Disclaimer : j'ai toujours rien à moi, ça appartient toujours à J. K. Rowling, sauf les slashs qui appartiennent à l'amour de ma vie...
Réjouissez-vous mes frères et soeurs, le deuxième chapitre est arrivé...
Trêve de plaisanterie, voici la suite de cette petite histoire... j'espère qu'elle vous plaira...
Merci à tous ceux qui m'ont laissé des reviews : Agatha Brume, Lizzie, Nicolas et Caroline black. Ca fait bien plaisir...
Pour répondre à vos questions :
Agatha : je ne peux répondre à tes questions sans tout dévoiler. désolé... il te faudrat attendre la suite...
Nicolas : merci pour l'info, j'avais un doute mais la flemme de chercher... la correction à été faite... pour les update, je vais essayer d'en faire tous les 5 jours en fonction du boulot...
Chapitre 2
Les malheurs d'Hermione...
Après le passage en coup de vent de Harry, Hermione resta quelques instants, perdue et désorientée, ne sachant plus trop où elle en était.
Elle finit par se ressaisir et reporta son attention sur le livre posé sur ses genoux. Elle tourna la page et resta un moment figé en voyant la photo.
Une larme quitta sa paupière pour s'en aller couler sur sa joue... bientôt rejointe par une seconde... une troisième... toutes venant mourir dessus.
Elle fut saisi d'un frisson irrépressible et se mit à sangloter doucement. Elle essayait de ne pas faire le moindre de bruit afin de ne pas attirer l'attention d'éventuels élèves traversant la salle commune.
Elle ferma les yeux pour essayer d'endiguer le flot de larmes. Cela n'eut cependant pas l'effet escompté. Une main sur son visage les lui fit rouvrir. Le regard plein de tendresse et compatissant, Ginny était penchée sur elle, essuyant consciencieusement les larmes de son amie. Elle lui prit le livre des mains.
Hermione n'opposa aucune résistance. Elle semblait sans vie, toute son énergie nourrissant sa tristesse et son désespoir. Ginny inspecta l'ouvrage, désireuse de connaître l'origine de son mal-être. En voyant une photo des parents d'Hermione, elle comprit.
Avec lenteur, les yeux rivés sur leurs visages heureux et insouciants, elle referma et posa le livre près du fauteuil. Elle s'agenouilla devant son amie et posa ses deux mains sur ces cuisses.
- Hermione, appela-t-elle doucement.
- Ils sont morts, dit-elle entre deux sanglots.
Ginny ne dit rien, lui laissant le temps de se reprendre. Hermione rouvrit les yeux. Ils étaient devenus froids, inexpressifs malgré les larmes qui coulaient toujours.
- Ce bâtard les a tué, dit-elle d'un ton cassant. D'une manière ou d'une autre, il les a tué. Il paiera pour ça...
- Bien sûr... mais pas ici... pas maintenant... nous en avons déjà parlé.
- Parler ne suffit plus... Il est des moments où il faut se passer de mots pour agir. L'action appelle l'action. Je vais lui faire payer.
Elle se leva brusquement, déséquilibrant Ginny qui se retrouva assise par terre, un peu éberluée par la réaction d'Hermione. Trop vive, songea-t-elle... dictée par la souffrance et la colère. Ginny se releva et la rattrapa alors qu'elle se dirigeait vers le tableau de la Grosse Dame. Elle lui saisit le bras et la força à se retourner, interrompant du même coup sa marche vers la vengeance.
- Regardes-moi.
- Hermione leva un regard farouche embué de larmes.
- Je ne te dirais pas que je sais ce que tu ressens, poursuivit Ginny. Ce serait mentir. Mais je suis là... tu sais que tu peux compter sur moi... je ne peux pourtant pas te laisser faire. C'est du suicide. Malgré tout ton savoir, il est bien plus fort que toi. Tu cours à une mort certaine... dit-elle d'une voix brisée.
- Mieux vaut être morte que de le voir se balader partout avec son air supérieur, répondit Hermione, butée.
Ginny ne dit rien. Elle l'enlaça et déposa un baiser sur ses lèvres avant d'enfouir son visage dans son cou. Des larmes commençaient à lui brûler les yeux, nées de la tristesse et de son impuissance devant la détresse de son amie. Hermione finit par céder et l'enlaça à son tour.
Après une éternité, elles se séparèrent, séchèrent les larmes l'une de l'autre, s'embrassant passionnément pour se prouver qu'elles étaient toujours vivantes.
Dans un même mouvement, sans parler, elles se prirent la main et se dirigèrent vers le dortoir des filles... plus précisément le lit de Ginny.
Une fois arrivées, elles restèrent un moment immobiles à s'observer. Ginny leva une main et vint effleurer la joue de sa compagne, savourant la douceur de sa peau sous ses doigts. Hermione pencha la tête pour accentuer le contact.
Elle l'a pris par la taille, l'attira à elle et souda ses lèvres aux siennes en un long baiser sensuel et plein d'amour. Ses mains commencèrent à caresser le dos de Ginny. Celle-ci répondit en se cambrant légèrement.
Sa langue força le barrage de ses dents et s'insinua dans sa bouche à la recherche de sa jumelle. Une fois trouvée, une folle danse commença entre elles au rythme des caresses prodiguées.
Elles se retrouvèrent très vite nues, leurs mains parcourant le corps de l'autre avec délectation, leurs lèvres toujours soudées. Ginny rompit le contact et obligea doucement son amante à s'allonger sur le lit si accueillant. Hermione se laissa faire. La sœur de Ron se plaça au-dessus d'elle.
Cette dernière l'embrassa dans le cou, à cet endroit si tendre juste sous l'oreille et commença un lent ballet avec sa langue, se déplaçant tout le long de la veine, ne quittant jamais le contact de la peau. Hermione avait le souffle court, les yeux mi-clos, savourant la douce chaleur qui s'insinuait dans tout son corps.
Ginny abandonna son cou pour s'aventurer sur la clavicule puis vers le haut du sein, le même rythme lent au bout de sa langue.
Hermione s'agita, ses mains agrippées dans les cheveux de la dernière des Weasley, le corps arc-bouté, la poitrine tendue vers sa bouche. Son souffle devenait saccader, presque inexistant.
Sentant le mouvement et la pression exercée sur sa tête, Ginny ignora le sein pour s'intéresser de plus près à la peau du ventre qu'elle entreprit de parcourir dans son intégralité des mains et des lèvres. Le corps secoué de frissons, Hermione tremblait de plaisir et de désir.
La belle rouquine s'arrêta quelques instants, regarda son amie avec un sourire pervers puis se jeta voracement sur l'un des tétons. Hermione laissa échapper un petit cri et se tendit pour accueillir cette bouche.
Sa compagne s'appliqua à lécher et sucer ce petit bout de chair si tendre et présentement si dur sous l'effet des caresses qu'il recevait. Sa main jouait avec l'autre sein. Miss Granger commença à gémir doucement.
Abandonnant de nouveau le mamelon fièrement dressé, Ginny glissa vers la forêt interdite. A mi-chemin sa langue se répandit en volutes autour du nombril, exacerbant sa frustration. Elle continua son chemin et s'arrêta juste en haut des cuisses.
Hermione gémissait de plus en plus, anticipant le plaisir à venir et impatiente qu'il arrive. Sa Passion lui écarta tendrement les cuisses de ses mains et entreprit d'en embrasser l'intérieur, partant du genou et remontant lentement.
A l'orée de la forêt interdite, elle écarta légèrement les lèvres et lécha son intimité ruisselante ainsi mise à nue. Elle prit son temps pour parcourir la peau tendre... en savourer chaque centimètre. Elle atteignit le clitoris de son amie.
Le simple contact de sa langue arracha un cri à la sage Préfete des Gryffondors. Les doigts enchevêtrés dans les boucles flamboyantes, elle exerça une nouvelle pression... en en voulant toujours plus. Pour s'offrir davantage, elle bascula le bassin en prenant appuie sur ses jambes.
Ginny se délectait de son impatience. Elle prenait un malin plaisir à la faire attendre... Elle le lui aspira subitement, lui coupant le souffle... qui ne revint que pour lui permettre de crier son plaisir.
Faisant jouer ses doigts à l'entrée de sa fente, elle la pénétra tout en continuant de la sucer... La meilleure élève de Poudlard criait son plaisir à tue-tête, ne pouvant se retenir... Heureusement que tout le monde est dehors, pensa Ginny, un léger sourire sur les lèvres.
Une vague de jouissance submergea Hermione. Son corps se tendit à rompre... un dernier râle lui échappa... puis elle retomba haletante... sans vie. Après une dernière caresse de la langue, Ginny refit le chemin en sens inverse et se lova contre son amante, sa tête posée sur son épaule. Elle l'écouta reprendre son souffle puis elles s'endormirent.
Au même instant, dans le dédale sombre et humide sur lequel repose Poudlard, deux silhouettes méconnaissables chuchotaient.
- Non... pas encore... Vous ne pouvez pas me redemander une chose pareille.
- Vous savez aussi bien que moi que des sacrifices sont nécessaires.
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Et voila... plus qu'à attendre la suite...
Réjouissez-vous mes frères et soeurs, le deuxième chapitre est arrivé...
Trêve de plaisanterie, voici la suite de cette petite histoire... j'espère qu'elle vous plaira...
Merci à tous ceux qui m'ont laissé des reviews : Agatha Brume, Lizzie, Nicolas et Caroline black. Ca fait bien plaisir...
Pour répondre à vos questions :
Agatha : je ne peux répondre à tes questions sans tout dévoiler. désolé... il te faudrat attendre la suite...
Nicolas : merci pour l'info, j'avais un doute mais la flemme de chercher... la correction à été faite... pour les update, je vais essayer d'en faire tous les 5 jours en fonction du boulot...
Les malheurs d'Hermione...
Après le passage en coup de vent de Harry, Hermione resta quelques instants, perdue et désorientée, ne sachant plus trop où elle en était.
Elle finit par se ressaisir et reporta son attention sur le livre posé sur ses genoux. Elle tourna la page et resta un moment figé en voyant la photo.
Une larme quitta sa paupière pour s'en aller couler sur sa joue... bientôt rejointe par une seconde... une troisième... toutes venant mourir dessus.
Elle fut saisi d'un frisson irrépressible et se mit à sangloter doucement. Elle essayait de ne pas faire le moindre de bruit afin de ne pas attirer l'attention d'éventuels élèves traversant la salle commune.
Elle ferma les yeux pour essayer d'endiguer le flot de larmes. Cela n'eut cependant pas l'effet escompté. Une main sur son visage les lui fit rouvrir. Le regard plein de tendresse et compatissant, Ginny était penchée sur elle, essuyant consciencieusement les larmes de son amie. Elle lui prit le livre des mains.
Hermione n'opposa aucune résistance. Elle semblait sans vie, toute son énergie nourrissant sa tristesse et son désespoir. Ginny inspecta l'ouvrage, désireuse de connaître l'origine de son mal-être. En voyant une photo des parents d'Hermione, elle comprit.
Avec lenteur, les yeux rivés sur leurs visages heureux et insouciants, elle referma et posa le livre près du fauteuil. Elle s'agenouilla devant son amie et posa ses deux mains sur ces cuisses.
- Hermione, appela-t-elle doucement.
- Ils sont morts, dit-elle entre deux sanglots.
Ginny ne dit rien, lui laissant le temps de se reprendre. Hermione rouvrit les yeux. Ils étaient devenus froids, inexpressifs malgré les larmes qui coulaient toujours.
- Ce bâtard les a tué, dit-elle d'un ton cassant. D'une manière ou d'une autre, il les a tué. Il paiera pour ça...
- Bien sûr... mais pas ici... pas maintenant... nous en avons déjà parlé.
- Parler ne suffit plus... Il est des moments où il faut se passer de mots pour agir. L'action appelle l'action. Je vais lui faire payer.
Elle se leva brusquement, déséquilibrant Ginny qui se retrouva assise par terre, un peu éberluée par la réaction d'Hermione. Trop vive, songea-t-elle... dictée par la souffrance et la colère. Ginny se releva et la rattrapa alors qu'elle se dirigeait vers le tableau de la Grosse Dame. Elle lui saisit le bras et la força à se retourner, interrompant du même coup sa marche vers la vengeance.
- Regardes-moi.
- Hermione leva un regard farouche embué de larmes.
- Je ne te dirais pas que je sais ce que tu ressens, poursuivit Ginny. Ce serait mentir. Mais je suis là... tu sais que tu peux compter sur moi... je ne peux pourtant pas te laisser faire. C'est du suicide. Malgré tout ton savoir, il est bien plus fort que toi. Tu cours à une mort certaine... dit-elle d'une voix brisée.
- Mieux vaut être morte que de le voir se balader partout avec son air supérieur, répondit Hermione, butée.
Ginny ne dit rien. Elle l'enlaça et déposa un baiser sur ses lèvres avant d'enfouir son visage dans son cou. Des larmes commençaient à lui brûler les yeux, nées de la tristesse et de son impuissance devant la détresse de son amie. Hermione finit par céder et l'enlaça à son tour.
Après une éternité, elles se séparèrent, séchèrent les larmes l'une de l'autre, s'embrassant passionnément pour se prouver qu'elles étaient toujours vivantes.
Dans un même mouvement, sans parler, elles se prirent la main et se dirigèrent vers le dortoir des filles... plus précisément le lit de Ginny.
Une fois arrivées, elles restèrent un moment immobiles à s'observer. Ginny leva une main et vint effleurer la joue de sa compagne, savourant la douceur de sa peau sous ses doigts. Hermione pencha la tête pour accentuer le contact.
Elle l'a pris par la taille, l'attira à elle et souda ses lèvres aux siennes en un long baiser sensuel et plein d'amour. Ses mains commencèrent à caresser le dos de Ginny. Celle-ci répondit en se cambrant légèrement.
Sa langue força le barrage de ses dents et s'insinua dans sa bouche à la recherche de sa jumelle. Une fois trouvée, une folle danse commença entre elles au rythme des caresses prodiguées.
Elles se retrouvèrent très vite nues, leurs mains parcourant le corps de l'autre avec délectation, leurs lèvres toujours soudées. Ginny rompit le contact et obligea doucement son amante à s'allonger sur le lit si accueillant. Hermione se laissa faire. La sœur de Ron se plaça au-dessus d'elle.
Cette dernière l'embrassa dans le cou, à cet endroit si tendre juste sous l'oreille et commença un lent ballet avec sa langue, se déplaçant tout le long de la veine, ne quittant jamais le contact de la peau. Hermione avait le souffle court, les yeux mi-clos, savourant la douce chaleur qui s'insinuait dans tout son corps.
Ginny abandonna son cou pour s'aventurer sur la clavicule puis vers le haut du sein, le même rythme lent au bout de sa langue.
Hermione s'agita, ses mains agrippées dans les cheveux de la dernière des Weasley, le corps arc-bouté, la poitrine tendue vers sa bouche. Son souffle devenait saccader, presque inexistant.
Sentant le mouvement et la pression exercée sur sa tête, Ginny ignora le sein pour s'intéresser de plus près à la peau du ventre qu'elle entreprit de parcourir dans son intégralité des mains et des lèvres. Le corps secoué de frissons, Hermione tremblait de plaisir et de désir.
La belle rouquine s'arrêta quelques instants, regarda son amie avec un sourire pervers puis se jeta voracement sur l'un des tétons. Hermione laissa échapper un petit cri et se tendit pour accueillir cette bouche.
Sa compagne s'appliqua à lécher et sucer ce petit bout de chair si tendre et présentement si dur sous l'effet des caresses qu'il recevait. Sa main jouait avec l'autre sein. Miss Granger commença à gémir doucement.
Abandonnant de nouveau le mamelon fièrement dressé, Ginny glissa vers la forêt interdite. A mi-chemin sa langue se répandit en volutes autour du nombril, exacerbant sa frustration. Elle continua son chemin et s'arrêta juste en haut des cuisses.
Hermione gémissait de plus en plus, anticipant le plaisir à venir et impatiente qu'il arrive. Sa Passion lui écarta tendrement les cuisses de ses mains et entreprit d'en embrasser l'intérieur, partant du genou et remontant lentement.
A l'orée de la forêt interdite, elle écarta légèrement les lèvres et lécha son intimité ruisselante ainsi mise à nue. Elle prit son temps pour parcourir la peau tendre... en savourer chaque centimètre. Elle atteignit le clitoris de son amie.
Le simple contact de sa langue arracha un cri à la sage Préfete des Gryffondors. Les doigts enchevêtrés dans les boucles flamboyantes, elle exerça une nouvelle pression... en en voulant toujours plus. Pour s'offrir davantage, elle bascula le bassin en prenant appuie sur ses jambes.
Ginny se délectait de son impatience. Elle prenait un malin plaisir à la faire attendre... Elle le lui aspira subitement, lui coupant le souffle... qui ne revint que pour lui permettre de crier son plaisir.
Faisant jouer ses doigts à l'entrée de sa fente, elle la pénétra tout en continuant de la sucer... La meilleure élève de Poudlard criait son plaisir à tue-tête, ne pouvant se retenir... Heureusement que tout le monde est dehors, pensa Ginny, un léger sourire sur les lèvres.
Une vague de jouissance submergea Hermione. Son corps se tendit à rompre... un dernier râle lui échappa... puis elle retomba haletante... sans vie. Après une dernière caresse de la langue, Ginny refit le chemin en sens inverse et se lova contre son amante, sa tête posée sur son épaule. Elle l'écouta reprendre son souffle puis elles s'endormirent.
Au même instant, dans le dédale sombre et humide sur lequel repose Poudlard, deux silhouettes méconnaissables chuchotaient.
- Non... pas encore... Vous ne pouvez pas me redemander une chose pareille.
- Vous savez aussi bien que moi que des sacrifices sont nécessaires.
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Et voila... plus qu'à attendre la suite...