JAG

Eh ben tiens !!!

Auteur : Dinou

Email : dinou149wanadoo.fr

Genre : humour, romance Harm/Mac

Spoiler : je ne sais pas du tout.

Raiting : G

Résumé : suite de « qui l'eut cru », un an plus tard.

Disclaimer: les personnages de la série JAG ne m'appartiennent pas, je ne gagne pas d'argent à l'écriture de cette fanfiction, je le fais pour m'amuser et divertir les fans de la série, alors merci de ne pas me poursuivre en justice.

Note de l'auteur : cette fic couvait depuis un moment (c'est-à-dire, janvier 2004) alors voilà !

Dédicace : cette fic est pour Vicky (tu peux pas savoir comme j'ai hâte qu'on se revoie !!! », Mizuki (à moi aussi tu me manques, mais ton guide pense très fort à toi même si je ne peux pas te le dire de vive voix !), Carter 1979 (alors, comment va Stéphane ???? lol !), mais aussi à toutes les personnes qui me connaissent et tous les fans de la série.

MERCI DE NE PAS PUBLIER SANS MON AUTORISATION SVP !!!

Cela faisait un an maintenant… Jen avait encore du mal à y croire, et cette nouvelle saint Valentin lui rappelait celle de l'année précédente où elle et Mickey avaient franchi le pas. Elle regarda sa main gauche en souriant : ils étaient fiancés à présent. Un moment qu'elle ne voulait pas oublier. Alors qu'elle était plongée dans ses souvenirs…

??? : « Hey tu dors ??? »

Jen : « Hein ? Oh excuse moi Harriett, j'étais ailleurs ! » dit elle à sa futur belle soeur.

Har : « A quoi pensais tu ? »

Jen : « A ma vie depuis un an. »

Har : « Pas trop anxieuse pour le mariage ? »

Jen : « Tu sais, il y a encore le temps ! Nous n'avons toujours pas fixé la date ! »

Har : « Bientôt tu entreras dans le clan roberts ! Je me sentirais moins seule lors des réunions de famille ! »

Jen : « Dis moi, tu veux que je t'aide ? »

Har : « A vrai dire, je veux bien ! Tu veux bien emmener le bol de punch s'il te plaît ? »

Jen : « Bien sûr ? »

Cette soirée était spéciale pour Jen et Mickey car ce soir là ils fêtaient leurs fiançailles avec tous leurs proches. Ils étaient dans la maison de Bud et Harriett pour cet évènement. C'est là que tout avait commencé, alors cette soirée devait également s'y passée. Les invités arrivèrent tranquillement les uns après les autres. Big Bud, le père de Mickey et Bud, était présent lui aussi. Ses deux fils lui avaient fait promettre de ne pas attirer l'attention et de ne pas faire d'esclandre lors de cette soirée, ce que Big Bud promis, voulant essayer de renouer avec ses fils.

Les deux derniers arrivés furent Le Colonel Sarah Mackenzie et le Capitaine de frégate Harmon Rabb Junior. Lorsqu'ils arrivèrent tous deux chez les Robberts, ils étaient un beaucoup tendus !

M : « Je vous dis que votre dossier est vide ! » dit elle en fusillant Harm du regard. « Bonsoir Harriett. » dit elle en se tournant vers Harriett en lui offrant un magnifique sourire.

Har : « Bonsoir madame. » dit elle en prenant le manteau de Sarah.

H : « Alors là je ne suis pas du tout d'accord ! » dit il en tenant tête à Mac. « Bonsoir Harriett, tout va bien ? » demanda t-il à la maîtresse de maison.

Har : « Oui monsieur. »

M : « Alors qu'avez-vous dans votre dossier je suis toute ouïe ? » demanda t-elle en plantant son regard dans celui de son partenaire.

??? : « Vous reprendrez cette discussion plus tard ! » dit une personne en entrant sur un ton autoritaire. »

M & H : « A vos ordres amiral. »

A.C. : « Bien. Allez voir les autres invités. Et au trop. »

M & H : « Bien monsieur. » dirent ils, puis ils obéirent à l'amiral.

A.C. : « Ces deux là finiront par avoir raison de moi. »

Har : « Jamais Amiral ! »

A.C. : « Merci de votre confiance. Au fait, bonsoir Harriett. »

Har : « Bonsoir. »

A.C. : « Où est Bud ? »

Har : « Avec le petit A.J. monsieur. »

A.C. : « Bien. »

Har : « Donnez moi votre manteau et allez rejoindre les autres vous aussi. »

A.C. : « Ne vous en faites pas Harriet. Je ne pas fais tous ces kilomètres pour abandonner à trois mètres du bol de sangria ! » dit il en s'avançant vers les autres convives.

Harriett sourit à la réaction de l'amiral et alla poser les manteaux qu'elle tenait dans ses bras.

La soirée se passait tranquillement. Big Bud se tenait tranquille, ce qui inquiétait Bud, peu habitué à voir son père agir comme quelqu'un de toute à fait normal. L'ambiance était bonne et l'atmosphère détendue.

A.C. : « Excusez moi chers amis, mais il est temps de porter un toast je crois… » dit l'amiral pas très convaincu.

Tous sourirent.

H : « Alors la parole est à vous Amiral. »

A.C. : « Si vous vous taisiez capitaine, je pourrais peut être en placer une ! » dit l'Amiral. Harm se tut ce qui fit rire tout le monde. « Bien… Levons nos verres à nos futurs mariés : Jennifer et Mickeal. Je vous connais tous les deux depuis longtemps maintenant pour vous dire que je suis fier de compter parmi vos proches et je suis très heureux d'avoir été convié à cette fête ce soir. On voit souvent deux personnes que tout pourrait unir mais qui gâchent tout par orgueil ou par fierté. . Mes jeunes amis, vous avez compris que la vie ne nous donne pas toujours la possibilité de vivre heureux et que quand elle le fait, il faut alors saisir cette opportunité au vol et faire en sorte que ça dure. Vous savez que quoi qu'il arrive désormais vous serez toujours deux et la présence de toutes ces personnes ce soir vous montre combien nous tenons à vous et que vous pouvez comptez sur nous. A Jennifer et Mickeal, je vous souhait beaucoup de bonheur, et je souhaite vraiment que certains en prennent de la graine. » finit il en visant Harm et Mac.

Tous applaudirent et trinquèrent à la santé des fiancés.

Les deux avocats avaient compris depuis longtemps que le discours de l'amiral leur était destiné. Il voulait leur fait comprendre qu'il était temps pour les deux avocats arrêtent de se tourner autour. Mais tous les deux avaient peur de l'avenir, peur de s'engager avec quelqu'un qu'ils aimaient sincèrement et profondément. Ils échangèrent un bref regard. Ils vidèrent leurs verres, mais ne se disaient rien, c'est à ce moment là que l'amiral vint les rejoindre.

A.C. : « Pas mal mon discours. Je dois l'admettre. » dit il l'air de rien.

H : « Tout à fait Amiral. »

M : « Beau discours monsieur. »

A.C. : « Vous m'avez bien écoutez tous les deux ? »

H & M : « Bien sûr. »

A.C. : « Bien. »

M : « Si vous voulez bien m'excusez un instant messieurs. »

A.C. : « Je vous en prie ! »

Mac laissa l'Amiral et Harm seuls et se dirigea vers la terrasse pour prendre l'air. Du côté de ces messieurs régnait le silence.

A.C. : « Vous attendez quoi ? »

H : « Pardon ? »

A.C. : « Pour aller lui parler. »

H : « Je ne comprends pas Amiral. »

A.C. : « Oh si vous comprenez très bien capitaine. » dit il en le fixant droit dans les yeux.

H : « Je ne crois pas que ce soir le bon moment pour lui parler monsieur. »

A.C. : « Et c'est quand le bon moment pour lui parler ? Quand elle aura rencontré quelqu'un d'autre et qu'elle épousera cette fois ? »

H : « Touché. » dut il admettre.

A.C. : « Vous allez lui parler c'est un ordre. »

H : « Amiral… »

A.C. : « Ne m'obligez pas à vous y envoyer avec un coup de pied dans le derrière capitaine ! »

H : « A vos ordre. »

Harm quitta l'amiral.

Har : « Tout va comme vous voulez Amiral ? »

A.C. : « Avec un peu de chance Harriett, on en aura deux autres de casés. »

Har : « Que le ciel vous entende Amiral. »

Ils se sourirent et discutèrent tranquillement.

De son côté Mac réfléchissait. Elle repensait au discours de l'amiral Des images lui revenaient en tête… sa rencontre avec Harm… leurs disputes… leurs moments de joies… leurs discussions…

C'est perdue dans ses pensé que Harm la vit sous le porche de la maison des Robberts.

H : « Mac ? » appela t-il doucement.

M : « Oh Harm. Besoin de prendre l'air ? »

H : « Pas vraiment. » avoua t-il ;

M : « Alors pourquoi êtes vous là ? »

H : « Je voulais juste vous parler. »

M : « Et de quoi ? » demanda t-elle un peu sur la défensive.

H : « Ca n'a rien à voir avec le procès Mac. »

M : « C'est une bonne chose puisque je sais que j'ai raison et que je vais le gagner ce procès ! »

H : « Nous verrons ça Mac… A vrai dire les paroles de l'Amiral me trottent dans la tête. »

M : « Je vois. » dit elle en tournant le dos à Harm pour fixer le ciel étoilé.

H : « Deux personnes que tout pourrait réunir… » dit il à l'oreille de sa partenaire

M : « .. ; et qui gâchent tout. » dit elle dans un murmure. « Combien de temps encore allons nous jouer à ce petit jeu Harm ? »

H : « Je ne sais pas Mac. »

M : « Harm… je suis fatiguée de tout ça. Alors une fois pour toute prenez une décision. »

Harm se tut un instant puis prit la parole.

H : « J'ai l'impression de me retrouver à la soirée de vos fiançailles avec Brumby. »

M : « Oui… » dit elle tout en repensant à ce baiser passionné échangé avec Harm.

Ils s'étaient embrassés ce soir là comme si leurs vies en dépendaient.

H : « Mac… »

M : « J'en ai assez Harm d'attendre quelque chose qui ne viendra peut être pas ! »

H : « Je sais Sarah… »

M : « Alors ? »

Harm ne répondit pas. Il ôta sa veste et la déposa sur les épaules de Mac. En faisant cela, il rapprocha la jeune femme de lui.

H : « J'ai enfin pris une décision. »

M : « Alors ? » demanda t-elle à nouveau alors que son cœur battait la chamade.

Harm s'approcha encore plus d'elle et l'embrassa avec douceur. Il voulait faire passer par ce baiser tout ce qu'il ressentait pour elle.

H : « Je crois que nous avons fait assez de gâchis Sarah. Il est temps de savoir ce que ça peut donner nous deux. »

M : « Oh Harm ! Depuis le temps, je commençais à ne plus y croire ! » dit elle avant de l'embrasser à son tour, au plus grand bonheur de Harm.

Alors que le couple essayait de rattraper un peu de ce temps perdu…

A.C : « Et bien ! Ca fait du bien de voir qu'une fois de temps en temps vous m'écoutez et vous m'obéissez quand je parle tous les deux ! » dit l'Amiral.

Le couple, surpris au début, sourit à l'Amiral et repris là où il s'était arrêté.

Grâce à cette soirée, un avenir prometteur s'ouvrait devant Mac et Harm… Un avenir commun tant d'un point de vu professionnel que personnel.

Fin.

Voilà, j'espère que ça vous a plu ! Vous pouvez toujours me le faire savoir par mail, je ne suis pas contre bien au contraire !

Merci !

Dinou