A/N: Bonjour à ceux qui ont la gentillesse de me lire ! Je suis vraiment désolée pour le retard qu'a pris ce chapitre pour être posté, mais j'ai été séparée de mon ordinateur par un séjour à Paris. (Pour ceux que ça intéresse, j'y ai vécu pendant cinq ans, et j'adore cette ville !) Malheureusement pour vous, la fréquence à laquelle je vais écrire va encore baisser. Effectivement, pour un bon nombre d'entre vous, je présume, l'été est synonyme de temps libre… Pour moi, c'est tout le contraire ! C'est la période pendant laquelle je suis le plus occupée… Alors je ferais de mon mieux ! Ensuite, je vous remercie sincèrement pour vos nombreux reviews, qui, comme à chaque fois, me font un immense plaisir et m'encouragent énormément ! Je crois qu'à présent, je vais vous laisser lire ce chapitre au cours duquel les choses s'éclaircissent…
Réponses aux reviews :
Lisia : Merci beaucoup pour ton review et voilà la suite ! Bisous.
Enora de Wes d'Aigle : Heu…Ben…En fait… Désolée pour ta voix ! (Même si ça me fait vraiment plaisir de voir que mon travail te touche !) Je te remercie infiniment pour ton review, qui m'a fait énormément plaisir, et je pense que la fin de ce chapitre sera moins vite atteinte ! J'espère que tu vas l'apprécier ! (Le chapitre, je veux dire !) Je te fais des gros bisous, Ambrazka.
Hhp : Merci pour ton review et voilà la suite ! Pour le dénouement, encore un peu de patience ! Bisous.
Anonyme : Ne laisses pas le doute t'assaillir, ce n'était pas le dernier chapitre ! (Désolée, j'ai voulu te répondre par mail, mais j'ai été prise de cours par le temps avant mon départ… Ce n'était pas dans mon intention de te faire mariner !) Merci infiniment pour ton review qui m'a fait très plaisir et voilà la suite ! Bisous.
Aranyella Fairlea : Je…snif…snif…merci…snif…merci beaucoup ! ! ! Sincèrement, tes compliments me font un plaisir immense… ! Je te remercie infiniment… je… snif… Sais pas quoi dire… snif… Bon, si j'arrive à obtenir ce que je veux de mon texte, prépare tes mouchoirs pour la fin ! (Drame…) Je te fais des gros bisous, j'espère que ce chapitre te plaira, Ambrazka.
Stephanie : Merci beaucoup pour ton review et pour tes compliments, ils m'ont vraiment fait très plaisir ! J'espère que ce chapitre te plaira ! Bisous.
Marion-moune : Tes compliments m'ont beaucoup touché, et je t'en remercie, ainsi que pour ton review ! Voilà la suite qui je l'espère te plaira ! Bisous.
Link9 : Merci infiniment d'avoir pris le temps de me mettre un review avec le travail que tu as ! Je compatis entièrement…Bande d'exploiteurs ! Au fait, si c'est pas indiscret, est-ce que tu prépare des examens ? En tout cas, voilà la suite, et j'espère que tu appréciera autant que les trois autres ! (De toutes façons, maintenant, après tous les encouragements que j'ai reçu, je ne juge plus mes chapitres avant que vous les ayez passé au crible ! Lol !) Gros bisous.
BERTRAND Kévin : Coucou ! Alors je vais y aller dans l'ordre…
-Merci beaucoup beaucoup pour ton review qui m'a énormément touché !
-Je ne pense pas faire un nombre de chapitre mirobolant… En fait, j'ai l'histoire en tête, mais lorsque je me met à écrire, je laisse mes doigts taper et je ne contrôle pas la longueur de mon texte… Parfois, des passages que j'avait prévus longs se raccourcissent et d'autres qui devaient faire une ligne se transforment en paragraphes ! (C'est parfois énervant !) Alors pour être honnête, il y aura peut-être 8 ou 9 chapitres tout au plus ! L'histoire n'est pas très longue…
-Heu… Ben… Je crois que pour la happy end, c'est loupé ! Sorry… Mais tu l'as dit toi-même, c'est un drame… Tu as déjà vu des drames qui se terminent par : ils se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants ?
-Pour être totalement franche, je ne pense pas écrire d'autres fics après avoir finit celles que j'ai commencé… Ou alors des one shoot ! La raison en est simple : en écrivant des fics, j'espérait travailler mon écriture. (Enfin, il y a une fic que j'écris pour le plaisir uniquement !) Et écrire une fic demande beaucoup de temps… L'année prochaine, je serais vraiment débordée… (Je suis en sport études… C'est pas de tout repos !) Et le peu de temps que j'aurais de libre, je souhaiterais le consacrer à (tu es mon premier reviewer à qui je le dit !) mon livre… Je me sens prête pour le continuer, car je l'avait lâché par manque de motivation… Les fanfictions me l'ont redonnée ! Alors désolée de te décevoir, mais je crains de ne pas recommencer une longue fiction !
Harry va se bouger ! Si, si ! Pour bientôt ! Merci merci merci merci pour tes compliments qui me font supers plaisir ! ! ! Pour le p.s, je suis heureuse que tu ressentes des émotions !Voilà… Je crois que j'ai fais le tour… Tu vas ENFIN pouvoir lire ce chapitre ! Big bisous, Ambrazka.
Le Saut de l'Ange : Merci infiniment pour ton review, et non, ce n'est pas encore fini fini ! ! Un peu de patience ! Et pour la suite, il faudra attendre de la lire pour savoir ! J'ai réfléchis à ta question, et voilà le verdict : Hermione est amoureuse de Harry mais elle va finir avec Ron ! Ben oui, elle peux pas finir avec Draco puisqu'il n'y a que dans les fics où il est intéressant… Dans les livres, c'est un imbécile fini ! Et comme Harry vas mourir en tuant Voldemort (je sais, je dramatise… mais j'ai toujours pas digéré la mort de Sirius alors…j'ai tendance à voir tout le monde mort pour la fin… !) Hermione va se rabattre sur Ron ! Vive le raisonnement ! Bon, je te laisse lire ce chapitre ! Bisous.
Fanny Radcliffe : Merci beaucoup pour ton review ! Il m'a fait très plaisir ! Je pense que d'ici le prochain chapitre, les choses vont avancer entre eux ! D'ici là, il faudra patienter ! Bisous.
Vengeresse : Je suis vraiment très, très, très, très, très touchée par ton review ! Il m'a vraiment fait plaisir et m'a encouragé ! Voilà la suite et j'espère que tu vas l'aimer ! Bisous.
Quatrième chapitre :
Le masque est tombé
Ses pas rapides et oppressés se répercutaient le long de son échine glacée. Une multitude de couloirs aussi sordides les uns que les autres avaient témoignés de la détresse de la jeune fille. Elle ne pouvait que se reprocher ses paroles inconscientes, pourtant sorties du plus profond de son ressentiment, qui, elle s'en était persuadée, n'avaient fait qu'achever le dernier souffle d'humanité et de volonté qui se tapissait encore dans les tréfonds insondables de l'âme égarée de celui qui se nommait le Survivant, mais qui pourtant ne vivait plus, ou alors qu'une demi-vie, une vie maudite, que son plus cruel ennemi avait connu avant sa sombre gloire retrouvée… Peut-être alors pouvait-elle nourrir un futile espoir sur l'incertain regain de vie pour l'homme qu'elle aimait ? Peut-être, encore peut-être et toujours peut-être… À l'âge où les fondations de sa vie, de sa personnalité et de son futur se bâtissaient, l'édifice tout entier menaçait à chaque instant de s'effondrer sur l'instabilité des premières pierres façonnées dans l'incertitude des "peut-être". Pourquoi ne pouvait-elle accéder à l'insouciance et à la conviction de vivre le lendemain, peu importe de quoi il serait fait ? Mais son être se maudissait chaque fois qu'elle se le demandait. Aussi réel que le couteau qui avait faillit lui retirer tout souffle quelques temps plus tôt, la réponse entaillait profondément son cœur jusqu'au sang : parce qu'elle aimait Harry Potter, le seul qui ne pouvait lui apporter la stabilité. La vie était ainsi, injuste…
Pourtant, elle lui avait tendu une main éperdue d'amour, mais pour une raison qu'elle ne comprenait pas, à la place de se raccrocher à cette aide dévouée, il avait préféré la briser… Comme elle venait de le faire. Les mots restaient sans reliefs pour définir la culpabilité qui rongeait la jeune fille, tel le poison qui s'insinue dans les veines et qui fini un jour ou l'autre par vous achevez dans de terribles souffrances. Pourtant, elle ne devait pas renoncer… La plus grande erreur de la vie d'Harry, pour elle, ce n'était pas tant le fait qu'il existait, mais surtout qu'il avait renoncé à répandre l'espoir dont il était désigné porteur. Ballottée entre les deux sentiments de la création les plus contradictoires, l'amour et le renoncement, elle était aussi perdue dans ses émotions que son corps l'était dans le dédale de pierre. Où se trouvait-elle ?
Serpent vicieux et traître, le couloir duquel sa personne confuse venait de déboucher ondulait dans les ténèbres en faisant résonner dans sa tête l'inconnu qui la baignait. Dès qu'elle eut pleinement conscience de l'endroit où elle était, c'est à dire nulle part de connu, l'adrénaline libérée par son système nerveux se fondit dans ses cellules et une bouffée incontrôlée de panique la submergea en déferlant sur les frêles digues de sa raison. Jetant des regards désespérés en tous sens, son dévolu se plaça sur l'embranchement de gauche dans lequel elle s'élança à corps perdu. Devant ses jambes d'une vélocité incroyable, l'obscurité rendait lentement les armes pour mieux engloutir la jeune fille quelques mètres plus loin. Cependant, au détour d'une allée, le premier élève qu'elle apercevait depuis sa fuite intempestive était accoudé à une fenêtre. Soupirant de soulagement, Hermione s'approcha à pas feutrés et interpella cette personne :
"Eh ! Toi, là-bas, héla-t-elle, "pourrais-tu me dire où je suis?"
La bienséance aurait voulu que l'interpellé se retourne, contemple avec étonnement la jeune fille, puis lui réponde avec une once de moquerie. Mais il eut l'impolitesse de ne pas relever la question. Déjà à bout de nerfs, Hermione s'emporta et remplis l'espace qui la séparait encore de son locuteur :
"Je t'ai demandé quelque chose, et donc il me semble normal que tu m'accorde une quelconque attention, même si c'est pour te ficher de moi !" s'emporta la jeune fille.
Cette fois encore la bienséance fit défaut. Les limites du supportable explosèrent chez Hermione, qui empoigna l'élève pour le retourner. Mais avant même que son esprit puisse élaborer l'insulte appropriée, la réalité l'avait rattrapé. Entre ses mais tremblantes, un corps sans vie la fixait de ses grands yeux noirs, figés dans une expression de profonde réflexion. Horrifiée, elle recula en laissant à ses cordes vocales l'occasion de vibrer au rythme du sang battant dans ses veines. A l'image des vieilles statues s'écroulant parfois de leur socle de pierre, les sombres yeux et le corps allant avec s'écroulèrent en un bruit mat et sinistre en travers du couloir, barrant la route au silence désormais assourdissant.
Contemplant la masse inanimée de ce qui aurait dû être une enveloppe remplie de vie, elle saisit enfin toute l'étendue du pouvoir d'un simple mot. Le temps s'était bel et bien arrêté. Cette idée s'enroula autour de ses membres et s'insinua sournoisement parmis ses pensées tournoyant aussi vite que le souffle d'une tempête. L'œil du cyclone éclaira de toute son horreur l'incertaine issue de cette incroyable situation. À cet instant, l'élève la plus brillante de Poudlard se trouvait incapable de résoudre le problème imminent qui s'imposait par son implacabilité. Laissant sans combattre l'abattement la transpercer, elle céda à son tour à l'attraction que le sol si invitant lui faisait ressentir. Les sillons séchés qui parcouraient ses joues se remplirent à nouveau, faisant glisser parmis les larmes tout ce qui la consumait. Elle s'embarqua à bord d'un reposant navire et se laissa engloutir par les libératrices flammes du néant.
Un temps interminable s'écoula avant qu'elle n'ait le courage de reprendre la barre de son esprit. Mais pouvait-on nommer ce qui séparait deux actions puisque le temps n'existait plus ? Que c'est pathétique de se rendre compte que l'être humain à besoin du temps pour ne pas perdre la raison. Le temps est éphémère, mais sans lui rien ne serait. S'il ne continue sa route, le cycle de la vie tombe dans l'oubli car le renouveau ne bénit plus les jours heureux.
La jeune fille se rendit à l'évidence, la situation était désastreuse et le seul qui puisse ramener à la raison le cours du temps devait être incapable d'aviser de son action. A cause d'elle… Pour ajouter un supplément d'angoisse en son âme mortifiée, la raison pour laquelle ils en étaient tous arrivés là revint la hanter. Avant cette sanglante bagarre, une longue succession de haine et de jalousie s'étendait depuis quelques temps déjà.
Le tristement mémorable soir où Hermione avait enfin ouvert son cœur, celui duquel elle attendait un retour de sentiments l'avait rejetée. Le vase de sa compréhension emplit jusqu'à n'en plus pouvoir n'avait put supporter ce bafouement, et le verre finement ciselé avec des années de patience s'était brisé sur son contenu de poison. Abattue par le mensonge qui lui avait été soufflé, ses pas de condamnée avaient traîné la jeune fille jusqu'à son dortoir, où avec la force du désespoir son corps s'était reposé sur son lit au draps blancs.
Ses compagnes de chambrée devaient dormir en toute ignorance du drame, mais pourtant l'une d'entre elles avait échappé à cette règle qui aurait dû tous les protéger. Lentement, affichant sur son visage réjouit un masque de compassion, Lavande Brown s'était approchée du lit de la souffrante pour s'enquérir de son état. D'un premier abord, Hermione avait contint son langage pour la renvoyer à ses affaires, mais face à l'insistance ferme et entêtée de son auditoire, elle n'avait put que céder aux pressions trop lourdes pour son cœur brisé. Entrecoupé de sanglots étouffés, l'histoire s'était à nouveau déroulée avec pour seules spectatrices les deux jeunes filles attentives. À la fin du récit, une fois le dernier point tracé dans l'air environnant, le masque de Lavande était tombé en même temps que la sentence du désespoir. Affichant ouvertement un sourire blessant, elle avait triomphé en déclamant :
"Ma pauvre fille, comment as-tu pu tomber amoureuse d'un fou insalubre qui n'est même plus capable de réfléchir ? Tu es vraiment descendue très bas… Enfin, ce n'est pas ta faute si aucun garçon ne s'intéresse à ta face de chauve-souris."
Outrée, Hermione avait plongé son regard trahit dans les yeux réjouit. Comprenant la mascarade si longtemps jouée par sa prétendue amie, un dégoût profond l'avait envahit et elle n'avait put s'empêcher, malgré l'heure tardive, de hurler au travers de la pièce toute sa haine refoulée :
"Alors c'était ça ? Tu t'es jouée de moi uniquement pour assister à un moment de faiblesse ? Tu es contente, maintenant ? La parfaite petite Hermione qui avoue son amour au fou furieux qui hante Poudlard et qui se fait lamentablement rejeter, même par le garçon le plus affreux de toute l'école ! Je parie que demain, tout le monde sera au courant de ma misérable tentative pour enfin me caser !"
Sereinement, Lavande lui avait susurré :
"Tu ne peux même pas t'imaginer à quel point toute cette histoire peut me faire plaisir, sang-de-bourbe… C'est ce que tu mérites ! Et tu peux compter sur moi pour qu'avant demain tout le monde soit mis au courant… Mais de toutes façons, tu as déjà réveillé le dortoir…"
Alors, Hermione avait pu constater que les filles de la chambre se moquaient ouvertement, à présent complètement réveillées. D'un mouvement solidaire, elles étaient parties en furie pour aller colporter la nouvelle. C'est ainsi qu'Hermione était devenue la risée de l'école, en toute ignorance de Harry qui n'avait eut vent de la chose étant donné son isolement.
Depuis ce jour, la guerre était déclarée entre Hermione et Lavande. Puis, le soir fatidique, la peste avait fait une imitation peu flatteuse de la scène dans la salle des trophées. Écumant de rage, Hermione s'était littéralement jetée sur Lavande. Voilà comment la jeune fille se retrouvait au beau milieu d'un couloir désert, un élève statufié par l'arrêt du temps à ses pieds et l'homme qu'elle aimait blessé par ses paroles.
Au moment où son esprit s'apprêtait à repartir dans l'abîme de la dérive, des bruits de pas résonnèrent à ses oreilles. Ils approchaient…
A/N: Voilà la fin de ce chapitre qui, j'espère que vous avez remarqué, est beaucoup plus long ! J'espère aussi que vous avez apprécié, et même si ce n'est pas le cas, je vous remercie d'avoir pris le temps de me lire. Je vous laisse, et je ferais de mon mieux, si bien sûr vous voulez la suite, pour écrire le prochain chapitre le plus tôt possible !
Gros bisous,
Ambrazka.
P.S: Pour ceux qui en ont l'envie, voici un petit texte qui, je ne sais absolument pas pourquoi, a suscité en moi l'envie de vous le faire partager…. Il est tiré de "L'Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu" de Bernard Werber : (Pour ceux que ça pourrait choquer, il s'agit d'une expérience théorique ! Et puis ça n'a rien à voir, mais j'adore les chats!)
Le chat de Schrödinger
L'observateur modifie ce qu'il observe. Certains évènements ne se produisent que parce qu'ils sont observés. Sans personne pour les voir ils n'existeraient pas. C'est le sens même de l'expérience dite du "chat de Schrödinger".
Un chat est enfermé dans une boîte hermétique et opaque. Un appareil délivre au hasard une décharge électrique capable de le tuer. Mettons une seconde l'appareil en marche, puis arrêtons-le. Est-ce que l'appareil a lâché sa décharge mortelle ? Est-ce que le chat est encore vivant ? Pour un physicien classique le seul moyen de le savoir est d'ouvrir la boîte et de regarder. Pour un physicien quantique il est acceptable de dire que le chat est à 50% mort et à 50% vivant. Tant qu'on n'aura pas ouvert la boîte, on considérera qu'il y a à l'intérieur une moitié de chat vivant.
Au-delà de ce débat sur la physique quantique, il existe une personne qui sait si le chat est mort ou si le chat est vivant même sans ouvrir la boîte : c'est le chat lui-même.
Voilà ! Si vous avez aimé, et si vous en voulez d'autres, faites-le moi savoir et je me ferais un plaisir de vous en donner un pour le prochain chapitre !
Re-Gros bisous,
Ambrazka.
