Auteur: Selann Yui !!!
Couples: Ron/Hermione... Harry/Drago...
Disclamer: Les personnages de Harry Potter appartiennent à JKR. T.T
Genre: Romance.
Réponses aux reviews :
Orphée Potter : Grand danger écarté... Du moins, je penses... Qu'en dis-tu ? Si la fin est sadique, c'est pas ma faute... Enfin si un peu mais bon... J'ai pas pu la mettre dimanche mais bon... je n'ai qu'un jour de retard... Bisous, Selann.
4rine : Mici, voila la suite... Selann.
Marikili : Vais Voldy est crevé... Pour le bonheur de Dray et Ryry... C'est acquis... Enfin presque, un léger truc à régler et c'est parti !!! Selann.
celine.s : Qu'est-ce que j'ai fais ? Pas grand-chose t'inquiètes pas... Ben ouais, une pitite fifille... Ca te va ? Kisu, Selann.
yue-kero : Kawai ? Je trouve le chapitre là encore plus... et puis celui d'après... Mais faudrait peut être que je les mette pour que vous me disiez ce que vous en pensez... Selann.
Onarluca/Artémis : Bon il arrive pas dimanche mais bon, lundi, c'est presuqe la même chose, ne ? Voila, j'espère que ce chapitre aura une aussi bonne critique que les autres... Kisu, Selann.
Avis important : J'ai réussi à contenir un minimun le parasite Hina Maxwell... Il n'apparaît donc plus que dans les petites discussions que j'ai avec les personnages... N'y faites pas attention... Selann.
Oubli : les pensées de Harry sont entre « « ... » », celles de Drago entre ... , pour les autres elles seront entre ... et les commentaires de l'auteure entre (...).
Bonne lecture.
Chapitre 10 : Prélude à la paix.
« Blanc, tout est si blanc ici... L'infirmerie est toujours, a toujours et sera toujours ainsi... »
« Ca va devenir une habitude de se réveiller ici pour elle... Réveille-toi Marianne... »
« On a besoin de toi... Reviens... »
Marianne ouvrit les yeux, l'un après l'autre, sans se brusquer. Elle avait l'impression d'avoir dormi longtemps. L'infirmière s'approcha d'elle et l'aida à se redresser.
- Vous nous avez fait une belle peur, Marianne... murmura-t-elle avec douceur.
- Mon... Bébé...
- Ne vous inquiétez pas... Il va bien... Nous vous avons sauvé juste à temps... Tous les deux...
- Marianne, je suis heureuse de vous revoir enfin parmi nous... Intervint MacGonagall qui venait d'arriver.
Les traits sévères de la professeur semblaient las et triste. Un horrible pressentiment nouant son estomac, Marianne demanda, terrifiée par la réponse qui allait lui être faite :
- Que s'est-il passé ?
- ...
- Répondez moi professeur !
- ...
- J'oubliais, il faut prévenir Mr Malfoy... Il était si inquiet... coupa Pompom en jetant je ne sais quel sort d'alerte.
- Professeur ? Je voudrais une réponse, il me semble que j'en ai le droit...
- ...
Le professeur MacGonagall ainsi que Mme Pomfresh étaient tombées dans un mutisme énervant et Marianne commençait à perdre patience quand la porte s'ouvrit avec fracas. Appuyé à la poignée, un Drago trempé seulement vêtu d'un pantalon et enfilant en grande hâte une chemise reprenait son souffle. Une fois qu'il put faire un pas, il se dirigea vers Marianne et assis près d'elle, il la serra contre lui à lui rompre les os. Après quelques instants, Marianne leva la tête et demanda obstinée :
- Que s'est-il passé ?
Drago resserra son étreinte sans rien dire pour autant... Et Pompom étant repartie à ses autres malades, MacGonagall prit la parole.
- Vous avez vaincu le Lord Noir, déstabilisant les mangemorts qui se sont enfuis... Nous en avons capturé plusieurs mais beaucoup se sont évaporés dans la nature... Les Aurors vont les rechercher.
- Je ne me souviens pas...
- Vous êtes tombée dans une sorte de coma... Pendant trois jours...
- Et mes amis ?
- Mr Weasley a été blessé mais des soins instantanés ont réduit ses blessures mortelles à une rééducation de plusieurs semaines... Avec le soutien de Miss Granger, qui n'a été que légèrement touchée grâce à lui, je ne doute pas qu'il se remettra rapidement...
- Blaise ?
- Grièvement blessé, il a été admis de toute urgence à Ste Mangouste mais ses jours ne sont plus en danger... intervint Drago.
- Néville ?
- Il est...
- Beaucoup d'élèves et de professeurs ont péri durant cette horrible bataille... Mr Longdubat a malheureusement été de ce nombre...
- Non... Non... NON !!! Pourquoi ?!
- Calme-toi Marianne... Shhh... Ca va aller, je suis là...
Drago réconforta Marianne du mieux qu'il put. Celle-ci prit sur elle-même et continua tout de même :
- Des professeurs ?
- Oui.
- Quels professeurs ?
- ...
Le mauvais pressentiment de Marianne s'insinuait en elle comme un poison et soudain, la vérité, aussi terrifiante soit elle s'ancra dans son esprit.
(désolée, j'ai pas le temps de mettre les autres tirets...)
Dum... Dumbledore ?! dit-elle sa voix s'étranglant dans sa gorge.
Non...Il ne peut pas être mort... Pas lui...
La guerre est terminée... commença MacGonagall avec mélancolie.
... Mais à quel prix ! lâcha Marianne avec la hargne de la souffrance.
Il doit être heureux... Il s'est battu pour ça...
Je sais mais...
Vous ne devez pas être triste...
Mais...
Dumbledore n'est plus... Vous-Savez-Qui non plus... Mais la menace n'a pas complètement disparu... Plusieurs mangemorts sont encore en liberté... Il faut achever ce qu'il a commencé... Cette tache nous est à présent dévolue...
Mais... Je ne peux m'empêcher de pleurer mes amis...
Et c'est tout à fait normal... Toute l'école est en deuil, chacun a perdu un être cher mais il faut continuer à avancer pour ceux qui ne le peuvent plus...
µµµ
Plusieurs jours après, Marianne fut accueillie en héroïne dans la grande salle. Malgré la douleur de chacun, un réel sentiment de joie émergea de l'assemblée à son entrée. Les conversations ne fusaient plus de toute part comme avant, l'atmosphère était lourde et beaucoup de places restaient inoccupées. Marianne baissa les yeux, comment supporter toute cette tristesse ? Drago la conduisit à leur table où ils furent accueillis avec une joie de courte durée. Soudain, dans son fauteuil roulant, Ron s'approcha.
Drago ?!
Oui.
Nous sommes convoqués à 13h tout à l'heure...
Bien...
Tu es convoqué où ?
Je veux devenir auror.
Mais...
Des larmes étaient venues aux yeux de Marianne.
Ne t'inquiètes pas... Je souhaite me rendre utile... Expier les fautes de mon père... Je vais rechercher les mangemorts échappés...
Je comprends mais... Tu feras attention... murmura-t-elle.
Il l'embrassa avec douceur afin de la remercier de son accord implicite et se leva.
Où vas-tu ?
Le professeur Rogue est en train de préparer une potion pour guérir Ron... Comme c'est une potion que m'a apprise ma mère, je vais voir... J'irais à ma convocation en suivant...
Bien... Alors vas-y...
Marianne le regarda partir, elle avait confiance en lui...
« « Il m'a promis de faire attention... Donc ça ira... Si jamais il ne fait pas ce que je lui ai dit de toute façon, c'est de baume pour les ecchymoses qu'il aura besoin... Pour soigner celle que je lui aurais faite pour le punir ! Non mais, faut qu'il obéisse, je ne supporterais pas de le perdre !!! » »
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Six mois s'étaient écoulés depuis ce triste jour. Drago et Ron étaient devenus d'excellents aurors. Drago s'était installé avec Marianne dans une coquette maison près de Londres. Ce jour-là, la jeune femme regardait les photos de son mariage en attendant le retour de son mari. Jetant un œil à son reflet dans la glace, elle murmura pour elle-même :
Quelle idée de se marier enceinte ! Je ne suis pas à mon avantage avec cet énorme ventre !
Soudain son visage se crispa.
Oh non... Pas maintenant...
µµµ
Drago ouvrit la porte avec allégresse. Déposant sa cape, il dit :
Tu ne sais pas qui nous avons attrapé aujourd'hui ? Pettigrew ! Ce sale rat ! Ron l'a exécuté et le pire s'est que cet imbécile se prostern... Marianne ?! Ca va pas ?
La jeune femme était pale et tendue. Drago se précipita à elle.
Dra... Dray... Le bébé...
Que... Quoi... Kesya ?
Il arrive... Vite...
Drago empoigna sa cape en emmitoufla Marianne et, la soutenant, il empoigna une espèce de peluche qui traînait là. Portoloin d'urgence, ils se retrouvèrent rapidement à Ste Mangouste.
Marianne... Ma chérie... Ca va aller... murmurait Drago, il semblait autant s'en convaincre que d'essayer de le faire croire à sa femme.
Putain, ca fait mal ! Parfois, je regrette d'être une femme ! Oh putain !!!
Marianne continuait d'haleter ou de hurler suivant le cas. Drago, malgré son inquiétude, avait un petit sourire en coin à ses diverses remarques.
Dray... Dit-elle soudain.
Oui...
Où sont ces putains de mage accoucheur ? demanda-t-elle en détachant soigneusement ces mots.
Ils arrivent ma chérie, ça va aller...
Me laisse pas...
Mais non...
Tendrement, Marianne avait placé ses mains de chaque côté du visage du blond et elle le regardait dans les yeux. Soudain, ses mains se crispèrent sous la douleur d'une contraction sur les joues pales et Drago grimaça de douleur.
Mar... Marianne... Lâche-moi... Tu me... Fais mal !!! bafouilla-t-il comme il put, les joues pincées entre les doigts fins de Marianne.
Les médicomages arrivèrent (enfin) et s'enfermèrent dans la salle avec Marianne. Drago, les joues un peu endolories, était resté un peu hébété par leur arrivée et il se retrouvait planté devant la porte.
Je vais être papa... Yaha...Je sui le plus heureux des h...
Aaaaaaaahhhh !!!!!!!
Marianne...
Il entra dans la salle et prit la main de Marianne pour la soutenir. Elle lui broya les os de la main mais Drago n'y faisait pas attention.
Dray... Je... N'en peux plus... Je... N'y arriverais... Jamais...
Mais si... Tu vas y arriver... Courage...
µµµ
Dans le couloir, un Remus nerveux et une Narcissa impatiente arpentaient le couloir avec inquiétude. Leur attente fut longue mais elle fut récompensée bien qu'allongée. En effet, quelques heures plus tard, les médicomages ressortirent de la salle. Les deux personnes leur sautèrent littéralement dessus.
Alors comment ça s'est passé ? Marianne va-t-elle bien ?
Le bébé ? Une fille ou un garçon ?
Excusez-moi, vous êtes de la famille ?
Oui.
Bien alors il va vous falloir patienter encore un peu... Le temps que nos jeunes parents se remettent un peu et qu'ils soient installés dans leur chambre... Une infirmière viendra vous prévenir...
Qu... Qu...
Les médicomages s'éloignèrent laissant Remus et Narcissa au milieu du couloir.
QUOI ?! Hurla cette dernière. Je suis sa grand-mère !!! J'ai le droit de voir cet enfant !!! C'est mon fils l'heureux papa !!! Laissez-moi, je veux y aller tout de suite...
Narcissa hurlait, retenue par Remus qui ne voulait pas de meurtre. Une fois qu'elle se fut calmée, ils s'assirent et leur attente recommença. Une infirmière les interpella peu de temps après.
Excusez-moi... Voulez-vous me suivre ? Je vais vous conduire à Mr et Mme Malfoy...
Les deux adultes s'empressèrent de la suivre. Elle les laissa devant la porte et s'en fut. Remus frappa et avant qu'il n'y ait eu de réponse, il fut bousculé par Narcissa qui entra. Dans son lit, Marianne reposait, un peu pale mais l'air heureuse. Entre ses bras, un adorable nourrisson dormait à point fermés. Drago, assis au bord du lit, un bras autour des épaules de Marianne, regardait avec tendresse sa femme et le bébé. Marianne leva les yeux vers les arrivants.
Remus ! Narcissa ! Venez... Approchez-vous... Elle ne va pas vous manger... Cette petite gloutonne vient de le faire...
Une fille... bafouilla Narcissa.
Elle est adorable... murmura Remus.
Remus se pencha vers Marianne et murmura :
Fais attention... Ta belle-mère va gagatiser...
Marianne lui offrit son plus beau sourire et lui répondit sur le même ton.
Alors elle aura un rival... Je crains que Dray ne s'en remette avant longtemps...
Puis-je la prendre ? demanda avidement Narcissa.
Bien sur... Tenez...
Fais attention 'Man... prévint Drago levant enfin les yeux du bébé.
Je te ferais remarqué que tu es en vie et pas déformé donc je sais tenir un bébé dans mes bras !!!
Drago s'éloigna un peu pour éviter la claque amicale de sa mère et se rapprocha de Remus.
Alors... Papa... Heureux ? Lui demanda ce dernier.
Oui... Répondit Drago un sourire béat sur le visage.
Marianne...
Hum...
Tu avais raison, ton mari est aussi gaga que Narcissa ! lança Remus.
Je ne gagatise pas ! grogna Drago.
Non... marmonna Remus avec indulgence. Il croyait tout à fait ce qu'il disait.
Elle est si mignonne... Si petite... Si fragile... Ma petite Naoko...
Naoko ?! interrogea Narcissa.
Oui, répondit Marianne, Drago n'étant pas redescendu de son petit nuage.
Vous avez finalement choisi Naoko... répéta Remus.
Oui... Cela fait étranger mais ça nous plait...
C'est si joli ! s'extasia Narcissa... Naoko, ma petite Naoko... Je vais t'acheter une énorme peluche et puis... Ca... Ca aussi... Oh... Et puis ça...
Ah non ! Tu ne gâteras pas ma fille ! intervint Drago.
Euh, Dray ?
Oui...
C'est la mienne aussi !!!! hurla Marianne.
Et c'est ma petite fille ! s'énerva Narcissa, si je la gâter, je la gâterais, c'est mon rôle de grand-mère après tout !
Moi seul ai le droit de la gâter ! avoua Drago avec l'air très sérieux.
Remus et Marianne étouffèrent un éclat de rire. La jeune femme récupéra sa fille des bras de sa grand-mère et la couchant, elle dit :
Voulez-vous vous taire ? Naoko dort et j'aimerais bien pouvoir en profiter pour me reposer aussi...
Narcissa et Drago stoppèrent aussitôt et Remus pouffa de rire devant leurs mines penaudes.
Au revoir ma petite Marianne... Je reviendrais bientôt... Je dois aller chercher Brian... dit-il en embrassant la jeune femme sur la joue.
Cette dernière enserra son cou de ses bras et lui murmura :
Merci d'être là Remus... Félicitations pour Brian... J'espère que tu vas pouvoir être heureux de nouveau grâce à lui...
Merci... Je suis fier de toi... encore toutes mes félicitations, Naoko est magnifique...
Merci...
Soudain, Marianne se sentit attirée hors de l'étreinte du loup garou et écrasée avec possession sur la poitrine de Drago. Remus sortit de la chambre, un grand sourire aux lèvres sous le regard furibond de Drago. Un regard qui signifiait clairement : « Pas touche... A moi... Propriété privée ! » Une fois que la prote se fut refermé sur lui, un éclat de rire retentit dans le couloir. Marianne pouffa, Drago regardait hébété vers la porte, Narcissa s'apprêtait à sortir quand elle dit :
Au revoir les enfants... Je reviens demain... Je vais ramener Remus chez lui, j'ai peur qu'il ne puisse rentrer seul...
Au revoir Narcissa... Merci pour ce pauvre Remus...
De rien...
La femme sortit laissant seuls les nouveaux parents.
J'ai pas compris là... murmura Drago.
Ce n'est pas important... Le plus important, c'est notre fille...
Oui.
Les deux jeunes gens regardaient tendrement l'enfant endormi. Dans leurs yeux, une lueur douce et protectrice brillait.
Nous avons des devoirs envers elle... Nous devons la protéger... La protéger de ce que j'ai connu en étant Harry POTTER... Nous devons la protéger de ces gens intéressés.
Tu penses à Rita SKEETER ?
Entre autre...
Sa vie ne sera pas ainsi... Nous y veillerons...
Je sais... Elle sera heureuse...
A suivre...............................
Selann : Eh oui, c'est pas fini... Encore un chapitre et l'épilogue... Ca vous dérange ?
Harry : Non, si tu écris le chapitre suivant dans la continuité de celui là et qu'il est aussi bien que la fin...
Selann : Tu aimes ce chapitre ? Pitites larmes dans les noeils
Hina encore et toujours là... Désolée...: Moi, j'aime beaucoup!
Harry : Mouai... A part le début...
Selann : De toute façon, t'es jamais content !!
Hina : C'est vrai ça, ils veulent toujours tout ces persos...
Drago : Il a dit mouai c'est déjà un mieux... Je suis d'accord avec lui... Début plutôt triste et fin super !!! Que dis-je génialissime !!! Je suis papa !!! Papa !!! commence à sauter partout.
Harry attrapant Drago par le col de la chemise et le traînant or de la chambre : A plus et finis-en vite...
Selann : Promis...
Hina : T'as plutôt intérêt sinon...
Harry sort traînant toujours Drago qui délire complètement.
Selann : ... Faut que je trouve une idée pour une autre fic... Harry POTTER ? Gundam peut être ? A moins que ce ne soit une de Saiyuki ?
BAM !!! Gojo assène un grand coup de baffeur à la pauvre auteure et le rend à Sanzo.
Selann à moitié assommée : Une... Tite... Review... Teplé...
Boum... La pauvre auteure est inconsciente à terre. Hakkai s'approche et dit :
Hakkai : Onegai (S'il vous plait)... Une review pour elle...
Gojo : Pour lui dire de ne pas écrire sur nous ce serait pas mal !
Hina : Pourquoi ? Moi j'aime bien les fics de Saiyuki... Surtout celle qu'on écrit ! Les persos de Saiyuki tremblent de peur devant l'air sadique d'Hina
Sanzo : Pour une fois que je suis d'accord avec le Kappa... Si vous dites le contraire, OMAE WO KOROSU (Je vous bute) !!!!!!!!!!
