Disclaimer : Les personnages d'HP appartiennent à JK Rowling.
Petite note de moi : Je suis vraiment désolée pour tout ce retard ! Surtout pour un si petit chapitre, j'ai honte ...
Bon, normalement c'était le dernier chapitre, mais je pense que ça aurait fait trop long, donc j'ai préféré le couper en deux. J'espère pouvoir mettre le sixième et dernier chapitre en ligne d'ici 2-3 jours (étant donné qu'il est presque terminé).
Bon, je re-situe un peu l'histoire. Ce chapitre commence dès que Fred sort de sa chambre, juste après avoir dit à George qu'il ne pouvait pas rester avec George et Harry. Donc c'est un POV de Fred.
Et heu ...c'est tout. Les RAR sont en bas de la page.
(Comment faire du blabla pour rien :-)
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A peine eus je refermer la porte de ma chambre derrière moi que mes larmes menacèrent de couler.
J'inspirai profondément et essayai de me calmer. Je n'allais pas encore pleurer …
Ridicule, j'étais ridicule.
Les mots de George me revinrent brusquement en tête.
Reste avec nous.
Rester avec eux deux ? Pour quoi faire ? Ils n'avaient pas besoin de moi.
T'en as envie non ? Je laissai échapper un rire désabusé. Ouais, j'en mourrais d'envie. C'était ça le pire.
Je descendis calmement jusque dans la cuisine, histoire de boire quelque chose avant de partir.
Bill y était.
- On part dans quelques minutes, me dît il simplement.
- Ok.
Je me servis un verre d'eau et croisai le regard suspicieux de Bill.
- Qu'est ce qui ne va pas ? me demanda t-il.
- Rien …, pourquoi tu dis ça ?
- T'as pas l'air bien.
Je soupirai bruyamment. Ca se voyait tant que ça ?
- Bon, va falloir y aller.
- Ouais, on y va.
Je déposai mon verre dans l'évier et on prît la direction du salon.
Je m'arrêtai net en voyant George disparaître dans la cheminée. Mais que …?
- Bon, George tu fais attention à Harry, et pas de bêtises ! fît ma mère à mon attention. Et n'oublie pas la cuisine …
- Mais …
- Allez on se dépêche , Fred va nous attendre sinon.
Ca me fît l'effet d'une douche glacée et je m'exclamai :
- Mais c'est MOI Fred !
Papa fronça les sourcils.
- Mais non papa, s'exclama Bill, tu vois bien qu'il plaisante.
- Pourquoi George serait partit à ta place alors ? demanda mon père sans prendre en compte l'intervention de Bill.
- Mais j'en sais rien !
- Mais arrêtez, fît Bill, George n'aurait jamais fait ça ! C'est pas drôle, George.
J'écarquillai les yeux de surprise. Je vis mes frères prendre la poudre de cheminette.
Mon père ne me laissa pas le temps d'en rajouter.
- Bon, nous verrons ça avec Fred, ou George … enfin nous verrons ça avec ton frère ! fît il.
Il avait l'air plutôt énervé. C'est vrai que ce genre de petites blagues ne lui faisaient généralement pas plaisir …
Sauf que là, ce n'était pas une blague.
Et mon père partît lui aussi, suivit de ma mère, Ginny et Hermione qui ne semblaient pas avoir écouter la conversation.
Je restai un bon moment à fixer la cheminée d'un regard vide. Je n'en revenais pas que George m'ait fait un sale coup comme ça … Pas que cela me dérangeait de ne pas aller sur le chemin de traverse, mais il aurait pu me prévenir s'il voulait tellement y aller, au lieu de manigancer tout ça …
Un bruit me sortît de mes pensées et je me retournai aussitôt.
Harry s'avançait vers moi, deux verres à la main.
- Tiens bois ça pour te remettre de tes émotions …, c'est du Coca.
- Hein ?
Harry eût un petit rire et il me tendît un verre. C'est marrant comme son rire avait des vertus relaxantes.
Je n'avais jamais vu une telle boisson, on aurait dit du café.
Sauf que le café n'a pas de bulles.
- C'est … quoi ?
- Du Coca Cola …
- Oh. Un truc moldu …
- C'est Hermione qu'en a rapporté.
J'en bus une gorgée. Pas mauvais …
Je déposai mon verre sur la table basse.
- Harry …
Le Harry en question s'approcha de moi et posa un doigt sur mes lèvres. Il passa lentement ses bras autour de ma taille. J'eus un mouvement d'hésitation.
Est-ce qu'Harry savait que je n'étais pas George ?
Il me fît un sourire, je plongeai dans ses yeux émeraude, et j'essayai de me reculer.
- Harry attend…
Il m'attira encore vers lui, puis passa sa main sur ma joue.
Je me sentis défaillir, et fis encore un mouvement pour m'éloigner.
Il appuya sa main sur ma nuque pour rapprocher mon visage du sien.
Il posa sa bouche sur la mienne, et je ne me sentis plus la force de le repousser. Il m'embrassa doucement, je sentis des frissons se répercuter dans tout mon corps.
Non, il ne fallait pas …
Harry fît pression contre ma bouche et je l'entrouvris légèrement sans pouvoir m'en empêcher.
Une langue s'y faufila et ce simple contact me fît gémir sourdement.
Je me reculai brusquement.
- Non, Harry, je ne suis pas …
Il n'écoutait rien, il fît descendre sa bouche dans mon cou et ses mains remontèrent sous mon T-shirt.
- Harry …
Il ne fallait pas que je me laisse aller, il ne fallait pas …
Il croyait que j'étais George, et je ne devais pas en profiter.
- Harry, arrête.
Il ne s'arrêta pas. Loin de là. Il reprît possession de ma bouche et je luttai pour ne pas me laisser aller.
Je me détachai encore une fois et il plongea son regard dans le mien. Il eût un petit sourire.
- Je crois que je ferais mieux de t'expliquer avant …, chuchota t-il.
Il passa sa main dans mes cheveux puis m'embrassa tendrement. J'en avais presque les larmes aux yeux tellement c'était bon. Et une vague de culpabilité m'envahit.
- Harry, faut pas, je ne suis pas...
- Je sais, me coupa t-il.
- Tu …sais ?
- Oui je sais, Fred.
J'écarquillai les yeux de surprise et il eût un petit rire. Il m'embrassa encore, puis me prît les mains pour m'attirer vers le canapé.
Il me fît asseoir, puis s'assît à califourchon sur mes genoux pour me faire face.
J'étais trop stupéfait pour prononcer le moindre mot, et je me laissai subjuguer par les sentiments que j'avais pourtant tenté d'oublier, tandis qu'il m'embrassait la bouche, puis le cou…
Je fermai les yeux quand il passa ses mains sous mon T-shirt, pour caresser ma peau. Je me mordis la lèvre sous les vagues qui me tordaient le ventre, et j'ouvris les yeux pour le voir soulever mon T-shirt. Je levai les bras pour qu'il me l'enlève complètement.
Je voulus lui faire la même chose, mais il me saisît la main.
- Non …, souffla t-il.
Il se pencha pour m'embrasser sur l'épaule, puis descendît un peu plus bas. Sa bouche m'arracha un gémissement et il releva la tête.
Il était beau avec cette lueur dans le regard, j'approchai une main pour lui caresser la joue. Il ferma les yeux et sourît. J'embrassai sa bouche si tentante, encore une fois.
Il avait finît par poser sa tête dans le creux de mon cou, et je me retenais de ne pas poser les questions qui me taraudaient l'esprit pour ne pas gâcher le moment.
Puis, finalement, ce fût lui qui releva et la tête.
- Désolé, j'ai pas pu m'en empêcher …, soupira t-il, une légère gêne visible dans ses yeux. Tu veux des explications je suppose …
- Oui, répondis je.
- Bon, soupira t-il, déjà désolé pour toute cette mascarade …
Il avait l'air tellement sincère que je lui aurais bien pardonné n'importe quoi.
- C'est pas grave, murmurai je.
Il sourît. Puis m'embrassa au coin de la bouche.
- Mais … pourquoi ? demandai je.
- Parce que je te voulais …
J'en fus tellement surpris que je ne répondis pas.
- Je sais, continua t-il, ça aurait été plus simple si je te l'avais dit, ou si George te l'avait dit …
Mon cœur se serra à la pensée de mon frère.
- Il est au courant, ne t'inquiètes pas, me rassura Harry qui venait visiblement de percevoir mon malaise.
- Oh.
- Pour tout t'avouer, c'est lui qui en a eu l'idée …
- Ah … Ca m'étonne pas, soupirai-je.
Il rît. Et je fis de même.
Je me demandais si c'était vraiment ce que George voulait, que je rie avec Harry, comme lui aurait pu le faire en ce moment.
Bien sûr George ne m'aurait pas laissé seul avec lui s'il était jaloux. Comme moi je n'aurai pas laissé George seul avec Harry ce matin si je ne voulais pas qu'il se passe quelque chose entre eux.
- C'est trop compliqué …, murmurai je pour moi-même.
- Qu'est ce qui est compliqué ? demanda doucement Harry.
Je levai les yeux vers lui, toujours assis sur mes genoux, et je lui caressai lentement la joue.
S'il savait …
J'eux un sursaut. Et s'il savait ? George aurait pu lui dire …
Non, impossible.
Harry rigola.
- Si tu voyais ta tête …
Je ne répondis pas.
- Fred, qu'est ce qu'il y a ? s'inquiéta t-il. Tu … Tu le voulais hein ? Enfin … j'veux dire …qu'on s'embrasse et tout ça …
Ses joues avaient pris une jolie teinte rosée. Il était si mignon quand il était gêné
- T'inquiètes pas, fis je en riant. Bien sûr que je voulais tout ça.
Il eût un sourire timide.
- Pourquoi t'as pas l'air content alors ?
- Harry … je suis content.
Il releva la tête, un grand sourire sur le visage et m'embrassa.
- Bon, je crois qu'on a une cuisine à nettoyer, dît il.
- Quoi ?
- Oui, il va falloir réparer les conneries de ton frère …
J'ouvris la bouche pour protester mais son rire m'empêcha d'en dire plus et je le suivis docilement à la cuisine.
Mon cœur battît à une vitesse folle cet après midi là, et je redoutai le moment où j'allais devoir affronter George.
C'était stupide, je savais bien que c'était stupide mais j'avais peur de ce moment là, celui où je devrais affronter mes sentiments.
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Les autres finirent par rentrer, en fin de soirée. On avait fini l'après midi dans le jardin avec Harry. Je crois qu'il voulait attendre que j'ai parler avec George avant de … disons de passer aux choses plus sérieuses.
Ron vînt nous rejoindre, nous disant que tout le monde était rentré.
- Et où est Geo …Fred ?
- Dans votre chambre je crois, me répondît il.
Je les laissai donc là, et je montai dans ma chambre. Il n'y avait personne et je redescendis les escaliers.
George y était, seul.
Il me fît un petit sourire quand il me vît. J'étais certain qu'il craignait ma réaction.
- Alors, comme ça, t'as nettoyé la cuisine ? fît il avec un sourire gêné.
Je soupirai en secouant la tête.
- Pourquoi t'as fait ça ? demandai je d'un ton cassant.
Je vis yeux vaciller un peu sous le ton de ma réponse et il articula d'une faible voix :
- Pourquoi j'ai fait quoi ?
- George ! Joue pas à ça …
- Eh bien… heu …j'ai pensé que ce serait …une bonne idée.
- Tu penses peut être mal !
- Fred … Je …
Il s'arrêta et baissa les yeux. C'était une drôle de sensation de le faire souffrir, car il soufrait à ce moment là, j'en étais sur. Bien sûr, je n'était pas vraiment fâché contre lui, après tout, fallait avouer qu'il avait eu une bonne idée … Et puis ça avait été plutôt bénéfique d'ailleurs …
J'eus un petit sourire et reportai mon attention sur George.
- Je te ferais remarqué que c'est toi qui a commencé ! s'exclama t-il en relevant la tête.
- Moi ?
- Oui, c'est TOI qui m'as laissé seul avec lui ce matin !
- Oui mais c'était différent ! répliquai-je. Toi, tu n'étais pas contre le fait d'être un peu seul avec lui.
- Parce que toi tu étais contre, bien sûr.
- Je n'ai pas dit ça ! Seulement MOI je n'aurais jamais été faire croire à tout le monde que j'étais toi pour te laisser seul avec lui !
- Fred …
- Moi je n'aurais pas fait tout ça derrière ton dos !
George semblait désespéré. Il allait rendre les armes, sans aucun doute.
- Je suis vraiment désolé, dît il. Je ne pensais pas que tu m'en voudrais à ce point…
Il baissa la tête et je m'approchai de lui. Une forte envie de le consoler me prît et je luttai pour ne pas le serrer dans mes bras.
- Tu crois pas que t'aurais dû m'en parler avant ? fis je d'une voix plus douce.
- Mais je t'en ai parlé ! Tu voulais rien entendre …
Je l'attirai légèrement contre moi.
- J'ai peur, avouai-je.
- Moi aussi, c'est un peu normal non ? J'veux dire …on ne s'est jamais retrouvé dans une situation comme celle là …
- Ca c'est sur ! m'exclamai-je en souriant.
Il passa ses bras autour de ma taille et posa sa tête dans le creux de mon cou.
- Tu crois pas qu'on devrait avoir une discussion sérieuse sur tout ça ? murmura t-il.
- Mouais … Pas dans la cuisine en tout cas.
Il releva la tête en souriant.
- Tu te souviens quand on avait eu la maison rien que pour nous deux ?
- Comment oublier ? répondis je en rougissant légèrement.
Il eût un sourire pervers et me poussa jusqu'à la table.
- Moi je me souviens surtout de ce qu'on avait fait ici, sur cette table …, me susurra t-il avant de m'embrasser.
Je le repoussai brusquement.
- T'es dingue ! Tout le monde peut surgir d'un moment à l'autre ! m'écriai-je.
- On les entendra arriver, répliqua t-il avant de m'embrasser de nouveau.
Je ne trouvai plus la force de lui dire non.
- Tu me pardonnes ? souffla t-il contre ma bouche.
- Evidemment, murmurai je avant de reprendre possession de ses lèvres.
Je restai accroché à sa bouche pendant quelques minutes. Puis un bruit vague nous parvînt du couloir, un éclat de voix, une porte qui s'ouvre, qui se referme brusquement.
On se détacha, nos regards fixés vers la porte.
- BILL ! fît la voix de Ron de l'autre côté de la porte. Ca va pas ? Tu voulais m'écraser le nez ou quoi ?
Puis la porte se rouvrît, Ron, Harry et Bill entrèrent dans la pièce.
Je détachai rapidement mes mains du cou de George qui se recula. Rapidement, mais pas assez pour qu'Harry ne remarque rien, et son regard surpris rencontra le mien avant que je détourne les yeux.
Ron fixai Bill d'un œil mauvais et ma mère surgît dans la cuisine.
- Qu'est ce qu'il s'est passé ? s'exclama t-elle, le regard inquiet.
- Rien maman, c'est juste Ron qui s'énerve pour rien, répondît Bill.
- C'est toi qui m'as refermé la porte à la figure ! T'es complètement fou ! s'écria Ron une moue sur le visage.
- Calmez vous, soupira ma mère. Bill, arrête tes imbécillités et aide moi à mettre le couvert. On dîne dans le salon, les parents d'Hermione vont nous rejoindre ensuite.
Bill nous sourît et il suivît ma mère. J'en restai bouche bée. Est-ce que Bill avait vu ce qu'on était en train de faire ? Etait ce pour ça qu'il avait brusquement refermé la porte aux nez de Ron et par conséquent d'Harry ? Et pourquoi nous avait t-il sourît comme si tout était naturel ? Est-ce que Bill savait ?
Harry ne nous regardait plus et Ron s'affaira à trouver quelque chose à manger. Ma mère l'appela du salon et il nous marmonna un vague "je reviens" avant de passer dans le couloir.
Puis, George s'approcha d'Harry, lui effleura délicatement la joue, déposa un baiser chaste sur ses lèvres, et passa dans son dos. Il entoura sa taille de ses bras, et piqua sa nuque de petits baisers.
Je m'approchai à mon tour, Harry releva ses yeux vers moi avant de me sourire, et je l'embrassai doucement.
Il se recula puis murmura :
- Ron va revenir …
Pour toute réponse, George lui mordilla tendrement l'oreille.
- Hé, je suis sérieux, sourît Harry.
Son sourire s'effaça quelque peu et il baissa les yeux.
- Est-ce que je pourrais venir … dormir avec vous ? demanda t-il d'une petite voix.
J'ouvris la bouche mais aucun son n'en sortît et je jetai un regard à George qui avait la même expression que moi sur le visage.
- Eh bien …, finis je par dire, moi je suis d'accord. George ?
- Heu … je sais pas, répondît il un sourire taquin sur le visage.
Harry se détourna légèrement vers lui, l'embrassa à pleine bouche, et je vis les mains de George s'agripper à sa taille, froissant le tissu au passage.
- C'est d'accord, capitula mon frère une fois qu'Harry l'eût relâché.
J'eus un petit rire et Harry détourna sa tête vers moi.
- Bien sûr il faudrait que tu en aies envie, lui murmurai je à l'oreille.
George se mordît les lèvres mais ne pût cacher son sourire. Je lui tirai la langue. Harry m'attira vers lui.
- J'en ai envie, soupira t-il dans le creux de mon cou.
Il y déposa un baiser puis se détacha définitivement.
Ron arriva quelques minutes plus tard, nous informant qu'on passait à table.
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Les parents d'Hermione étaient très gentils, mon père les adorait d'ailleurs - normal, ils étaient moldus après tout. Ils me rappelaient d'ailleurs un peu les parents de Lee, un peu intrigués par le monde sorcier, mais toujours très admiratifs devant la magie.
Pour l'instant, ils se régalaient de spaghettis à la bolognaise, en racontant à mon père comment fonctionnait le système du courier. Et moi, pour l'instant, je me moquais totalement du courrier moldu.
Je me concentrai pour essayer de garder un visage impassible tandis qu'Harry, assis en face de moi, avait égaré son pied contre ma jambe malgré les regards furieux que je lui lançais. Il se contentait de me sourire innocemment. Alors ça, il allait me le payer.
- Tu peux me passer le pain George ? me demanda Ginny qui était assise à côté de moi.
- Moi c'est Fred, fis je machinalement en lui donnant le pain.
Elle n'y fît pas attention, comme d'habitude, et je croisai le regard amusé d'Harry puis celui de George, qui était assis à côté de moi. Harry avait retiré son pied. Soudain George s'étouffa dans son verre d'eau. A la vue du sourire satisfait d'Harry, il avait dû récidiver l'expérience sur mon frère.
Je regardai autour de moi pour vérifier que personne n'avait remarqué son petit manège, et j'enlevai mon pied de ma chaussure.
L'air de rien, je glissai mon pied contre sa jambe, et remontai le long de sa cuisse jusqu'à venir frôler son entrejambe. La fourchette d'Harry resta suspendu dans les airs tandis que sa bouche resta entrouverte et que ses yeux s'ouvrirent en grand.
Le rouge lui monta un peu aux joues et il me lança un regard noir. Je lui souris et repris un peu de pâtes sans bouger mon pied pour autant.
Je lançai un regard à George qui avait un sourire en coin auquel je répondis.
- Harry, fît soudainement ma mère, je vois que tu as retrouvé ton appétit ! Tu te sens mieux ?
- Oui oui, répondît il d'une voix un peu étranglée.
- Tu es sûr, tu es tout rouge ! s'exclama George.
- C'est vrai ça, tu es sûr que tu n'as pas trop chaud ? fis je à mon tour.
- Tu as peut être de la fièvre, dît George.
Harry s'empourpra de plus belle sous nos regards satisfaits.
A part ça, le dîner se déroula sans trop d'encombres.
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A suivre ...
(Z'avez vu, j'ai pas fait une fin sadique ! ;-)
Réponses aux reviews
BoB Chiri : Lol tes reviews me font toujours rire Bon, bah Fred est un peu ... surpris quoi lol. J'espère que cette suite t'aura plu.
biz à toi.
la rodeuse: merci . La suite la voilà, et je m'excuse encore une fois pour ce retard ...
melisandre : Mercii. Vi c'est fred qui est avec Harry, bon normalement dans le prochain ils sont tous les 3 !
aurelia: Merci bien ! Voilà la suite. Bisous.
Jo Lupin : Vi, la ruse des prénoms. C'est si simple, mais j'adore . Merci à toi !
Pyrix: Mh je sais que c'est confus, moi même j'avais du mal à m'y retrouver alors tu vois ... ;-)Merci bcp !
Zick: Arf le lemon c'était pas pour ce chapitre encore mais dans le prochain promis (c'est dingue comme tout le monde attend les lemons ! et moi la première en ! ;-)
onarluca: merci à toi ! v'la la suite avec du retard et je m'en excuse (oui je sais je me repete )
Anonyme-girl: Tu sais que j'aime bien tes reviews :-) ! Non sans blague c'est très flatteur lol . merci beaucoup à toi, bizz !
Shiva: Contente de t'avoir fait aimer le FW/GW. merci bien !
LOULOU: Merci ! voilà la suite
ayame : merci bcp !
Vif d'or : Vi, moi j'aime bien les "R", va savoir pourquoi ! ;-)
Je ne sais pas si j'ai du talent ou autre chose mais en tout cas merci beaucoup pour ta review, ça me fait très plaisir. Bisous à toi .