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Résumé : Harry à fini ses études. Il entre chez lui prêt à vivre sa vie. Mais les Dursleys ne voient pas les choses de la même façon...

Avertissement : Ceci est un slash... Ou du moins un futur slash. Donc ceux qui n'aiment pas, passez votre chemin.

Classement : PG-13

Disclamer : Un Sirius mort, une Cho encore en vie et en bonne santé et tous les personnages masculins semblant être hétérosexuels... Vous pensez sérieusement que j'aurais écrit ça! Ok, tout ça pour dire que le super monde de Harry ne m'appartiens pas, mais plutôt a Mme J.K. Rowling.

Réponses aux réviews :

Onarluca : Voici la suite. Merci pour toutes les reviews que tu m'a laissées sa fait vraiment chaud au cœur. Tu es ma première lectrice fidèle. :P Gros bizous

Blurp3 : En effet c'est pas très joyeux, mais ça s'annonce gay si tu vois ce que je veut dire(ok, jeu de mot vraiment médiocre)

Minerve : Hum, en effet il est fort. Mais si tu regarde les symptômes de Lockhart dans le deuxième tome sa ressemble pas mal à ça, non?

Zaz : Tu penses que je devrai la classer dans romance/drame? Parce que tu n'es pas la première(ou premier...) qui me dit que c'est triste. Oui t'as raison y manque de description de choses et de sentiments, ça fait pas mal platonique comme chapitre, je m'en excuse. Celui-là devrai être mieux pour ce qui est des description matérielle( peut-être un peu trop tu me dira) et le troisième en ce qui a attrait au sentiment de Harry. Et non tu n'es pas chiante, c'est les commentaires comme ça qui aident à faire progresser la fic. Merci. :D

Natsu-Chan : Merci. La rencontre devrai être dans le troisième chapitre, au pire dans le quatrième. Rencontre pleine de rebondissement, mais je t'en dit pas plus.

Lapieuvredudésert : On se cotise et un achète un kit de torture! Après il reste juste à essayer de les trouver. Lol. On va les faire souffrir ces cons!

Florelia : Désolé mais le Ryry y va faire un petit bout de chemin tout seul avant l'arriver de son super-héro (lol, Draco en combinaison moulante verte et argent avec un gros D sur le torse...je sens que cette image la va me rester longtemps dans la tête...0_o)

Feariel : Merci, merci, merci, merci, merci, merci et remerci

Polgara86 : C'est vrai que le premier chapitre ne donne pas vraiment une bonne idée de l'histoire. Celui-là peut-être un peu plus. Mais l'histoire devrai vraiment commencer que vers le chapitre 3 (la rencontre avec Draco). Bisou toi aussi.

Yami Aku : Voici la suite, j'espère que tu aimeras. –xxx-

Chapitre 2 :

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Dans les rues de Little Whinning, 15h00 :

Harry fit plusieurs kilomètres en empruntant des rues inconnues et un chemin totalement improvisé. Il ne savait pas où il allait, mais marcher lui aérait l'esprit et les sens. En parlant du loup; son esprit avait de la difficulté à tenir la route, il était brumeux.

Harry apprenait, de nouveau, à se connaître et à connaître le monde dans lequel il semblait vivre, c'était comme une nouvelle vie.

Combien de personnes n'ont pas rêvés de reconstruire leurs vies sur de nouvelles bases, la refaire loin de chez eux, avec de nouvelles valeurs, de nouvelles personnes. Combien de personne n'on pas rêvé de tout oublier, tous leurs souvenirs douloureux, leurs traumatisme, et Harry était un océan de traumatisme. La question est : est-ce une bonne chose d'oublier notre passé?

Donc, Harry marchait, il croisa plusieurs personnes arrosant leurs pelouses, lavant leurs voitures ou s'adonnant à toutes autres activités inutiles et superficielles. Il n'était pas sûr d'aimer ce monde, ces gens-là avaient l'air tout aussi désagréable les uns que les autres et les regards de dédain qu'ils lui lançaient l'agressait énormément.

Harry s'adossa au mur extérieur d'une maisonnette de banlieue et commença son introspection. Plusieurs questions le tourmentaient :

1.Qui était-il?

2.Où était-il?

3.Pourquoi ne se rappelait-il de rien?

4.Pourquoi tout autour de lui s'était mis à trembler? Comme si les objets dépendaient de sa volonté, des vœux de son esprit. Étrange...

Le fil de ses pensé s'interrompis là. Harry avait senti quelque chose de dur sous ses fesses. Il sursauta et se leva rapidement. Quelque chose long, de droit et de dur se trouvait dans sa poche arrière de jeans, il sortit la chose et la contempla. C'était un bout de bois, environ 25 centimètres de long et 1.5 centimètre de diamètre à la base, mais plus on s'éloignait de la base et plus le diamètre était petit.

L'objet imposait silencieusement le respect. Il était poli à outrance, mais était empli de traces de doigts. Ses traces de doigts? Sûrement. Alors cet objet ne devait pas être qu'un simple bout de bois, sinon, pourquoi y aurait-il tant de trace de doigts? Et pourquoi le traînerait-il dans sa poche? Oui, cet objet avait quelque chose de spécial, mais quoi?

Harry suivit son instinct de Moldu et chercha un mode d'emplois, ou du moins, un bouton qui pourrait expliquer la lourdeur peu commune de l'objet. Mais il n'y avait rien d'autre que du bois, du bois, de la cire et des traces de doigts.

Ensuite, il parcouru de long en large la surface de la baguette de bois; il n'y avait absolument aucune imperfection. C'est alors que Harry secoua frénétiquement la baguette, quel ne fut pas son étonnement de voir s'échapper de son extrémité des étincelles rouges et or.

Sous l'effet de la surprise, il laissa échapper un cris de surprise.

Quelques secondes plus tard, un homme sorti de la maison sur la quelle il était accotée. L'homme avait l'air fâché et le regard méchant.

« Excusez-moi, monsieur. Mais pourrais-je savoir ce que vous faite dans mon jardin, ceci est une propriété privé et je dois vous demander de la quitter immédiatement ou j'appelle la police! »

« Euh...ah oui, pardonnez-moi. »

« Au plaisir de ne plus jamais vous revoir!! »

L'homme aux propos sarcastiques attendit que l'intrus de son jardin disparaisse à l'angle du coin de rue pour lancer quelques insultes haineuse a l'encontre des sans-abris et des « pouilleux » en son genre.

Harry avait au moins trouver une sources d'optimisme, il se souvenait du langage. Il pourrait communiquer avec quelqu'un d'autre, pour des renseignements ou pour toutes autres choses. Cependant dès qu'il se rappela la baguette de bois lanceuse d'étincelles et le mystère qui l'entourait, autrement dit : sa vie, son moral repris un proportion ridicule.

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Pendant ce temps au dans une petite maison de banlieue, habitée par une famille de parfait banlieusards :

Le choc du mini-tremblement de terre localisé dans leur salle à manger, causé par l'appel à l'aide du cerveau de Harry, causé par un sorcier un peu trop compétent et son sort d'amnésie, garda les Dursleys dans une espèce de transe physique et mentale pendant un très long moment.

... ... ... ...

Lorsque enfin :

« Euh, Papa, où est-il allé? »

« Il...Il...Il est sorti dehors après avoir détruit la moitié de notre salle à manger... »

« Mais, Vernon chéri, il est parti! »

« Mon dieu, mais tu as raison! »

Un sourire de maniaque ayant commis son crime apparu sur les lèvres de Vernon Dursley, bientôt imiter par sa femme et leur progéniture. Leur rêve devenait enfin réalité, ils étaient débarrassé de leurs fardeau. Et comme Vernon l'expliqua au reste de la famille, ils n'auraient plus à subir de pressions de la part de ses illuminés de magiciens, car non seulement Harry avait-il prit la fuite de sa propre initiative, mais en plus il était maintenant majeur du point de vu de la communauté sorcière et ses décisions lui appartenaient totalement, à présent.

À la fin du discours de l'homme de la famille, Pétunia et Dudley éclatèrent de joie. Ils fêtèrent leur victoire sur le destin jusqu'à tard le soir, sans n'avoir aucune intention de dire quoi que ce soit à qui que ce soit.

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Harry continuait ses pérégrinations dans un monde inconnu.

Bientôt, il quitta Little Whinning et se retrouva sur une toute petite route de campagne à proximité d'un champ et d'une petite colline fleurissante. Il faisait beau, il faisait chaud, mais Harry n'avait rien mangé ni rien bu depuis presque une journée complète. Son estomac criait famine et ses jambes ne pouvaient presque plus porter le poids du reste de son corps.

Le soleil tapait sur sa tête, qui ne pouvait encore moins se concentrer, et la chaleur la lui faisait tourner. Après quelques secondes où il rechercha son équilibre, il fini par tomber par terre, au beau milieu de la route.

C'était trop tard, tout était fini, il était fini, pratiquement déjà mort, il ne pourrait jamais se relever sans une aide extérieure, aide qui ne viendrai sûrement pas dans un avenir rapproché vu le nombre très peu élevé de voitures qui devait passé par ce chemin.

Cependant, juste comme il se disait qu'il aurait voulu se retrouver n'importe où plutôt qu'ici, tout autours de lui se mit à tournoyer comme si le décors s'évaporait lentement. Quelque secondes plus tard Harry s'était changé en une petite fumé grise en émettant un léger ' CLAC '.

À une centaines de Kilomètres de là, un jeune homme à lunettes réapparu dans un champs, un regard de totale incompréhension emplissant tout ses traits.

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