Chapitre Deux :
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Série : Rurouni Kenshin
Auteur : Mydaya
Disclaimer : L'histoire commence à partir de la fin du combat contre le chef des Yaminobu, quand Tomoe est dans le « temple » et que son frère, Enishi, est derrière les arbres. Spoilers, bien entendu. Bon, y'a aucun des persos qu'est à moi... et je sais pas pourquoi !! é.
Couple : TomoexKenshin
— pour les paroles des persos
Réponse aux reviews :
Losting 972 : Merci de suivre aussi bien les fics que j'écris ! Je suis contente que celle-là te plaise autant que les autres !! J'avais rien contre laisser la croix de Kenshin, mais sinon je trouvais que ça le mettait trop dans la série avec Kaoru. Alors j'ai opté pour ne laisser qu'une marque... mais si ça dérange, je pourrais la lui faire quand même, y'a pas de problèmes !
Falang : Oui !!!!! Tomoe est bien mieux que Kaoru ! (enfin, c'est mon avis) Je voulais faire quelque chose avec le couple KenshinxTomoe... et je l'ai fait !!!
Misstie 160 : Ah merci de ne pas me jeter des tomates T-T... je suis vraiment très touchée ) Merci pour tes encouragements, je vais essayer de la rendre encore mieux avec la suite... (enfin j'espère)
Avatar.of.Night : Un autre fan de Kenshin !!! XD (et de Tomoe donc ) ) Bienvenue à toi dans mon antre (de ma fic quoi :-P) Donc bon, voilà la suite qui, j'espère, te plaira tout autant !!
Kana 173 : Et oui ce couple est génial, je sais XP C'est pour ça que j'ai écrit sur eux !! Mais là je ne compte pas la faire crever... surprise surprise :-)
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Enishi avait fait vite, le médecin était arrivé rapidement. Kenshin, toujours pas sorti de cette espèce de léthargie, fixait Tomoe qui le fixait en retour.
Tandis que le docteur réparait ce qu'il pouvait, Tomoe regardait Kenshin, ne voulant pas regarder sa blessure sous peine de défaillir.
Celui-ci ne comptait pas la quitter... enfin, jusqu'à ce qu'elle lui avoue sa trahison.
— Elle est hors de danger, déclara finalement le docteur, essuyant la sueur de son front et s'obstinant à ignorer les mercenaire morts un peu partout. Mais pour qu'elle guérisse totalement, il faut que je l'emmène en ville.
— Sans problème, répondit Enishi, voyant que l'assassin ne comptait pas répondre. Mais comment la transporter ?
— Je vais ramener une litière. Attendez ici et parlez-lui : il ne faut pas qu'elle ait froid, ni qu'elle s'endorme.
Enishi hocha la tête. Le docteur courut chercher ce dont il avait besoin. Le frère et l'amant restèrent donc avec Tomoe, qui regardait à présent le beau ciel blanc.
La neige commença doucement à tomber. Enishi ouvrit son parapluie pour protéger sa sœur.
C'est alors qu'elle remarqua seulement sa présence. Elle voulut émettre quelque chose, mais son frère la devança :
— Je sais, tu m'avais demandé de retourner chez nous, mais... je ne voulais pas te laisser seule avec cet... cet homme, réussit-il à cracher, mais Kenshin ne releva même pas. Ils m'avaient promis de te ramener s'il était tu : tu serais rentré avec moi chez nous et nous aurions vécu heureux ! Pourquoi t'es-tu interposée ? Il voulait nous aider : cet assassin à la manque n'avait pas le droit de vivre toi, oui !
— Je suis un assassin, répliqua Kenshin sans lever les yeux du doux visage de sa bien-aimée, et Enishi fut surpris de l'entendre parler. Même si je n'entends pas très bien, j'ai bien vu que tu reprochais quelque chose à ta sœur. J'ai tué son mari parce qu'on me l'avait demand : je suis un assassin... ou plutôt j'étais. Je ne compte pas recommencer ce genre de vie.
— Ce n'est pas ça qui la rendra heureuse ! Vous lui avez pris son mari ! Ce que vous éprouvez, ce n'est pas de l'amour, c'est de la piti !
— Enishi, s'écria Tomoe. Je t'interdis...
Elle ne put continuer qu'elle fut secouée d'une quinte de toux. Du sang coula sur son menton. Elle soupira douloureusement pour se remettre.
Kenshin lança un regard assassin (c'est le cas de le dire :D) à Enishi qui se tut aussitôt.
— J'ai froid, murmura Tomoe.
— Je suis là, répondit tout de suite Kenshin.
Il changea de position, calant Tomoe plus contre lui. D'un bras, il la maintint, afin que de l'autre main, il puisse dégager son haut. Contre son torse imberbe, Tomoe eut plus chaud. Le samouraï posa son haut sur la femme, pour la réchauffer d'autant plus. Elle le remercia doucement, à moitié dans les vapes.
Le frère de Tomoe ne fit plus de remarques, gardant son parapluie au-dessus de sa sœur.
Le docteur arriva assez rapidement avec une litière. Elle était assez simple : deux solides morceaux de bois maintenant un tissu blanc aussi solide qu'un lourd tapis.
Il mit la litière par terre et demanda de l'assistance. Kenshin n'eut qu'à bouger ses mains pour transporter la femme dans ses bras. Il la posa délicatement sur la litière et prit un bout, tandis que le docteur se dévouait pour l'autre bout.
Ils allaient commencer à y aller, lorsque le docteur stoppa et parut gêné.
— Avez-vous de l'argent ?
— Comment osez-vous nous demander ça dans un moment pareil, explosa Enishi, prêt à en finir avec le malheureux si la vie de sa sœur ne dépendait pas de celui-ci.
— Je... veuillez m'excusez, mais...
— Les temps sont durs, coupa Kenshin. Il doit vivre. Il a de la famille qu'il doit nourrir. Nous avons de quoi payer, nous y veillerons dès que nous serons arrivés. Je récupèrerais mon argent en rentrant chez moi. Du moment que vous faites votre boulot, bien sûr...
— Bien sûr, rassura prestement le docteur. Allons-y.
Et ils se mirent en route. Dès que Tomoe fut enfermée dans une salle pour être mieux soignée, Kenshin retourna à la maison pour prendre de l'argent.
Tout serait bientôt rentré dans l'ordre. Tomoe sera sauvée, rentrera avec son frère et lui, démissionnera de son poste d'assassin pour errer sans but, cherchant comme un destin morcelé dans l'existence.
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Mydaya : Et voilà un autre chapitre un peu plus long que le précédent, mais ne donnant toujours pas trop d'indications (que de suspense mes amis !!) Bon je précise pour les fans de Kenshin que la jupette qu'il porte, ça s'appelle un akama. Je sais ça parce que j'en ai un moi aussi et oui, je fais un art martial (petit coup de pub pour moi toute seul : je fais de l'aïkido et c'est trop bien) Mais bon, c'est un peu chiant parfois un akama °se remémore le temps qu'elle doit mettre pour l'installer sur elle ou pour le plier après utilisation... -.-°
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Série : Rurouni Kenshin
Auteur : Mydaya
Disclaimer : L'histoire commence à partir de la fin du combat contre le chef des Yaminobu, quand Tomoe est dans le « temple » et que son frère, Enishi, est derrière les arbres. Spoilers, bien entendu. Bon, y'a aucun des persos qu'est à moi... et je sais pas pourquoi !! é.
Couple : TomoexKenshin
— pour les paroles des persos
Réponse aux reviews :
Losting 972 : Merci de suivre aussi bien les fics que j'écris ! Je suis contente que celle-là te plaise autant que les autres !! J'avais rien contre laisser la croix de Kenshin, mais sinon je trouvais que ça le mettait trop dans la série avec Kaoru. Alors j'ai opté pour ne laisser qu'une marque... mais si ça dérange, je pourrais la lui faire quand même, y'a pas de problèmes !
Falang : Oui !!!!! Tomoe est bien mieux que Kaoru ! (enfin, c'est mon avis) Je voulais faire quelque chose avec le couple KenshinxTomoe... et je l'ai fait !!!
Misstie 160 : Ah merci de ne pas me jeter des tomates T-T... je suis vraiment très touchée ) Merci pour tes encouragements, je vais essayer de la rendre encore mieux avec la suite... (enfin j'espère)
Avatar.of.Night : Un autre fan de Kenshin !!! XD (et de Tomoe donc ) ) Bienvenue à toi dans mon antre (de ma fic quoi :-P) Donc bon, voilà la suite qui, j'espère, te plaira tout autant !!
Kana 173 : Et oui ce couple est génial, je sais XP C'est pour ça que j'ai écrit sur eux !! Mais là je ne compte pas la faire crever... surprise surprise :-)
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Enishi avait fait vite, le médecin était arrivé rapidement. Kenshin, toujours pas sorti de cette espèce de léthargie, fixait Tomoe qui le fixait en retour.
Tandis que le docteur réparait ce qu'il pouvait, Tomoe regardait Kenshin, ne voulant pas regarder sa blessure sous peine de défaillir.
Celui-ci ne comptait pas la quitter... enfin, jusqu'à ce qu'elle lui avoue sa trahison.
— Elle est hors de danger, déclara finalement le docteur, essuyant la sueur de son front et s'obstinant à ignorer les mercenaire morts un peu partout. Mais pour qu'elle guérisse totalement, il faut que je l'emmène en ville.
— Sans problème, répondit Enishi, voyant que l'assassin ne comptait pas répondre. Mais comment la transporter ?
— Je vais ramener une litière. Attendez ici et parlez-lui : il ne faut pas qu'elle ait froid, ni qu'elle s'endorme.
Enishi hocha la tête. Le docteur courut chercher ce dont il avait besoin. Le frère et l'amant restèrent donc avec Tomoe, qui regardait à présent le beau ciel blanc.
La neige commença doucement à tomber. Enishi ouvrit son parapluie pour protéger sa sœur.
C'est alors qu'elle remarqua seulement sa présence. Elle voulut émettre quelque chose, mais son frère la devança :
— Je sais, tu m'avais demandé de retourner chez nous, mais... je ne voulais pas te laisser seule avec cet... cet homme, réussit-il à cracher, mais Kenshin ne releva même pas. Ils m'avaient promis de te ramener s'il était tu : tu serais rentré avec moi chez nous et nous aurions vécu heureux ! Pourquoi t'es-tu interposée ? Il voulait nous aider : cet assassin à la manque n'avait pas le droit de vivre toi, oui !
— Je suis un assassin, répliqua Kenshin sans lever les yeux du doux visage de sa bien-aimée, et Enishi fut surpris de l'entendre parler. Même si je n'entends pas très bien, j'ai bien vu que tu reprochais quelque chose à ta sœur. J'ai tué son mari parce qu'on me l'avait demand : je suis un assassin... ou plutôt j'étais. Je ne compte pas recommencer ce genre de vie.
— Ce n'est pas ça qui la rendra heureuse ! Vous lui avez pris son mari ! Ce que vous éprouvez, ce n'est pas de l'amour, c'est de la piti !
— Enishi, s'écria Tomoe. Je t'interdis...
Elle ne put continuer qu'elle fut secouée d'une quinte de toux. Du sang coula sur son menton. Elle soupira douloureusement pour se remettre.
Kenshin lança un regard assassin (c'est le cas de le dire :D) à Enishi qui se tut aussitôt.
— J'ai froid, murmura Tomoe.
— Je suis là, répondit tout de suite Kenshin.
Il changea de position, calant Tomoe plus contre lui. D'un bras, il la maintint, afin que de l'autre main, il puisse dégager son haut. Contre son torse imberbe, Tomoe eut plus chaud. Le samouraï posa son haut sur la femme, pour la réchauffer d'autant plus. Elle le remercia doucement, à moitié dans les vapes.
Le frère de Tomoe ne fit plus de remarques, gardant son parapluie au-dessus de sa sœur.
Le docteur arriva assez rapidement avec une litière. Elle était assez simple : deux solides morceaux de bois maintenant un tissu blanc aussi solide qu'un lourd tapis.
Il mit la litière par terre et demanda de l'assistance. Kenshin n'eut qu'à bouger ses mains pour transporter la femme dans ses bras. Il la posa délicatement sur la litière et prit un bout, tandis que le docteur se dévouait pour l'autre bout.
Ils allaient commencer à y aller, lorsque le docteur stoppa et parut gêné.
— Avez-vous de l'argent ?
— Comment osez-vous nous demander ça dans un moment pareil, explosa Enishi, prêt à en finir avec le malheureux si la vie de sa sœur ne dépendait pas de celui-ci.
— Je... veuillez m'excusez, mais...
— Les temps sont durs, coupa Kenshin. Il doit vivre. Il a de la famille qu'il doit nourrir. Nous avons de quoi payer, nous y veillerons dès que nous serons arrivés. Je récupèrerais mon argent en rentrant chez moi. Du moment que vous faites votre boulot, bien sûr...
— Bien sûr, rassura prestement le docteur. Allons-y.
Et ils se mirent en route. Dès que Tomoe fut enfermée dans une salle pour être mieux soignée, Kenshin retourna à la maison pour prendre de l'argent.
Tout serait bientôt rentré dans l'ordre. Tomoe sera sauvée, rentrera avec son frère et lui, démissionnera de son poste d'assassin pour errer sans but, cherchant comme un destin morcelé dans l'existence.
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Mydaya : Et voilà un autre chapitre un peu plus long que le précédent, mais ne donnant toujours pas trop d'indications (que de suspense mes amis !!) Bon je précise pour les fans de Kenshin que la jupette qu'il porte, ça s'appelle un akama. Je sais ça parce que j'en ai un moi aussi et oui, je fais un art martial (petit coup de pub pour moi toute seul : je fais de l'aïkido et c'est trop bien) Mais bon, c'est un peu chiant parfois un akama °se remémore le temps qu'elle doit mettre pour l'installer sur elle ou pour le plier après utilisation... -.-°