est tout !
-Madame, je tiens à vous dire que si je gêne quelque projet que ce soit avec mon enfant, je partirai, sans même vous demander quoique soit.
-Eh bien, allez vous en ! Je suis sûre que ce n'est pas l'enfant de mon fils, et que ce n'est qu'une manipulation pour avoir un peu d'argent.
Chun li sortit de la pièce, et Ken voulut la suivre, mais sa mère l'arrêta avec quelques paroles menaçantes. Elle prit ses affaires et partit à l'hôtel le plus proche de l'aéroport pour repartir dès le lendemain. Comment, elle, Chun li, pourrait elle faire ça ?
-Si c'est ça, l'amour, je jure de ne plus jamais aimer !
Et voilà voilà pour ma seule fan de la seule fic en français de SF2V !!!! bizou à thoru0509 ki me supporte visiblement ds ttes mes fics...ha, tes en rogne, hein ? t'aimerai bien avoir la suite ? hein ?hihihihi je la mettrai demain et pa avant !!!!! mais ne soit pas pressée, ça va se corser drôlement et après se mélangé à DBZ...
