Attention, attention : Si vous avez de la difficulté à lire le texte, à cause de la présence de caractres étranges, veuillex procéder aux changements suivant.

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Voilà c'et terminé. Je ne sais pas pourquoi les caractères sont apparus, je vais tenté qu'ils n'apparaissent pas la prochaine fois, mais s'ils reviennent vous pourrez toujours refaire cette petite démarche en attendant que je réussisse à trouver le problème. Merci énormément de votre compréhension. Aussi, j'ai envoyé la copie fichier de ce chapitre et du chapitre 32 de Rogue et l'enfant de James à tous ceux dont j'Avais le email. Si jamais il occure un autre problème semblable, laissez-le moi savoir, donnez-moi votre courriel et je vais vous envoyer dès que possible le chapitre dont il est question. Merci encore, sincèrement !

Jwulee

− Professeur Rogue, demanda Harry?

− Oui. Je suis heureux de constater que vous n'avez pas perdu votre vision en même temps que votre cerveau. Vous deviez me dire sans attendre lorsque quelque chose comme ceci survenait. J'avais pensé que vous respecteriez cette entente.

− Comme quoi, professeur? De quoi parlez-vous?

− Voldemort. N'avez-vous pas eu un rêve à propos de lui ? Et j'imagine que ce qui s'est produit dans votre rêve et la raison pour laquelle vous êtes dans cette situation, alors, je répète, pourquoi ne m'avez-vous rien di ?

− Après ce que j'avais fait, je n'ai pas vraiment eu la chance d'Aller où bon me semble.

− Pourquoi ne leur avez-vous pas dit ce qui est arrivé ?

− Je l'ai fait, insista Harry. Pas comme j'aurais dû le faire ; c'était trop évident. Pourquoi pensez-vous que je suis encore ici ? Tout le monde sait que j'ai tenté de me suicider. Je suppose que je n'ai pas pensé à vous le dire, professeur. Désolé, je croyais que vous faisiez partit des discussions des membres enseignants. Je croyais que vous saviez et je ne pensais pas que cela vous intéresserait.

− Peu importe ce que je considère intéressant. Vous ne croyez pas cela, n'est-ce pas ?

− Croire quoi ?

− Que vous avez tenté de vous suicider ?

− Quoi ? Maintenant vous allez me dire que les traces sur mes bras sont apparues par magie. Peu importe. J'étais le seul là. Je peux voir la vérité en face.

− Et comment en êtes-vous venu ;a cette conclusion, M. Potter ?

− Sirius, professeur Dumbledore, les sirènes. Ils ne mentaient pas. Ils ne me mentiraient pas sur cela. Sirius était vraiment inquiet. Il ne dirait pas cela si ce n'était pas vrai. Je lui fais confiance.

− Je ne vous pensais pas si influençable. Je suis surpris que Voldemort ne vous ai as encore tué.

− De quoi parlez-vous, professeur ? S'il vous plait, venez en au fait. Je ne crois pas pouvoir en prendre davantage.

− Je crois que vous le pouvez, M. Potter et vous le ferai, si vous voulez vivre.

Harry tenta de s'asseoir de telle sorte qu'il puisse être au même niveau que Rogue, mais les liens le tenaient cloués au lit. Harry entendit Rogue lui jeter un sort au moment où il passait sa baguette au dessus du corps de Harry, en enlevant ainsi les liens.

− Vous devriez-vous faire confiance, Harry. Si vous ne le faites pas, vous allez passer le restant de votre vie ainsi.

− Qu'Est-ce que vous savez, professeur ?

− Je sais que vous n'avez pas tenté de vous enlever la vie. Et j'en aurais été certain, même si je n'avais eu aucune preuve, lesquelles je vais élaborer plus tard. Maintenant, dites-moi, M. Potter, vouiez-vous mourir lorsque vous êtes allé dans ce bain la nuit dernière ?

− Non, bien sûr que non. Je voulais seulement relaxer.

− Et vous 'avez pas trouvé étrange de vous retrouver à l'infirmerie après cela ?

− Oui, mais je me souvenait pas de ce qui était arrivé. Et j'ai confiance en Sirius.

− Sirius a un bon cœur, mais il ne vous comprend pas. Je sais que vous n'auriez pas fait un geste comme cela. Pas maintenant et pas de cette manière. Aies-je raison, M. Potter ?

Harry acquiesça.

− C'est ce que je pensais. Mais vous les avez, tout de même, laissé vous convaincre que vous l'aviez fait, pourquoi ?

− En fait, ce n'est pas comme si je n'y avais jamais pensé, murmura Harry.

− Je sais cela. Nous aurions dû parler de cela. Mais pour le moment, vous allez demeurer avec moi dans les donjons.

− Un instant. Avez-vous parlé de ceci avec Sirius, demanda Harry ?

− Non.

− Pourquoi devrais-je aller avec vous, demanda Harry se sentant soudainement plus en sécurité à l'infirmerie ?

− Parce que Harry, je sais la vérité à propos de ce qui vous est arrivé et que je sais que cela va survenir encore et que l'aide que vous allez recevoir, ici, est inappropriée. Vous n'êtes pas suicidaire.

− Vous avez raison, je ne le suis pas. Allons-y. Mais je crois que vous devriez avertir Mme Pomfresh ou le professeur Dumbledore de ce que vous allez faire.

− J'ai déjà informé Dumbledore. Il parlera à votre parrain à moins que vos préféreriez le faire.

− Évidemment, je préférerais, mais pas maintenant. Je n'ai pas la force de lui dore qu'il a tort, surtout que je ne dais même pas comment vous savez.

− Je vous ai déjà di comment j'avais su. J'attendais que vous me contactiez. C'est seulement lorsque vous ne l'avez pas fait que je suis venu ici et que j'ai réalisé que vous ne saviez pas. Puis j'ai reçu des informations déconcertantes. Arrêtez de flâner et mettez vos chaussures.

Harry fit ce que l'on lui avait demandé, mais ne pouvait pas s'empêcher de chercher pour la vérité.

− Vous allez me dire ce que vous avez trouvé ?

− Prenez vos choses.

Harry ramassa ses livres et en donna la moitié à Rogue sans même le lui avoir demandé. Puis il suivit Rogue jusqu'aux donjons.

Ils déposèrent les livres sur la table à café.

− Vous allez coucher ici, dit Rogue en pointant le divan.

− Alors comment Voldemort a réussit à convaincre tout Poudlard que j'avais tenté de me suicider ?

− Bien, vous pensez ! Je suis persuadé que vous saurez trouver.

− Mais il n'était pas là. J'étais seul. Je suis certain de cela.

− D'accord vous étiez seul. Comment avez-vous eu ces coupures sur vos bras, demanda Rogue ?

− J'ai utilisé ma baguette, mais je ne connais pas le sort. Voldemort aurait pu me le dire dans mon rêve.

− Oui, mais que manque-t-il dans cette équation ?

Ce qu'il manque ? Harry pensa que le sort n'aurait probablement pas été très difficile à apprendre, alors il aurait très bien pu l'apprendre. Mais…

− J'ai laissé ma baguette dans ma chambre. Rusard ne m'a pas permis de l'Avoir pour ma retenue.

− En effet, dit Rogue en sortant la baguette de Harry de la poche de sa robe, je vous suggère que vous la conserviez avec vous en tout temps.

Harry resta bouche bée face à Rogue en acceptant sa baguette. Sirius l'avait attaché au lit et maintenant le professeur Rogue lui offrait une arme potentielle. Le monde semblait bouger en cercles rapides autour de lui.

− Fermez votre bouche et assoyez-vous pendant que je vous explique.

Harry obéit.

− J'ai eu une rencontre avec Voldemort et il nous a montré ses bras. Ils avaient de larges coupures luisantes dessus. Il a dit que s'il ne parvenait pas à vous tuer en main propre, il tuerait votre esprit. Il y parviendrait s'il pouvait faire croire à tout le monde que vous vouliez mourir. Éventuellement vous auriez voulu mourir et il aurait gagné.

− Mais comment fait-il cela ?

− Vous savez que vous êtes lié à Voldemort de par votre cicatrice. Après l'incident de duel il en fut, lui aussi, au courant et il l'a utilisée à son avantage. Il a lancé un sort qui fait en sorte que tous les dommages superficiels qu'il s'inflige, vont aussi vous être infligés.

− Est-ce qu'il est au courant de mes rêves, demanda Harry ?

Est-ce que Voldemort avait planifié ce rêve ?

− Je l'ignore, mais je ne crois pas que c'est le cas. Il est encore très discret lorsque le temps est venu de s'entretenir de ses plans. Je lui ai dit que vous étiez à l'infirmerie et que vous tentiez vraiment de vous défendre. Même si du peu que je savais vous ne l'étiez pas.

− J'étais épuisé de me battre conte Sirius. Je lui fais confiance et je n'étais pas certain. Je ne me souviens pas de ce qu'il est arrivé.

− Si Voldemort s'est arrangé pour faire cela aussi, c'était à son avantage. De toute manière, il n'arrêtera pas. Je dois lui dire lorsque vous sortirez de l'infirmerie de telle sorte qu'il puisse le faire survenir encore.

− Quand ferez-vous cela, demanda Harry ?

− Il est tard. Je vous dirai mes plans demain. Vous devriez dormir maintenant.

− Pourquoi est-ce que Sirius ne s'est pas rendu compte que ma baguette n'était pas là ?

− Sirius n'est pas un détective ; il était trop inquiet pour vous.

Harry était un peu surpris d'entendre Rogue défendre son parrain et à cause de cela il le prit à cœur.

− Mais qu'en est-il pour Dumbledore ?

− Dumbledore n'aime pas sortir les cartes de son jeu, alors j'ignore ce qu'il sait, mais je ne crois pas qu'il vous aurait tenu dans l'ignorance s'il avait su. Pas sans qu'il pense qu'il y ait un quelconque avantage à cela. Maintenant allez dormir. Je vais vous parler demain matin.

Réponse à une review

Or

Hier c'etait lundi ! Ou est le nouveau chapitre ?

Réponse : Tu as raison, hier c'était lundi et je n'ai pas édité, mais le site de fanfiction était en réparation et je ne pouvais pas le aire. J'ai édité dès que j'ai pu. Je suis désolée des inconvénients et du retard, sincèrement. Merci de lire t d'avoir laissé une review !

Merci à Onarluca, Lunenoire, edge, hermionedu69 et Or麨 pour les reviews du chapitre 3.