Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai eu une envie soudaine de continuer cette fic. Je sais que quelques uns pensent qu'il ne faudrait pas, mais je crois que oui. Si vous préfériez la première version, le seul et unique chapitre, c'est votre choix. Cependant, sachez que cette fic ne devrait pas être trop longue, je l'espère du moins. Je sais que j'ai tendance à m'emballer et à ne plus m'arrêter quand un projet me plaît, mais bon...

Donc, je ne sais pas où cela me mènera mais j'ai décidé d'exploiter les fameux flash-back...Je suis friande de flash-back, ça explique tout et rien en même temps...Donc, ce qui est italique sont des pensées, des souvenirs, des songes...Donnez-leur le qualitatif qui vous plaira!;)

Vous avez ici quelques bribes de souvenirs d'Hermione. Le chapitre prochain aussi. Ensuite, ce sera à Snape, pour deux chapitres tout à lui. Puis je crois que finalement, vous assisterez à...Non, je ne le vous dis pas! Vous devrez lire! ;)

Une petite dédicace spéciale à Djei, parce qu'elle est une source d'inspiration, parce que son histoire (L'amante du professeur Rogue, que je conseille à tous en passant!) est devenue cet après-midi une de mes fics préférées et aussi parce qu'elle (Djei, pas sa fic, on s'entend!) est si gentille...

Voilà.

Bonne lecture.


2 – Le début de rien du tout.

Hermione ouvrit les yeux, à moitié endormie. Elle sentait son corps raide, ses muscles tendus, les mains de Severus crispées sur ses hanches...

Quoi? Les mains de qui sur ses quoi ?

Son cœur manqua un battement. Il était revenu, après tout ce temps. La dernière fois, c'était...ouf!, c'était il y avait longtemps! Quand Ginny avait été paralysé, quand son monde s'était réellement écroulé...

-.-.-.-.-

-Ginny va peut-être mourir, Hermione.

-Mais pourquoi me dis tu cela, Severus? Que veux-tu que j'y change ? hurla-t-elle en pleurant à chaudes larmes.

-Reviens...Reviens, avant qu'il ne soit trop tard...

-C'est déjà trop tard... murmura-t-elle, en s'assoyant sur une des boîtes de déménagement.

-Alors, reste pour moi...

Il s'avança et tendit une main pour effleurer sa joue. Elle secoua la tête, elle secoua son esprit.

-Je ne peux pas.

Il soupira bruyamment.

-Par Merlin Hermione! À quoi joues-tu ?

-Je ne joue à rien! S'exclama la jeune femme, piquée.

-Oh que si, Mademoiselle Enfantillage! Tu vas d'abord cesser de te mettre sur les épaules le poids de la mort de Harry et...

-Pars, dit-elle froidement en se tournant dos à lui. Pars si tu es pour me dire cela. Je ne veux pas l'entendre, je ne peux pas l'entendre. Reviens me voir quand ils seront tous morts, ne reviens pas avant...

Il acquiesça, même si elle ne pouvait le voir. Il pivota et sortit sans dire un mot. Juste avant de fermer la porte, il tenta une ultime fois de la toucher, de l'émouvoir.

-Et si je meurs avant?

Elle ne répondit rien, elle se contenta de pleurer.

-Tu t'en fiches, de toute façon...Je ne suis plus rien pour toi...

Et il partit, emmenant avec lui la dernière parcelle de l'ancienne Hermione...

-.-.-.-.-

Elle se leva, tout doucement. Elle ne voulait pas le réveiller, pas maintenant du moins...En le contournant pour aller à la cuisine, la jeune femme lui jeta un coup d'œil et son visage se fendit d'un énorme sourire. Elle sentit son cœur se gonfler d'amour, elle en eut des vertiges. Elle ne pensait pas pouvoir l'aimer encore à ce point après tout ce temps...

Elle soupira. Si elle avait su, le jour où Harry lui demanda une faveur impensable, si elle avait su où cela la mènerait...

Elle sourit.

Si elle l'avait su, elle y aurait été de bonne grâce, sans se faire supplier...

De toute façon, le résultat serait resté le même...Bon, divin, exquis...

À son image.

-.-.-.-.-

C'était stupide, elle le savait. Pourtant, elle l'attendait. Il allait sûrement la rejeter, la gronder, lui dire de déguerpir ou même lui jeter un sort d'amnésie...ou peut-être tous ça à la fois,finalement, mais elle voulait courir le risque. Après tout, que risquait-elle vraiment?

Elle se recroquevilla dans le gros fauteuil près de la cheminée, guettant son arrivée avec impatience. Elle avait fouiné un peu dans la bibliothèque personnelle de son professeur mais avait changé d'avis. Après tout, elle n'était pas supposée être ici, il valait probablement mieux éviter de toucher à tout...

Une lueur envahie la pièce, subitement. Elle ouvrit grands ses yeux et se leva, pour accueillir Snape. Pendant un moment, elle eut envie de s'enfuir et de ne plus jamais retourner en potion mais le mal était déjà fait. Pas de regrets, juste des remords...

Il sortit de l'antre, courbé. Il gémit en s'accrochant sur le bord de la cheminée, il était vraiment mal en point. Elle s'approcha, silencieusement. Elle hésita, puis fonça.

-Professeur, je...

Il se retourna, surpris. Elle lu dans ses yeux tant de colère, mais aussi tant de peur et de douleur qu'elle poussa un petit cri.

-Miss Granger, que faites-vous dans mon appartement à cette heure?

-Je...

Il ricana en s'assoyant sur le fauteuil qu'elle venait de quitter.

-Je, je, je! la singea-t-il, Je vous croyais pour ma part plus articuler!

Elle se remit de ses émotions rapidement et alla chercher sur l'étagère ses pommades et remèdes divers.

-Je le suis, je ne voulais simplement pas vous brusquer... lui dit-elle en étalant sur une petite table sa médication.

-Partez, je n'ai pas besoin de vous.

-Nous avons toujours besoin de quelqu'un, professeur. Et ce soir, vous plus que quiconque, répliqua-t-elle presque froidement, d'un ton sans répartie possible.

Il planta son regard dans le sien et essaya d'entrer dans son esprit, mais elle le bloqua instantanément.

-Non, lui dit-elle sans aucune autre façon, cette fois.

Il comprit.

-Mon erreur.

Elle sourit, il ne s'excuserait donc jamais...

-Enlevez vos vêtements, ils sont souillés de sang.

Il la toisa du regard,interdit.

-Vous ne croyez réellement pas que je me dénuderai devant une petite nymphette comme vous,Miss?

Elle se garda bien de lui dire, mais elle fut choquée un brin des paroles du mystérieux homme. Elle acquiesça, comme si le fait de s'être infiltré chez son professeur pour le soigner après une réunion violente de mangemort et d'en plus lui demander d'enlever ses vêtements était tout à fait normal.

-Bien, marmonna-t-il en déboutonnant sa chemise.

Elle s'affaira à mélangé pommade magique et crème moldue ensemble alors que Snape lui dévoilait peu à peu une autre partie de lui. Rougissante, elle trempa un doigt dans le cocktail nauséabond et se dit que ce coup de tête allait peut-être un peu trop loin...

-Je...?, questionna-t-elle. Ses yeux gênés,ses mains tremblantes, son teint rougeâtre parlèrent pour elle.

-Faites ce que vous avez à faire, qu'on en finisse lança-t-il sans réelle conviction. Il avait perdu son ton cinglant, son air arrogant et ils en furent troublés tous les deux.

Elle posa délicatement ses doigts sur le torse de l'homme et il frissonna; la mixture était froide. Elle sourit, puis commença à étaler le mélange sur ses blessures. Elle frémit alors qu'elle toucha à une profonde coupure, ses yeux s'emplirent de larmes.

-N'ayez pas pitié de moi, Granger. Je mérite d'avoir mal.

Elle secoua la tête, essayant vainement de cacher les larmes qui roulaient sur ses joues.

-Je n'ai pas pitié. Mais vous souffrez tellement, et eux si peu, et c'est si injuste...

Severus prit son visage entre ses mains et caressa sa peau.

-Je me suis trompé à votre égard. Vous n'êtes peut-être pas qu'une Gryffondor impulsive guidée par ses émotions...

Sa lèvre trembla, sa tête lui dit de briser le contact charnel avec son professeur, mais son corps le bénit et son cœur battit plus rapidement...

-Que suis-je, alors?

-Je ne saurai le dire...Vous avez du cran d'être venue ici, ce soir...

-Le fameux courage des lions, dit-elle en sachant qu'il ne s'agissait pas uniquement de cela.

-Non. Vous savez que non. Et moi aussi. Vous avez aussi une vive intelligence, vous avez conçu ces mélanges efficaces en alliant la science moldue et sorcière.

Elle inclina la tête en guise de remerciement, et elle prit conscience des doigts de Severus sur son menton. Elle amena sa main sur la sienne et la caressa à son tour.

-Vous êtes un bien drôle de personnage, professeur Snape, lui confia-t-elle.

-Et pourquoi donc?

-Un instant, vous êtes méprisables et la seconde d'après, vous me complimentez.

-Je suis instable... lui dit-il, mi-moqueur, mi-sérieux.

-J'aime vivre dangereusement, conclu-t-elle en se relevant et en posant ses mains sur les épaules de l'ancien mangemort. Elle ne pouvait s'empêcher de remarquer qu'il n'était pas désagréable du tout que de pouvoir voir le corps de Severus Rogue dans sa quasi splendeur...

-Que faites-vous, Miss? demanda-t-il en sentant qu'elle ne le badigeonnait plus de pommade.

Elle sourit puis tenta le tout pour le tout.

-Je me disais qu'il était bien dommage que je n'ai pas pensé, dans mon coup de tête organisé, d'inclure de l'huile à massage dans mes ingrédients médicamenteux...

Severus feinta une quinte de toux pour masquer sa surprise. Il se dirigeait vraiment vers une mauvaise voie, il devait couper court aux pensées...déplacées que pouvait entretenir Hermione...

-Miss Granger je crois que..., commença-t-il, très sûr de lui. Puis une image de la jeune femme concoctant une potion, les cheveux en chignon, une robe de sorcier ouvert sur une chemise boutonné négligemment revint à lui. Une jeune femme qui était toujours son élève mais qui ,dans quelques mois, deviendrait officiellement une diplômée de l'académie de sorcellerie de Poudlard.

-Oui?

-Je crois que vous pourrez en trouver dans la grande armoire verte, près de la porte donnant sur ma chambre...finit-il dans un souffle.

Elle alla fouiner dans l'armoire, prenant cela comme une autorisation à pénétrer dans son monde, dans son sanctuaire. Elle échappa un petit rire cristallin en lisant l'étiquette de la bouteille...

-Je ne vous savais pas si coquin, Professeur.

Il lui fit l'ombre d'un sourire.

-J'ai toujours aimé l'arôme du chocolat, lui confia-t-il simplement.

Elle ne dit rien, se contentant d'étaler sur son dos nu l'huile odorante. Leurs estomacs gargouillèrent, Hermione constata que l'être humain était drôlement fait...Elle savait que ce n'était pas du vrai chocolat, pourtant ses papilles gustatives lui disait de lécher l'épaule de l'homme, pour s'en assurer. Comme s'il devinait ses curieuses pensées, Severus prit une excellente initiative.

-Si l'envie vous dit, c'est comestible...

Hermione ne dit rien, se contentant simplement de poser sa bouche sur son épaule, au grand bonheur de ses papilles. Elle joua de sa langue et traça un petit serpent dans le chocolat.

-Vous n'avez jamais pensé vous faire tatouer? Demanda-t-elle, sans saisir l'absurdité de sa question.

-J'ai assez de la Marque, croyez-moi!

Elle se mordit les lèvres, quelle imbécile elle était!

-Je suis dé...

-Ne le soyez pas. C'est la première fois que quelqu'un oublie ce détail...

Et sans qu'Hermione ne puisse glisser de mots, il se retourna, oubliant sa douleur et leur statut respectif, oubliant qui ils étaient et embrassa gloutonnement la jeune femme...

-.-.-.-.-

Hermione brassait son café, la tête pleine de souvenirs. Elle aimait cette soirée, c'était le souvenir qui revenait le plus souvent la hanter, quand elle essayait d'oublier... Severus remua dans son sommeil, dans le salon. Elle sourit. Il avait toujours remuer ainsi, elle s'en souvenait encore si bien! Elle ne voyait plus la coupure de cinq ans, elle avait l'impression de s'être toujours levé et couché près de lui...

Bien malgré elle, elle l'avait toujours connu par cœur...

-.-.-.-.-

Severus se réveilla, et il trouva entre ses bras une petite femme qui dormait toujours. Il plongea sa main dans ses cheveux bouclés et sourit à sa belle aux bois dormants. Leur relation était si impossible, si interdite, si passionnée, il n'avait plus de contrôle sur lui. Il devait se retenir pour ne pas la violer durant les cours de potion. Quoi que, quand la victime est consentante, ce n'est plus un vrai viol, n'est-ce pas?

Elle remua un peu et il sourit encore plus. Il remuait ainsi, il le savait. Elle lui avait fait la remarque la veille,avant qu'ils ne s'endorment. Si n'importe quel autre personne lui avait dit la même chose, il l'aurait mordu et enguirlandé, mais venant d'elle...C'était si gentil, si gentil...

« Tu remues quand tu dors, tu le sais? Tu me donne des coups de bassins, je crois toujours que tu veux encore et encore recommencer, même quand tu dors à poings fermés!Tu es adorable,Sev... »

Il se dépêtra des couvertures et attrapa au vol sa robe de chambre. Il était temps de montrer à Miss Granger que les maîtres de potion pouvaient aussi cuisiner! Il fila jusqu'à sa cheminée et demanda silencieusement aux elfes de maison via celle-ci de la pâte, de la vanille, du bon sirop d'érable du Canada et des fruits frais. Alors qu'il rapportait tout cela dans sa chambre des bras entourèrent son taille et une tête se posa sur son dos.

-On me fait des cachotteries, Monsieur Snape?

-Que faites-vous debout, Mademoiselle Granger? Vous ne devriez pas être réveillée, j'allai justement vous faire à déjeuner!

Elle éclata de rire et s'assit dans le divan.

-Qu'est-ce qu'on mange?

-Des crêpes, ma chérie!

Elle fronça les sourcils, assez surprise.

-Tu connais ce mets moldu?

Severus éclata de rire à son tour.

-C'est un mets typiquement sorcier,Mione...Sauf pour le sirop d'érable, qui je l'avoue, est meilleur que le nôtre à base de Mandragore!

Hermione sourit, une idée germant dans sa tête.

-Tes crêpes doivent mijoter combien de temps?

-Hum...Une bonne dizaine de minutes, pourquoi? demanda Snape en brassant le mélange hétérogène dans la casserole, qui chauffait sur un feu magique.

Elle se leva et s'approcha de lui.

-C'est assez long, allons attendre dans ton lit! s'exclama-t-elle, ravie, en attirant Sev vers sa chambre. Il la suivit de bonne grâce, en programmant son plat qui cuisait gentiment pour ne pas le laisser brûler.

-Tu viens à peine de te réveiller et tu ne pense déjà qu'à cela...Au fond, je ne suis qu'un objet!

Hermione le poussa sur le lit et s'installa à califourchon sur lui. Elle lui chatouilla le visage en faisant cascader ses cheveux sur lui.

-Exactement, tu es mon joujou à moi!

Il plaça ses mains sur les hanches d'Hermione et la positionna mieux. Il entreprit ensuite de dévorer sa bouche, sous les gémissements de plaisirs de sa partenaire. Alors qu'ils allaient passer aux choses sérieuses, une ombre se dessina dans la porte.

-Severus, Miss Granger, je m'excuse d'interrompre ...ceci, mais j'ai à vous parler!

Hermione sursauta et se laissa glisser sur le côté tandis que son amant rougissait furieusement, en couvrant leurs corps d'un drap. Dumbledore se tourna dos à eux, mais ils eurent le temps de capter son regard plein de malice.

-Évidemment, je vous demanderai de vous habiller au préalable! Je vous attend près de la cheminée!

Il sortit et Severus regarda sa bien-aimée, pantois.

-Sois il s'est prit un cognard sur la tête, sois rien dans le règlement de l'école n'interdit notre relation, philosopha le professeur en revêtant sa robe de chambre alors que la gryffondor faisait de même.

-Je suis affreusement gênée, confessa-t-elle en se tordant les mains.

Snape l'embrassa doucement, pour lui communiquer toute sa tendresse.

-Allez, viens!

-.-.-.-.-

Severus venait de se réveiller, il ouvrit les yeux et la première chose qu'il se demanda fut « Mais où suis-je, par Merlin? ».

Il se releva à l'aide de ses coudes et il vit sa belle Hermione assise à la table, plongé dans ses pensées. Il se leva complètement et se cogna le pied sur la table basse du salon. Il jura dans sa barbe et regarda la jeune femme qu'il avait dérangé.

Elle lui sourit, événement incongru, inattendu mais surtout terriblement touchant.

-Bon matin, Severus.

Il inclina la tête, en guise de bonjour. Il se dirigea vers elle et s'assit à ses côtés. Elle lui tendit une tasse de café, liquide infect qu'il ne buvait jamais, mais il sentit que là, maintenant, il aurait besoin d'une dose de caféine. Il porta à sa bouche le bouillant mélange et grimaça.

-Tu n'as pas changé, lui dit-elle en souriant encore.

Il posa la tasse sur la table et planta son regard dans celui d'Hermione.

-Tu étais si froide ,et te voilà si chaleureuse...

Elle haussa les épaules.

-Je ne peux te dire le pourquoi du comment, commença-t-elle en cherchant quelque peu ses mots, mais tu es y pour quelque chose.

Il fronça les sourcils, perplexe.

-Tu ne te rappelles de rien, Sev? Demanda-t-elle d'une voix étrange.

-Bien sûr, je me rappelle de tout..., répondit-il d'une voix rauque.

-De tout, vraiment? Questionna-t-elle encore, taquine.

-Je me souviens de chaque grain de beauté qui orne ton corps, de chaque pli de ta peau quand tu fronces ton joli visage, aux bords du paradis, de chaque...

Elle le coupa en l'embrassant.


Étrange tout cela, hein?

J'ai l'impression d'avoir été si floue dans le deuxième flash back, avec le chocolat lol...En fait, Harry avait demandé à Hermione, la seule pouvant supporter Snape sans trop de mal, d'aller s'assurer qu'il allait bien puisqu'il savait que leur professeur participerait ce soir là à une réunion particulièrement virulente... Voilà, j'espère que vous comprenez maintenant! ;)

Et puis, vous ne trouvez pas que Snape change trop rapidement d'attitude envers Hermione? Moi je trouve que si...

Je n'aurai malheureusement pas le temps de faire des réponses personnelles à tous et à toutes avec cette fic, j'en suis énormément désolée mais je ne peux pas me permettre de gruger le peu de temps dont je dispose pour écrire...(En fait en ce moment je devrai faire un document de révision en anglais mais je suis si lâche, et si fatiguée...)

Merci beaucoup à ceux qui m'ont envoyer une review, ça me touche toujours énormément, mais surtout, cela me pousse à continuer d'écrire...Vous êtes mes petits soleils, merci beaucoup!

Gros bisous du Canada d'une Vengeresse qui n'a pas du tout envie d'aller voir le film de Bob L'éponge mais qui se sacrifiera pour ses amies!