Reslt !!!!! cé moi... oui, je sais, cette fic fait chier son monde etc...etc... mai jy peu rien, je lai écrite fo bien en faire kkchoz (lol) bizzzzz à ts les lecteurs ki daignent se déplacer pr lire ça.
6 ans plus tard...
Elle posa le journal sur la table de son salon et alla prendre le téléphone qui sonnait.
-Li, j'écoute. Quoi, encore le même groupe qui fait des siennes ? J'arrive dans peu de temps.
Elle enfila un tailleur et plaça son pistolet dans sa jarretière avant de se parfumer et de prendre son sac à main.
-Ching lie, je sors. Tu fais le ménage chez toi ?
-Oui, maman ! Tu reviens vite ?
-Bien sur, et on ira manger des glaces avec Camille et Fei long.
-Et Mania ?
-Oui, avec Mania aussi.
Chun li était devenue agent secret et élevait sa fille seule. De temps en temps, elles allaient passer le week end chez Do Laï ou chez les Long qui avaient eux aussi une fille de l'âge de Ching lie. Elle recevait beaucoup d'argent de Ken, mais n'en utilisait pas un sou. Elle avait appris qu'il s'était marié après le scandale de sa grossesse peu désirée, puis qu'il avait divorcé la veille.
Elle démarra la voiture et se rendit à son service. A son bureau, elle trouva un ordre de mission en Californie, chez les Masters.
-Merde ! Je veux être affectée ailleurs ! Se plaignit elle à son supérieur.
-Je ne peux rien faire, c'est lui qui vous a choisi et c'est lui qui vous paie, mlle. Vous êtes la meilleure d'entre tous et vous êtes en plus très belle. Ne vous en faites pas, tout se passera bien.
-tu parles ! Grommela t'elle plus tard en faisant sa valise et celle de Ching lie.
-Chérie, tu vas passer encore quelque temps chez papi, d'accord ?
-Mais maman, je veux faire l'espionne avec toi ! Pleurnicha t'elle en la tenant par la jupe.
-Enfin, Ching lie, tu n'es plus une enfant, et tu peux comprendre que je travaille, non ?
-Oui, mais tu vas me manquer !
Son portable sonna.
-Agent k ? J'ai une nouvelle, vous pouvez amener une personne ou plus avec vous.
-bien chef, mais où logerons nous ?
-Chez vos employeurs du moment, voyons !
-vous leur avez dit que j'avais une fille ?
-Oui, et ils se sont montrés très enthousiastes à l'idée de ravoir un enfant chez eux.
Elle raccrocha et regarda sa fille.
-Pupuce, je crois que tu peux venir avec moi.
Quel merdier ! Elle ressemble à Ken comme une sœur jumelle, à part mes yeux, et elle a même la couleur de cheveux de son père ! Qu'est ce que je vais faire ? La teindre ? Oh mon dieu ! pensait elle en faisant le reste des valises. Elle fit un peu n'importe quoi et dormit vite pour prendre l'avion le matin très tôt. Ensuite, un hélicoptère vint les chercher et l'amena directement chez les Masters qui attendaient sur la piste. Elle garda tout son calme et descendit en tenant sa fille par la main. C'était le moment de prouver qu'elle avait raison.
Ching lie, effrayée, se réfugia dans ses pieds en pleurant.
-Chérie, ce n'est rien, voyons ! Je sais que tu as peur, mais je sais aussi que tu es courageuse comme ton grand-père ! Allez, arrête de pleurer et vas dire bonjour à ces gens.
Elle renifla et salua les Masters, suivie par sa mère.
-Monsieur Masters, agent K, service contre espionnage.
Il la regarda avec insistance avant de lâcher sa main.
-Voici ma femme, Cho Shang, et mon fils unique, Ken. Vous travaillerez pour lui dorénavant jusqu'à nouvel ordre.
-bien, monsieur Masters, répondit elle simplement, sans laisser paraître ses sentiments.
Ken croyait halluciner. Il avait demandé un agent femme avec enfant, certes, mais il ne savait pas qu'elle travaillait à la CIA ! Il se baissa pour voir le bout de chou qui se dressait fièrement devant lui et lui passa la main sur la tête.
-Venez, je vais vous montrer vos appartements, proposa t'il en prenant Ching lie dans ses bras.
Ils entrèrent dans un couloir et il se mit à converser avec la petite.
-comment tu t'appelles ?
-Ching lie. Et vous ?
-moi ? Ken.
-c'est joli, mais je préfère celui de maman.
-c'est vrai, elle a un très joli prénom, ta maman.
-comment vous le connaissez ?
-Eh bien... c'est un très gros secret.
-Quand est ce que j'aurais le droit de le savoir ?
-Quand il sera temps pour, ma chérie. Voilà, c'est chez toi.
-Ouah ! C'est magnifique, chez vous !
-il ya des jouets pour toi dans la salle à côté. Je vais montrer le bureau à ta maman.
-d'accord. Maman, je peux jouer ?
-Bien sûr, chérie ! Mais reste bien calme, et attends moi là.
-oui.
Il referma la porte et ils restèrent enfin seuls. Il la mena à son futur bureau et pendant le trajet, elle ne prononça pas un seul mot.
-voici l'endroit où vous travaillerez avec moi, mlle li. Vous pourrez commencer dès aujourd'hui. Il y a une pile de dossiers à étudier et de stratégies à appliquer. Mon bureau est à votre droite. Celui de mon père, à votre gauche.
-Merci, monsieur Masters.
-Appelez moi Ken, je vous en prie.
-Bien sûr, Ken.
-Oh, ça suffit ! J'en ai marre ! C'est quoi, ces expressions de distance ? On se connaît, non ? Et on est plus que se connaissances !
-Vous avez terminé, Ken ? J'ai du travail.
Elle s'assit à son bureau et se mit à installer son nouvel ordinateur, le visage empreint d'une indifférence qu'elle avait l'habitude d'avoir. Il était fou de rage et sortit en claquant la porte. Elle se tint la tête dans les mains et des larmes silencieuses se mirent à couler de ses yeux.
Elle paraissait être toujours en colère, mais il avaient quelques choses à régler. Il y avait 6 ans, il avait fait une erreur phénoménale, et il était prêt à la réparer, mais seulement avec son accord. Il avait réfléchi à aller à l'hôpital faire un test de paternité, mais il avait vite compris que si Chun li le savait, elle se mettrait en colère. Il se résolut à prendre un cheveu de la petite Ching lie et fit l'analyse, une semaine plus tard.
-Vous en êtes bien le père, confirma le docteur. C'est une fille ?
-Oui. Merci.
Il rentra à la résidence, et se dépêcha de déposer le résultat sur la table de Chun li avant qu'elle n'arrive et entra dans son bureau.
Une heure après, elle tapa à la porte de son bureau et lui remit les documents qu'il avait demandés, accompagnés de l'enveloppe encore cachetée du médecin.
-Je n'ai jamais eu de doutes de votre paternité, Ken, c'est vous qui en avez eu.
-chun li... dis moi la vérité... tu me détestes autant que ça ? Qu'ai je donc fait ?
''Qu'est ce que tu as fais ? Espèce de salaud ! Tu m'as faire croire que tu m'aimais, tu m'as mise enceinte et tu m'as laissé tomber comme une vieille chaussette dès que ta mère t'a menacé de te déshériter , et tu te fichais de cette enfant !'' Se dit elle.
-Non, Ken, je ne vous déteste pas, je vous méprise juste. Et vous n'avez rien fait, tout ça, c'est de ma faute. Je n'aurais pas dû vous aimer. Excusez moi, je dois aller voir ce que fabrique ma petite puce.
''Encore une boulette ! Mais je suis nul ! Elle me détestera toute ma vie ! Ce soir, je l'invite à table, et je dis toute la vérité.
Le soir, sa femme de chambre lui annonça le dîner et elle descendit, en robe de soirée mauve et sandalettes assorties. Elle salua les invités présents et s'assit. Au dessert, lorsque tous se furent levés, Ken retint ses parents et commença :
-Père, mère, je sais que vous devez bientôt partir pour Los Angeles où vous prendrez beaucoup de repos bien mérité, mais je tiens à éclaircir des endroits sombres de ma liaison avec Mlle Chun li, ma présente assistante. Sa fille, l'adorable petite Ching lie, est bel et bien votre petite fille. C'est mon enfant, et j'ai vérifié par analyse sanguine.
Sa mère se retint de tomber à la renverse, et son père faillit piquer une crise cardiaque; mais Chun li resta calme.
-C'est un choc, tu en conviens, chéri, non ?
-Absolument ! Mais j'en suis ravi ! J'ai une petite fille !
-C'est vrai qu'elle ressemble beaucoup à son père !
Ils ignoraient totalement Chun li qui restait assise sans rien dire.
-Mère !Grogna Ken en la lorgnant.
-oh, et un peu à sa mère.
-Excusez moi, j'ai l'air de vous gêner, dit elle simplement en se levant. Elle monta les escaliers en pleurant en silence et se précipita dans sa chambre qu'elle boucla avant de tomber sur le lit. Une semaine ! Une semaine qu'elle supportait cette famille insultante, ces affronts, ces confrontations avec lui ! Elle croyait mourir de dégoût et de haine ! Ching lie tapa et elle ouvrit.
-Qu'est ce qu'elle a, ma maman ?
-rien, chérie, rien de grave.
-Tu me mens, maintenant ?
-Mais non ! Tu crois ça ? Petite chipie ! Bon, je te raconterai demain. Vas te coucher, il est 10 heures.
Elle obéit sans rechigner et chun li referma sa porte, les traces de larmes encore humides sur ses joues.
Ken frappa à son tour et elle ouvrit.
-Oui, Ken ? Vous désirez ?
-Je suis désolé...je ne voulais pas de tout ça ! j'aurais voulu qu'ils comprennent ce que je ressentais, quand j'essayais de leur dire...
-chut ! Lui souffla t'elle en posant un doigt sur ses lèvres et en le tirant dans la pièce. Ça ne sert à rien de ressasser le passé. Vous avez fait des erreurs, moi aussi, essayons de les réparer au mieux en élevant cette enfant ensemble.
-Mais, il se trouve que je ne veux pas d'un seul enfant, répliqua t'il en se mettant à l'embrasser. Elle le repoussa.
-je n'ai pas dit que je reviendrais avec vous.
-Mais, enfin...
-Ken, vous m'avez fait beaucoup trop souffrir pour que je me risque encore une fois à ce petit jeu là.
-Chun li, je t'aime, je te le jure. Je n'ai jamais cessé de t'aimer.
-Et vous vous êtes marié ?
-C'était pour posséder la société ! Père n'acceptait de me la donner qu'à cette condition. Il n'a été consommé qu'une fois en six ans. J'ai divorcé dès que j'ai eu les cent pour cent de la Masters corporation parce que c'était un contrat entre Élizabeth et moi.
-Ken...
Elle fondit en larmes à nouveau dans ses bras.
-Tu ne pas savoir ce que j'ai pu ressentir quand ta mère m'a dit ces mots blessants et que toi tu n'as rien fait pour me défendre ! Tu m'as laissée partir, et maintenant, c'est trop tard !
-Non, ne dis pas ça ! Il n'est jamais trop tard pour bien faire. Quoi que tu fasses, je t'aimerai toujours.
-Elle me méprise, et ton père m'ignore ! Pour eux, il n'y en a que pour Ching lie ! Je ne suis que sa mère, une pauvre chinoise !
Il ne dit rien cette fois ci. Elle avait raison, ses parents ne la considéraient pas , et il allait y remédier. Il la coucha, car elle s'était endormie et descendit parler en privé avec ses parents.
Rarement ils n'avaient vu Ken aussi fâché. Il cassa tous les meubles de la pièce pour leur montrer qu'il ne rigolait pas. Il allait épouser cette chinoise mère de son enfant et il voulait qu'elle vaille pour eux plus que leur fille.
-Vous ne voulez rien voir ! Il n'y a que l'argent qui vous intéresse, pas mon intérêt ! Oui, elle n'est pas riche à millions, oui je l'aime et oui c'est elle que je veux, et pas cette nunuche de Élizabeth ! Si vous n'êtes pas d'accord, je vous expédie en France par le premier avion !
-D'accord, ne t'énerve pas, chéri... intervint sa mère. Je vais faire plus attention à elle à partir de demain.
-Et je vais faire des efforts en ce qui concerne mon caractère, termina son père.
-et d'ailleurs, nous partirons dès demain pour Los angeles.
-J'espère bien pour vous, coupa t'il en fermant la porte.
Le lendemain matin, à son réveil, sa femme de chambre lui apporta son petit déjeuner, chose qu'elle n'avait jamais fait jusque là.
-Bonjour, madame. Vous devez vous préparer au plus vite, monsieur a demandé que vous soyez prête pour sortir dans une heure.
-Ah bon ? Depuis quand il fait mon planning, celui là ? Riposta t'elle en buvant son thé et en se levant. Elle prit sa douche, se brossa les dents, se coiffa d'une visière et porta son jean du dimanche avec un débardeur, puis descendit au salon d'accueil. Elle y trouva pleins de cadeaux sur la table, le sofa... qui lui étaient destinés. Elle les ouvrit un à un et resta ébahie de toutes ces toilettes luxueuses et de ces parfums, ces bijoux...
Elle trouva une lettre au fond du dernier paquet.
Chère Chun li, je vous confie mon écervelé de fils. Je m'excuse de m'être mal comportée envers vous, ce n'était que de la jalousie mal placée. Pour me faire pardonner, voici mes biens les biens les plus précieux lorsque j'épousais Maxime. Ces robes devraient vous entrer, vous êtes aussi fine que moi à votre âge. Ken est ma raison de vivre, et bien que je l'ai eu très tardivement, on s'est toujours bien entendus. J'espère qu'il vous rendra heureuse, ma petite fille. Venez nous voir de temps en temps, et gérez cette fortune de la meilleure façon possible, cependant sans la faire passer avant votre famille. J'en ai fait l'expérience, et je ne voudrais pas que ça se répète.
Elle la referma et la remit dans l'enveloppe qu'elle posa sur la table. Ensuite, elle ferma la porte à clé et essaya ses robes et ses bijoux. Ils lui seyaient tous à merveille. Elle monta mettre tout ça dans son placard en sûreté et redescendit pour aller à la pêche avec Ching lie. Celle ci était prête et l'attendait à l'entrée avec le chien qu'elle avait apprivoisé.
-Maman, est ce qu'il peut venir ?
-Je ne sais pas, ma puce, mais c'est le chien de Ken, et il n'y verra certainement aucun inconvénient à ce qu'on parte avec lui.
-Si, j'en vois un, dit une voix dans le creux de son oreille, c'est d'être séparé de toi. ( Plus haut, à l'attention de Ching lie) tu peux l'emmener, puisque je viens aussi ! Va donc dehors, une surprise t'attend.
-C'est vrai ? S'étonna t'elle en ouvrant la grande porte et en se précipitant dans la cour.
-Ken, voyons, ne me tiens pas comme ça devant la petite !
-Pourquoi pas ? Elle saura bientôt que je suis son père.
-tant que je ne l'aurai pas décidé, c'est hors de question ! Et d'ailleurs, qui t'a dit que tu pouvais venir ?
-Moi. Je décide ce que je veux, et tu es mon employée, Chun li.
-Ah bon ? Plus maintenant. Je démissionne avec le plus grand plaisir du monde, et je suis...
Il interrompit ce flot de paroles par un baiser intense et passionné qui ne dura hélas que quelques secondes. Dès qu'elle se fut séparée de lui, elle le gifla.
-Je t'interdis de me toucher, compris ?
-bien, puisque tu fais tout pour me mettre en colère, je ne te toucherai plus.
-Très bonne décision !
Ils s'ignorèrent royalement pendant le trajet à cheval dans la propriété et encore plus pendant la partie de pêche. Ne parlons pas du pique nique !
ching lie se fatigua rapidement et demanda à rentrer. Le majordome la raccompagna, laissant ainsi ses parents seuls.
-Bon, ça y est, t'es contente ? Maintenant la petite est fâchée !
Elle fit comme si elle n'avait pas entendu et se leva pour faire le tour du lac artificiel. De colère, il rattrapa et la retint par la main. Elle se dégagea et prit une position de combat.
-Ah, tu cherches la bagarre ?
Elle résista, mais quelques secondes à peine et il la maîtrisa à terre, ses bras en croix. Un dixième de seconde, il fut tenté de l'embrasser, mais se souvint de sa promesse et se sépara d'elle à contre cœur.
Et voilà voilà pour ma seule fan de la seule fic en français de SF2V !!!! bizou à thoru0509 ki me supporte visiblement ds ttes mes fics...ha, tes en rogne, hein ? t'aimerai bien avoir la suite ? hein ?hihihihi je la mettrai demain et pa avant !!!!! mais ne soit pas pressée, ça va se corser drôlement et après se mélangé à DBZ...
