Bonjour bonjour !
Et bien et bien me voila encore de retour, avec un nouveau chapitre des aventures de notre semi-elfe ! Lol, bon, je me tais, je vais pas vous décourager dès l'intro... Bonne lecture !
Réponses aux reviews ! (le mot que j'arrive jamais à écrire correctement lol).
Aelea WoOd : hello à toi ! Tout d'abord merci pour ta gentille review. :) Je suis bien contente d'avoir réussi à te faire rire. ;) Me suis particulièrement éclatée sur la partie « enfilage de la robe » en me disant qu'à sa place j'aurais pas été mieux pour me préparer lol. Me suis amusée aussi avec ce malheureux Legolas (désolée, chère victime...). En bref, je suis toute contente de ne pas avoir récolté un bide avec mon humour pourri (peut-être que si, mais je reste sur mes illusions). Bon courage pour la fac, bonne rentrée, et au plaisir de relire une de tes reviews ! Byz !
aureliebloom : oué, encore quelqu'un que j'ai fait rire ! Je vais finir par croire que je suis drôle mdr... Lol, notre Opale a l'air d'être une belle mateuse ;) On verra qui sera l'heureux élu :p Je le plains sincèrement, connaissant mon perso ;)
eithelin : merci pour ta review ! :) Lol, moi je trouve que mes chapitres sont pas si courts que ça, si on enlève le prologue... Arf, enfin, je vais peut-être essayer de les faire plus longs dans ce cas Voici donc la suite, j'espère qu'elle te plaira !
Chapitre III : Le début d'un long voyage
Opale se retourna quelques instants, laissant la Communauté prendre de l'avance. Le vent jouait dans ses cheveux noirs, créant par-ci par-là quelques reflets bleus. Devant elle s'étendant la vallée de Fondcombe. Derrière elle, l'Aventure avec un grand A, le pays sauvage qu'elle avait si souvent traversé. Elle était triste de quitter Alew, sa blessure n'était pas encore bien cicatrisée.
Se rendant compte que la Compagnie avait prit beaucoup d'avance, elle les rejoignit au pas de course, et donna une claque dans le dos de Gandalf.
« Allez, motivé ! Je te vois ravi que je vous accompagne ! »
L'istari lui jeta un regard torve, et soupira tandis qu'elle rejoignait les hobbits ravis d'un pas sautillant.
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La première partie du voyage se passa sans évènement particulier, et révéla que finalement la compagnie d'Opale n'était pas si négative pour la compagnie. Elle était toujours de bonne humeur, avait toujours une blague foireuse à lancer, ou la description ironique le mot qui tue pour définir une situation, et son sourire permanent était communicatif. Elle s'entendait très bien avec tout le monde, et arrivait toujours à lancer la conversation, apportant un peu de distraction et de gaîté dans le cœur des voyageurs.
Le premier incident se déroula aux environs de midi ; la Communauté avait fait halte près d'un tas de rochers, et se livrait à diverses activités : Sam préparait le repas, Frodon se reposait à l'écart, Boromir enseignait l'art du combat à Merry et Pippin, et les autres étaient assis sur les rochers et discutaient. Opale, quand à elle, était allongée sur le dos sur une pierre plate, et jouait les lézards, cuisant sous au soleil dans le secret espoir d'améliorer un tantinet son bronzage.
Legolas aperçut soudain quelque chose à l'horizon, et se déplaça pour aller voir ça de plus près. Il marcha alors sur quelque chose de mou qui poussa un couinement indigné. Il souleva son pied et constata avec étonnement qu'il avait écrasé l'estomac de la semi-elfe. Celle-ci se releva d'un bond et apostropha l'elfe, agacée d'avoir été dérangée pendant sa séance d'efforts intensifs.
« Keskispass ?
-Euh, ben heu... » hésita le blond, un peu largué. « J'ai vu quelque chose là-bas, » se reprit-il, indiquant la direction de la tâche noire.
Opale plissa les yeux, fixant l'endroit indiqué.
« On dirait un nuage, » commenta Gimli. « Aucune raison de s'inquiéter. »
« Je voudrais pas être pessimiste, mais je trouve qu'il va bien vite pour un simple nuage, » répliqua Opale.
Elle humecta le bout de son index et le leva en l'air.
« Et contre le vent en plus, » compléta-t-elle, intriguée.
« Des crébains de Fangorn et du Pays de Dun ! » s'exclama Legolas.
« Planquez-vous ! » résuma Opale, qui saisit Sam et Frodon par le col et se jeta sous un rocher, pendant que les autres faisaient de même après avoir rapidement ramassé leurs affaires.
La nuée d'oiseaux passa en escadrilles serrées au dessus de la Communauté soigneusement dissimulée. Une fois tout danger écarté, les dix membres sortirent de leurs cachettes.
« Des espions de Saroumane ! Il surveille le passage par le Sud, » fit Gandalf d'un air sombre tout en cherchant son bâton et son chapeau, sans se rendre compte que la semi-elfe les lui avait subtilisé et s'amusait à l'imiter dans son dos.
« Qu'a cela ne tienne ! » s'écria le nain. « Passons par les mines de la Moria, nous y serons accueillis par mon cousin Balïn. »
Opale s'arrêta de gesticuler, permettant à Gandalf de reprendre possession de ses biens. La semi-elfe n'avait pas envisagé le fait qu'il puisse passer par-là. Elle frissonna : elle avait déjà été se balader devant les portes de la Moria, mais ne s'était jamais aventurée dans les froides galeries naines, et n'en avait pas la moindre envie.
« Non, Gimli, je n'emprunterais la route de la Moria qu'en dernière option, » répondit Gandalf. « Nous allons passer par le col de Caradhras ! » déclara-t-il à la Compagnie qui opina du chef.
Opale retrouva le sourire. La neige, voilà un plan intéressant ! Elle reprit sa besace qu'elle passa en bandouillère, et se dépêcha de rejoindre les autres qui avaient déjà repris la route, et rejoignit Sam et le poney Bill.
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La petite troupe commença donc l'escalade du mont Caradhras. Au début, le soleil était au rendez-vous, et le temps plus que magnifique, et l'escapade avait des allures de balade en montagne. Mais la passage du col proprement dit fut autrement difficile : une tempête de neige des plus violentes s'abattit sur la Compagnie, et la traversée vira au cauchemar.
Marchant avec peine sous le vent hurlant, Opale claquait des dents. N'étant pas elfe de sang pur, elle pouvait ressentir le froid avec autant d'intensité que n'importe quel humain, et elle était à présent littéralement gelée. Elle frictionna ses oreilles pointues et s'emmitoufla dans sa cape. Bon, en contrepartie, elle pouvait marcher sur la neige comme les elfes, même si elle y laissait de grosses traces contrairement à Legolas qui crânait à côté du nain qui avait de la neige jusqu'au menton.
La semi-elfe s'ennuyait. Plus moyen de faire des batailles de boules de neige avec les hobbits, ils étaient trop fatigués. De toute façon, la dernière qu'ils avaient faite s'était mal terminée ; Opale avait visé Boromir qui s'était écarté, et c'était Gandalf qui s'était ramassé le projectile dans la poire. Vu le temps qu'il avait mis pour ôter toute la glace prise dans sa barbe, la semi-elfe se doutait bien qu'il apprécierait peu si elle relançait une autre bataille.
En soupirant, elle remit sa capuche, et fit un bond de trois mètres. De la glace s'était accumulée dedans, et venait de lui glisser dans le cou. Soudainement inspirée pour une plaisanterie stupide, elle ramassa un peu de neige, et s'approcha de Boromir, sa victime favorite, sous le regard intrigué du nain qui se demandait ce que la semi-elfe pouvait bien encore avoir inventé. Opale posa avec précaution la glace dans la capuche du gondorien qui lui tombait sur les épaules. L'humain ne remarqua rien, occupé à soutenir Merry et Pippin congelés et à râler comme un putois après la montagne sadique.
Pendant que Gimli pouffait à l'idée du résultat, Opale jugea bon de prendre un peu d'avance, et courut en direction de Gandalf qui menait la petite troupe. Au passage, elle cogna quelque chose ; baissant le regard, elle s'aperçut que c'était Frodon qui venait de tomber dans une congère. La semi-elfe sortit le Porteur de là, et entreprit, en le frictionnant avec énergie, de le refaire passer de l'état de glaçon à celui de hobbit.
« Gandalf ! » hurla-t-elle, essayant de se faire entendre malgré le vent. « Les hobbits ne tiendront pas ! Il faut faire demi-tour ! »
Le magicien se retourna.
« Non !! » hurla-t-il en réponse. « On continue ! »
Opale grogna, puis se redressa d'un bond, les oreilles au vent. Il lui semblait avoir entendu une voix qui n'appartenait pas à la Compagnie. Peut-être n'était-ce que le vent...
Elle n'eut pas l'occasion d'en apprendre plus, car un hurlement bestiale se fit entendre derrière elle, suivit d'un grand éclat de rire, lui apprenant que Boromir avait finalement décidé de mettre sa capuche, et venait de se prendre une bonne quantité de neige dans le cou, pour le plus grand bonheur du nain.
Pendant que l'humain furieux coursait Gimli qu'il tenait pour responsable de la blague, Opale préféra prendre encore un peu d'avance, et rejoignit Gandalf.
« Il me semble avoir entendu une voix dans les airs, » dit-elle, une fois arrivée à la hauteur de l'istari.
« C'est Saroumane, » répondit celui-ci. « Il veut nous empêcher de passer. »
La surprise se lut dans les yeux bleu foncés d'Opale.
« S'il peut nous atteindre ici, son bras s'est considérablement allongé.
-Il s'est allongé, » fit Gandalf, mettant fin au dialogue.
Soudain, un craquement sonore fendit l'air glacé. La semi-elfe leva et les yeux et vit qu'un immense bloc de neige était entrain de s'effondrer sur eux.
« Oh misère, » gémit la semi-elfe, résumant bien la situation. « Tous contre la paroi ! » cria-t-elle en saisissant Gandalf par le col pour l'obliger à faire de même.
L'avalanche ensevelit complètement le petit groupe. Opale se débattit, et se creusa tant bien que mal un trou vers la surface. Une fois dégagée, elle aida Gandalf à sortir, tandis que les membres de la Communauté poussaient comme des champignons. Pendant qu'Aragorn terminait de déterrer Bill, Boromir prit la parole :
« On ne passera pas ici ! Allons vers la Trouée du Rohan, et faisons un détour par ma cité !
-Non, la Trouée du Rohan nous rapproche trop de l'Isengard, » répliqua Gandalf.
« Dans ce cas, passons par-dessous la montagne ! Passons par la Moria ! » fit Gimli, qui manifestement tenait à ses mines.
Tout le monde resta suspendu aux lèvres de Gandalf, attendant sa décision.
« Laissons le Porteur décider de notre route, » dit enfin l'istari.
Les regards se tournèrent alors vers Frodon, qui parla d'une voix hésitante.
« Nous passerons par les mines, » articula-t-il.
« Ô joie, » songea Opale qui soupira.
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La Compagnie fit donc demi-tour, et descendit le Caradhras qu'elle avait si durement escaladé. Le voyage aurait été morne sans une idée particulièrement peu maligne d'Opale d'essayer de descendre la pente enneigée debout en équilibre sur le bouclier de Boromir. La petite troupe se distrait en regardant les chutes nombreuses et variées de la semi-elfe, et tinrent des paris sur la distance qu'elle pouvait parcourir sans se rétamer.
La Communauté arriva enfin devant les murs de la Moria, puis devant la porte de Durïn. Ici, elle fit une petite halte, scrutant la surface du lac qui les bordait. Ses eaux sombres n'inspiraient pas confiance à la semi-elfe, qui s'assit sur le rocher le plus éloigné de l'élément aquatique, lui jetant de temps à autre un regard méfiant. Pendant ce temps, Gandalf décryptait l'inscription écrite en ithildin sur la porte. Opale ne s'en préoccupa guère, laissant aux autres la joie de résoudre l'énigme, se contentant de se curer les ongles avec son poignard, pendant qu'Aragorn relâchait Bill, au grand désespoir de Sam.
Un bruit sourd la tira de sa méditation : les portes venaient de s'ouvrir, et la Communauté venait d'entrer. Opale se leva et rentra à leur suite tout en grognant et en tirant les pieds, écoutant le nain faire l'éloge de ses mines. La pénombre qui régnait pour l'instant ne permettait pas de distinguer grand-chose ; Gandalf ramassa une pierre et la coinça en haut de son bâton, et une douce lueur éclaira les environs, révélant un spectacle peu attirant.
Des dizaines de cadavres nains percés de flèches gisaient ça et là, dans des états de décompositions plus ou moins avancés. Gimli poussa un cri déchirant et alla d'un nain à l'autre en balbutiant des choses dans sa langue. Opale plaqua une main contre sa bouche, et frissonna devant ce spectacle, pendant que Boromir demandait d'un air horrifié :
« Mais que s'est-il passé ici ? »
La semi-elfe tira avec répulsion une flèche de l'un des cadavres, et l'examina avec soin.
« Des gobelins, » murmura-t-elle. « Ils ont été attaqués.
-Partons d'ici, » reprit le jeu capitaine du Gondor. « Nous n'aurions jamais dû venir ici. Allez, sortons, partons à la Trouée du Rohan. »
Opale ne se fit pas priée, et fit machine arrière avec rapidité. Elle s'étala par terre ainsi que Frodon, tous les deux dans un bel ensemble. Or, Opale s'était tout simplement prit les pieds dans le tapis, alors que Frodon avait été mis au tas par un tentacule géant qui s'était enroulée autour de ses chevilles. La semi-elfe se releva avec rapidité et poussa un cri d'horreur en voyant la chose tirer Frodon en arrière.
« WAAAAAH !! Mes aïeux, c'est quoi ça ? »
Alertés par le cri d'Opale, les autres se retournèrent et virent une chose indescriptible essayer de ne faire qu'une bouchée du Porteur. Boromir et Aragorn bondirent et tailladèrent les tentacules à coups d'épée, pendant que Legolas prenait son arc. Essayant de ne pas trop trembler, Opale fit de même, encocha une flèche, et visa. La première flèche alla se planter dans ce qui servait de tête au monstre, à quelques centimètres de celle de Legolas. Inspirant un grand coup, la semi-elfe se livra à un coup plus risqué. Prenant une autre flèche, elle visa cette fois-ci le tentacule qui maintenait Frodon prisonnier. Elle lâcha la corde, et le projectile toucha son but. L'hideuse bête lâcha le Porteur qui tomba dans les bras de Boromir.
« Dans les mines vite ! » cira Gandalf.
Tout le monde fit machine arrière, coursé par la bestiole. La Communauté passa les portes en vitesse, qui s'effondrèrent derrière eux sous les coups de tentacules. Bientôt, le noir les envahit.
« Aïe, » dit Opale, rompant le silence qui s'était installé. « Je me suis cognée sur quelque chose.
-Oui, ma tête, » grogna Aragorn en se frottant la tempe.
Gandalf éleva son bâton, et un peu de lumière jaillit de la pierre qui s'y trouvait, éclairant la Compagnie.
« Nous n'avons plus le choix à présent, » déclara l'istari. « Nous devons affronter les chaudes ténèbres de la Moria. Soyez sur vos gardes : il nous faudra quatre jours pour parvenir de l'autre côté, et il faut que notre passage passe inaperçu ; il existe des créatures plus anciennes et plus répugnantes que les orques dans les profondeurs du monde.
-Je sens que je vais a-d-o-r-e-r cette partie, » fit Opale avec un sourire ironique.
La troupe s'ébranla sans bruits, et commença son long chemin dans les mines. Même la semi-elfe ne pipait mot, n'osant troubler l'étouffant silence sur lieu. La Compagnie se surprit à apprécier de passage, pouvant se reposer un peu les oreilles maintenant qu'Opale s'était un peu calmée.
Combien de jours ou de nuits s'écoulèrent ainsi ? La jeune dixième membre n'en savait rien. Elle avait totalement perdue la notion du temps. Elle marchait en dernière, suivant Aragorn sans rien dire, se contentant d'observer les vestiges de la mine. C'était à la fois effrayant et époustouflant de grandeur. Les outils, les treuils, tout ce qui servait à l'extraction des différentes ressources de la mine étaient encore là, immobiles. Une véritable usine fantôme.
A un moment, ils étaient passés à proximité d'un filon de mithril. Ils avaient pu voir les veines du métal courir le long d'une paroi. Gandalf en avait rajouté une couche quand à la rareté et à la qualité de cette précieuse matière, et Opale avait glissé la main sous ses vêtements usagés pour effleurer l'armure de mithril qu'elle portait en dessous. Souple, légère, s'adaptant à tous ses mouvements, elle était d'une solidité telle qu'une arme ennemie n'avait seulement réussi à la rayer. Un précieux cadeau de Galadrielle et d'Elrond pour sa majorité.
Au bout d'un certain temps (impossible pour Opale de dire s'il était court ou long ; mais la semi-elfe l'évaluait à au moins trois jours et demi depuis leur entrée dans les mines), ils arrivèrent à la cité de Cavenin.
« Petits sont les nains, mais grandes sont leurs œuvres ! » s'exclama la semi-elfe enthousiaste en découvrant les hautes colonnes ouvragées.
Etant le pif en l'air, elle faillit se faire renverser par Gimli qui courut en direction d'une petite pièce un peu plus sur le côté, qui comportait nombre de cadavres devant son entrée (oué, vive les rimes !).
« Hey ! Où allez-vous ? » s'exclama Opale en se lançant à la poursuite du nain.
Elle trouva Gimli à genoux devant se qui semblait être un tombeau, entrain de gémir. Pendant que le reste de la troupe les rejoignait, elle passa un doigt sur la dalle poussiéreuse pour pouvoir y lire l'écriture gravée dessus.
« Balïn fils de Fundïn, seigneur de la Moria, » décripta-t-elle.
« Il est donc mort, » dit Gandalf. « Je le craignais. »
Gimli poussa un gémissement de douleur, et la semi-elfe posa une main réconfortante sur son épaule. L'istari se pencha et récupéra un vieux livre dans les bras d'un squelette, et l'ouvrit avec délicatesse à la dernière page.
« Lecture sinistre ! » fit le magicien. « Leur fin a été cruelle. Ecoutez ! « Nous ne pouvons plus sortir. Ils ont pris le pont, et la deuxième salle. Une ombre s'avance dans le noir. La fin vint. Des tambours, des tambours dans les profondeurs. Nous ne plus sortir. Ils arrivent. » Il n'y a plus rien. »
Un silence pensant s'installa, laissant les autres membres ressentir toute l'horreur du drame. Soudain, un craquement se fit entendre, suivit d'un grand bruit. Pippin venait de faire tomber un squelette dans un puit, et celui-ci dégringolait en faisant un bruit de tous les diables.
« Crétin de Touque ! » s'écria Gandalf en refermant son livre avec un claquement sec. « La prochaine fois, jetez-vous dedans, nous serons ainsi débarrassés de votre stupidité !
-Bah, ça va, manifestement ça n'a pas été entendu, » fit Opale.
A peine avait-elle prononcé ces mots qu'un bruit jaillit des profondeurs. Brrrom, brrrom, des tambours résonnaient au fond de la mine, et le bruit se répercutait sur les parois. Un cor sonna, des cris retentirent, et le bruit de mille piétinements se fit entendre.
« Tu disais ? » fit Aragorn d'un ton narquois.
Et pis voilà le chapitre 3 ! J'espère qu'il vous a plus, si oui, n'hésitez pas à reviewer ! Sinon, n'hésitez pas non plus ! :) Bye bye, rendez-vous j'espère au chapitre 4.
